Le Faux Débat entre les PGM et la faim dans le Monde :
On peut toujours lutter contre la faim dans le monde et ceci de manière beaucoup plus efficace qu'actuellement, mais cela restera toujours qu'une question de priorité d'ordre politique et socio-économique. Le partage des richesses peut se faire des aujourd'hui, si t'elle était réellement notre volonté et notre désire d’agire de la sorte. Une meilleure gestion des ressources et des sols agricoles, pourrait-être effectuer de manière beaucoup plus efficace qu’actuellement, et cela peut également se faire dès aujourd'hui. Alors qu'est-ce qui nous en empêche de faire toutes ces choses si merveilleuse et si juste pour tous ! Et bien je vous répondrais par toutes sortes d'intérêts et d'avantage injustifié d'ordre économique, de profitabilité et j'en passe. Si la faim et la famine existe toujours et encore dans ce bas monde, et bien c'est juste que cela n'a pas encore été revendiqué dans les priorités premières de l'homme et de l'humanité tout entière en générale, et ceci face à une coopération et un partage plus équitable et plus charitable des différentes ressources et richesses agroalimentaire de ce monde. Là n'est pas le réel problème, car la terre peut nourrire encore plusieurs fois le nombre de ses habitants actuels.
La coopération et le partage des ressources agroalimentaires peuvent s'effectuer de différente manière, les uns font ceci et les autres font cela dans un esprit de partage et de diversification des produits, et tout ceci effectué dans le plus grand respect des différents écosystèmes et des populations. Mais je sais également que ceci est pour l’humanité, qu’une simple utopie, car cela n'est pas la voie que nous avons tous choisis de suivre et de privilégier ! Alors la famine, les épidémies et la faim existeront encore et encore dans ce bas monde ! Et ce n'est pas les OGMs qui changerons les différentes manières de faire dans la redistribution des richesses agroalimentaire qui en découlerons directement. Et cela vous le savez très bien également ! Les perspectives de profit faramineux et monstrueux à court terme, et la prise de contrôle des marchés alimentaires sur toute la planète, par les marchés financiers et boursiers du capitalisme sauvage actuel, est représentative d’une idéologie qui favorise plutôt l’antithèse de cette utopie et d’une t’elle réalisation axée sur le partage des richesses et de l’élimination de la faim et de la pauvreté à travers le monde.
Les Dangers Potentiels Reliés Aux PGMs :
Ce n’est pas tout les OGMs, qui présente de t’elles risquent aussi élever pour l’environnement et pour la santé, car la plupart d’entre eux sont bien supervisée et contrôlée dans des milieux de production clôt hermétiquement, et surveillé très étroitement par des laboratoires de recherche, pour éviter justement toute forme de contamination possible des milieux extérieurs. Mais il en va autrement pour ce qui est des PGMs. Les industries agroalimentaires et biotechnologiques, pour une question de rentabilité rapide uniquement, expérimentes cette catégorie d’OGM (les PGM) dans la nature même, à travers de gigantesques champs d’agriculture à ciel ouvert, sans aucune autre précaution additionnelle. Nous sommes loin de tout comprendre et surtout de pouvoir contrôler toutes les différents mécanismes, qui sont reliés de près ou de loin à l’évolution des différentes structures génétiques, et ceci à travers tout un écosystème et des différents organismes qui l’habitent.
Citation :
Évaluation des Risques Potentiels Pour la Santé et la Biodiversité
(1) Développement de résistance aux insecticides, herbicides et fongicides.
(2) Allergénicité et toxicité en fonction des protéines étrangères introduites, et de leur niveau d'expression sur les membranes cellulaires.
(3) Développement à long terme de résistance aux antibiotiques par les bactéries.
(4) Mutation Virales et création de nouveau virus, en particulier pour les plantes rendues résistantes aux virus par transgénèse.
(5) Autres effets non prévisibles dus à des interactions métaboliques dans la plante ou chez certaines catégories de consommateurs (bébés, malades, etc.) ou d’animaux. (Ex : la production d’hormone humain par les plantes transgéniques)
(6) Envahire et remplacer la diversité des cuiltures indigènes. (7) Variation d’équilibre écologique par Envahissement de parasite secondaire ou étrangé.
(8 ) Apparition de nouvelle maladie, détresse humains et pauvreté économique.
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L’implantation de certains type de PGMs à travers nos champs de par le monde, cause déjà certaine modification sur l’équilibre de leur écosystème et sur leur biodiversité. (6) Il est déjà démontré que certaines plantes transgéniques envahis et contamines les cultures traditionnelles non-OGM (traces de contamination issue de 2 différentes variétés de riz OGM appartenant à la firme Bayer, Washington Post 2006), (Un gazon transgénique expérimental a été retrouvé à une distance de 3,8 km de son lieu d’implantation – il s’est déplacé via pollens et graines. New Scientist, 12.8.06), (Le maïs transgénique StarLink de la compagnie Aventis CropScience, interdit à la consommation humaine se retrouve déjà dans notre chaîne alimentaire, SJMN 01/12/03). (1) Que certaines mauvaises herbes commences déjà à développer des résistances aux herbicides, ce qui obliges les paysans à pulvériser davantage d’herbicides plus puissants, et ceci à plusieurs reprises (En Caroline du Nord, l'amarante ou »pigweed«, une herbe sauvage est devenue résistante au Roundup, un herbicide de Monsanto, SEFP, 27.9.06), (Première super mauvaise herbe mutante découverte au Royaume-Uni - résultat d’un croisement entre du colza génétiquement modifié et une mauvaise herbe « la moutarde » ordinaire. Sky News 25/07/05). (2-5) Que des effets néfastes sur la santé et le développement de certaines plantes et d’animaux, ont déjà eu lieu (En Suisse, des plantes stressées ont légué leur expérience du stress, nature 6.8.06), (Des études développées par Monsanto sur des Rats nourries aux OGM, ont démontrés leurs nocivité sur certains de leurs organes (sangs, foie, rein), Greenpeace juin 2006) (Une étude établit que les déchets de maïs transgénique, ont un effet négatif significatif dans le sol en entravant l’«éclosion» des cocons des vers de terre, Applied Soil Ecology, 32,06). (7) Que certaine pression sur l’équilibre écologique on déjà eu lieu, par envahissement de parasites secondaires (La chine a subi de grosses pertes en cultivant du coton transgénique, les plantes on bien résistées à leur insecte nuisible (chenille de la capsule du coton), mais entre-temps, des parasites secondaires (punaise du cotonnier en particulier se sont rapidement développés, New Scientist, 29.7.06). (8 ) Voir la vidéo sur le coton trangénique de l’Inde (voir la référence 2 pour plus de détaille sur ce paragraphe)
Par exemple, si un transgène quelconque (ou une partie de ce dernier) réussi un jour à s'insérer dans un autre génome que celui du PGM d’origine (qui a sauté d’une espèce à l’autre), pour lequel il a été prévu et fabriqué sur mesure par génie génétique et par transfère horizontaux ou autre. Et bien son produit de transcription (protéine) peut éventuellement agir dans la nouvelle cellule et interférer avec ses gènes, soit en agissant sur l'expression de d'autres gènes et/ou il peut s'associer avec d'autres protéines pour inhiber ou au contraire stimuler certaines activités biochimiques. Le tout pouvant modifier ou transformer leur intégrité fonctionnelle et leurs activités respectifs. Ceci peut modifier et transformer la vie de la cellule, et agire directement par la suite et par ricochait, sur tout l’équilibre dynamique de son écosystème. Par exemple, une plante transgénique qui contient un gène d’une substance active, qui était contenu dans un insecticide très puissant. La molécule est produite dans le noyau cellulaire et migre vers la membrane cellulaire qui est son point d’attache et d’ancrage final, et prévu pour son activation afin de tué les insectes ciblés. Ce gène peut subire ou non, de nouvelle forme de mutation par la suite. Les bactéries et les insectes qui vivent à proximité de cette dernière, vont acquérir taux ou tard, des nouvelles formes de résistances à cette nouvelle substance toxique, et ceci par simple pression sélective des espèces. Ce qui causera un changement drastique dans la dynamique de cet écosystème à moyen ou long terme. La plante exprime en elle-même un agent actif d’un insecticide, mais il faut également ajouter des agents résistants aux herbicides ou mêmes aux fongicides, pour lutter contre les mauvaises herbes et les champignons. L’homme, les oiseaux, d’autres insectes et les insectivores, vont tranquillement accumuler dans leurs organismes toutes ses substances nocives, et servir ainsi de réservoir biologique pouvant contaminer toute la chaîne alimentaire, et selon l’accumulation d’une certaine dose, qui va faire augmenter les différentes formes de concentrations de ses produits à travers les différents organismes, jusqu’au sommet de l’échelle alimentaire, c’est-à-dire nous ! Voulons-nous réellement prendre et assumer de t’elle risque ?
Le tableau suivant, résume un peut les différents aspects génétiques que nous ne connaissons pas encore complètement et qui sont impossible à maîtriser.
Citation :
Problèmes et incertitude liés aux PGM dans l’environnement
Aspect Génétiques Artificiel (OGM non Naturels)
1 - Transfère Aléatoire. Aspect Génétique Naturels (OGM naturels)
2 - Transposons ou gènes sauteurs. 3 - Transfère horizontaux. 4 - Mutation/adaptation d'ordre naturel. 5 - Erreur (minime mais existante) lors de la transcription
6 - Variation des transcrits d’épissage Aspect Environnementaux Amplificateur
7 - Facteur environnemental et interrupteur épigénétique.
8 - Sélection et pression sélectives des espèces, par déviation artificielle (Transfère Aléatoire).
Les probabilités de mutations sont amplifiées à cause du nombre de gènes qui sont impliqués dans les transfère horizontaux et a cause également de l’origine interspécifique de ses derniers.
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Il faut se poser sérieusement la question, comment les plantes et les autres organismes que nous modifions génétiquement aujourd’hui (organisme transgénique), vont-ils réagires aux courts des cents prochaines années, à travers leurs écosystèmes respectifs et à ciel ouvert. Ils feront faces un jour ou l’autre, à de nouveau contexte environnemental qui pourraient favoriser des états d’équilibres différents de ce que nous connaissons actuellement (comme pour les effets engendrés par le réchauffement climatique planétaire). Comment les autres organismes qui vivent à proximité et en étroite relation avec ces derniers, vont-ils réagires face à tout ça, subissant alors une nouvelle forme de pression sélective des espèces. Plusieurs forme de stratégie et de capacité différente d’adaptations seront alors mis en marches, et impossible à prévoires d’avance. Tous ces différents mécanismes qui sont impliqués dans l’évolution et la variation des différentes composantes génétiques des cellules (résumé dans le tableau plus haut), seront tout simplement amplifier et rendu possible grâce aux très grand nombre d’organismes mis en cause et à travers nos champs à travers la planète tout entière. Le tout visant une étroite relation d’équilibre dynamique, entre les différents organismes vivants les uns par rapports aux autres, et ceci à l’intérieur des différents écosystèmes et biotopes de la planète.
Un peut comme le processus que fait varier d’années en année le virus influenza de la grippe, qui passe de la volaille au porc, afin de s’adapter au changement d’espèce avant de contaminer l’homme. Imaginer maintenant si nous modifions le porc avec un gène humain quelconque, comme certains veule le faire pour des intérêts purement économiques. Et bien l’homme pourra désormais infecter le porc de son virus de la grippe, le virus mutera à nouveau et infectera directement l’homme en quelque mois seulement (hypothèse). Imaginer alors l’ampleur que peuvent prendre ces nouvelles formes d’épidémie ou de pandémie. D’autre forme de mutation, peuvent même s’effectuer sur des périodes de temps beaucoup plus courtes par rapport à l’évolution standard. Il pourrait s’agire par exemples d’une seule génération humaine. N’oublier pas que la pandémie de grippe espagnole des années 1917-18 et de la fièvre jaune des années 1950, provenait justement d’une grande forme de mutation génétique du virus de la grippe influenza (contrairement à ses variations annuelles qui sont de dimension plus faible). D’ailleurs le virus de la grippe influenza, semble être tout près de subire à nouveau une t’elle forme de variation génétique, pouvant créer du même coût, une nouvelle pandémie mondiale, d’ampleur tout aussi comparable que celle des 1917-18.
Nous avons déjà passé en revu les différentes techniques qui sont utilisés en biotechnologique, pour effectuer le transfère de gène à l’intérieur des cellules, soit le transphère aléatoire. Ces mêmes gènes qui ont étés insérés de manière parfaitement aléatoire dans le génome d’une plante, peuvent également subires d’autre forme de réarrangement chromosomique durant leur vie, et qui cette fois intervienne de manière tout à fait naturel dans la nature. Comme par exemple des phénomènes de Transposons ou gènes sauteurs, qui consiste à un déplacement de certains morceaux d’ADN sur les Chromosomes (découvert dans les années 1940-50). Il est possible qu’un gène incéré aléatoirement, s’insert à l’intérieur d’une séquence transposable, pouvant modifier ou supprimer l’expression génétique d’un autre gène, ou du même gène. Ceci peut créer des nouvelles molécules allergènes, soi comme spores ou comme protéines membranaire de ces cellules mutantes, développant ainsi de nouvelle forme d’allergies, et pourquoi pas de nouvelles formes de pneumonie ou de fièvre hémorragique. Si le caractère est transmissible de génération en générations, et bien nous aurons à faire face à une nouvelle mécanique génétique. Car jamais la nature avait subit une t’elle réorganisation génétique à partir d’un gène étranger incéré dans une plante, et qui implique d’autre organisme que les virus ou les bactéries. Un gène compatible pour l’homme, si ce dernier proviens de l’homme !
Mais ce n’est pas tout, les bactéries peuvent également acquérir ce nouveau type de gène par Transfère horizontaux, et qui découle de la capacité qu’ont les bactéries de s’échanger des petits morceaux d’ADN ou de gènes entre elles, mais aussi avec les plantes. Les bactéries peuvent aussi transmettes cette caractéristique à d’autre organisme, et par ricochais contaminer tout un écosystème. D’autre mécanisme génétique peut également entrer en jeux, et modifier encore plus les gènes insérés par biotechnologie, et ainsi compliquer le tout de manière exponentielle. Il y a les Mutation/adaptation d'ordre naturel, lors d’exposition d’un organisme vivant à des agents mutagènes, comme les différentes formes de radiations, d’agents chimiques ou de virus, pouvant amplifier la dérive génétique d’une espèce (la plus par du temps cela est effectué sur le long terme dans un contexte environnemental naturel). Il s’agit de mutation de forme ponctuelle, délétères ou autre, qui peuvent engendrer de nouvelle forme de cancer par exemple si la mutation touche des oncogènes humain, comme c’est déjà le cas pour plusieurs type de cancer humain (cancer des poumons, de la prostate, du saint, etc…). Il y aussi les Erreurs (minime mais toujours existante à partir du système de réparation moléculaire de l’ADN) lors de la transcription de l'ADN-ADN (mitose/ADN polymérase utilisé lors la division cellulaire), de l'ADN-ARN (par les ARN polymérase lors de la transcription des ARN messager qui vont servir par la suite à la production des protéines) et de l’ARN-ADN par l’enzyme « transcriptase inverse » qui est impliqué dans la reproduction de certains virus à ARN à l’intérieur de leur cellule hôte.
Les gènes et les différentes structure génétique, qui sont impliqués dans les phénomènes de la Variations des transcrits d’épissage (intron de type 1 et 2 pour les procaryotes et de type nucléaire (spliceosome+ARNs) pour les eucaryotes) peuvent également être altéré lors de l’insertion aléatoire d’un gène étranger à l’intérieurs d’une de ces régions de l’ADN qui en contrôle l’expression génétique (Eucaryote surtout). Ce qui peut modifier du même coût, l’expression et le contrôle de certains facteurs de transcription sur l’épissage de certain type d’ARN pré-messager, et modifier la synthèse d’une protéine (pensée au prion de la vache folle), ce qui peut entraîner de drôle de répercussion dans une cellule. L’épissage alternatif est axées sur la maturation des ARN pré-messagers en ARM messager, qui sont les précurseurs des protéines, il orchestre et contrôle donc l’expression d’un gène en protéine, et est également responsable de l’aspect évolutif d’un gène codant pour plusieurs protéines, à partir de différents transcrits d’épissage. (les gènes de ces transcrits peuvent également subire des mutations ponctuelles, des transpositions par transposons ou des transfères horizontaux). A tout cela il faut également ajouter des facteurs environnementaux pouvant êtres reliés ou interférer avec l’expression de certain gène. Ces différents facteurs se présentent sous forme d’interrupteurs épigénétique, il s’agit de molécules ayant une certaine affinité avec des molécules d’ADN ou d’histone (protéines associées a l’ADN), et la capacité d’agire comme interrupteur ON/OFF pour l’expression d’un gène et pouvant-être transmissible sur quelque génération, (En Suisse, des plantes stressées ont légué leur expérience du stress, nature 6.8.06). Ils peuvent soit bloquer l’expression génétique d’un gène vers une protéine, ou soit la favorisé et l’amplifier. Tous ces différents mécanismes peuvent faire varier et dérivé la structure génétique des cellules, et ils ne peuvent pas être contrôlés d’ailleurs par différentes techniques dans un milieu ouvert, à ceci cause de leur complexité intrinsèque très grande que nous ne connaissons pas encore.
Tous ces différents mécanismes génétiques de l’évolution et de l’adaptation des organismes vivants, vont entrer en interaction un jour ou l’autre, à partir des mêmes mécanismes qui sont relié à la pressions sélectives et la sélection naturelle des espèces, et le tout afin de favoriser un nouvel état d'équilibres dynamique d’un écosystème quelconque. Le tout aura inévitablement de grande répercussion sur la biodiversités des espèces et des écosystèmes qui seront alors reliés aux cultures de ces PGMs défectueux. Voici une remarque qui vient d’un forum et que j’aime bien « Jamais un gène de scorpion n’a intégré à l’état naturel une tomate, ou un gène de poisson n’a intégré une fraise. Ces combinaisons résultent de la croyance réductrice que la vie n’est faite que de briques d’informations génétiques interchangeables les unes avec les autres indifféremment. C’est une position hautement dogmatique qui ne prend pas du tout en compte la complexité du vivant, et les processus naturels observables qui font des organismes ce qu’ils sont. On ne peut déduire d’informations génétiques fragmentaires, le développement d’un organisme dans un écosystème complexe, ainsi que ses interactions avec les multiples sous-systèmes composant cet écosystème »
En réalité l’alignement des séquences de bases nucléiques d’un exon (gène codant), est en fait la signature qui définit et délimite un gène, pour sa traduction en protéines (après épissage), Il ne s'agit pas d'un simple alignement bien banal de quatre bases nucléique (ATCG) sur l'ADN (pour l’ARN il faut remplacer le T par le U). Car en fait ces leurs positions bien spécifiques les unes par rapport aux autres (sous forme de codon composé de trois bases pour identifier chaque acide aminé d’une protéine), qui va déterminer le type de protéines ou d'enzymes qui sera produites par les ribosomes. Certaine de ces protéines vont migrer jusqu'à la membrane plasmique et si introduire, participant ainsi à l'identité même de la cellule (caractéristique qui les identifient à une espèce bien donnée). Ces protéines vont participer à la communication intra et extra-cellulaire, ou comme les cytochromes qui sont très proche entre les différentes espèces, vont être associé à respiration (transfère d’électron) cellulaire des mitochondries. Chaque espèce possède des protéines différentes, selon leur ancienneté ou leur appartenance à l’un des cinq groupes ou règne du vivant. Les gènes de ces protéines peuvent même varier par une seule base nucléique, et pour une espèce donnée. La phylogénétique se base d’ailleurs sur cela, pour établire l’arbre évolutif et de parenté entre les espèces. C'est ce qui fait qu’il existe une très grande différence entre l'homme et la souris, et ceci bien que nous partagions près de 90% de notre génome. Cela n'empêche pas que chacune de nos protéines respectives, ont des différences bien marquer pour la plupart d'entre elle, c'est pour cela que l'hormone de croissance de l'homme, son hémoglobuline et bien d'autre, sont très différentes de ceux de la souris. Et cela fait également partie de la barrière des espèces.
Donc dire que l’agencement des gènes ne sont pas des indicateurs identifiant les espèces entres-elles (identifiant leurs gènes), est tout simplement une hérésie en génétique. Et sais d’ailleurs à partir de cela qu’il existe une barrière entre les espèces plus ou moins éloignées les unes des autres. Une barrière reproductive et une barrière des caractéristiques biochimiques membranaire des cellules.
Message édité par glevesque le 09-09-2007 à 06:54:23