début de l'histoire
alors tout commenca le 12 mai 1983 a l'hopital de fontenay s/bois.
j'etait né très jeune a cette époque
et c le docteur ki préférai k'on m'appel frédéric plutot ke ludovic.....
ma mère.ki etait carrement dans l'gaz a ce moment là (faut la comprendre elle venai d'ma pondre) n'objecta pas a ce k'on m'appel frédéric donc...
très précosse on me fi entré en maternelle a 3 ans seulement....un exploit a cette époque
mon succès scolaire me valu les honneur des prfesseur, ki préferai ke je reste encore en classe pendant la récération plutot ke de pisser dans les main de certain de mes camarades de classes
ce ki etait très en vogue a l'époque
et ce ki devai arriver, arriva, en m'envoya en cp a l'école victor hugo a gagny (93, aux cas ou vous voudriez faire des recherches pour un exposé, ou simplement par passion)
avec ma première vrai fan, j'ai nonmé la professeur Madame grelot, ki solicita la présences de mes parent pour leurs demander si eux aussi avait le privilège d'avoir toutes mes oeuvre grafiques sur leurs table , comme dans sa classe a la place ou j'etait
et tout s'enchaina.....le succès, l'envie de ma célébritée, au point de me trouver généreux en donnant au plus affluent camarades de classes des gateau et autres barres choclatées
j'ai du changer 2 fois de paires de lunettes tant l'agressivité de mes camarades etait convainquante pour obtenir moults friandises
et ce fut a l'année des mes 11 ans ke je fut entrer au collège, raaaaaaah le coolège Pablo néruda a franceville (93 toujours)
je me suis soudant pris une passion pour mon année de 6ième,ke je la recommenca une année de plus, juste pour le plaisir
kel époques mes amis!!
encore une fois, ma célébritée me précédai, je fut encore encourager tout au long des autres années au collège sous l'acclamation de mes camarades
on me donnais parfoit kelkes sobriquet ki correspondaient douteusement a mon apparence (squelette, dumbo, petit chaperon rouge, tete de noeud etc...)
mais j'avais l'habitudes de la jalousie de mes camarades face a ma corpulance svèlte et enchanterèsque
ce ki me valu les faveur des filles, ki, affluent par centaine (heu..non, juste une seule en fait) me demandait a ce ke je soit leur compagnon pour diverses activitées fisikes
mais ce jour-là, des camarades de classes solicitant encore une fois ma présence pour une énième séance d'otographes m'avais porté sur les nerf a ce moment-là
j'etait donc pas en etat de lui faire assumer une telle résponssabilitée ke d'ètre en compagnie d'un jeune et déja si sollicitée gentleman ke j'etait encore a l'époque
ce ki me valu encore une fois porter un surnom affectif d'homo sexuel par cette meme personne, ki visiblement devai etre contrariée
aaaaaaaaah., les filles et leurs perpétuelle quète de célébritée facile......
c donc vers la fin mai ke le directeur, en grand observateur k'il etait, souhaita de tout coeur a ce ke j'intègre un lycée de conducteur d'engins de travaux publics, il etait persuadée de sa décision puisqu'il me dit a peu près ceci : "c ca ou tu est a la rue"
je fut donc mes bagages pour le lycée de provins (77) très simplement nonmé :" les pannevelles"
un lycée perdu dans une magnifique campagne éloignée du reste de la civilisation, située tout en haut d'une colline entourée de champs et de bosquet par-ci par-là, ce ki nous laissai la chance d'avoir une brive fraiche au possible tout au long de l'année, l'hiver n'e etait ke plus agréables, avec des températures avoisinant souvent les -5°c
nous patientont donc gaiement entres camarades , livré avec une joie intense a la pluie frissonnante pendant 4 merveilleuses heures de cours de conduite en attendant notre tour de monter dans nos engins
j'etait inscrit au lycée en tant k'interne, ce ki avait comme privilège de pouvoir profiter pleinement de la cuisine matin-midi et soir
notre chef cuisinier etait un fin gourmet, et un éconnome avreti, au point meme de ne pas utiliser ses innombrables ustencil et de nous laisser le plaisir des choses simple, avec ces fidèles boites de conserves k'ils gardai précieusement tout au long de ces années
ce ki lui vallu les faveur de ses pairs en etant muté autre part, je ne sais ou, remplacer par une chef, ki elle non plus n'appréciai guerre la férraillerie des cuicines modèrnes
mais parait-il etait plus soucieuse du bien-manger de ses client-élève, d'après de nombreux camarades ki ont préférer continuer un minimum leurs études
je me suis donc arreter au cap, préférant le plaisir de travailler librement de ma propre initiative, puisqu'a ma demande de rester séjourner 2 ans de plus pour leurs faire plaisir de faire un peu de pub pour leurs lycée en vantant le mérite de m'avoir dans leurs lycée, je ne fut pas retenu pour continuer mes études puisqu'il fallait donner la chance au nouvelles recrue sortant fraichement de prison plutot ke de prouver une fois de plus la brillanc
ce fut donc au bout de 6 mois ke je fut admis en tant (pour débuter bien sur, simplement pour voir dans kel domaine professionel j'exellai + k'un autre) k'intérimaire dans une sociétée de négoce de matériaux
ma présence leur parraissait au dessus de lmeurs éstime, et ne sollicita plus ma présence sur leurs lieu de travail au bout de 4 jour seulement
"trop de travail a ratrapper" me disaient-ils, sans doute a cause encore une fois a cause de ma célébritée trop envahissante ki donnai trop de pub a leur entreprise
ce ki involontairement se transméttai aussi au autres entreprises dont je ne faisait a chaques fois ke 3 ou 4 jours maximum
je décida donc de me consacrer entrièrement k'au passage de mes permis de conduire, ki (pour l'automobile) ne me pris ke seulement 5 mois
 
to be continued...