A ceux qui veulent plus de précisions, bien que l'esprit humain ne soit pas "dimensionné" pour accueillir autant de données extraordinaires d'un seul coup.
Les thèses développées dans mes dires s'appuient sur des découvertes scientifiques, des faits connus, et des références à des écrits anciens.
Pour vous donner un exemple du danger que peuvent constituer les USA et les chinois du FBI, il ne faut pas aller bien loin. L'invention de Reich était un « accumulateur d'énergie d'orgone ». (Invention saluée par Théodore P. Wolfe comme « la plus grande découverte de l'histoire de la Médecine ») Le FDA gomma littéralement les rapports d'un grand nombre de physiciens réputés qui émanaient du monde entier, rapports qui venaient corroborer les découvertes de Wilhelm Reich. Ces travaux étaient si révolutionnaires qu'ils menaçaient sérieusement les intérêts commerciaux d'un certain nombre de sociétés, à commencer par l'industrie pharmaceutique. Il fallait donc tuer dans l’œuf la merveilleuse découverte de Wilhelm Reich. On s'y employa activement.
Les thèses de Reed et de Gardner trouvèrent une confirmation dans les expéditions polaires de Byrd : l'Arctique, en 1947, l'Antarctique, en 1956. L'explorateur américain s'aventura sur une distance de 2 700 kilomètres au-delà du pôle Nord et de 2 700 kilomètres au-delà du pôle Sud, pénétrant dans un territoire inconnu, libre de glace, qui s'étendait à l'intérieur des dépressions polaires. Ce territoire n'est mentionné sur aucune carte. La véritable signification des découvertes de l'amiral Byrd fut étouffée dans l'œuf. On ne lui donna pas l'attention qu'elle méritait, jusqu'au moment où Giannini et Palmer s'emparèrent de l'affaire. Je vous ai expliqué plus haut pourquoi cette information n'atteignit pas le public. Une information qui pourtant concerne une des plus grandes découvertes géographiques de toute l'histoire, plus grande peut-être que la découverte de l'Amérique par Christophe Colomb, car si ce dernier découvrit un nouveau continent, Byrd, lui, découvrit un Nouveau Monde d'une superficie égale, ou peut-être même supérieure à celle de nos cinq continents réunis (en prenant en compte que l'intérieur de la Terre est tel qu'il pourrait accueillir 1,86 fois la planète mars, largement la place pour y mettre 2 soleils internes par exemple, c'est vous dire l'ampleur de la découverte).
L'explorateur ne passa pas au-dessus du pôle Nord pour continuer ensuite son vol de 2 700 kilomètres vers le sud. Sinon, il aurait rencontré un territoire pris dans les glaces. Au contraire, la terre qu'il survolait n'avait ni glace ni neige, elle était dotée d'un climat chaud, et on pouvait apercevoir des forêts, des montagnes, des lacs, une végétation verte, et même des traces de vie animale (des excréments gigantesques, émanant très certainement d'ancêtres d'éléphants, les mammouths).
Vous allez sûrement me demander pourquoi je suis en mesure de décrire aussi précisément et clairement tous ces faits. La raison en est simple, Byrd n'était pas un poète, et ce qu'il décrivait était exactement ce qu'il observait de son avion. Au cours de ce vol Arctique de 2 700 kilomètres au-delà (et non au-dessus) du pôle Nord, Byrd relata par radio qu'il voyait au-dessous de lui non de la glace et de la neige, mais des paysages divers où apparaissaient des montagnes, des forêts, une végétation luxuriante, des lacs et des rivières. L'explorateur aperçut même dans les broussailles un étrange animal ressemblant à un mammouth. Il était entré, de toute évidence, dans une région plus chaude que celle qui s'étend du pôle à la Sibérie. Au-delà... et non au-dessus. Cette nouvelle terre INCONNUE survolée par l'amiral américain pendant 2 700 kilomètres n'est mentionnée sur aucune carte. Et pourtant elle existe, à l'intérieur de l'ouverture polaire.
Si notre conception d'une Terre concave à ses deux extrémités est correcte - ce que nous allons tenter de prouver - alors le pôle Nord et le pôle Sud n'existent pas ! Ils se situeraient, en effet, entre ciel et terre, au centre des ouvertures polaires, et non à la surface.
Il faut espérer qu'une expédition sérieuse sera entreprise par un pays neutre et pacifiste, et qu'un contact pourra être établi avec cette super-civilisation qui s'est développée, LÀ-BAS, au-delà des pôles, et dont les soucoupes volantes sont la preuve évidente de sa supériorité dans le domaine scientifique (peut-être les nazis ont-ils suivi un tracé scientifique différent du notre, en se basant sur la théorie de l'évolution de Darwin : une civilisation très en avance sur la nôtre en matière d'aéronautique, utilisant les soucoupes volantes pour leurs voyages aériens, et se propulsant à la surface de la Terre par l'intermédiaire des ouvertures polaires). Peut-être l'évolution et la sagesse de cette race nous sauveront-elles de l'anéantissement ? Peut-être alors une future guerre nucléaire pourra-t-elle être évitée ? Un nouvel Age s'instaurera sur Terre, un âge de paix, et toutes les armes nucléaires seront interdites par un gouvernement mondial représentant tous les peuples de la Terre.
Enfin, pour les plus rétissants : de quelle terre était-il question ? Regardez une carte. Calculez les distances de tous les points connus Sibérie, Spitzberg, Alaska, Canada, Finlande, Norvège, Groenland, Islande... Ils sont à peu près tous à moins de 2 700 kilomètres du pôle. Et pourtant Byrd n'a survolé aucune terre connue. Ce qu'il a découvert, il l'a nommé lui-même « le Grand Inconnu ». Et combien grand, en effet ! Car après 2 700 kilomètres de vol, il fut contraint de faire demi-tour par manque d'essence, et à ce moment il était loin d'avoir atteint les limites de ce territoire. Il n'aurait dû voir au-dessous de lui qu'un océan en partie bloqué par les glaces. Au lieu de cela, il survola des montagnes couvertes de forêts !
Le Dr Nephi Cottom, de Los Angeles, a rapporté qu'un de ses patients, un homme d'origine nordique, lui avait fait le récit suivant :
J'habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai avec un ami de faire un voyage en bateau et d'aller aussi loin que possible dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et primes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d'une voile, mais aussi d'un bon moteur.
[...]
Au bout d'un mois, nous avions pénétré très avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n'arrivions pas à dormir.
(Les explorateurs arctiques qui se sont enfoncés dans les régions polaires ont fait de semblables observations sur ces hausses de température qui parfois les poussaient à ôter leurs lourds vêtements chauds. - Faits Réels !)
[...]
Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit, l'océan semblait se déverser ! Intrigués, nous continuâmes dans cette direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste canon qui conduisait au centre du globe. Nous n'étions pas au bout de nos surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu'un soleil brillait à l'intérieur de la Terre!
[...]
L'océan qui nous avait transportés au creux de la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme nous l'apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d'un bout à l'autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu'à son terme on pouvait atteindre le pôle Sud.
[...]
Comme nous le constatâmes, la surface interne de notre planète comprenait des étendues de terre et d'eau, exactement comme la surface externe. Le soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s'y déve-loppait abondamment.
[...]
Au fur et à mesure que nous avancions, nous découvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait des proportions gigantesques, les plantes, les arbres... et aussi les êtres humains. Oui, les êtres humains ! Car nous en rencontrâmes, et c'était des GÉANTS.
Attention, il faut garder à l'esprit que ce témoignage concernant la taille extraordinaire des allemands de l'axe est subjective, venant des américains de l'époque. Car si l'on se souvient bien, Hitler ne cotoyait que des êtres issus de la race arienne, qu'il sélectionnait volontairement grand. Cet épisode noir de l'histoire apporte un complément d'information aux dires de ce docteur.
[...]
Ils habitaient des maisons et vivaient dans des villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus grande. Ils utilisaient un mode de transport électrique, une sorte de monorail qui suivait le bord du fleuve d'une ville à l'autre.
[...]
Certains d'entre eux aperçurent notre bateau sur le fleuve et furent très étonnés. Ils nous accueillirent amicalement, nous invitèrent à déjeuner chez eux. Mon compagnon alla dans une maison, moi dans une autre. J'étais complètement désemparé en voyant la taille énorme de tous les objets. La table était colossale. On me donna une assiette immense, et la portion qu'elle contenait aurait pu me nourrir une semaine entière! Le géant m'offrit au dessert une grappe de raisin, et chaque grain était aussi gros qu'une pêche. Le goût en était délicieux. A l'intérieur de la Terre, les fruits et les légumes ont une saveur délicate, un parfum subtil. Rien de comparable avec ceux de "l'extérieur".
Certains pensent que ces géants, appartenaient à la race antédiluvienne des Atlantes. Ils s'étaient réfugiés à l'intérieur de la Terre pour échapper au déluge qui submergea leur continent. Personnellement, je ne pense pas que cette théorie tienne la route et mon explication plus haut semble être la bonne.
Merci, à bientôt.
Pour plus d'explication, laissez moi votre fax, on pourra ainsi correspondre.
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