voilà, lui
 

 
elle est bien connue cette image
mais je me suis toujours demandé
comment ça finit?

il est mort ....
condamné/fusillé si je me souviens bien

quel courage en tout cas !!!
 
un sacre type .
 
 

c ce ki s'appelle etre pret à mourir pour ses convictions...

Ah non je crois pas qu'il soit mort.  
J'avais entendu que personne ne savait qui c'était.  
Ce jour là il a arrêté le char, est monté dessus et a dit deux/trois trucs au conducteur ou chef de char et ensuite il est reparti.

officiellemnt il n'est pas mort , offitcieusement personne ne l'a plus jamais revus.
 
moi ma philosophie c plustot :"mourir pour des idées , d'accord mais de mort lente ..."

j'ai toujours cru qu'il avait été écrasé par le char...

 
je me le suis toujours demandé
mais d'un côté seraient-ils allés jusque là

 
bof, à côté de trucs qu'ils ont fait, ç'aurait pas été grand chose, y'aurait pas eu de caméras et de journalistes, il serait passé dessous en tout cas...

 
Pas sûr.
Le type qui a filmé ces images n'était pas du tout censé pouvoir le faire. Il était consigné dans son hôtel comme tous les autres journalistes étrangers, et il a donc dû se contenter de filmer en cachette de sa fenêtre.  
Ne parlons même pas des journalistes locaux qui, à mon avis, ne devaient même pas pouvoir approcher les lieux de ces événements.

il a disparu ...tout simplement  

je connais pas cette image c'est a l'occasion de kel evenement ?

 
massacre en chine

 
ben justement, en vue de l'hôtel des journalistes, ils sont pas débiles non plus, ils savent qu'à partir du moment où on voit ça de l'hôtel des journalistes, ben ça va se voir un p'tit peu quoi...

Le 4 juin 2003 marque le 14e anniversaire du massacre de centaines de civils, à Pékin, le 4 juin 1989. Ce jour-là, des soldats lourdement armés et des centaines de blindés ont investi les rues de la ville pour en chasser des manifestants en faveur de la démocratie, ouvrant le feu à la fois sur les protestataires et sur les passants.
 
Au lendemain du massacre, des milliers de gens ont été arrêtés dans toute la Chine. Certains, condamnés à des peines de longue durée, sont toujours incarcérés. Amnesty International a recensé plus de 250 personnes encore emprisonnées pour avoir participé au mouvement pro-démocratique de 1989, mais elle pense que ce nombre reste très en deçà de la réalité. Chaque année, de nouveaux cas de prisonniers politiques incarcérés depuis 1989 ont été révélés.
En juillet 1997, Tang Yuanjuan et Li Wei, deux prisonniers d?opinion arbitrairement détenus dans le nord-est de la Chine pour avoir participé aux manifestations de 1989, ont été remis en liberté après l?annulation, par la haute cour provinciale de Jilin, de l?une des deux sentences prononcées à leur encontre pour " infractions contre-révolutionnaires ". La décision de la Cour s?étendait aussi à deux autres dissidents condamnés à la même époque mais qui avaient été libérés à l?issue de leurs peines. Au moment où leur cas a été réexaminé, Tang Yuanjuan et Li Wei purgeaient des peines respectives de vingt et treize ans d?emprisonnement, pour " propagande et agitation contre-révolutionnaires " et formation d?un " groupe contre-révolutionnaire ". Selon l?arrêt de la Cour, les sentences correspondant au premier chef d?inculpation étaient de huit ans, si bien que l?annulation de la seconde condamnation impliquait une remise en liberté automatique. Comme seul motif à son arrêt, la Cour a invoqué le fait que cette condamnation était dépourvue de " toute base légale ".
 
 
Une telle décision est sans précédent dans un procès politique depuis le début des années 1980. Il est permis d?espérer qu?elle pourra entraîner un autre regard sur les manifestations de 1989, et la révision des cas des personnes emprisonnées à la suite de ce mouvement. Jusqu?à présent, aucun réexamen de ce genre n?a été signalé. Pourtant, la décision de la haute cour provinciale de Jilin crée un précédent favorable aux révisions judiciaires dans des affaires similaires.
 
Amnesty International estime qu?il existe des raisons nombreuses et irréfutables de réviser les procès des personnes toujours détenues pour avoir participé aux manifestations de 1989, ainsi que de réparer les dénis de justice et autres violations des droits humains commis à l?époque.
 
La plupart des personnes ainsi incarcérées ont été reconnues coupables d?" infractions contre-révolutionnaires " qui ne sont plus des crimes aux yeux de la nouvelle loi chinoise. L?Assemblée populaire nationale (le Parlement chinois) a en effet supprimé les délits d?" infractions contre-révolutionnaires " du Code pénal lors de la révision de celui-ci, en mars 1997. Ce Code ainsi révisé est entré en vigueur en octobre 1997, mais les procès des condamnés pour " infractions contre-révolutionnaires " n?ont toujours pas été révisés.
 
Nombre d?entre eux sont des prisonniers d?opinion, détenus arbitrairement pour exercice pacifique de leurs droits fondamentaux, au mépris des normes internationales en la matière. Très peu de ceux qui restent en prison avaient joué un rôle de premier plan au cours des événements de 1989 ? ils ont pourtant souvent été condamnés à de lourdes peines.
 
Certaines des personnes arrêtées en 1989 ont été accusées de délits de droit commun ordinaires : de " vol ", par exemple, pour avoir emporté des munitions ou d?autres équipements que les soldats avaient laissés dans les rues, ou encore de " destruction de propriété " pour avoir monté des barricades avec des autobus ou incendié des véhicules militaires abandonnés. La plupart d?entre elles ont fait l?objet de procès sommaires pendant que la Loi martiale était encore en vigueur à Pékin, dans les sept mois suivant le massacre du 4 juin. Elles ont généralement été condamnées à de très lourdes peines, souvent totalement disproportionnées par rapport à la gravité des infractions présumées. Beaucoup se seraient vu extorquer des aveux sous la torture et auraient été condamnées à tort. Au fil des années, Amnesty International a demandé à plusieurs reprises la révision de leurs procès, mais ces requêtes ont été ignorées.
 
La nécessité de réviser ces procès est devenue chaque année plus pressante. À l?approche du dixième anniversaire de la répression des événements de 1989, Amnesty International demande aux autorités chinoises de libérer immédiatement et sans condition toutes les personnes emprisonnées pour exercice pacifique de leurs droits fondamentaux, et d?amnistier tous les autres détenus incarcérés à la suite des manifestations de 1989, compte tenu du temps déjà passé en prison, de la nature sommaire et inique des procès, et du fait que les appels réitérés demandant un nouveau jugement, conformément aux normes internationales, sont restés lettre morte. Il serait également souhaitable que les autorités suivent l?exemple de la haute cour de Jilin qui a annulé des condamnations pour " infractions contre-révolutionnaires ", une catégorie désormais absente du Code pénal chinois.
 
Les affaires présentées ci-après illustrent le sort de nombre d?autres prisonniers politiques peu connus qui purgent actuellement des peines de longue durée en relation avec les événements de 1989.
 
 
D'après http://membres.lycos.fr/amnesty/chine-3.html.

 
Georges  

j'aurais pu le faire  

tien an men ?

Exécuté d'une balle dans la nuque.
 
Le journaliste qui a pris ces images était aussi dans la bande de paparazzis qui ont provoqué la mort de Lady Di.

N'empêche, abstraction faite de l'histoire politique de la Chine, la place Tian An Men, c'est beau.
Le temps de upper quelques photos....

La place Tian An Men :  
 

 
Les chars devaient être sur cette avenue :  

 

 
Et la Cité Interdite juste en face :  
 

 

 
Ha ouais ?  
 
Un grand journaliste alors  

j avais vu un reportage (ARTE ??) traitant de cette episode , il fut arreté et jugé avec une poigné d autres etudiants ,condamnés a mort de source plus ou moins officiele personne ne les a plus jamais revu sur terre ...

et dire que la Chine va accueillir les Jeux en 2008, je trouve ça scandaleux...m'enfin...encore une histoire de gros sous...!

 
Tu sais bcp de personne ayant fait ca se sont retrouvé sous le chars et donc mort.

 
exact, pourquoi les candidatures des pays africains sont sytematiquement rejeté alors qu'ils offrent les infrastructures necessaire?

 
Tout simplement parce qu ils craigne attenta, émeute....

 
dans les pays africains?    
 
Tu sais, ils sont ausi intelligent et capable que nous là bas hein

 
ouai on voit bien ca  

 
non non, c'est juste qu'il y a pas de sous a prendre. La chine par contre, avec son "boom économique" dont on nous bat les oreilles depuis des années

 
 
je ne considère pas que nous somme mieux qu'eux sur des critère financier

 
tu exagères, là !    
l'Afrique du Sud a failli en être !

 
Oui mais ca ne fais pas bonne impréssion ces guerre civile et autre conflit, sauf si tu parle de l afrique du nord.

Tout le monde sais qu'il y a des dessous de tables dans l'atribution des JO
les pays africains etant moins riche que la chine

 
je juge pas sur des critère financier je juge sur les critère de stabilité. et pour l'instant l'afrique c pas ce qui a de plus stable, a moins de prendre l'afrique du nord ou l'afrique du sud mais l'afrique centrale je pense qu'on peux laisser tomber.

 
LoL les sous on pas besoin d etre sur place pour les prendre.

 
Dans certain pays Africains cela crain aussi niveau sécurité (a cause des guerres civils)

 
ça reste vague...