La Hongrie de Viktor Orban a dévoilé ce mardi les sept priorités à appliquer lorsqu'elle prendra la présidence tournante du Conseil de l'Union européenne, le 1er juillet 2024. Un paquet de mesures teintées de l'ultranationalisme cher à Viktor Orban.
 
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Enfin, le Courrier International repère cet article du site HVG : "la présidence hongroise de l'UE commence par une messe pour l'Europe à Bruxelles". Pour lancer son mandat de 6 mois le 1er juillet prochain, la Hongrie a choisi la cathédrale Saints-Michel-et-Gudule de la capitale belge. La cérémonie sera notamment présidée par le cardinal Péter Erdő, primat de Hongrie, qui n'hésite pas à qualifier l'immigration "d'invasion".
 
La patte conservatrice et nationaliste du gouvernement Orban se retrouve dans la feuille de route de présidence détaillée par le site d'information hongrois Portfolio. Réduction de l'immigration clandestine, multiplication des expulsions, protection des agriculteurs de l'UE face à la concurrence - sous-entendue, ukrainienne-. Budapest bloque un fonds de soutien européen destiné à Kiev. L'écologie et la protection de l'état de droit, deux priorités de la précédente présidence belge, disparaissent.
 
Côté économie, Budapest, par la voix de son ministre des Affaires européennes Janos Boka souhaite faire adopter le nouvel accord sur la compétitivité. "Le Conseil européen a déjà approuvé ce nouveau pacte pour la compétitivité au mois d'avril. Nous espérons qu'il soit établi en novembre par la Hongrie. Ce pacte donnera le cap pour le 5 prochaines années du cycle institutionnel de l'union européenne. Avec la présidence hongroise, nous attendons beaucoup de ce texte, c'est ma responsabilité. Bien sûr, nous ne pouvons pas faire de miracles. Mais j'espère que nous pourrons faire un pas en avant. Je suis convaincu que si l'Union européenne effectue ce pas en avant en termes de compétitivité, ce sera déjà un petit miracle", lançait le ministre au Parlement magyar à quelques jours des élections européennes du 9 juin.
 
Les 27 surveilleront de près les actions de la Hongrie. Cette présidence "constitue un échec de l'ensemble de l'UE" déplorait une eurodéputée écologiste française au journal social-démocrate Nepszava avant les élections. "Nous ne voulons pas troller, nous aurons un présidence normale" affirme une source du gouvernement au micro de Radio Free Europe et cité par le Courrier International.

Putin's dream came true!  
He finally got into the USSR…

Les autorités russes ont l'intention d'exiger que les pays occidentaux compensent les dommages qu'ils ont causés à l'économie russe par des sanctions unilatérales, a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri #Medvedev.
 
"Nous examinons les dégâts et allons les calculer afin que, plus tard, nous puissions présenter aux pays qui ont imposé des sanctions contre la Russie les pertes que nous avons subies", a déclaré Medvedev lors d'une réunion du comité « Pour la liberté des nations ».
 
Il a également proposé de calculer les dommages causés à tous les pays contre lesquels l'Occident a imposé des sanctions, contournant le Conseil de sécurité de l'ONU. "Il y aura un certain nombre d'États de ce type", a souligné Medvedev.
 
En outre, a-t-il ajouté qu'il serait juste d’exiger des réparations « pour les politiques coloniales ». Ils doivent être payés non seulement par les Etats, mais aussi par les institutions financières privées en Grande-Bretagne, en France, aux Pays-Bas, en Espagne et au Portugal, a souligné Medvedev. En outre, il a proposé de créer un « registre des pertes de l’ère coloniale et du néocolonialisme ».
 
A titre d'exemple, Medvedev a cité la demande des autorités de Grenade que la Banque centrale britannique paie des réparations pour la traite des esclaves au XVIIIe siècle. Mais le vice-président du Conseil de sécurité russe a immédiatement prévenu : « Les héritiers des empires coloniaux feront tout pour empêcher une résolution équitable de ces questions ».
 
Avant cela, Medvedev avait qualifié les sanctions de « concurrence déloyale » et avait promis que la Russie ferait face aux restrictions. «Nous avons déjà appris à le faire et, à terme, nous transformerons toutes ces actions au profit de notre propre économie, de notre propre développement économique. Mais n’oublions pas ceux qui poursuivent cette politique anti-russe, ceux qui nuisent à notre pays »
 
https://x.com/Eric_Lecomte_/status/1802688797986959717

Les autorités russes ont l'intention d'exiger que les pays occidentaux compensent les dommages qu'ils ont causés à l'économie russe par des sanctions unilatérales, a déclaré le vice-président du Conseil de sécurité russe, Dmitri #Medvedev.
 
"Nous examinons les dégâts et allons les calculer afin que, plus tard, nous puissions présenter aux pays qui ont imposé des sanctions contre la Russie les pertes que nous avons subies", a déclaré Medvedev lors d'une réunion du comité « Pour la liberté des nations ».
 
Il a également proposé de calculer les dommages causés à tous les pays contre lesquels l'Occident a imposé des sanctions, contournant le Conseil de sécurité de l'ONU. "Il y aura un certain nombre d'États de ce type", a souligné Medvedev.
 
En outre, a-t-il ajouté qu'il serait juste d’exiger des réparations « pour les politiques coloniales ». Ils doivent être payés non seulement par les Etats, mais aussi par les institutions financières privées en Grande-Bretagne, en France, aux Pays-Bas, en Espagne et au Portugal, a souligné Medvedev. En outre, il a proposé de créer un « registre des pertes de l’ère coloniale et du néocolonialisme ».
 
A titre d'exemple, Medvedev a cité la demande des autorités de Grenade que la Banque centrale britannique paie des réparations pour la traite des esclaves au XVIIIe siècle. Mais le vice-président du Conseil de sécurité russe a immédiatement prévenu : « Les héritiers des empires coloniaux feront tout pour empêcher une résolution équitable de ces questions ».
 
Avant cela, Medvedev avait qualifié les sanctions de « concurrence déloyale » et avait promis que la Russie ferait face aux restrictions. «Nous avons déjà appris à le faire et, à terme, nous transformerons toutes ces actions au profit de notre propre économie, de notre propre développement économique. Mais n’oublions pas ceux qui poursuivent cette politique anti-russe, ceux qui nuisent à notre pays »
 
https://x.com/Eric_Lecomte_/status/1802688797986959717

A la différence du Président de la République, je suis opposé à l'envoi de troupes françaises en Ukraine.
 
Une majorité de Français est opposée à cette décision, et le président Zelensky lui-même ne réclame pas ces troupes. #Eurosatory

A la différence du Président de la République, je suis opposé à l'envoi de troupes françaises en Ukraine.
 
Une majorité de Français est opposée à cette décision, et le président Zelensky lui-même ne réclame pas ces troupes. #Eurosatory