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Auteur Sujet :

Ayez «confiance en l’hôpital public», demande Bachelot

n°17108667
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 19:33:58  answer
 

Reprise du message précédent :


 

bisounours a écrit :


 
Il n'y a que les esclaves qui ne réclament pas leur juste rémunération et je crois que l'esclavage a été aboli en France. Il existe des lois qui encadrent l'exercice du travail, aux employeurs de les respecter et aux salariés de se défendre.


 
ben voyons si c'est aussi simple que tu le dis alors il te restent à enrichir ton CV par de nouvelles expériences dans de nouvelles entreprises. après on en reparle. la loi c'est bien beau mais il y a la réalité de l'entreprise. il y a longtemps que  je n'ai pas assez de mes 2 mains pour compter le nombre d'entreprises ou j'ai travaillé.  :o

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 01-01-2009 à 19:35:21
mood
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Posté le 01-01-2009 à 19:33:58  profilanswer
 

n°17108689
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 19:37:03  answer
 

Elle consiste en quoi d'ailleurs, cette réforme de l'hôpital public, concrètement ? Réponse trouvée rapidos sur le net :
 

Citation :

POLITIQUE - Les principales annonces de Nicolas Sarkozy...
Des annonces sans réelle surprise qui reprennent les principales dispositions du rapport Larcher. A Neufchateau (Vosges), Nicolas Sarkozy a brossé les contours de la réforme hospitalière qu'il juge «majeure». Une loi doit être présentée cet automne au Parlement. Les principaux points:
 
-Création de «communautés hospitalières de territoires» (CHT): il s'agit d' «hôpitaux multi-sites» dont les compétences sont mises en commun en fonction des spécialités de chacun sur un territoire donné. Cela suppose également la fermeture des services de chirurgie ou de maternité qui n'offrent plus de sécurité suffisante. Les CHT auront des compétences obligatoires mais aussi optionnelles. A chacune de s'organiser comme elles l'entendent. Par ailleurs, pour encourager la formation de ces CHT, des «incitations» financières seront proposées. Les rapprochements entre hôpitaux sont donc laissés à l'initiative des établissement eux-mêmes. Ce n'est pas à Paris de décider.
 
-Nouvelle prise en charge des personnes âgées: elles ne doivent pas arriver nécessairement aux urgences. L'accès direct au service de gériatrie doit être possible. La personne âgée doit bénéficier de l'attention d'un coordinateur des soins, comme le prévoit le plan Alzheimer.
 
-Les urgences: elles doivent être gérées par des agences régionales de santé (ARS) d'une même main avec la permanence des soins, qui relève actuellement de la ville. Appels d'urgence et permanence de soins doivent être régulés par un numéro de téléphone unique. Pour mieux prendre en charge les urgences, il faut une gestion des lits informatisée ainsi que des messageries sécurisées entre l'hôpital et les médecins de ville qui ont envoyé leur patient à l'hôpital.
 
-Modernisation du statut de l'hôpital public: elle permettrait certains assouplissements aux règles des marchés publics.
 
-Médecins étrangers titulaires d'un diplôme obtenu hors UE: leur compétences doivent être validées et leur permettre d'accéder au «plein exercice de leur métier».
 
-Possibilité de contrats privés: les médecins hospitaliers pourront choisir entre leur statut public actuel, avec éventuellement une rémunération selon l'activité, ou un contrat «qui s'inspirerait du droit du travail» du secteur privé.
 
-Une nouvelle gouvernance dans chaque hôpital: chaque établissement aura un patron «et un seul». Sa responsabilité est renforcée. Il dirigera l'établissement en maîtrisant les ressources. Il sera nommé, sur proposition du conseil de surveillance, par le directeur de l'Agence Régionale de Santé (ARS). Une partie de sa rémunération serait liée aux résultats. Le conseil d'administration sera transformé en conseil de surveillance dont la mission sera de «valider la stratégie de l'établissement, veiller aux équilibres financiers». Quant au président de la commission médicale d'établissement, il serait également le vice-président du directoire.
 
-Un «contrat de service public» avec les cliniques privées: il sera signé entre celles-ci et les Agences Régionales de Santé (ARS). L'idée est de mettre en commun certaines compétences avec les hôpitaux publics.
 
-La «médecine d'excellence»: les équipes de recherche des CHU doivent être évaluées par l'agence d'évaluation des établissements d'enseignement supérieur et de recherche - l'AERES.


http://www.20minutes.fr/article/22 [...] t-quoi.php
 
Je ne vois rien, dans toute cette réforme, qui nécessiterait une "manipulation" de l'information pour faire passer la pilule...
 
Je ne pense pas qu'on puisse crier à la manipulation médiatique commanditée par le gouvernement, car a contrario cette "série" de dysfonctionnements serait plutôt de nature à servir les intérêts des syndicats qui dénoncent le manque de moyens des hôpitaux.

n°17108695
jigawa
Posté le 01-01-2009 à 19:37:39  profilanswer
 

etoile64 a écrit :

Et le gouvernement réussit vachement bien ce qu'il cherche : "ouais toute façon, le personnel de l'hôpital n'a qu'à travailler plus, y en a marre des fonctionnaires qui foutent rien, dans le privé, nous, on bosse, et à côté de ça on paye pour un service publique défaillant à cause de tous ces branleurs"...

 

Continuez, vous êtes parfaits.

 


Il faut quand même avoir vachement de culot ou être un crétin fini pour venir gueuler contre le personnel des urgences. J'espère que la majorité des gens voient un peu plus loin que le bout de leur nez. (gouvernement ou pas)

 

Il y a des branleurs dans le monde hospitalier ? oui, comme partout mais le service des urgences se compose de gens qui ne comptent pas leurs heures et qui malgré cela auront presque toujours la pédagogie de ne pas traiter les patients comme du bétail. :jap:

 

non, c'est un peu comme ceux qui gueulent contre les pompiers quoi... :sweat:


Message édité par jigawa le 01-01-2009 à 19:37:59
n°17108701
bisounours
Posté le 01-01-2009 à 19:38:15  profilanswer
 


 
Si tu n'as plus d'estime pour ta personne ce n'est que toi que ça regarde. J'ai connu des boites de m*** et j'ai mis un point d'honneur à faire respecter mes droits. A toi d'en faire d'avantage! ;-)


Message édité par bisounours le 01-01-2009 à 19:39:06
n°17108749
jigawa
Posté le 01-01-2009 à 19:44:56  profilanswer
 


 
Merci pour les précisions. Le gouvernement souhaite que les hôpitaux soit gérés sur le modèle américain, comme une entreprise. Je comprend que cela puisse gueuler mais la situation actuelle existe autant du fait d'un gros manque de moyen que par le fait que le fric engagé est extrêmement mal géré. Bon après je ne suis pas spécialiste, je ne saurai dire si la proposition améliorera la situation.

n°17108784
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 19:49:53  profilanswer
 


 
 
Ouais, tu reprends les termes d'un article journalistique qui cherche à faire du sensationnel. Dans les faits, il était dans une salle de déchoc à Longjumeau.

n°17108808
Ernestor
Modérateur
modo-coco :o
Posté le 01-01-2009 à 19:54:42  profilanswer
 

etoile64 a écrit :


 
 
Ouais, tu reprends les termes d'un article journalistique qui cherche à faire du sensationnel. Dans les faits, il était dans une salle de déchoc à Longjumeau.


Ca devient incompréhensible cette histoire ...
 
Pourquoi tous les médias disent que le SAMU est resté 6h à lui chercher un lit s'il n'avait pas besoin de lit car il état déjà pris en charge dans un hopital ?
 
C'est totalement contradictoire  [:columbo2]

n°17108827
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 19:58:27  profilanswer
 

Ernestor a écrit :


Ca devient incompréhensible cette histoire ...
 
Pourquoi tous les médias disent que le SAMU est resté 6h à lui chercher un lit s'il n'avait pas besoin de lit car il état déjà pris en charge dans un hopital ?
 
C'est totalement contradictoire  [:columbo2]


 

Citation :


 
"Y aurait-il comme un vent de folie sur les hôpitaux français ? En quelques jours, un enfant est mort après une erreur de médicament. Puis il y a eu le décès, il y a trois jours, d’un homme de 57 ans, pour qui le Samu n’a pu trouver de place en réanimation. La faute à qui ? Alors que le ministère de la Santé a lancé des enquêtes, le parquet d’Evry indiquait hier que l’autopsie laissait penser que l’homme n’aurait pas survécu même s’il avait été hospitalisé à temps.
 
Gravissime. L’histoire est délicate d’un point de vue clinique. Selon nos informations, l’homme souffrait au départ d’une détresse respiratoire, comme l’a expliqué le Samu de l’Essonne (91) aux enquêteurs : «Dans la nuit du 27 au 28 décembre, peu avant minuit, le Samu de l’Essonne a été alerté par les proches d’un patient de 57 ans qui présentait une détresse respiratoire. Une équipe s’est rendue auprès du patient.» Un électrocardiogramme a été fait, ne pointant pas d’infarctus. Le Samu 91 poursuit : «Cette équipe mobile de réanimation a procédé à sa prise en charge médicale. La gravité de son état nécessitait une continuité de soins dans un service de réanimation. Devant les difficultés avérées pour trouver des places de réanimation, il a été décidé de faire admettre ce patient, dans un premier temps, en salle de déchoquage des urgences de l’hôpital de secteur à Longjumeau. Là, les soins médicaux ont été poursuivis sans discontinuer dans l’attente d’une place dans un établissement. L’état du patient s’est brutalement aggravé malgré la présence constante de plusieurs équipes. Le patient a été victime de plusieurs arrêts cardiaques, récupérés par l’équipe médicale.» Dans le même temps, le Samu cherche une place pour une coronographie. C’est à ce moment que le système se grippe : «Après plus de 25 impossibilités d’admission du patient auprès de différentes structures de réanimation, un lit a pu être libéré à l’hôpital Bichat à Paris. Compte tenu de l’évolution dramatique du patient, il a été décidé de réaliser une coronographie à l’hôpital Lariboisière, préalablement à son admission à l’hôpital Bichat. Le transfert s’est effectué sous la surveillance médicale continue du Smur [Service mobile d’urgence et de réanimation, ndlr], le patient étant évidemment ventilé et sous drogues vaso-actives à fortes doses. Malgré les moyens mis en œuvre, le patient est décédé à son arrivée, après un énième arrêt cardiaque, réfractaire à toute réanimation.» Tel est le récit du Samu, révélant l’état gravissime du patient, dont les chances de survie étaient minimes.
 
Occlusion. Restent des interrogations. Alors qu’elle se rendait à Longjumeau, l’équipe du Samu a appelé Bichat pour un autre patient. Au cours de la conversation, le service de réanimation de Bichat lui dit qu’il y avait de la place. Le Samu répond qu’il va rappeler, il ne l’a fait que très tardivement. Pourquoi ? Il cherchait, peut-être, un lieu pour une coronographie : autour de Longjumeau, il y a pléthore de centres privés qui peuvent faire des coronographies d’urgence, dont la clinique de Massy, très réputée. Celle-ci n’a pas été contactée. «En tout cas, si la détresse respiratoire cachait une occlusion de la coronaire gauche, c’est alors gravissime, explique un cardiologue, il faut être dans l’heure en salle de coronographie.» Après ? Les équipes de «réa» ne l’avouent qu’à moitié, mais si un patient a fait plusieurs arrêts cardiaques, elles rechignent à le recevoir, estimant qu’il n’y a aucune chance.
Qu’en déduire ? La faute à un manque de lits ? A une mauvaise coordination ? Ou à une difficulté diagnostique? En tout cas, il est difficile d’affirmer que la mort de cet homme est le symptôme de la crise hospitalière. Une crise qui, pourtant, existe bien"
 
http://www.liberation.fr/societe/010...-recit-du-samu


 
Comme quoi, c'est un peu plus complqiuée que ce que la plupart des articles relatent.

n°17108828
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 19:58:31  answer
 

Ernestor a écrit :


Ca devient incompréhensible cette histoire ...

 

Pourquoi tous les médias disent que le SAMU est resté 6h à lui chercher un lit s'il n'avait pas besoin de lit car il état déjà pris en charge dans un hopital ?

 

C'est totalement contradictoire  [:columbo2]


Je suppose qu'une fois le plus chaud passé (les arrêts cardiaques), un patient va ensuite en salle de réveil ou un truc du genre, et que c'est là qu'il n'y avait plus de place ? (etoile64 ou tout autre soignant du forum confirmera, ou pas)

 

edit : ah, vu l'article de Libé, j'ai rien dit :d


Message édité par Profil supprimé le 01-01-2009 à 19:59:31
n°17108853
halman
Voler, rien d'autre que voler!
Posté le 01-01-2009 à 20:03:17  profilanswer
 

Echographie, coronographie, et si besoin opération en urgence, puis hospitalisation.


Message édité par halman le 01-01-2009 à 20:04:32

---------------
Les avions sont comme l'âme, ils ont des ailes et prolongent la vie. Marcel Dassault
mood
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Posté le 01-01-2009 à 20:03:17  profilanswer
 

n°17108877
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:08:08  answer
 


Visiblement le patient n'était pas prêt pour une opération, vu que son état n'était pas stabilisé (j'aime employer des termes entendus dans "Urgences" :d).

n°17108885
halman
Voler, rien d'autre que voler!
Posté le 01-01-2009 à 20:09:29  profilanswer
 


 
Il n'y a pas de règle systématique, sinon on remplacerai les médecins par des robots.
 
Chaque patient est différent, spécifique et unique.
 
Aucun patient ne se comporte exactement de la même manière pour chaque maladie, chaque traitement.


---------------
Les avions sont comme l'âme, ils ont des ailes et prolongent la vie. Marcel Dassault
n°17108895
bisounours
Posté le 01-01-2009 à 20:11:48  profilanswer
 

halman a écrit :


 
Il n'y a pas de règle systématique, sinon on remplacerai les médecins par des robots.
 
Chaque patient est différent, spécifique et unique.
 
Aucun patient ne se comporte exactement de la même manière pour chaque maladie, chaque traitement.


 
Certes mais après 3 réanimations on peut se douter que le coeur du patient n'en avait plus pour longtemps. S'il avait été pris en charge correctement il aurait pu peut être survivre pendant 6 mois sous assistance respiratoire et dire au revoir à sa famille.


Message édité par bisounours le 01-01-2009 à 20:12:17
n°17108901
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 20:12:22  profilanswer
 


 
 
Si, si, on prend même les couteux de cuisine qui ont servi à bouffer le fois gras du repas du 31  :kaola:  
 
Tu sais qu'il y a des liaisons entre les services, les urgences, les blocs opératoires?
 
Bon pour le coup, c'est HS, parce qu'apparement c'était plus une coro qu'il lui fallait.
Mais bref, tout ça pour dire qu'en soit, dans la prise en charge, je vois rien d'ultra-choquant : le déchoc, c'est pas la rue, y a du matos...
Alors certes, ils ont peut-être eu du mal à trouver une salle de coro, mais voilà quoi...

n°17108929
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 20:18:04  profilanswer
 


 
Les liaisons y sont, les places pas forcément.
Après, tous les hopitaux n'ont pas de salle de coro, c'est quelque chose d'hyper spécialisé.
 
 
 
Polémique montée de toute pièce, ce genre de choses ça arrive tout le temps.
Après bien sûr, dans l'idéal, on pourrait avoir 2 fois plus d'hôpitaux, 2 fois mieux équipés et tout et tout...
 
edit : en tout cas, on est bien loin de la 1ère impression qu'ont voulu montrer les médias : le pauvre type agonisant qui attend pendant 6h dans le véhicule du SAMU, limite avec les médecins qui font du bouche-à-bouche pour le sauver, pendant qu'à l'hôpital, tout le monde glandouille en voulant "protéger" ses lits vides pour ne pas avoir à se faire chier avec une entrée.


Message édité par etoile64 le 01-01-2009 à 20:21:16
n°17108957
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:24:19  answer
 

etoile64 a écrit :


 
Polémique montée de toute pièce, ce genre de choses ça arrive tout le temps.
Après bien sûr, dans l'idéal, on pourrait avoir 2 fois plus d'hôpitaux, 2 fois mieux équipés et tout et tout...
 
edit : en tout cas, on est bien loin de la 1ère impression qu'ont voulu montrer les médias : le pauvre type agonisant qui attend pendant 6h dans le véhicule du SAMU, limite avec les médecins qui font du bouche-à-bouche pour le sauver, pendant qu'à l'hôpital, tout le monde glandouille en voulant "protéger" ses lits vides pour ne pas avoir à se faire chier avec une entrée.


Je suis entièrement d'accord sur tout ça. Ce genre de choses, comme les suicides de détenus ou les accidents d'avion, ça arrive tout le temps, et les journalistes qui font croire à une soudaine "série noire" sont vraiment malhonnêtes.
 
Ceci dit, on peut quand même se demander si c'est bien normal que ça arrive tout le temps !

n°17108973
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:28:46  answer
 

etoile64 a écrit :


 
 
Ouais, tu reprends les termes d'un article journalistique qui cherche à faire du sensationnel. Dans les faits, il était dans une salle de déchoc à Longjumeau.


 
je ne reprend pas un article, je cite l'article, nuance.  
a priori la salle de dechoc n'etait pas adapté à son cas, ils l'ont maintenu 6 heures avec des chocs éléctriques à répetition , il lui lui fallait une intervention rapide et adapté. et cela n'a pas été le cas.  la salle de déchoc à été la salle d'attente du patient. il fallait qu'un bloc spécialisé se libére. donc a priori ce n'est pas un probleme d'organisation comme le suggère le gouvernement mais bien un manque de moyens sans doute ( 27 demandes dans 27 hopitaux tout de meme.)


Message édité par Profil supprimé le 01-01-2009 à 20:30:42
n°17108986
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 20:31:14  profilanswer
 

J'arrête pas de le répeter qu'il y a un manque de moyens certains.
 
Ce que je dénonce, c'est la récupération politique faite de ce genre de problèmes, sous-entendant la trèèèès mauvaise gestion des hôpitaux.
 
Un mec en très mauvais état a du attendre pour avoir un examen relativement spécialisé (qui n'était d'ailleurs pas justifié au début de la prise en charge, l'ECG étant négatif).
j'ai envie de dire que c'est, dans l'ensemble, inévitable : ce sont des choses qui sont difficilement prévisibles.
Un peu comme le SAMU quoi : tu peux décemment pas prévoir 5000 équipes de SAMU au cas où tout le monde aurait une urgence en même temps, les 4/5ème des cas ça marche bien, de temps en temps y en a un qui doit attendre, 1 fois sur 10 ça sera fatal.
c'est un concours de circonstances, malheureux certes, mais il faut être un minimum réaliste.

n°17108988
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:31:37  answer
 

Badcow a écrit :


 
Quand tu es cadre, tu n'est pas payé à l'heure... tu arrive à l'ouverture de l'usine et tu en ressort à la fermeture, c'est comme ça.


tout le monde sait cela... :jap:  

n°17108998
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 20:34:10  profilanswer
 


 
 
Ouais mais à mon sens, c'est pas ce genre d'évènements (malheureux certes, mais rares et dus à un concours de circonstances) qui le montrent le mieux, mais plus le quotidien à l'hopital, ce dont tout le monde se contrefout les 3/4 du temps.

n°17108999
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:34:42  answer
 


 
c'est justement de cela dont il s'agit. et c'est cela qui me dérange.

n°17109009
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:36:44  answer
 

HEAVENWOOD a écrit :


C'est pour contrebalancer les communications de ceux qui veulent exagérer les faits... :ange:


 
oui "exagérer les faits", tout a fait thierry. on appelle 27 hôpitaux pour une admission en urgence, le mec est en arrêt cardiaque et respiratoire et on te dit, a l'autre bout du fil "Veuillez patienter...."
 
on exagère, oui tu as tout compris.

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 01-01-2009 à 20:46:25
n°17109014
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:37:22  answer
 

etoile64 a écrit :

J'arrête pas de le répeter qu'il y a un manque de moyens certains.
 
Ce que je dénonce, c'est la récupération politique faite de ce genre de problèmes, sous-entendant la trèèèès mauvaise gestion des hôpitaux.


C'est le même problème que l'actualité concernant la Police, je le constate tous les jours :/

n°17109023
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:38:36  answer
 

Très bonne question !
 
Fort possible en effet :jap:

n°17109027
jean-miche​l91
Posté le 01-01-2009 à 20:38:59  profilanswer
 

manipulations et compagnie à tout les niveaux!! putain ont peut plus croire personne maintenant!!  :sleep:


---------------
   
n°17109063
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 20:47:07  answer
 


A quel moment il intervient, l'homme à la cigarette ? :d

n°17109065
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 20:47:17  profilanswer
 


 
 
 :ange:

n°17109145
jigawa
Posté le 01-01-2009 à 21:00:45  profilanswer
 


 
C'est le même problème pour tout les sujets, partout, tout le temps....
 
Prenez n'importe quel fait divers, faites en sorte qu'il se médiatise et pendant 15 jours, 1 mois on ne parle que de ça.
 
Un accident sur un passage à niveau ? Et les journaux vont reporter tout les accidents de ce type pendant un temps et puis plus rien.. alors qu'il y en a toujours.
Un incendie dramatique, un incident nucléaire, violence contre professeur... etc... c'est idem.  
 
Quand on voit un JT de 13H ouvrir sur un accident de voiture ou 4 jeunes se sont tués, pourquoi on en parle ce jour là ? Alors qu'il y a plus de 13 personnes par jour qui meurent sur les routes.  
 
Bref c'est toute la question, il faut en parler mais on ne peut pas le faire tout le temps.. dilemme.
 
Enfin, dilemme... comme certains l'ont déjà indiqué ici, les sujets tombent généralement bien pour le gouvernement.  [:jigawa]

n°17109185
Profil sup​primé
Posté le 01-01-2009 à 21:07:28  answer
 

jigawa a écrit :

 

C'est le même problème pour tout les sujets, partout, tout le temps....

 

Prenez n'importe quel fait divers, faites en sorte qu'il se médiatise et pendant 15 jours, 1 mois on ne parle que de ça.

 

Un accident sur un passage à niveau ? Et les journaux vont reporter tout les accidents de ce type pendant un temps et puis plus rien.. alors qu'il y en a toujours.
Un incendie dramatique, un incident nucléaire, violence contre professeur... etc... c'est idem.

 

Quand on voit un JT de 13H ouvrir sur un accident de voiture ou 4 jeunes se sont tués, pourquoi on en parle ce jour là ? Alors qu'il y a plus de 13 personnes par jour qui meurent sur les routes.

 

Bref c'est toute la question, il faut en parler mais on ne peut pas le faire tout le temps.. dilemme.

 

Enfin, dilemme... comme certains l'ont déjà indiqué ici, les sujets tombent généralement bien pour le gouvernement.  [:jigawa]


Là en l'occurrence, les syndicats peuvent récupérer cette actualité tout autant que le gouvernement !

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 01-01-2009 à 21:07:32
n°17109229
etoile64
Pas de bras, pas de 8a!
Posté le 01-01-2009 à 21:13:35  profilanswer
 


 
 
Ouaip, sauf que vu le climat actuel de suspicion envers tout le monde, le gouvernement a beaucoup plus à y gagner en général...

n°17113170
midnighter
Posté le 02-01-2009 à 15:50:22  profilanswer
 

etoile64 a écrit :


 
 
Ouaip, sauf que vu le climat actuel de suspicion envers tout le monde, le gouvernement a beaucoup plus à y gagner en général...


 
& puis les syndicats dans les hopitaux...! :whistle:

n°17113685
Ex-Floodeu​r
La Source
Posté le 02-01-2009 à 17:08:21  profilanswer
 

Va y avoir des sanctions :o
 

Citation :

Nicolas Sarkozy l'a promis jeudi : toutes les conséquences seront tirées des drames survenus à l'hôpital ces derniers jours, notamment la mort du petit Ilyès, 3 ans, suite à une erreur de perfusion le 24 décembre ou encore le décès, faute de place aux urgences, d'un homme de 56 ans, victime d'un malaise cardiaque samedi dernier.
 
Evoquant les polémiques qui avaient suivi, le président a assuré, lors d'une réception à l'Elysée pour les personnels des services publics ayant travaillé la nuit du Nouvel An, que "les enquêtes diligentées détermineront les dysfonctionnements et les responsabilités en cause". "Je veillerai à ce que toutes les conséquences en soient tirées. S'il y a des responsables, il faudra qu'il y ait des sanctions", a-t-il poursuivi. "Il me semblerait profondément injuste que ces drames jettent le discrédit sur l'hôpital et ses personnels dans leur ensemble, comme il m'apparaît profondément déplacé que ces drames soient exploités au service de polémiques médiocres qui ne sont pas à la hauteur des enjeux. L'hôpital et ses personnels méritent mieux que cela", a-t-il ajouté.
 
Bachelot appelle les Français à la confiance
 
Samedi, après la mort d'un homme victime d'un malaise cardiaque, faute de place en réanimation, le conflit qui oppose les urgentistes à la ministre de la Santé s'était à nouveau envenimé. "Nous demandons de nouveau des mesures immédiates pour permettre un accueil des malades dans les hôpitaux. Les services d'urgences doivent être en mesure d'accueillir tous les malades avec dignité", avait ainsi déclaré l'Association des médecins urgentistes de France, l'Amuf, qui impute l'incident aux fermetures de services et de lits, accentuées en période de fêtes pour cause d'économies. Roselyne Bachelot avait elle appelé, mardi, sur RTL, les Français à garder confiance en leurs hôpitaux publics, niant tout problème de moyens et écartant tout rappel de personnels et tout plan d'urgence.
 
Après la mort du petit Ilyès déjà, des questions de budget, du stress dû au rythme de travail et un manque de moyens avaient été pointés du doigt par les syndicats d'urgentistes. Ces controverses surviennent à quelques semaines de l'examen au Parlement du projet de loi "hôpital, patients, santé, territoires", qui favorise notamment des rapprochements entre hôpitaux et cliniques privées et des regroupements d'établissements, à l'origine parfois de fermetures de maternités ou de blocs chirurgicaux.


 
http://tf1.lci.fr/infos/france/pol [...] ents-.html


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n°17113783
Fructidor
Posté le 02-01-2009 à 17:24:34  profilanswer
 


 
On parle des urgences classiques, pas d'une catastrophe. Si elle advient, des mesures exceptionnelles sont déployées. On ne peut pas avoir des centaines (ou de milleirs) de places disponibles aux urgences juste "au cas ou".

n°17114025
sudest
Posté le 02-01-2009 à 18:05:58  profilanswer
 

Fructidor a écrit :


 
On parle des urgences classiques, pas d'une catastrophe. Si elle advient, des mesures exceptionnelles sont déployées. On ne peut pas avoir des centaines (ou de milleirs) de places disponibles aux urgences juste "au cas ou".


 
Surtout que c'était un peu les fêtes et que les médecins/infirmières ont bien le droit de réveillonner :o
 
En plus c'était 11 places en réanimation, ce qui est tout de même particulier, tout problème de santé de nécessite pas d'aller en réa.


Message édité par sudest le 02-01-2009 à 18:06:53
n°17114039
Arthas77
Posté le 02-01-2009 à 18:07:45  profilanswer
 

Bref, ne tombez pas malade pendant les congés du personnel soignant (fêtes de fin d'année et été).  :o

n°17114754
midnighter
Posté le 02-01-2009 à 19:20:49  profilanswer
 

Ex-Floodeur a écrit :

Va y avoir des sanctions :o
 

Citation :

Nicolas Sarkozy l'a promis jeudi : toutes les conséquences seront tirées des drames survenus à l'hôpital ces derniers jours, notamment la mort du petit Ilyès, 3 ans, suite à une erreur de perfusion le 24 décembre ou encore le décès, faute de place aux urgences, d'un homme de 56 ans, victime d'un malaise cardiaque samedi dernier.
 
Evoquant les polémiques qui avaient suivi, le président a assuré, lors d'une réception à l'Elysée pour les personnels des services publics ayant travaillé la nuit du Nouvel An, que "les enquêtes diligentées détermineront les dysfonctionnements et les responsabilités en cause". "Je veillerai à ce que toutes les conséquences en soient tirées. S'il y a des responsables, il faudra qu'il y ait des sanctions", a-t-il poursuivi. "Il me semblerait profondément injuste que ces drames jettent le discrédit sur l'hôpital et ses personnels dans leur ensemble, comme il m'apparaît profondément déplacé que ces drames soient exploités au service de polémiques médiocres qui ne sont pas à la hauteur des enjeux. L'hôpital et ses personnels méritent mieux que cela", a-t-il ajouté.
 
Bachelot appelle les Français à la confiance
 
Samedi, après la mort d'un homme victime d'un malaise cardiaque, faute de place en réanimation, le conflit qui oppose les urgentistes à la ministre de la Santé s'était à nouveau envenimé. "Nous demandons de nouveau des mesures immédiates pour permettre un accueil des malades dans les hôpitaux. Les services d'urgences doivent être en mesure d'accueillir tous les malades avec dignité", avait ainsi déclaré l'Association des médecins urgentistes de France, l'Amuf, qui impute l'incident aux fermetures de services et de lits, accentuées en période de fêtes pour cause d'économies. Roselyne Bachelot avait elle appelé, mardi, sur RTL, les Français à garder confiance en leurs hôpitaux publics, niant tout problème de moyens et écartant tout rappel de personnels et tout plan d'urgence.
 
Après la mort du petit Ilyès déjà, des questions de budget, du stress dû au rythme de travail et un manque de moyens avaient été pointés du doigt par les syndicats d'urgentistes. Ces controverses surviennent à quelques semaines de l'examen au Parlement du projet de loi "hôpital, patients, santé, territoires", qui favorise notamment des rapprochements entre hôpitaux et cliniques privées et des regroupements d'établissements, à l'origine parfois de fermetures de maternités ou de blocs chirurgicaux.


 
http://tf1.lci.fr/infos/france/pol [...] ents-.html


les responsables sont trouvé,c'est eux qui ferme des lits & ferme les hopitaux

Arthas77 a écrit :

Bref, ne tombez pas malade pendant les congés du personnel soignant (fêtes de fin d'année et été).  :o


 
rien à voir entre les fermetures de lits & les congés


Message édité par midnighter le 02-01-2009 à 19:21:37
n°17114963
sudest
Posté le 02-01-2009 à 19:47:07  profilanswer
 

Ex-Floodeur a écrit :

Va y avoir des sanctions :o
 

Citation :

Nicolas Sarkozy l'a promis jeudi : toutes les conséquences seront tirées des drames survenus à l'hôpital ces derniers jours, notamment la mort du petit Ilyès, 3 ans, suite à une erreur de perfusion le 24 décembre ou encore le décès, faute de place aux urgences, d'un homme de 56 ans, victime d'un malaise cardiaque samedi dernier.
 
Evoquant les polémiques qui avaient suivi, le président a assuré, lors d'une réception à l'Elysée pour les personnels des services publics ayant travaillé la nuit du Nouvel An, que "les enquêtes diligentées détermineront les dysfonctionnements et les responsabilités en cause". "Je veillerai à ce que toutes les conséquences en soient tirées. S'il y a des responsables, il faudra qu'il y ait des sanctions", a-t-il poursuivi. "Il me semblerait profondément injuste que ces drames jettent le discrédit sur l'hôpital et ses personnels dans leur ensemble, comme il m'apparaît profondément déplacé que ces drames soient exploités au service de polémiques médiocres qui ne sont pas à la hauteur des enjeux. L'hôpital et ses personnels méritent mieux que cela", a-t-il ajouté.
 
Bachelot appelle les Français à la confiance
 
Samedi, après la mort d'un homme victime d'un malaise cardiaque, faute de place en réanimation, le conflit qui oppose les urgentistes à la ministre de la Santé s'était à nouveau envenimé. "Nous demandons de nouveau des mesures immédiates pour permettre un accueil des malades dans les hôpitaux. Les services d'urgences doivent être en mesure d'accueillir tous les malades avec dignité", avait ainsi déclaré l'Association des médecins urgentistes de France, l'Amuf, qui impute l'incident aux fermetures de services et de lits, accentuées en période de fêtes pour cause d'économies. Roselyne Bachelot avait elle appelé, mardi, sur RTL, les Français à garder confiance en leurs hôpitaux publics, niant tout problème de moyens et écartant tout rappel de personnels et tout plan d'urgence.
 
Après la mort du petit Ilyès déjà, des questions de budget, du stress dû au rythme de travail et un manque de moyens avaient été pointés du doigt par les syndicats d'urgentistes. Ces controverses surviennent à quelques semaines de l'examen au Parlement du projet de loi "hôpital, patients, santé, territoires", qui favorise notamment des rapprochements entre hôpitaux et cliniques privées et des regroupements d'établissements, à l'origine parfois de fermetures de maternités ou de blocs chirurgicaux.


 
http://tf1.lci.fr/infos/france/pol [...] ents-.html


 
Déjà l'histoire du garçonnet ne concerne absolument pas les services d'urgences, et le nombre de personnel soignant était largement suffisant rapporté au nombre de malades.
 
Les médias créés une polémique là ou il ne devrait pas y en avoir en demandant son avis à une certaine personne censée représenter les urgentistes qui passe son temps à faire de la politique (càd tirer sur le gouvernement de façon systématique), et en ne tenant aucun propos constructif.

n°17115382
Profil sup​primé
Posté le 02-01-2009 à 20:52:50  answer
 

sudest a écrit :


 
Surtout que c'était un peu les fêtes et que les médecins/infirmières ont bien le droit de réveillonner :o
 
En plus c'était 11 places en réanimation, ce qui est tout de même particulier, tout problème de santé de nécessite pas d'aller en réa.
 
Déjà l'histoire du garçonnet ne concerne absolument pas les services d'urgences, et le nombre de personnel soignant était largement suffisant rapporté au nombre de malades.
 
Les médias créés une polémique là ou il ne devrait pas y en avoir en demandant son avis à une certaine personne censée représenter les urgentistes qui passe son temps à faire de la politique (càd tirer sur le gouvernement de façon systématique), et en ne tenant aucun propos constructif.


 
 :heink: et ?    

n°17115407
sudest
Posté le 02-01-2009 à 20:56:33  profilanswer
 


 
Et ?
 
Que Mr P. P. règle ses problèmes personnels avec les gens avec qui il en a plutôt que d'insinuer le doute et le trouble.
 
Dans le cas d'Ilyès, on n'était pas dans les services d'urgences et pourtant il ne n'est pas privé de faire une montagne de commentaires qui n'avaient rien à voir avec la réalité de ce qui c'était passé.
 
Idem dans le cas de la personne de 57 ans, avant même de savoir de quoi il retournait c'était déjà de la faute de l'Etat.
 
Remarque c'est aussi la faute des médias qui pour faire du sensationnel lui tendent le micro dès que ça touche de très loin l'hôpital.

Message cité 1 fois
Message édité par sudest le 02-01-2009 à 20:57:06
n°17116243
Profil sup​primé
Posté le 02-01-2009 à 22:58:35  answer
 

sudest a écrit :


 
Et ?
 
Que Mr P. P. règle ses problèmes personnels avec les gens avec qui il en a plutôt que d'insinuer le doute et le trouble.
 
Dans le cas d'Ilyès, on n'était pas dans les services d'urgences et pourtant il ne n'est pas privé de faire une montagne de commentaires qui n'avaient rien à voir avec la réalité de ce qui c'était passé.
 
Idem dans le cas de la personne de 57 ans, avant même de savoir de quoi il retournait c'était déjà de la faute de l'Etat.
 
Remarque c'est aussi la faute des médias qui pour faire du sensationnel lui tendent le micro dès que ça touche de très loin l'hôpital.


 
 
conclusion de sudest::
que tout le monde ferme ça gueule, circulez y'a rien à voir.  
 
pour la personne de 57 ans , je te rassure, ce n'est pas la faute du gouvernement, sarko l'a dit, il veut une tète. content ?

Message cité 2 fois
Message édité par Profil supprimé le 02-01-2009 à 23:01:20
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