C'est vrai, mais il faut aussi savoir choisir nos mots et nuancer nos propos en fonction de notre interlocuteur ou de la situation. Mais encore, il faut savoir choisir le bon moment pour faire des remarques et qu'il faut prendre en compte la susceptibilité de chacun.  
 
Le moins que l’on puisse dire, c’est que seul l’honnêteté et la vérité vous importent. Vous dites tout ce que vous pensez, au moment où vous le pensez !
 
Rappelez-vous toujours le dicton : tournez cette fois votre langue sept fois avant d'écrire…

 
tournez cette fois votre langue sept fois avant d'écrire…

 
Avec plaisir!
 
Première partie
Chère Lucie,    
Je n'ai aucune inspiration aujourd'hui, et pourtant, j'ai envie de vous dire plein de choses, tant de choses, que ça se bouscule, une sorte de brouillard impénétrable dans lequel le vaisseau de mon imaginaire erre...   Je connus la trahison, la déception de l'existence, une mélancolie sombre, une colère aveugle, je souffris tant que j’eus souhaité pendant quelques secondes, de mourir avant d’avoir essayé de vivre. Pourtant, mes inquiétudes au sujet de ma mort eussent cessées au moment où j'eus croisé votre simple regard d’un bleu d’azur, envoûteur. En ce moment précis, le temps sembla s’interrompre, l’alentour ne me préoccupait plus, il n’y avait plus que vous, et seulement vous. Des jours passèrent sans qu’une seule fois je n’eus pensé à vous, de votre visage d'ange, belle, charmante, vos cheveux d'or, vos cils d'émeraude, mais surtout vos yeux ensorceleurs qui se gravèrent à jamais au plus profond de mon âme, et je compris enfin ce que j’éprouvais, le sentiment qui ne meurt jamais, qui va croissant montant comme la flamme, l’amour. Cependant des pensées néfastes firent leur apparition, me tourmentant jusqu'à m’infliger un supplice insupportable. Je ne pouvais tolérer que mes sentiments ne puissent être réciproques! Unilatéral! Que vous niez mon amour! Je compris aussitôt que je fus sous la domination de faux jugements, le déraisonnement. Ce ne fut point pour longtemps, je fis le vide en moi pour me calmer. Je nous imaginais vous et moi, le soir, au bord de la mer, contemplant le spectacle que nous offrait celle-ci, et accueillant le bruit faible et mystérieux des vagues. Cela suffit pour éliminer l’incertain. Un mois passa depuis le jour où  je vous ai vu...  
 
 

 
Y a pas à dire, c'est beau comme le cul à Monique    

Abnégation! Ne l'écoute pas, il ne cherche qu'à te provoquer. Ce vahagan n'est qu'un pauvre individu, croyant être supérieur aux autres.
 
N.B. J'adore ton poème! Dommage que tu ne publie la suite

 
Toi, tu dis ça parce que tu connais pas Monique...

 
Avec plaisir!
 
Première partie
Chère Lucie,    
Je n'ai aucune inspiration aujourd'hui, et pourtant, j'ai envie de vous dire plein de choses, tant de choses, que ça se bouscule, une sorte de brouillard impénétrable dans lequel le vaisseau de mon imaginaire erre...   Je connus la trahison, la déception de l'existence, une mélancolie sombre, une colère aveugle, je souffris tant que j’eus souhaité pendant quelques secondes, de mourir avant d’avoir essayé de vivre. Pourtant, mes inquiétudes au sujet de ma mort eussent cessées au moment où j'eus croisé votre simple regard d’un bleu d’azur, envoûteur. En ce moment précis, le temps sembla s’interrompre, l’alentour ne me préoccupait plus, il n’y avait plus que vous, et seulement vous. Des jours passèrent sans qu’une seule fois je n’eus pensé à vous, de votre visage d'ange, belle, charmante, vos cheveux d'or, vos cils d'émeraude, mais surtout vos yeux ensorceleurs qui se gravèrent à jamais au plus profond de mon âme, et je compris enfin ce que j’éprouvais, le sentiment qui ne meurt jamais, qui va croissant montant comme la flamme, l’amour. Cependant des pensées néfastes firent leur apparition, me tourmentant jusqu'à m’infliger un supplice insupportable. Je ne pouvais tolérer que mes sentiments ne puissent être réciproques! Unilatéral! Que vous niez mon amour! Je compris aussitôt que je fus sous la domination de faux jugements, déraisonnement. Ce ne fut point pour longtemps, je fis le vide en moi pour me calmer. Je nous imaginais vous et moi, le soir, au bord de la mer, contemplant le spectacle que nous offrait celle-ci, et accueillant le bruit faible et mystérieux des vagues. Cela suffit pour éliminer l’incertain. Un mois passa depuis le jour où  je vous ai vu...

Va ptet falloir reviser les temps du passé

Euh...  là c'est toi qui te trompe     Il n'a commis aucune faute C'est donc toi qui devrait reviser les temps du passé.

Connaitre ses temps, c'est pas seulement savoir ses conjugaisons, c'est aussi savoir les employer
 

Le passé simple "fus" est absolument pas approprié
 

Idem pour le passé antérieur ici
 
Bref ...
 
(et accessoirement on ecrit "C'est toi qui te trompes" )

Sinon c'est bien parce que meme sans faute d'ortho c'est tjrs aussi pourri conforme a l'esprit originel

 
Va ptet peut-être alloir reviser les temps du passé
 
  au lieu de perdre ton temps à corriger mes fautes d'orthographe, pourquoi ne pas corriger les tiennes.
 
tu me fais rire

Va ptet peut-être alloir reviser les temps du passé
 
  au lieu de perdre ton temps à corriger mes fautes d'orthographe, pourquoi ne pas corriger les tiennes.
 
tu me fais rire

Sinon c'est bien parce que même sans faute d'orthographe, c'est toujours aussi pourri conforme à l'esprit originel.          

Sinon c'est bien parce que meme sans faute d'ortho c'est tjrs aussi pourri conforme a l'esprit originel

De plus, je sais quand je commet des fautes d'orthographe, mais je ne prend pas la peine de les corriger  C'est le soir tout de même  

 
Merci, c'est sympa de corriger mes abréviations  
 
Mais sinon, sur le fond de mon post, t'as quoi de concret et de pertinent à dire ?

il avait des fautes dans tes abréviations.  On n'écrit pas ptet, mais bien p-t. Même chose pour meme

Logique donc que tu trouves rien de mieux à me répondre que de corriger dans mes posts des fautes qui n'en sont pas

 
   il avait des fautes dans tes abréviations.  On n'écrit pas ptet, mais bien p-t. Même chose pour meme

 
Ah non, ptet c'est du vieux françois, c'est accepté  

Je ne faisais que t'imiter

Bah oui, tu m'avais répondu sur le ton "Euh nan nan tu te gourres, retourne réviser ", alors bon
 
Mais sinon, as-tu qqch de constructif à dire ?

Bah oui, tu m'avais répondu sur le ton "Euh nan nan tu te gourres, retourne réviser ", alors bon
 
Mais sinon, as-tu qqch de constructif à dire ?

Tu veux que je réponde quoi ?  
 
Kikou, asv ?

Voila voila

C'est dla merde.
Continues

 
Avec plaisir!
 
Première partie
Chère Lucie,    
Je n'ai aucune inspiration aujourd'hui, et pourtant, j'ai envie de vous dire plein de choses, tant de choses, que ça se bouscule, une sorte de brouillard impénétrable dans lequel le vaisseau de mon imaginaire erre...   Je connus la trahison, la déception de l'existence, une mélancolie sombre, une colère aveugle, je souffris tant que j’eus souhaité pendant quelques secondes, de mourir avant d’avoir essayé de vivre. Pourtant, mes inquiétudes au sujet de ma mort eussent cessées au moment où j'eus croisé votre simple regard d’un bleu d’azur, envoûteur. En ce moment précis, le temps sembla s’interrompre, l’alentour ne me préoccupait plus, il n’y avait plus que vous, et seulement vous. Des jours passèrent sans qu’une seule fois je n’eus pensé à vous, de votre visage d'ange, belle, charmante, vos cheveux d'or, vos cils d'émeraude, mais surtout vos yeux ensorceleurs qui se gravèrent à jamais au plus profond de mon âme, et je compris enfin ce que j’éprouvais, le sentiment qui ne meurt jamais, qui va croissant montant comme la flamme, l’amour. Cependant des pensées néfastes firent leur apparition, me tourmentant jusqu'à m’infliger un supplice insupportable. Je ne pouvais tolérer que mes sentiments ne puissent être réciproques! Unilatéral! Que vous niez mon amour! Je compris aussitôt que je fus sous la domination de faux jugements, déraisonnement. Ce ne fut point pour longtemps, je fis le vide en moi pour me calmer. Je nous imaginais vous et moi, le soir, au bord de la mer, contemplant le spectacle que nous offrait celle-ci, et accueillant le bruit faible et mystérieux des vagues. Cela suffit pour éliminer l’incertain. Un mois passa depuis le jour où  je vous ai vu...

 
Tu changes de temps sans arrêts. Passé simple, passé antérieur, plus que parfait, imparfait...
Et c'est mièvre et ronflant
Mais y a pas de fautes