Reprise du message précédent :
Vu Lion    
 
Un film en 2 parties, mais vraiment bien aimé la première avec le rôle des 2 enfants    
Par contre Nicolas Kidman n'a que son nom pour ce film, pas compris ce qu'elle vient faire dedans    
La BO
 
https://www.youtube.com/watch?v=0D-gEOMi5_o

Vu simple plan, the gift et Drag me to hell, Sam raimi
 
 

Kong
 
Pas d'histoire, pas de personnages ou plutôt uniquement des personnages secondaires, narration brouillonne surtout au début...
Le film a de bien beaux jolis défauts.
Mais il a un point fort : les effets spéciaux et les scènes d'action avec Kong.
Les images de la bête sont impressionnantes que ce soient celles de jour ou de nuit.
 
Sinon le rythme est pas super bien géré mais ça passe.
 
Un film relativement divertissant et vite oublié.
 
 
 

On n'en a pas beaucoup parlé, mais elle est également à l'affiche de Moonlight, dans le rôle de la petite amie de Mahershala Ali.
 
 
Sinon ce soir c'était :
 
Traque à Boston
Je n'avais rien vu ou entendu sur ce film, aucun article, aucune BA passée dans mon ciné, donc je ne savais pas que c'était l'histoire de l'attentat de Boston. Je pensais que ça serait un thriller policier. Décidément, après Deepwater, Mark Wahlberg semble vouloir s'imposer dans une nouvelle catégorie, le biopic d'action !
Le film est chronologique, assez rythmé mais le début est un peu long avec la classique présentation de personnages qu'on devine de suite qu'ils seront blessés, ainsi que des policiers et officiels. Marky Mark fait du Marky Mark.
 
Miss Sloane
Un film assez classique de politique/manipulation, mais Jessica Chastain est magnifique en lobbyiste froide, très convaincante.

Song to Song
 
D'abord, y'avait beaucoup de monde. Salle remplie. Pas mal de journalistes.
Y'a treize personnes qui sont parties pendant la séance. On devait être 400, donc ça reste raisonnable.
Terry a voulu faire un film complètement focus sur le couple. On parle rupture, tromperies, amour, engueulades, regards fuyants, non-dits, sexe, manipulations.
Pas à un moment on parle de la famille au sens général. Le couple est au centre de tout, et tout ce qui l'entoure. Pourquoi se met-on avec telle ou telle autre personne, pourquoi avons-nous décidé d'avoir le coup de foudre pour elle, et pas un autre (y'a du masculin et beaucoup de féminin).
J'ai trouvé ça long. Le sujet avance à toute vitesse au début, puis ralenti progressivement. Mais t'as l'impression de voir plein de diapositives successives, pour aligner une histoire et des signaux de vie. T'as l'impression que Malick aurait eu besoin de 4h pour raconter le tout proprement.
Et c'est ça là où le bât blesse. Jamais, contrairement à ses deux films précédents, il ne s'arrête 1min30 ou 2min sur une musique et une scène.
Aucune musique ne dure plus de 30sec. Souvent 15sec. Pas le temps d'apprécier (pourtant la soundtrack est bien choisie, quoiqu'un peu moderne à mon goût - on était plutôt habitué à des canticles).
Y'a UNE scène Malickienne au deux tiers du film, qui dure 45sec. Musique classique, plan sur les arbres au coucher du soleil. Voix-off féminine. Et ce questionnement : la puissance Supérieure a-t-elle vraiment envie que nous la trouvions ? Quelques secondes de grâce dans ce film qui en a beaucoup manqué.
Et puis ce moment d'environ une minute, complètement WTF    Je vous spoile pas, mais c'est un truc totalement OUT OF MIND. Pas compris ce que ça foutait là. Une scène en noir et blanc qui représente probablement des aspects du couple. J'ai bien aimé, j'aurais souhaité qu'il aille davantage dans cette ambiance métaphysique pure, presque Lynchéenne.
 
Chacun appréciera. Ou pas. Comme ça, à la sortie, je le place derrière KoC et ToL.

 
putain , j'avais même pas fait attention  

Elle est pourtant reconnaissable
 
J'ai d'ailleurs vu Moonlight cet aprem, j'sais pas trop quoi en penser en fait...
 
Pour Mahershala Ali

Hopkins a bien eu un oscar pour 16 min à l'écran

Déjà, on dit "cantiques"  

Bah voilà, ça illustre ma théorie : Malick veut créer un culte (on appellera ça l'église Malickienne ou le Malickicisme ) qui met tout à plat dans la vacuité et fait croire que ce vide est unité, a un sens secret, peut-être le secret de la vie, de l'univers, de tout
Il évangélise grâce un média qui remplace un livre sacré : le cinéma.
Il a bien compris qu'il y avait un créneau à prendre au sein des masses en manque de spiritualité dans ce monde moderne.

Aaaa-men Aaaa-Malick  

A part ça, il fait de "beaux" films, formellement, je le reconnais.

Nan mais je suis entré là-dedans pask Deep Truite m'a sorti des explications pseudo philosophiques sur son oeuvre
C'était drôle, j'ai pas pu résister

Et je te signale que je suis en mode second degré. Si tu ne t'en es pas rendu compte, c'est toi qui pratiques l'oenanisme gifien

My bad
 

On vient peut-être de comprendre pourquoi les êtres du bulk ont fermé le tesseract.

Eh bien eh bien eh bien. Hâte de le voir.

Exactement, je préfère trouver de la spiritualité dans Interstellar, les sabots sont un peu moins gros
Quoique...  

Allez on va dire dans The Arrival pour rester dans le domaine de la SF actuelle

Il y a le pacte des loups sur HD1.

J'avais pas souvenir que c'était aussi nul.

 
T'as tort et raison à la fois.
Tort parce que Malick n'essaie pas du tout d'imposer son point de vue. Tu sais formellement si Malick est croyant ou non ? On n'en sait rien.
Et donc t'as raison sur le créneau, car il a compris qu'effectivement notre société était en perte de sens ; donc il sent bien qu'y amener un peu de religion est attirant.
Mais comme je le disais plus haut, il n'oblige personne à croire. Il pose des questions. Dans Song to Song, il pose la question de la quête de l'être Supérieur. Il demande s'il est nécessaire de le chercher, et si c'est sa volonté que nous le trouvions. A noter qu'il dit "it", donc on parle pas de Dieu. On parle de la force Supérieure qui a créé l'Univers.
Malick a toujours essayé de contraster les deux échelles : microscopiques de l'humain, et macroscopiques de l'espace. Et la vraie question est de savoir s'il est nécessaire de les relier, ou si en tant qu'humain nous n'avons pas comme dessein de se mettre à la hauteur de tel défi. On est qu'humain. Réglons d'abord nos problèmes d'amour et de carrière, et ensuite nous verrons ce que l'avenir nous réserve.
 
Any experience is better than no experience. L'une des premières phrases du film.

Ouais. Franchement c'est long.
Autant KoC permettait de visiter plein d'aspects : relations père/fils, relation frère/frère, les rencontres amoureuses, la famille (à la fin avec Nathalie Portman), la carrière, l'argent, la pauvreté (les SDF), ... c'est ultra riche. Là dans StS, c'est LE couple pendant 2h. On se mange du "je t'aime, et toi?" "je sais pas, tu veux la vérité ou le demi-mensonge ?" "pourquoi t'es parti ?" "mais c'est toi qui ne m'a pas dit que tu m'aimais"
 

Pas son plus réussi IMO. Et si vous aimez pas Malick en général, pas la peine d'y aller.

 
C'est extrêmement mal joué, en plus. Jamais compris la tolérance envers ce film  

Les combats chorégraphiés de Marc Dacascos et la bonhommie de Bernard Farcy la légende  

Moi ce qui m'a le plus traumatisé, c'est l'hommage à Soulcalibur du combat final, où c'est quand même Cassel qui tient le rôle de

Je viens de terminer le Clan des siciliens que j'avais pas revu depuis au moins 10 ans.
J'avais plus le moindre souvenir de comment ça se finissait, de comment ça se goupillait et de comment ça se dégustait. Mais c'est du bon.
 
La scène où Delon tabasse une murène sur un rocher.  
Enlevez moi vos Dwayne la légende et autres coléoptères à 3 francs six sous.
 
Toute cette classe et cette virilité qui émane de la pellicule sur cette scène et pendant tout le film.
 
Papapa.

Ya pas de mystère, Dwayne et Vin ne sont pas virils, ce sont juste des gros poupons bodybuildés qui ont une bonne bouille

Quand on va chercher dans les générations précédentes, en particulier en Europe, on a des vrais bonhommes.
Perso, dans le registre film français, j'ai toujours été hypnotisé par Ventura ou Gabin.
Pas besoin de muscles, faut juste avoir la carrure et savoir causer
“Quand les types de 130 kilos disent certaines choses, les types de 60 kilos les écoutent.”

Hier soir, j'ai profité de son passage sur F2 pour voir No Country for Old Men des frères Coen avec Javier Bardem (à la coupe de cheveux hallucinante).
 

 
Eh ben, je regrette de l'avoir zappé avant, quel film !  
C'est bien foutu, bien pensé, ça va à l'encontre de pas mal d'habitudes hollywoodiennes et ce "méchant"...

J'ai bien kiffé Interstellar, mais la partie "spiritualité" n'est peut-être pas la plus fine
 
Dans la catégorie "j'avance ma caméra d'avant en arrière", je préfère largement le trip spirituel de Enter the void de Gaspard Noé, plus amusant et beaucoup moins prétentieux que Malick.

Comparer Interstellar qui est de la SF à du Malick qui décrit les aspects basiques de l'être humain, je vois pas l'intérêt ?
 
En passant, soundtrack de StS : https://thefilmstage.com/news/liste [...] g-to-song/
Y'a quelques perles.

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Au contraire j'ai trouvé la BO sans originalité, il y a même une chanson qui est à mon avis un bel exemple de syndrome "temp score" tellement c'est repompé

Un classique  

Bon, sans surprise, SPL 2 : a time for consequences (2015) c'est excellent.
 
Passé les premières minutes déroutantes de par la narration très typique, on se coule dans le film et on n'en sort qu'à la fin, avec une putain de boule dans la gorge.  
 
J'en ferai pas de long discours, mais ça fait honneur au premier, il manque que Donnie Yen pour que le film soit parfait. Mention spéciale au plan séquence (probablement un peu trafiqué, en tout cas j'espère, sinon ma vision du cinéma est chamboulée à jamais ) de la prison qui enterre tout ce que j'ai vu depuis longtemps sur un écran.  
 

Qu'est ce qui se passe?
 
https://www.youtube.com/watch?v=D9YZw_X5UzQ

Après Nine Lives, la Denirosation de Spacey  

Le reboot de Drive version grand public

Fiens donc sur l'autoroute on va foir, je fais te la faire exploser ta Peucheot
 
 
Spacey, Jon Hamm, Berthal, Jamie Foxx

 
Ptain, j'ai raté une étape. Quand c'est que le deuxième est aussi devenu "elle" ?

-> http://forum.hardware.fr/hfr/Discu [...] #t47107220

Pour aller jusqu'au bout du transgressif, il ne leur reste plus qu'à se marier entre elles

Fous les franzais fous afez touchours des grandes gueules comme za    
 

Et si elles veulent adopter, elles peuvent toujours prendre pour parrains Polanski et Woody Allen.

Alors les ptits pédés on se prend pour Choumaquère.

Mon grand-père est tombé dans leurs tranchées, j'en fais une affaire personnelle