Reprise du message précédent :

 
http://www.sek-c.com/upload/files/you-are-gay.jpg

Perso je pense que là le réal et le scénaristes ont un peu foiré. J'ai bien l'impression qu'ils ont un peu collés la partie mexicaine à l'histoire pour placer un message politique.

Bref il ont un peu servis leurs besoins persos mais ça passe pas entièrement comme une lettre à la poste.
 
Pourtant la fin de cette partie m'a beaucoup plut:

 
Tu as bien ressenti que la fin fait un peu soufflé raté. Le final grandiloquent n'est pas là. Meme le coup des photographes/journalistes n'est pas assez appuyé, ils auraient du enfoncer plus le clou sur la critique du sensationnalisme et de l'utilisation géopolitique de faits divers.

Il a le droit d'avoir apprecié le film non?

 
 
D'ailleurs sur FR3 dans les 70/80 il y avait ce générique génial avant le film (chais plus si c'était le ciné club de Patrick Brion ou le film du dimanche soir) où ce n'était qu'un défilé de regards célèbres, le jeu avec mon frangin ou mes cousines consistait bien sûr à reconnaître à qui les yeux appartenaient. Je ne sais pas si les vieux con(nes) voient ce dont je parle. Impossible de mettre la souris dessus.  

J'ai vu Hostel
 
Oh mon dieu, ça faisait longtemps que j'avais pas vu un film aussi désespérément raccoleur, qui cherche à satisfaire tous les teenagers en mal de sensations fortes. La première demi heure est insupportable, tant elle est tape à l'oeil. Tous les ingrédients vendeurs y passent : chicks, "fucks", vidéo prise mobiles, drogues cool...
Une bouillie qui n'a pas peur de virer parfois au grand guignol, et de tomber dans des facilités franchement écoeurantes.

J'avais quelques a priori après avoir vu la BA de Souris City, finalement ca s'est révélé franchement sympa.
c'est rythmé, vraiment drole avec parfois des clins d'oeil que seuls les adultes pourront comprendre, j'aime beaucoup le coté "recup" des objets pour construire la ville et leur utilisation détournée.
Bref un bon moment.

j'avais bu

Encore tout le reste je peux laisser passer, mais la, dans le genre fleur bleue qui marche pas une seconde chiant comme la mort on est au sommet, j'préfère même revoir Neverland  

Bon, devant tous ces encouragements, je m'en vais donc de ce pas voir Casino Royale.

Note pour plus tard : ne pas faire d'humour second degré avec des Fans de Daft Punk ou encore à des Fan de série TF1 sur le GIGN
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 
mais vazy fais moi le cul devant tout le monde je te dirais rien

ça fait toujours ça la première fois

J'ai vu Casino Royale, bah c'est bien sympa.
 
Pis Eva Green/Caterina Murino !!!
 
Par contre l'Aston Martin...

c'est pas un mec ?  

C'est un mec ça ptêt ?
 
http://commanderbond.net/resources [...] /april.jpg
 
http://www.castlerock.it/dbimg/news1883.jpg
 

non mais elle ressemble juste à Sonia dans Dobberman

C'est ptet parce que Bond est pas souvent associé aux passages romantiques, mais bon, j'ai pas encore trouvé ça chiantissime.

Se faire charier par un mec fan de formule 1, c'est la pire chose qui me soit arrivé

Bon c'est pas un chat ici les mecs c'est un topic ciné merci.
 
Prodigy

Nan c'est juste parce que c'est merdique  

Bizarre le remake d'un Crime dans la tête, bizarre
 
Prodigy

Vu The Host, aujourd'hui.

J'ai une culture ciné asiatique assez light (à part Woo - 1er phase hein, la bonne ; T.Hark et un ou deux trucs ici et là)   mais je vais m'y mettre. Je signale ça car ça a peut-être son importance dans la manière dont j'ai perçu certaines choses sur ce film.

Tout d'abord. J'ai beaucoup aimé. Et pour des raisons qui ne sont pas toujours celles qui font qu'on aime un film. En clair, je suis quelqu'un qui est très attaché  au scénario(c'est un running gag parmi mes proches). Et ici, comme me le laissait présager le BA, rien d'original. Un patchwork de déjà-vus ; à la limite (et je suis sincère) : un pitch stupide et eculé (qui a par ailleurs et sous d'autres cieux (US, notamment) donné lieu à bon nombre de nanards de haut vol).

Donc l'histoire, mouais... pas de grosse surprise. Un scénar' linéaire et très classique. Pas de dépaysement (ni de charme particulier) jusque là. Mais voilà... il y a un putain de bon cinéaste derrière la caméra, et une intélligence absolue dans la manière dont sont traitées bon nombre de scènes qui auraient pu donner lieu (toujours sous d'autres cieux) à du bourinnage de haut vol !

Là où le remake US (je ne sais pas pourquoi mais je sens que ce n'est pas du domaine de l'impossible) nous balancerait peut-être (je le concère, c'est un procés d'intention) du néo-métal à tous les étages et un bon faiseur epileptiques derrière la caméra (ah, j'oublie les filtres aussi), le cinéaste du présent petit bijou, Joon-ho Bong, et - incroyablement important dans ce film - l'auteur de la bande originale (merveilleuse !), Byung-woo Lee nous offre un film d'un lyrisme absolu (la photo est sublime, le cadre est souvent surprenant et terriblement efficace et la musique (cette musique !) est à pleurer (en décalage parfois total avec l'action mais en harmonie totale avec les belles images que nous crée le réa).

Le casting est tout à fait convainquant et j'évoquais ma faible culture ciné asiatique car j'ai été perturbé par des moments drôles dans le film (certains manifestment recherchés et pas totalement à propos à mon avis et d'autres manifestement, vu la réaction de la salle aussi, liés à notre manière (occidentale) de les percevoir.

Bon, je vais arrêter là, on va dire que je survends...

Pour résumer : scénario et trâme importent ici finalement assez peu (bien que très honorables) mais la forme et le travail conjoint du cinéaste, Joon-ho Bong (retenez son nom, il est débauché par Hollywood dans les 5 ans ! Impossible autrement) et de l'auteur de la BO, Byung-woo Lee donne un film d'un lyrisme et d'une poésie imparables !

Un bijou !

Je vais ptet me laisser tenter aussi tiens
j'ai trouvé la BA splendide aussi pour un film de ce genre, et faut que je me rachète d'avoir été voir Borat

 
Moi, j'ai adoré Borat (sans réserve).  
 
Mais, comme je le dis plus haut, la BA de The Host laisse entrevoir une intrigue classique (qui l'est bel et bien) mais le style, alors.

oui mais au moins on sait à quoi s'attendre, on est pas volé sur la marchandise
c'est justement la forme originale et poétique de Host qui me "gratouille"  

 
Je suis assez d'accord avec tout celà mais l'originalité et l'identité du film ne résident pas pour moi dans ce patchwork de choix narratifs dont l'association constitue certes une variante efficace du genre mais pas une révolution (le mot est un peu fort).
 
Je retiens en revanche deux choses parmi ce que tu mets en avant, qui m'ont marquées (positivement) :  
 

Le film fait-il autant de parenthèses que ta critique ?

 
Ouais. Ma critique est verbeuse.
 
Beaucoup de choses à en dire à chaud (j'en rentre - du ciné) et pas trop de temps because je bosse en même temps, donc je balance tout et je laisse faire le tri.

Bon The Faculty ça fonctionne toujours bien sur moi (passe sur les chaînes ciné de C+ en ce moment)  
Par contre, grosse surprise hier en allant faire un tour sur imdb pour retrouver le nom de l'actrice qui joue un flic du FBI dans la série Heroes (Clea DuVall) la tête d'un des profs me disait bien quelque chose mais je n'ai pas reconnu Jon Stewart ! Distributon notable quand même (Janssen/Hayeck/Patrick/Wood/Hartnett...) à la rigueur on peut chipoter sur les FX (1998) mais perso je m'en tape, je trouve qu'il vieillit bien.  
Et puis Famke

Y a aussi Harry Knowles (de AICN).

aaahhh ouiii le mec qui se fait soigné parce qu'il s'est pris les doigt dans le projecteur j'avais jamais grillé.

 
Son meilleur rôle
 
Prodigy

http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] 0#t7594809
 
 

Pareil que Jean Yanne...merci Gordon et pourtant il est remarquable le père Harry. ( y'a aussi le chanteur pour djeunz Usher mais je n'avais pas mentionné )

Sur le cul car lors de ma première vision au siècle dernier et même la suivante, je ne connaissais pas encore Jon.

Ah tiens zappé cette discu en février... sur ta caps (comme dans le film) c'est hallucinant comme j'ai du mal à le reconnaître.

 
J'ai toujours détesté ce film (depuis sa vision en salle jusqu'aux 2 fois, je crois, où je l'ai revu).
 
Même au 10ème degré, j'peux pas.

disons qu'a l'époque de la sortie je connaissais pas du tout AICN, ni Knowles, ni Internet d'ailleurs mais Stewart je l'avais déjà vu dans quelques autres trucs.  

Moi le deuxième degré c'est suffisant, mais y'a rien de génial non plus.

Excellent bouquin pour les fans du réa .

Pour développer ma critique de Casino Royale, j'aimerai connaitre votre épisode de James Bond préféré dans le but de me faire un lineup best-of avec cinq six épisodes à regarder pour voir si Casino Royale est vraiment une merde ou si je n'aime tout simplement pas la franchise James Bond (souvenir d'enfance ...).