Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a révélé qu’il avait eu une conversation avec le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko au début de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie, au cours de laquelle il s’était excusé pour les frappes de missiles russes sur l’Ukraine depuis le territoire biélorusse, proposant à la partie ukrainienne de frapper la Biélorussie en réponse, dans une interview avec le podcasteur américain Lex Fridman le 5 janvier.
 
Selon Zelenskyy, Loukachenko s’est non seulement excusé pour les frappes de missiles lancées depuis le territoire biélorusse, mais a également suggéré des représailles.
 
« Quelques jours après les premières frappes de missiles, j’ai parlé avec Loukachenko au téléphone », a révélé Zelenskyy. « Il s’est excusé. Il a dit : « Ce n’était pas moi ; des missiles ont été lancés depuis mon territoire, mais c’est Poutine qui les a lancés. » Ce sont ses mots. J’ai des témoins. »
 
Lukashenko aurait insisté sur le fait qu’il ne contrôlait pas la situation, répétant à plusieurs reprises à Zelenskyy : « Je ne suis pas aux commandes. Ce ne sont que des missiles, c’est Poutine. »
 
« Je lui ai dit : ‘Tu es aussi un meurtrier’. Il m’a répondu : ‘Tu dois comprendre, tu ne peux pas combattre les Russes’ », a poursuivi Zelenskyy.
 
En outre, Loukachenko a dit à Zelenskyy que l’Ukraine pourrait frapper sa raffinerie de pétrole en réponse. « Il m’a dit : ‘Très bien, riposte alors. Frappe la raffinerie de pétrole de Mozyr – tu sais à quel point elle m’importe’ », a raconté Zelenskyy.
 
La raffinerie de pétrole de Mozyr, située dans la région de Gomel en Biélorussie, près de la frontière ukrainienne, est l’une des plus grandes raffineries du pays et un élément vital de son économie, traitant le pétrole russe.
 
« J’étais abasourdi », a déclaré Zelenskyy. « Je lui ai dit : ‘De quoi tu parles ? De quelles représailles ? ’ C’était incroyable. Il a même ajouté : « Pardonne-moi, Volodia. »
 
Plus tôt, Zelensky avait déclaré que Vladimir Poutine ne montrait aucun respect pour son propre peuple, l’envoyant mourir dans des guerres d’occupation.

Le nouveau président américain sait lui-même que les Etats-Unis n’ont aucune chance de gagner quoi que ce soit si l’Ukraine perd », et une « capitulation de l’Ukraine ne saurait être bonne pour les Européens et les Américains », a dit le président français lors d’une réunion avec les ambassadeurs de France. Il a estimé que la « crédibilité » des Occidentaux serait « battue en brèche » s’ils acceptaient de « transiger » en raison d’une « fatigue » vis-à-vis du conflit.
 
Le président français a également affirmé que les Ukrainiens auraient « à mener des discussions réalistes sur les questions territoriales », car « eux seuls peuvent les conduire » pour trouver un règlement au conflit provoqué par l’invasion russe en 2022. « Les Etats-Unis d’Amérique ont à nous aider pour changer la nature de la situation et convaincre la Russie de venir à la table des négociations », tandis que les Européens auront à « construire des garanties de sécurité » pour l’Ukraine, « qui seront leur responsabilité au premier rang », a estimé Emmanuel Macron.

Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a révélé qu’il avait eu une conversation avec le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko au début de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie, au cours de laquelle il s’était excusé pour les frappes de missiles russes sur l’Ukraine depuis le territoire biélorusse, proposant à la partie ukrainienne de frapper la Biélorussie en réponse, dans une interview avec le podcasteur américain Lex Fridman le 5 janvier.
 
Selon Zelenskyy, Loukachenko s’est non seulement excusé pour les frappes de missiles lancées depuis le territoire biélorusse, mais a également suggéré des représailles.
 
« Quelques jours après les premières frappes de missiles, j’ai parlé avec Loukachenko au téléphone », a révélé Zelenskyy. « Il s’est excusé. Il a dit : « Ce n’était pas moi ; des missiles ont été lancés depuis mon territoire, mais c’est Poutine qui les a lancés. » Ce sont ses mots. J’ai des témoins. »
 
Lukashenko aurait insisté sur le fait qu’il ne contrôlait pas la situation, répétant à plusieurs reprises à Zelenskyy : « Je ne suis pas aux commandes. Ce ne sont que des missiles, c’est Poutine. »
 
« Je lui ai dit : ‘Tu es aussi un meurtrier’. Il m’a répondu : ‘Tu dois comprendre, tu ne peux pas combattre les Russes’ », a poursuivi Zelenskyy.
 
En outre, Loukachenko a dit à Zelenskyy que l’Ukraine pourrait frapper sa raffinerie de pétrole en réponse. « Il m’a dit : ‘Très bien, riposte alors. Frappe la raffinerie de pétrole de Mozyr – tu sais à quel point elle m’importe’ », a raconté Zelenskyy.
 
La raffinerie de pétrole de Mozyr, située dans la région de Gomel en Biélorussie, près de la frontière ukrainienne, est l’une des plus grandes raffineries du pays et un élément vital de son économie, traitant le pétrole russe.
 
« J’étais abasourdi », a déclaré Zelenskyy. « Je lui ai dit : ‘De quoi tu parles ? De quelles représailles ? ’ C’était incroyable. Il a même ajouté : « Pardonne-moi, Volodia. »
 
Plus tôt, Zelensky avait déclaré que Vladimir Poutine ne montrait aucun respect pour son propre peuple, l’envoyant mourir dans des guerres d’occupation.

Le nouveau président américain sait lui-même que les Etats-Unis n’ont aucune chance de gagner quoi que ce soit si l’Ukraine perd », et une « capitulation de l’Ukraine ne saurait être bonne pour les Européens et les Américains », a dit le président français lors d’une réunion avec les ambassadeurs de France. Il a estimé que la « crédibilité » des Occidentaux serait « battue en brèche » s’ils acceptaient de « transiger » en raison d’une « fatigue » vis-à-vis du conflit.

Le président français a également affirmé que les Ukrainiens auraient « à mener des discussions réalistes sur les questions territoriales », car « eux seuls peuvent les conduire » pour trouver un règlement au conflit provoqué par l’invasion russe en 2022. « Les Etats-Unis d’Amérique ont à nous aider pour changer la nature de la situation et convaincre la Russie de venir à la table des négociations », tandis que les Européens auront à « construire des garanties de sécurité » pour l’Ukraine, « qui seront leur responsabilité au premier rang », a estimé Emmanuel Macron.

Le président ukrainien Volodymyr Zelenskyy a révélé qu’il avait eu une conversation avec le dirigeant biélorusse Alexandre Loukachenko au début de l’invasion à grande échelle de l’Ukraine par la Russie, au cours de laquelle il s’était excusé pour les frappes de missiles russes sur l’Ukraine depuis le territoire biélorusse, proposant à la partie ukrainienne de frapper la Biélorussie en réponse, dans une interview avec le podcasteur américain Lex Fridman le 5 janvier.
 
Selon Zelenskyy, Loukachenko s’est non seulement excusé pour les frappes de missiles lancées depuis le territoire biélorusse, mais a également suggéré des représailles.
 
« Quelques jours après les premières frappes de missiles, j’ai parlé avec Loukachenko au téléphone », a révélé Zelenskyy. « Il s’est excusé. Il a dit : « Ce n’était pas moi ; des missiles ont été lancés depuis mon territoire, mais c’est Poutine qui les a lancés. » Ce sont ses mots. J’ai des témoins. »
 
Lukashenko aurait insisté sur le fait qu’il ne contrôlait pas la situation, répétant à plusieurs reprises à Zelenskyy : « Je ne suis pas aux commandes. Ce ne sont que des missiles, c’est Poutine. »
 
« Je lui ai dit : ‘Tu es aussi un meurtrier’. Il m’a répondu : ‘Tu dois comprendre, tu ne peux pas combattre les Russes’ », a poursuivi Zelenskyy.
 
En outre, Loukachenko a dit à Zelenskyy que l’Ukraine pourrait frapper sa raffinerie de pétrole en réponse. « Il m’a dit : ‘Très bien, riposte alors. Frappe la raffinerie de pétrole de Mozyr – tu sais à quel point elle m’importe’ », a raconté Zelenskyy.
 
La raffinerie de pétrole de Mozyr, située dans la région de Gomel en Biélorussie, près de la frontière ukrainienne, est l’une des plus grandes raffineries du pays et un élément vital de son économie, traitant le pétrole russe.
 
« J’étais abasourdi », a déclaré Zelenskyy. « Je lui ai dit : ‘De quoi tu parles ? De quelles représailles ? ’ C’était incroyable. Il a même ajouté : « Pardonne-moi, Volodia. »
 
Plus tôt, Zelensky avait déclaré que Vladimir Poutine ne montrait aucun respect pour son propre peuple, l’envoyant mourir dans des guerres d’occupation.