Des ingénieurs iraniens ont achevé les plans d’un puits qui pourrait servir à des essais militaires en profondeur, peut-être nucléaires, mais il n’y a pas d’indication que sa construction soit actuellement envisagée, a-t-on appris hier de sources diplomatiques à Vienne. Ces plans obtenus d’un disque dur en farsi ont été communiqués par les services de renseignements américains l’an dernier à l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) qui a elle-même demandé des informations à l’Iran, a indiqué un diplomate occidental. L’AIEA s’est refusée à confirmer ces informations, d’abord publiées hier par le quotidien Washington Post. Un rapport de l’AIEA le 31 janvier indiquait cependant que l’Agence avait reçu des informations concernant des travaux sur des explosifs de forte puissance, ce que l’Iran a rejeté. Ces plans montrent un tunnel de 400 mètres équipé de capteurs à distance de pression et de chaleur, qui « semble clairement destiné à un essai souterrain », bien que le mot nucléaire ne soit pas mentionné dans les documents, a précisé un diplomate. Ils font aussi figurer un abri pour une équipe de contrôle à 10 km du puits.  
Le rapport du 31 janvier de l’AIEA fait aussi référence à des études pour la construction d’une usine secrète d’enrichissement d’uranium, à des documents en possession des Iraniens indiquant comment fabriquer des hémisphères d’uranium métal, un processus « associé à la bombe atomique », ainsi qu’à des informations selon lesquelles Téhéran aurait reçu des centrifugeuses sophistiquées P-2 d’un réseau de marché noir pakistanais.  
Bien qu’il n’ait pas, selon les services de renseignements, dépassé le stade de la planche à dessin, le projet est perçu par les responsables américains comme une confirmation de l’ambition de Téhéran de procéder un jour à un essai nucléaire, d’après le Washington Post. Des questions demeurent cependant au sujet de ces plans, note le journal. Ils ne sont pas datés ni signés, et ne mentionnent pas l’existence d’un programme d’acquisition et d’assemblage des composants nécessaires à la réalisation concrète du site.

La « Bulgarie confidentielle », février 2006  
Guerre nucléaire contre l'Iran en mars 2006  
Le monde est-il sur le bord de sa première guerre nucléaire ?  
L'Amérique et l'Israël vont-ils attaquer séparément ou à l'unisson, 500 objets sur le territoire de l'Iran avec les armes nucléaires ?  
 
Quelle sera la réponse de Téhéran ?  
 
L'ancien premier ministre israélien Ariel Sharon avait commandé à l'armée israélienne d’être prête pour une attaque certaine contre les équipements en uranium d'enrichissement de l'Iran pour le mois de mars 2006. L'information est venue en automne de 2005. La crise devrait s’intensifier les premiers jours de mars.  
 
Washington dit que mars sera « un point de non retour », après quoi l'Iran aura la capacité technique d'enrichir l'uranium dans les quantités, suffisantes pour produire les ogives nucléaires en quatre ans. Et nous atteignons ainsi le même argument absurde, comme avec la guerre en Irak. Soutenez alors, les réclamations qui étaient que l'Irak avait des armes de destruction de masse. Maintenant les USA veulent proposer la thèse bien plus absurde que l'Iran prévoit de créer de telles armes, bien que l'Iran affirme son programme nucléaire a seulement des buts pacifiques.
 
Les signes que l'Israël prépare une attaque contre l'Iran augmentent en nombre. En décembre, Dan Halutz a annoncé que l'Iran aura la capacité de produire les armes nucléaires en 3 mois, ou autour du mars 2003. Presque immédiatement, le même pronostic a été fait par le chef de l'intelligence militaire israélienne (AMAN), Aaron Zeevi Farkash. Selon lui, Téhéran avait déjà produit 24 tonnes du gaz UF6, requises pour produire l'uranium enrichi. Le chef de Mossad parle également de mars.  
 
Les réactions pointues de Téhéran ont suivies. D'abord, l'Israël par Ahmadinejad devrait disparaître de la terre. Après cela, il a contesté le mythe au sujet de l'holocauste et proposé pour qu'Israël soit déplacé en Allemagne ou en Alaska, et en conclusion, il a dit que Téhéran répondrait à une attaque israélienne avec une rapidité, durement et avec une contre-attaque destructive.  
 
À première vue, ces rapports sont déplacés. Mais une analyse plus soigneuse montre qu'ils ont été soigneusement mesurés. « Faire disparaître Israël de la terre » a été fait par Ayatollah Homeini et Ahmadinejad l'a seulement cité. La proposition pour déplacer l'Israël en Alaska a visé à unir le monde entier de musulmans et d'Arabe contre l'Amérique et l'Israël. Et avec « la contre-attaque destructive » le président a rappelé le monde que son pays a un potentiel énorme.  
 
Les choses sont vraiment devenues chaudes. Les élections israéliennes prématurées sont programmées pour le 28 mars. Mais en 1981, juste en avant des élections de Knesset, Menahem commençait a effectué une attaque contre la centrale électrique nucléaire irakienne d'Osiraq. Ceci a été fait par Sharon, qui était ministre de la défense alors. Alors est venu Bush, qui a déclaré que le « Iran est une vraie menace à la communauté internationale ».  
 
En décembre, la commande stratégique américaine a annoncé qu'elle a réalisé le potentiel effectif pour des attaques rapides sur des cibles autour de la planète, à l'aide des armes nucléaires ou conventionnelles. Avant que, en novembre, une guerre nucléaire contre un pays fictif a été préparée (le pays a été censé être la Corée du Nord). Le plan a reçu le nom de CONPLAN 8022 - la mission globale d’attaque, selon laquelle les commandes effectives américaines autour du monde ont dû préparer des plans pour la guerre nucléaire dans leurs régions respectives. Ceci signifie que les cibles en Iran et en Corée du Nord ont été déjà choisies.  
 
En attendant, l'Israël a continué à enrichir son arsenal d’armes qui peuvent atteindre l'Iran. L'Israël a préparé l'avion de longue gamme qui peut atteindre Téhéran et retourner en Israël sans réapprovisionnement en combustible. L'Israël a également au moins 200 ogives nucléaires, montées sur les missiles balistiques, sous-marins et avions.  
 
Les agences d'intelligence occidentales ont essayé pendant longtemps maintenant, de déterminer à quel point exactement l'Iran est à la création d'une bombe atomique. La date limite, mentionnée par des sources militaires israéliennes - le mars 2006, est très vrai parce qu'il assortit l'instruction mentionné ci-dessus par Sharon pour que l'armée soit prêt pour la attaque vers la fin de mars.  
 
Les experts militaires russes déclarent que les USA et l'Angleterre ont débuté un retrait de masse de leurs forces de la zone irakienne de guerre. La raison pourrait être notamment l'attaque certaine contre l'Iran. Ceci pose la prochaine question - si les USA ont les armes nucléaires dans le golfe Persique, et sont elles prêtes à employer elles contre l'Iran.  
 
Jusqu'ici, les USA ont été présumés pour avoir les armes nucléaires seulement en Europe de l'ouest, de l'âge de la guerre froide de te - environ 480 bombes nucléaires. Aucune autre arme nucléaire de l'Amérique n'a été prolongée jusqu'ici en avant, excepté les ogives nucléaires à bord des sous-marins des USA.  
 
Mais la directive présidentielle NSPD 35 avait autorisé le placement des armes nucléaires tactiques dans le golfe Persique. Il est possible que ceci ait déjà commencé. L'argument de Bush sera celui après une attaque israélienne sur l'Iran, là ne sera aucune autre manière d'arrêter 9 millions de milice d'Iranien d'envahir l'Irak méridional. Une telle invasion peut seulement être arrêtée avec des armes nucléaires.  
 
Le scénario le plus probable sera que qu'Israël commencera le déclenchement en mars, bombardant des cibles en Iran, et les USA s'y mêleront. L'application des armes nucléaires contre l'Iran sera présentée comme scénario le plus humanitaire pour éliminer le programme nucléaire iranien et pour réaliser un arrêt rapide et réussi de la guerre.  
 
L'Israël emploiera probablement sa brigade spéciale d'opérations, subdivision 262, et son soixante-neuvième escadron F-15 stratégique, qui peut frapper l'Iran et retourner sans réapprovisionnement en combustible.  
 
Vers la fin de mars, les forces israéliennes seront dans l'alerte de combat.  
 
À cette date, les forces iraniennes seront également prêtes. Les USA et l'Israël pousseront-ils le monde sur le bord d'une guerre nucléaire globale qui peut devenir Armageddon en 30 minutes ?  
 
Une attaque nucléaire massive contre l'Iran est à ses étapes finales de préparation. La coalition de la Israël Turquie est « à une étape avancée de promptitude ».  
 
En mars 2005, ces pays ont effectué plusieurs exercices militaires. L'Iran a également préparé des manoeuvres à grande échelle dans le golfe Persique en décembre 2005.  
 
L'activité des navettes diplomatiques dans la ligne la Washington Tel Aviv Ankara OTAN a également augmenté. Le bagagiste en chef Goss de CIA a visité Ankara, où il a demandé au premier ministre turc Erdogan « le soutien politique et logistique d'une attaque certaine contre les cibles nucléaires iraniennes ».  
 
Les composants séparés de l'opération sont sous la commande de l'Amérique, coordonnée par le Pentagone et la commande stratégique d'USS tratcom.  
 
Les cibles le plus susceptibles de la première attaque sont la centrale de Busher où les Russes et d'autres spécialistes étrangers travaillent, la mine en uranium dans Saghand, près de Yazd, les équipements en uranium d'enrichissement dans Natanz, l'usine à eau forte et d'isotope dans Arak, le centre nucléaire dans Ardekan, le service nucléaire de conversion dans Isfakhan, le centre nucléaire de recherches à Téhéran, le service de molybdène, d'iode et d'isotope de radio dans Geferan, les laboratoires universels à Téhéran, les équipements de stockage de déchets radioactifs dans Anarak et Karaj.  
 
Les autres cibles probables sont les missiles iraniens de Shahab 1 et 2, bases militaires de l'air de l'Iran, y compris Mehrabad, près de Téhéran, plusieurs installations au golfe Persique, aux centres de mer caspienne, de communication et d'intelligence.  
 
Les cibles secondaires seront les aéroports civils, la radio et des stations de TV, les centres de télécommunication, les bâtiments de gouvernement, les objets énergiques conventionnels, les routes, des ponts et des chemins de fer. Les plateformes iraniennes de pétrole seront évitées pour conserver des intérêts américains et israéliens.  
 
En mars 2006, l'Iran commutera officiellement aux euros dans sa politique étrangère, incluant pour des exportations de pétrole, et ouvre sa bourse de pétrole. En mars, la Chine augmentera la part des euros dans son panier de devise étrangère, dont le dollar a maintenant 70%.