Reprise du message précédent :
 
   
 
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Va pour le camping car!    
 

   
J'ai toujours voulu voyager en camping-car, mais cela n'a jamais pu se réaliser....  
 
Par contre le camping tout court, j'ai fait ...    

   Pareil.

 
 
 
C'est l'heure du lunch ..        

Sacrées girafes !

 
 
   
 
Les demoiselles girafes aiment qu'on leur disent "je vous aime beau cou"...    
 
 
   

 
Bonne nuit tout le monde.  
 

 

   
Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, Sam, Sundy et les Aminautes
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Heu, si on se lève cette nuit pour je ne sais quelle raison, prudence ...    
 
 
 

Bon jeudi les Aminautes ..  
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Un marchand de moutons interdit à vie de détenir n’importe quel animal, une première !
Le tribunal correctionnel de Bruxelles a condamné, le 5 mars dernier, un marchand de moutons à quatre mois de prison avec sursis, à 6.000 euros d’amende et à une interdiction définitive de détenir tout animal, a communiqué mercredi l’association Animaux en Péril.
 
« Selon moi, le prononcé d’une interdiction à vie de détenir n’importe quel animal, prévue par la loi de 1985 sur le bien-être animal, est une première », a déclaré Jean-Marc Montegnies, président d’Animaux en Péril.  
 
« Les équipes d’Animaux en Péril, du Rêve d’Aby, d’Equi’Chance et d’Animal sans Toit ont été appelées, le 20 août 2018, sur les lieux d’une saisie policière de dizaines d’ovins à Haren », a relaté Animaux en Péril. « Soixante-cinq moutons étaient détenus, en mauvais état de santé et dans des conditions inadmissibles. Ils étaient destinés à être abattus pour l’Aïd El Kebir. Mais le propriétaire n’avait pas de permis d’environnement pour la détention de son troupeau et ne disposait pas d’autorisation d’abattage », a précisé l’association de protection des animaux.  
 
Le 16 janvier 2020, la police était à nouveau intervenue chez le prévenu, pour dresser le même constat, puis une troisième fois encore, six mois plus tard. « Lors du procès, il a été révélé que l’éleveur amateur fournissait des carcasses de bovins à un commerce de viande bruxellois. L’enquête a fait apparaître qu’il disposait d’un atelier de découpe clandestin », a encore déclaré Animaux en Péril.
 
« Nous croisons les doigts pour que le tribunal correctionnel de Tournai, qui aura à juger en juin prochain un marchand de chevaux d’Ogy, multirécidiviste, soit inspiré par le prononcé du tribunal bruxellois », a insisté Jean-Marc Montegnies.  
 
https://myprivacy.dpgmedia.be/conse [...] 49a39%252f

 
Do other animals have fingerprints? And what purpose do they serve? //Rob Colson, London, UK
 
Unsurprisingly, our closest relatives, the great apes, also have fingerprints.
Perhaps more surprisingly, so does the koala. In an example of convergent evolution, koalas have fingerprints that are virtually indistinguishable from ours, even though our last common ancestor lived more than 100 million years ago. Like human prints, each individual koala’s fingerprint has a unique pattern.
The primary function of fingerprints still isn’t universally agreed on. Suggested benefits include improved grip and the prevention of blisters. Fingerprints are also thought to increase the sensitivity of touch, allowing us to discriminate finer details.
When we run our fingers over an object, this sets off tiny vibrations in the skin, which are detected by nerves. Fingerprints increase, the size of these vibrations about 100-fold.
Koalas are notoriously fussy eaters, preferring to eat only eucalyptus leaves of a particular age. Their sensitive fingers may have evolved to allow them to identify the texture of their ideal meal.
In the heady days before lockdowns, in places such as Monkey World in Dorset, UK, you could observe finger marks on the glass partitions of enclosures.
It was sometimes difficult to distinguish those made by the residents from those left by the sticky digits of the visitors.
Indeed, in 2002, police in Hampshire, UK, worked with a team from Marwell Zoo on a study of fingerprints from Sulawesi macaques with a view to identifying individuals to help prevent poaching.
Concerns have even been expressed in Australia that there might be some unidentified fingerprints languishing on crime scene databases that were made by koalas, due to the similarity of patterns on their hands to those found in humans. This was reported in New Scientist back in 1996.
Koalas have unique fingerprints just like humans, but many animals have what seems to be the equivalent of fingerprints.
Individual cats and dogs, for example, have unique whisker patterns. Zebras have distinct stripe arrangements and individual leopards and spotted dolphins have their own spot patterns. Humpback whales also have unique markings on the underside of their tails.

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Les autres animaux ont-ils des empreintes digitales? Et à quoi servent-ils? // Rob Colson, Londres, Royaume-Uni
 
Sans surprise, nos plus proches parents, les grands singes, ont également des empreintes digitales.
Peut-être plus surprenant, le koala aussi. Dans un exemple d'évolution convergente, les koalas ont des empreintes digitales pratiquement impossibles à distinguer des nôtres, même si notre dernier ancêtre commun a vécu il y a plus de 100 millions d'années. Comme les empreintes humaines, l’empreinte digitale de chaque koala a un motif unique.
La fonction principale des empreintes digitales n’est toujours pas universellement acceptée. Les avantages suggérés incluent une meilleure adhérence et la prévention des ampoules. On pense également que les empreintes digitales augmentent la sensibilité du toucher, ce qui nous permet de distinguer les détails les plus fins.
Lorsque nous passons nos doigts sur un objet, cela déclenche de minuscules vibrations dans la peau, qui sont détectées par les nerfs. Les empreintes digitales augmentent, la taille de ces vibrations est multipliée par 100 environ.
Les koalas sont notoirement des mangeurs difficiles, préférant ne manger que des feuilles d'eucalyptus d'un âge particulier. Leurs doigts sensibles peuvent avoir évolué pour leur permettre d'identifier la texture de leur repas idéal.
Dans les jours grisants avant les verrouillages, dans des endroits tels que Monkey World dans le Dorset, au Royaume-Uni, vous pouviez observer des marques de doigts sur les cloisons en verre des enceintes.
Il était parfois difficile de distinguer ceux fabriqués par les résidents de ceux laissés par les chiffres collants des visiteurs.
En effet, en 2002, la police du Hampshire, au Royaume-Uni, a travaillé avec une équipe du zoo de Marwell sur une étude des empreintes digitales de macaques de Sulawesi en vue d'identifier des individus pour aider à prévenir le braconnage.
Des inquiétudes ont même été exprimées en Australie quant au fait qu'il pourrait y avoir des empreintes digitales non identifiées qui croupissent dans les bases de données de scènes de crime créées par des koalas, en raison de la similitude des motifs sur leurs mains avec ceux trouvés chez l'homme. Cela a été rapporté dans New Scientist en 1996.
Les koalas ont des empreintes digitales uniques, tout comme les humains, mais de nombreux animaux ont ce qui semble être l'équivalent des empreintes digitales.
Les chats et les chiens individuels, par exemple, ont des motifs de moustaches uniques. Les zèbres ont des arrangements de rayures distincts et les léopards et les dauphins tachetés ont leurs propres motifs de taches. Les baleines à bosse ont également des marques uniques sur le dessous de leur queue. [/ I]  
 **** Traduction Google****
 
https://www.newscientist.com/lastwo [...] hey-serve/
https://www.ouest-france.fr/pays-de [...] 704434ca3f
..
 

PS. Près de Cholet. A la chasse aux empreintes d’animaux autour de l’étang de Péronne

 
 
Signes de l'arrivée prochaine du printemps (¨P-10) dans mon quartier    
 


Des pâquerettes....et une bergeronnette
 
 
...

 
Le printemps approche  P-10  ....
 

 

How do animals learn how to be, well, animals? Through a shared culture....The philosopher Immanuel Kant asserted, “Man is the only being who needs education.” But if he’d said “not the only being,” he’d have been correct. Kittens who watch their mothers become better hunters faster than kittens who must figure out what claws and teeth are for. A lot of learning travels socially from parents to offspring or from elders in groups.
 
Throughout animal life on earth, social learning goes on all around us. In a variable world, cultures provide answers to the question of how we live and where we live, and many creatures must learn who they will be. From elders, a baby orca learns the identity of their clan and specialized hunting and traveling customs. A baby elephant learns who her family is. Songbirds learn their local dialect, bowerbirds watch elder masters build the most seductive bowers, and parrots learn who their friends are. Lions and wolves learn the specialties of their family’s hunting techniques.

https://ideas.ted.com/how-do-animal [...] d-culture/
 
La transmission culturelle chez l'animaux existe: comme chez les humains qui apprennent à l'enfant son "identité humaine"...
 

 
 
 Manger mais bien prendre le temps de mâcher les aliments ...        

 

 
Oiseau de paradis.  

   
 

Hier après-midi il y avait un magnifique reportage sur la faune du Pays de Galles...
 
 
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Coucou,
 
 
 

 
 
 

 

 
 
Et coucou à toi aussi Sam    

 
 
Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, Sam, Sundy et les Aminautes    
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   Sam et bonne nuit tout le monde.  
 

 

Bonne journée les Aminautes ...  [ ...
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Ces deux hommes s'occupent des animaux de compagnie abandonnés sur le site de Fukushima  >> Dix ans après la catastrophe nucléaire au Japon, deux hommes continuent de prendre soin des animaux laissés sur place.
 
Cette année, cela fait 10 ans que la catastrophe de Fukushima a eu lieu. Si un homme a décidé d’y rester coûte que coûte à 14 kilomètres de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi pour s’occuper de ses vaches, deux hommes, Naoto Matsumura et Sakae Kato, sont également restés sur place.
 
Tous les deux vivent seuls et se sont installés dans des villes à environ 19 km de la zone d’exclusion où ils s’occupent des animaux errants laissés après l’évacuation de la ville.  
Dans une interview à Reuters, Sakae Kato explique qu’il s’occupe pour le moment de 41 chats et d’un chien, Pochi. Après avoir déjà enterré 23 chats dans son jardin, il maintient qu’il restera auprès d’eux jusqu’à la fin : "Je veux m’assurer que je suis ici pour m’occuper du dernier. Après cela, je veux mourir, que ce soit un jour ou une heure plus tard". Ces chats lui ont donné une raison de rester sur cette terre qui appartient à sa famille depuis trois générations.

    A decade ago, Sakae Kato stayed behind to rescue cats abandoned by neighbors who fled the radiation clouds belching from the nearby Fukushima nuclear plant.
    He won't leave https://t.co/E4LxHvHmWP 1/7 pic.twitter.com/ZxUsIFIysQ
    — Reuters (@Reuters) March 4, 2021

En plus de ces animaux qui vivent chez lui ou dans les bâtiments abandonnés aux alentours, il laisse de la nourriture dehors pour tous les animaux errants qu’il ne peut pas recueillir par manque de place. Il estime d’ailleurs ses frais à environ 7000 dollars en nourriture  par mois que ce soit pour les chats, le chien et même pour les sangliers qui font des ravages dans les environs vidés de tout humain.
 
Comme on peut le lire à la fin de l’article de Reuters, Sakae Kato a été arrêté, soupçonné d’avoir libéré un sanglier qui était emprisonné dans une cage par le gouvernement. Il est, depuis, détenu pour interrogatoire mais selon Yumiko Konishi, un vétérinaire local, des volontaires locaux s’occupent des animaux en attendant le retour de Sakae Kato.
 Une page Facebook, suivie par plus de 32.000 personnes et toujours alimentée depuis 2011, soutient le travail de Naoto Matsumura : "Cette page a été créée pour rendre hommage au riziculteur de 52 ans, Naoto Matsumura et à ses efforts pour sauver les animaux à Tomioka, au Japon." En effet, il est très vite retourné dans la zone d’exclusion pour s’occuper des animaux qui étaient laissés pour morts.
Dans une interview de 2016 à EuroNews, il expliquait : "Tant que je suis ici, ils ne mourront pas de faim. Au début, je ne pensais pas trop et je ne m’attendais pas à faire cela pendant cinq ans. Ce sont des animaux vivants, vous ne pouvez pas les nourrir une seule fois puis les abandonner."
 Les autorités affirment que le rayonnement y est très faible. Naoto Matsumura n’est pas d’accord "Personne ne peut assurer votre sécurité ici. Ils ont dit que le rayonnement était faible ici et que nous n’avions pas à nous inquiéter car rien ne se passera. Mais si quelque chose arrive, ils n’admettront certainement aucun lien avec le rayonnement nucléaire […] maintenant c’est le problème des gens s’ils ne veulent pas rentrer chez eux."
Devenu activiste contre le nucléaire, il restera également pour s'occuper de tous ces animaux abandonnés qui ne reverront probablement jamais leurs propriétaires.
 
https://www.dhnet.be/actu/faits/dep [...] 713a8fd7e2
https://www.goodnewsnetwork.org/two [...] matsumura/

Over 500 animals found in world's 'oldest pet cemetery' in Egypt .....

https://www.middleeastmonitor.com/2 [...] -in-egypt/  
https://www.liberation.fr/sciences/ [...] DCFU2YMBM/
Plus de 500 animaux trouvés dans le `` plus ancien cimetière d'animaux de compagnie '' du monde  
en Égypte dans le port de Bérénice (où ils ont pris racine...forcément) : des archéologues égyptiens ont découvert ce que l'on pense être le plus ancien cimetière pour animaux de compagnie connu au monde.  
Le site funéraire qui remonte à près de 2000 ans a été découvert dans le port de Bérénice, le long de la côte de la mer Rouge du pays.
 
Les restes de près de 600 animaux ont été découverts et comprennent principalement des chats et des chiens. Contrairement à la pratique courante de momifier les animaux décédés pour honorer leurs dieux, les animaux enterrés dans ce cimetière étaient différents, a rapporté Live Science, citant la chercheuse principale Marta Osypińska, zooarchéologue à l'Académie polonaise des sciences de Varsovie.
"Nous avons des animaux vieux, malades et déformés qui devaient être nourris et soignés par quelqu'un", a déclaré Osypińska.
"Nous avons des animaux (presque tous) qui sont enterrés avec beaucoup de soin. Les animaux sont placés en position de sommeil - parfois enveloppés dans une couverture, parfois recouverts de vaisselle."
Aucun des animaux ne montrait le signe d'avoir été tué par des humains et certains ont également été enterrés portant des colliers ou colliers en fer «précieux et exclusifs» décorés de coquillages, de verre et de perles.
Sur les 585 animaux découverts, 536 étaient des chats, 32 chiens, 15 singes, un renard et un faucon, a expliqué Osypińska. Beaucoup d'animaux n'étaient pas nécessairement des animaux de travail, car parmi les découvertes figuraient des chiens miniatures et des chiens plus âgés presque édentés.
Les résultats, qui ont été publiés pour la première fois plus tôt cette année dans la revue World Archaeology, jettent un nouvel éclairage sur les relations homme-animal dans l'Antiquité. Bien que certains chercheurs remettent en question l'existence des «animaux de compagnie» tels que nous les connaissons aujourd'hui, l'étude suggère que les habitants de Bérénice il y a près de 2 000 ans s'occupaient d'animaux «non utilitaires» de la même manière qu'aujourd'hui.  
(((TRADUCTION GOOGLE)))

 
   
Une statue de chat est exposée au Caire, en Égypte, le 23 novembre 2019
 
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Itou    
 
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Ils sont marrants les animaux    

 

 
 
Hi hi hi ..    
 
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On file en promenade.    
 

   
Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, Sam, Sundy et les Aminautes
 
 

Bonjour les Aminautes!
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 Samedi, le jour de la gymn matinale.