A propos du symposium du WE dernier à Avignon,
AlainCo vient de nous publier son résumé de la 2ème journée.
D'abord, rappel du début du résumé de la 1ère journée :
Et maintenant, le résumé de la 2ème journée :
Voici le résumé de la 2e journée.
Je suis désolé de ne pas avoir le temps de trop relire ce texte.
Les diapositives seront publiés par la SFSNMC avec les vidéo des présentations, et mon texte a plutot pour but de donner envie aux gens de lire et visionner ces présentations.
Le premier exposé par Jean-Paul Biberian à décrit l'histoire de la Fusion froide.
Il a présenté quelques résultats d'avant la conférence de F1P, tel que Otto Reifenscheiler (années 70 chez Philips, Kuev&l (1986, des neutrons observés lors de coup de marteau sur de la glace d'eau lourde), Dejarguin (1989 dans nature, neutrons dans du TiD sous chocs).
La conférence de F&P a été un moment clé. Fleischmann et Pons n'étaient pas des inconnus, car Fleischmann était membre de l'académie des science royales britanniques et découvreur de l'Effet Raman Exalté, tandis que Pons était directeur du département de physique de l'université de l'Utah (poste non administratif aux USA).
Suite a cette conférence il y a eu des échecs, des réussites, des faux positifs.
Les théoriciens ont dit que c'était impossible.
et l'APS a déclaré que la fusion froide n'existait pas, mettant un couvercle sur le sujet.
L'expérience de F&P utilise un calorimètre isopéribolique très astucieux, simple et précis, mais que très peu ont reproduit car il faut une compétence extrême pour être précis avec.
McKubre a reproduit l'expérience differemment. C'était un ancien élève de Fleischmann, spécialiste du chargement du PdH.
L'expérience des cathode creuse de Aratta a été présentée. Un des résultat était par exemple de 24W après 1200h d'expérience...
Elle a été répliquée par McKubre, qui a fait des analyses spectroscopique et découvert non seulement du He4 mais aussi le très rare He3.
On a présenté l'expérience de Dennis Letts&Dennis Cravens. Dans une cellule electrochimique type F&P un laser est appliqué au moment où la cellule commence à réagir, et le laser de 1mW déclenche une chaleur anormale de 300mW.
Cette expérience a été modifiée en appliquant deux laser de fréquence décalée, produisant un battement THz. le plus intéressant c'est que en faisant varier la fréquence du battement, on observe une sorte de spectre de résonance sur la chaleur anormale.
L'expérience de Dardic, de la société Energetics (celle que Robert Duncan, directeur du département de physique à l'universié du Missouri à anaysée pou l'émission 60 Minutes, et qui l'a convaincu de faire de la recherche LENR) a été présenté. Grace a une excitation électrique par un signat très complexe (superwave) on a observé une chaleur anormale de 40watt pour une excitation de 0.74W (COP 25).
Le Nanor, développé par Hagelstein et Swartz du MIT a été présenté . C'est du Pd entouré de ZrO2, excité par un courant pulsé.
On a parlé des expérience où du He4 est mesuré.
F&P avaient mesuré le He4 mais ne 'ont pas publié.
Aratta au japon a aussi mesuré He4 avec un spectromètre précis, car il faut éviter la confusion entre He4 et DD dans les spectrometre de masse. Il a bien différencié les pics He4 et DD (avec l'aide d'un piège cryogénique pour pieger le DD).
Les Case, un ingénieur a testé un grand nombre de catalyseurs pour voir s'il y avait des chaleur anormale pour observer que du charbon de coco recouvert de palladium était actif. McKubre a observé la production de He4, et le rapport de proportionalité entre chaleur et He4 de 31MeV+/-13 par atome de He4
Pour les transmutations les expériences de Iwamura ont été évoquée.
Cela a commencé dans le cadre d'un projet de 5 ans du gouvernement japonais lancé en 1993 pour voir si la fusion froide marchait ou pas. Les résultats ont été décevant et le projet a été repris par Mitsubishi Heavy Industry.
Dans les expériences de Iwamura du D2 travers un sandwich de Pd et CAO en couche minces, recouvert de composé comme césium, samarium, Barium. Il a observé avec des spectrographe rayon X XPS des transmutations évoluant avec le temps, comme Cs+4D->Pr ou Sr+4D->Mo ou Ba+6D->Sm, avec des preuve que ce ne pouvait pas être une contamination (par exemple la présence du seul Mo96)
Il y a d'autres expérience de permeation.
Les expérience de Fralick (Nasa 89) ont été évoquée. Fralick a utilisé un filtre d'hydrogène en palladium et a observé la production de chaleurs (sans neutrons, contrairement à ses espoirs) à la vidange du flitra alors que la réaction devait être endothermique. Fralick l'a reproduit en 2011.
Biberian et Armanet (présent à la conférence) l'avaient reproduit vers 2005.
Aratta a fait des expériences avec du Pd recouvert de ZrO2, dans une ambiance de 100bar de deuterium et a observé de la chaleur
Piantelli a fait des expérience avec nickel et hydrogène légère, avec un barreau de nickel dont les deux coté n'étaient pas de la même température, et a observé de la chaleur.
Pour le tritium Claytor à Los Alamos a observé du tritium dans des expérience PdH
pour les neutrons, Jones en avait observé un peu.
Scaramuzzi en Italie en a observé avec du TiD2.
Jiang en a observé evce du TiD2 et du UD3.
Pour la détection de particule alpha, Fischer en a observé dans une expérience avec du deuterium et des composés comprenant palladium et zircon ZrO2.
Pour conclure Jean-paul Biberian à listé des pays les plus actifs, comme USA, Chine, Japon, Russie, Italie, et dans une moindre mesure, France, Royaume-Uni, Irlande, Corée, Hongrie, ...
Le deuxième exposé par Mathieu valat a présenté les travaux et les résultats du MFMP.
L'expérience du dogbone et notamment du "bang" a été très instructif sur ce qui se passe dans els expérience "à la Parkhomov". Cela a mené au développement du "glowstick", plus simple.
Il a aussi permit de repérer des incohérences dans le rapport de Lugano, notamment l'émissivité IR supposé pour la caméra (qui plutor que 0.45 semble être dans les 0.95 sur la bande de la caméra)
Les échange avec Piantelli ont donén des informations clé. Notamment il est essentiel de ne pas avoir d'oxygène dans la cellule.
La poudre de nickel d'origine Carbonyl a une structure présentant une surface très élevée.
Le procédé qu'ils utilisent suppose des séuqunece de chargement avec des plateaux autour de la température de Debye, puis au dessus de celle de Curie.
Le LiAlH4 est un produit qui se révèle très pratique, car selon son évolution (plein d'étapes) il y a le relargage d'hydrogène et de divers composés.
Il semble important de créer un précipité de lithium sur le nickel.
Bob Higgins s'est révélé avec des compétences clés sur ce sujet.
Le MFMP en Californie fait la tournée de labo pour récupérer des détecteurs He3 (neutrons) non utilisés.
Cela permettra d'instrumenter les expériences prochaines bien mieux qu'actuellement.
Il y a diverses réplication en cours, en Californie, au nouveau Mexique par Bob Higgins, et en France.
Il y en a aussi au SKINR, en république tchèque, par Brian Albiston, et de nombreuses d'autres.
Le troisième exposé décrit un accident observé par Didier grass, à Thomson CSF, lors de traitements de poudres de zircon (ZrO2) recouvert de nickel par pulvérisation cathodique.
Cet accident s'est produit avant l'annonce de F&P et il n'a fait le lien qu'après F&P. Elle n'a pas pu pêtre reproduit, vu qu'il ne s'agissait pas de recherche LENR mais d'un accident.
Il travaillait sur de possible matériaux innovant capable d'émettre des electrons efficacement dans les tubes à vides, par émission thermionique.
Il a commencé par recouvrir une poudre de zircon avec du nickel par un procédé "de pulvérisation cathodique". ce procédé est assez particulier en ce qu'il dépose une couche très éloigné de l'équilibre, plein de défauts métalurgique, notamment dit "de macle".
Ce dépot avait pour but de permettre de rendre la poudre conductrice, afin d'y déposer du nickel par électrolyse.
Dans ce but il a préparé une électrolyse dans un bain de Ni(NH2SO3)2 (amidosulfate de nickel) à 40C avec un courant de 10mA/cm2. Anode de nickel pur, et poudre en cathode.
après quelque secondes de lancement de l'électrolyse il a observé une boule de feu dans la cellule, mais pas d'explosion.
La poudre de zircon a fondu, ce qui se produit au dessu des 2000C.
Ce résultat ne semble plus si étrange car en LENR on connais l'intérêt des poudres nanostrcuturée, et que le dépot par pulvérisation cathodique est particulièrement anormal, presque amorphe.
la géométrie de la cathode type "hollow cathode" est aussi connue pour augmenter la compression électrochimique.
Didier gras s'interroge si les microcavité évoquées la veille par Francois de Guerville, ne sont pas en rapport avec ses observation.
Bill Collis a ensuite présenté son modèle théorique "Minimal Exotic Neutral Particle Model".
Il part d'hypothèse classiques et conservatrice en physique quantique, basé sur les observation.
Le fait que la réaction soit rapide implique qu'elle n'implique pas de réaction multi-corps, pas d'interaction faible, pas de barière coulombienne franchie.
Le fait qu'il n'y ait pas de radiation pénétrantes observée implique que l'impulsion soit conservée, que le spin soit conservé, que les produits de la réaction ne soient pas radioactive, et donc que l'énergie soit diffusée sous forme d'énergie cinétique.
A l'origine de ces "impossible" il y a diverses raisons. L'interaction faible est très peu probable, et implique la production d'un neutrino.
Pour les réaction cohérentes, Preparatta avait montré que la coherence est insuffisante tant qu'il n'existe pas des puits de potentiels de 80eV, or ils seraient observé au niveau chimique sous for de réaction très exothermiques.
Il en conclut qu'il y a deux réactifs, plus de 1 produits, que l'un des réactif est neutre, et que l'un des produits est neutre.
Il liste quelques modèles compatibles, comme les Erzions de Bazhutov, les polyneutrons de Fischer, le neutron hopping de Hagelstein.
La théorie devra expliquer la production de He4, la chaleur, le manque de radiation pénétrantes , et la difficulté de detecter ces particucles neutres exotique (Exitic neutral Particle).
Il propose qu'il existe une paire d'espèces neutres qui soient capable d'effectuer un transfert de neutron. Ce doit être un donneur de neutron, et son pendant accepteur de neutron.
Il élimine les polyneutrons (ne correspond pas aux observations).
L'existence de point chaud implique un comportement catalytique de cet objet, mais pas une réaction en chaine (non observée).
Il propose que ce donneur(En) et cet accepteur (E0) de neutron serve de catalyseurs à des réaction exothermiques entre 3 isotope, avec régénération du donneur de neutron.
par exemple
Li6+En -> E0+Li7+energy
Li6+E0 -> En+Li5 +energy
Il trouve des cycle catalytiques similaires avec C13, H2, W183, Pt195, U238
Ces matériaux ont été impliqués dans des réactions LENR dans certains papiers.
Il y a des prédiction à vérifier sur les isotopes et transmutations.
Un échange a eu lieu avec Jean-Luc Paillet sur la possibilité que cette espèce donneur de neutro soit en fait un atome dont un électron est tombé dans un état DDL...
La présentation de Frederic henry Couannier a poursuivi sur la base de la théorie de la gravité à coté obscur.
Le point clé est que l'espace peut voir apparaitre des discontinuité où l'espace se contracte localement.
Ce qui pourrait déclencher ce basculement serait la densité d'énergie/masse locale.
Il propose qu'un basculement soit déclenché suita l'arrivé de charges ou de masse locales, ce qui une fois enchenché maintiendrait quelque temps comme le phénomène de foudre en boule, jusqu'ace que l'objet soit neutralisé. tant que la sphère ne serait pas neutralisée, la zone concernée maintiendrait une forte densité. Les objets massifs contenus dans cet espace par contre suivraient les charges proches de la surface, ce qui donnerait l'impression d'un objet d'une charge énorme alors qu'en fait il s'agirait juste de petites charges, légères, suivies par l'espace contracté et lourd. Cela expliquerait les particules étranges et exotiques observées dans certaines expérience de bazhutov.
Pierre Clauzon et daniel Fargue ont présenté des expériences récentes d'electrolyse plasma comparables à celles de Mizuno et Bazhutov.
Ces expérience font suites à des travaux de réplications de Mizuno faits vers 2006.
Ils sont réalisés dans le contexte de l'institut De Broglie, une association de passionés.
A l'époque il y avait eu un soucis avec un wattmètre à trop faible bande passante ayant fait croire à un COP de 1.4 qui finalement s'est révélé être 1.1.
L'expérience de Bazhutov et Mizuno diffèrent principalement par la polarité inverse.
L'expérience actuelle se fait dans une solution aquese de k2CO3 à 0.2M, avec chauffage de 400W, et voltage continue de 250V typ.
Il fonctionne en mode compensé en tentat de stabiliser la température.
On utilise un vase Dewar (NB: type thermos!).
Il y a plein de problème expérimentaux, tel que les éclaboussires, la stratification thermique de la cellule, les temps morts entre les phase d'arcage, ce qui cause des fuites thermiques variables et des soucis de mesure divers.
L'expérience a été amélioré en maintenant la température à 100C, en utilisant le corps d'une bouilloire.
Les mesures actuelles, en mode Bazhutov, laissent entrevoir un COP 1.1-1.2, si on corrige les pertes estimées par transfert thermique des électrodes, chaufféres à blanc.
C'est un travail en cours, et le résultat n'est pas définitif.
La présentation suivante a été faite par Jacques Dufour (connu pour ses travaux faits au CNAM pour le compte de Shell).
Il a présenté rapidement des résultats quand à la synthèse d'un composé qu'il nomme "pico-hydrure de fer".
C'est "un dipole électrique permanent de dimension atomique"...
Il s'agit d'un hydrogène qui se retrouve associé à un atome de fer, par la couche électronique K, au lieu d'être par la couche externe.
L'atome d'hydrogène est initialement excité au point d'avoir une orbite éliptique qui pénètre dans les couches profondes de l'atome de fer, et le tout est tabilité par atraction électrostatique.
Il a faut des mesures en calorimétrie différentielle pour mesurer la chaleur produite à la dissociation de cette espèce étrange.
L'enthalpie de formation de ce composé est ainsi environ un millier de fois celle de la combustion connue du carbone dans l'oxygène (et un millier sou celle d'une réaction nucléaire de fission), dans les 390MJ/mole.
Ces travaux sont dans le cadre des ses travaux sur ce qu'il appelle la pico-chimie.
Ensuite Jean-Paul Biberian à décrit ses 5 expériences en cours.
La première est celle de Mizuno-Bazhutov. Ell est faite dans un calorimètre haute pression (10bar).
Il y a une expérience de type Rossi/Parkhomov, mais il n'y a pas de résultat pour le moment.
Il y a la réplication de l'expérience ICARUS9 de Fleischman&Pons, une électrolys à l'ébulition avec condensation. Il a fallu reconstruire le calorimètre d'après les plans du fabriquant. Elle est en cours de calibration.
Pour stabiliser l'ambiance autour du calorimètre, un grand aquarium cylindrique et un régulateur de température d'aquarium sont utilisé. Il est rappelé que même avec une calorimétrie de flux massique, les variation de la température ambiante sont source d'incertitude.
Il y a une réplication des expériences de perméation (2004-2006), mais il y a un soucis pour retrouver les détails de l'époque (il est question de dorure du palladium).
Il y a des travaux sur une expérience impliquant des micro ondes et un plasma poussierreux chargé en charbon de bois, produisant des cendres magnétiques, dont du fer qui a été détecté. Cette expérience a été prêté par George Mengeli qui soupconne des transmutations.
Dans l'audience certains ont avancé la possibilité d'avoir de l'oxyde de fer dans le charbon de bois, qui subisse une réaction similaire à celle des hauts-fourneaux. Une hypothèse à tester.
Il y a eux des tables rondes.
Samedi la table ronde posait la question de comment définit les expériences visant à tester les prédiction des théories. Les théoriciens sont invités à proposer des prédictions et des expériences.
Dimanche Il a été évoqué la possibilité que la SFSNMC coordonne les efforts de recherche LENR en France.
@David Fojt , qui a pris en charge ce sujet à la SFSNMC, a parlé notamment de la possibilité de créer des pôles géographique cohérents.
Il y a clairement un pôle dans le Sud-Est de la France, entre Avignon et Marseilles notamment, avec ne nombreux membres de la SFNMC.
Il y a aussi un pôle parisien naturel.
On voit aussi apparaitre un pôle à l'Est, vers Strasbourg.
Il est apparu important d'une part que les participants se rencontrent, et aussi que les compétences et apports de chacun, parfois modestes, soient listés car même de petits apports peuvent se révéler très utiles pour la recherche. Tout doit se faire dans le respect des volontés de chacun, car le niveau d'engagement et de disponibilité est très variable.
Il faut faire circuler l'information, audelà des pôles géographiques.
Si la SFSNMC souhaite pouvoir coordonner les efforts de recherche, pour l'accélérer, comme l'a bien dit Mathieu Valat le président de la SFSNMC il est important d'abord de bien définit les objectifs, pour ensuite les décliner en actions et projets.
A noter que Bill Collis avec Jean-Francois geneste , Jenny Vinko, (et j'en oublie), ont lancé le ISCMNS Industrial Board (le nom est peut être légèrement différent, mais l'idée est là), dont l'idée date de l'ICCF19 et même de bien avant. J'imagine que Bill Collis va nous préparer un communiqué prochainement, car c'est une évolution importante de l'ISCMNS.
Mon feeling:
Ce symposium a été un moment très riche de rencontre sur plusieurs axes.
On y a vu des retraités échanger avec de jeunes doctorants.
On y a aussi vu des chercheurs du monde académique, échanger avec des ingénieurs et industriels.
Les avions ont parlé avec les voitures, les réplicateurs ont parlé avec le capital risque, les docteurs ont échangé avec les béotiens, la fusion chaude avec la fusion froide, l'ingénierie avec la recherche.
Belges et Québécois ont enrichi l'assemblée où le sud et le nord de la France échangeait déjà beaucoup.
Avec ces rencontres riches, se révèle la question importante de la relation entre l'esprit d'entreprise, et l'éthique académique, entre la rigueur de l'ingénierie et le gout de la découverte.
Il va falloir échanger, éventuellement coordonner, valoriser et exploiter l'enthousiasme et les talents variés, dans le respect de chacun.
Je n'ai pas l'impression que ce problème soit spécifiquement français, mais par contre la création de pôle géographique et linguistiques, dans le cadre d'une grande Internationale LENR, peut accélérer les progrès de la recherche de des développements.
Je crois que déjà des choses vont aller plus vite, en France, en Francophonie, et à l'international.
Des rencontres ont eu lieu. (à quand le bébé?)
Beaucoup d'infos, je n'ai pas encore tout lu, le reste ce soir, mais je vous souhaite de prendre autant de plaisir que j'en ai pris jusque là.