J'ai quelques questions à poser, je suis passionné de tout ce qui touche à l'astronomie, pouvez-vous m'apporter quelques réponses ? :
 
Quelle est la différence entre une sonde et un satellite ?
Quelle est la particularité de l'orbite d'un satellite géostationnaire ?
Quels sont les 2 points particuliers d'une orbite élliptique ?
Comment appelle-t-on le point où s'équilibre les forces de gravitation de la terre et de la lune ?
Par quelle grandeur caractérise-t-on la lumière ?
Quelle est la source dénergie d'un satellite ? Capteur ?
Quel est l'appareil qui permet d'identifier les reliefs depuis un satellite ?
Quel est l'élément contenu dans l'héliosphère ? Qu'est-ce que c'est ?
 

A priori, je dirais qu'un satellite reste en orbite fixe alors qu'une sonde se balade.
 

c'est une orbite qu'un corps parcourt en 24 heures.

apogée et périgée
 

no le sé (wikipedia est ton ami)

cette question ne veut rien dire ou alors elle a plusieurs réponses (lumen, candela, célérité, polarisation etc...)
 

panneau solaire, reacteur nucléaire. il y en a d'autre.
 

je suis pas sur mais je dirais un radar doppler.
 

de l'hydrogène, j'imagine.

 
Il s'agit des points de Lagrange

Merci beaucoup pour vos réponses.    
 
Voila pourquoi j'aime ce forum : clair, simple, rapide, efficace.

 
Je voulai parler du sens "célérité" de la lumière.

non, ça y'a pas (interdit je crois). c'est plutôt sous la forme d'isotopes qui activent un thermocouple. le rendement est pourri mais pratique quant on va loin (plus assez de lumière pour des panneaux solaire)

 
c'est donc bien un reacteur, merci de confirmer    

oui certes

Normalement, c'est 15euros de l'heure pour les cours particuliers d'aide aux devoirs hein

J'allais le dire

Ca doit pas faire longtemps  

En effet, mais il y a bien un début à tout.  

Ca c'est une des caractéristiques, mais ce n'est pas la description.
 
Un sat géostationnaire est un sat qui maintient sa position au dessus de la terre (à environ 36 000 Km, au lieu de ~400-450 pour les plupart des non-géostationnaires).

+1, section aide aux devoirs.

 
J'aurais dit interféromètre radar, mais y'en a peut-être d'autre types (mais est-ce qu'il y a autre chose que des interféromètres ?)
 

 
Peut-être aussi un peu d'hélium ? En tout cas les particules sont ionisées, c'est un plasma.

 
Possible, en y repensant, je m'aperçois que j'ai dit une connerie, le radar doppler sert à mesurer les vitesses, c'est donc pas ça. En fait un radar tout simple suffit à mesurer les distances (et donc le relief)

Je sors deux secondes de mes révisions de télédétection pour signaler que l'on mesure les lignes de base qui permettent de mettre à l'échelle tous les réseau du globe terrestre (!!!) par interférométrie laser ! (C'est le VLBI.)
En faite il y deux façons de mesurer par radar ou par une autre onde électromagnétique :
- soit par pseudo-distance et notre très chère : D=c(T2-T1)
- soit par interférométrie qui résident à calculer la différence de phase entre l'onde émis et l'onde reçu (je vous épargne les épargnes les calcules mais en gros c'est basé sur l'effet doppler (variation de la fréquence en fonction de la vitesse) et sur la longueur d'onde que l'on connait.
 
Mais alors pourquoi l'interférométrie qui à l'air plus complexe plutôt que la pseudo-distance ? Et bien si dans les GPS et autre GNSS, on n'utilise peu la pseudo-distance, c'est dû au décalage d'horloge du satellite... Et oui, malgrès ces 4 horloges atomiques, toutes les horloges embarqués vieillissent (temps de vie de 10 ans environ) à cause de sa grande vitesse ! (cf théorie de la relativité d'Einstein (non, non, je parle pas du dernier retour vers le future ^^) ) Sans parler de l'imperfection de l'horloge du récepteur... Mesurer la phase permet alors de minimiser ce problème.