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Auteur Sujet :

Ecrire un livre : vos romans amateurs (Màj du 1er post)

n°9113402
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 03-08-2006 à 15:33:37  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Bon ben, dans ce cas-là je vais passer le reste de mes vacances à lire tous les livres de la littérature française 24h/24 lol.  
je suis tout à fait d'accord avec toi daniel y a pas de mode d'emploi pour écrire un livre. D'ailleurs, on ne peut pas donner de conseils infaillibles car comme le dit Pierre Bottero l'écrivain d'Ewilan, "ce qui est un piège pour un auteur peut être une force pour un autre". Donc voilà, la vérité est parfois triste mais il faut l'admettre, il n'y a pas vraiment de conseils à donner pour un jeune auteur (j'insiste sur vraiment car il y en a quand même). Ce que j'espère avant tout c'est que l'histoire que je suis en train d'écrire sera celle que j'ai vraiment imaginé et même si elle ne plaît qu'à moi (ce que je n'espère pas) je veux qu'elle me plaise plus qu'énormément.

mood
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Posté le 03-08-2006 à 15:33:37  profilanswer
 

n°9115906
Das schrec​kliche K
j'ai pas trouvé plus simple...
Posté le 03-08-2006 à 18:36:31  profilanswer
 

Citation :

Ce que j'espère avant tout c'est que l'histoire que je suis en train d'écrire sera celle que j'ai vraiment imaginé


Peut-on écrire une histoire que l'on n'a pas vraiment imaginée? lol
ce que tu dis est vrai, personnellement je pense qu'il n'y a pas de bons/mauvais conseils à donner, simplement des indications, des avis.
Le plus important est de travailler son style, toujours, inlassablement (jusqu'à l'épuisement s'il le faut! herm... peut-être pas finalement) ne pas se limiter à une ou deux relectures, lire énormément (on n'apprend pas sans maîtres), aimer sa langue maternelle (posséder un vocabulaire conséquent au ton de son oeuvre, maîtriser la grammaire, conjugaison, orthographe, ponctuation et autres monstres de la même espèce sur le bout des doigts)
et évidemment y prendre du plaisir, l'inverse serait ennuyant, non?
Bon, trêve de bavardages, postez vos extraits maintenant!

n°9115939
daniel_lev​rai
Semper eadem sed aliter
Posté le 03-08-2006 à 18:39:57  profilanswer
 

ne te tracasse pas pour l'orthographe et la ponctuation, les écrivains que je connais ne sont pas des grammairiens patentés ;)

n°9117116
samy nc
Posté le 03-08-2006 à 21:24:50  profilanswer
 

Je suis intéressé par la lecture de certains de vos extraits, que ce soit public ou en mp :)

n°9121844
keskiya
I'm lost...
Posté le 04-08-2006 à 11:50:48  profilanswer
 

je suis d'accord aussi, mais c'est vrai qu'il y a quelques conseils à donner à un jeune écrivain. Et je crois que ces quelques conseils sont regroupés par je sais plus qui (dsl j'ai pas le temps d'aller voir!!!) bref, en page 2.  
Et c'est d'ailleurs très bien écrit dedans qu'un écrivain ne peut pas suivre tous ces conseils: il y en a plusieurs qui sont... mince, quel est le mot déjà? Opposés??? bref, vous avez compris quoi! lol
 
j'avais une question à vous poser: quand vous écrivez, vous pensez à quoi? A vous faire plaisir, ou à faire plaisir au lecteur?
Perso, je me fais plaisir en espérant que ça plaira au lecteur, et ensuite j'essaye que ça plaise au lecteur tout en continuant de me faire plaisir... oparce que je pense que si un écrivain ne se ait pas plaisir en écrivant, il va manquer un petit quelque chose à son texte... enfin, on verra qu'il n'a pas pris plaisir à raconter ça et... je ne sais pas, il manquerai un 'petit plus'... mais d'un autre côté il faut aussi faire plaisir au lecteur, qu'il puisse être 'dans' ce qu'on écrit... donc je pense que ça fait un juste milieu.. non? (enfin, j'ai peut-être pas été très claire.... c'est ma spécialité que de ne pas être très claire... mdr)

n°9122611
keskiya
I'm lost...
Posté le 04-08-2006 à 13:14:09  profilanswer
 

dsl j'ai mal dit:
 
 ces quelques conseils sont regroupés SUR UN SITE DONNE par je sais plus qui (dsl j'ai pas le temps d'aller voir!!!) bref, en page 2.  
 
un peu plus clair, non? ^^

n°9123548
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 04-08-2006 à 14:28:42  profilanswer
 

C'est DocWario qui a donné le site en page 2. Heureusement que je suis là (lol). Sinon moi j'écris d'abord pour me faire plaisir mais ça me ferait plaisir que ça fasse plaisir au lecteur (je crois que y a une promo sur le mot plaisir lol). Sinon Das schreckliche K (ouai j'ai réussi à l'écrire) je suis pas du genre à me relire qu'une fois au contraire ce serai plutôt une centaine de fois jusqu'à connaître mon texte par coeur. Mais le problème à force de se relire c'est qu'on ne sait plus si c'est bien, si les émotions qu'on veut faire passer sont assez fortes ou pas parce qu'on connaît tout ce qui va arriver par coeur, alors j'ai essayer de faire comme certains font, laisser mon texte pendant trois mois au fond d'un placard sans y toucher et passer à autre chose puis plus tard le relire. Le problème c'est que je me rappelais encore de tout.

n°9123795
Das schrec​kliche K
j'ai pas trouvé plus simple...
Posté le 04-08-2006 à 14:42:22  profilanswer
 

tiens, c'est marrant ça me fait la même chose, relire c'est primordial mais il faut se limiter à trois ou quatre relectures sinon on trouve (en tout cas pour moi) que tout ce que l'on a fait est moyen, alors on s'entête à l'améliorer pour finalement revenir à la première version... galère! le mieux est donc de se faire aider par ses amis/famille qui le liront (plus les amis, la famille n'est pas très objective généralement) et pourront ainsi donner leurs avis...
Sinon, quand j'écris (par plaisir ou par besoin) j'imagine surtout les scènes, je me pose des milliers de questions et je tente de retranscrire au mieux mes pensées anarchiques. Pour l'instant, ça marche (800 pages word à mon actif, plutôt satisfaisant!)
 
HS: bravo pour le pseudo Arwen! j'avoue ce n'est pas évident....


Message édité par Das schreckliche K le 05-08-2006 à 11:37:03

---------------
The Riders come with the rain clouds, you will hear the thunder of their hooves in the sky.
n°9124030
samy nc
Posté le 04-08-2006 à 14:57:31  profilanswer
 

Oui c'est également ce que je faisais, pas assez relire ou trop relire ce que l'on fait pose des soucis, déjà qu'il n'est pas facile de juger son propre texte. C'est pour cela aussi que faire lire aux autres est, à mon avis, la meilleure méthode, et sans les conseils de l'affreux K ou les tiens Arwen et bien je n'aurais pas pu passer seul de la version 1.0 à la version 1.8 (façon de parler).

n°9126261
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 04-08-2006 à 17:41:01  profilanswer
 

Pour répondre à Das schreckliche K je pense qu'il ne faut pas limiter c'est relecture. C'est hyper utile, ça a changer mon prologue en un truc que j'adore et dont je suis satisfaite désormais (bien qu'il y ait des rectifications à faire auxquelles je soliciterais vos avis). Sinon je pense aussi qu'il faut se faire lire mais je ne suis pas d'accord que les amis c'est mieux car justement il ne veulent pas vous blesser ils feront quelques remarques mais c'est tout, alors que la famille est sans scrupule nous le savons (lol j'exagère) et elle sera franche ce qui vous aidera à perfectionner votre histoire. Mais il faut quand même qlq amis pour nous dire que c'est bien et nous rassurer.

mood
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Posté le 04-08-2006 à 17:41:01  profilanswer
 

n°9126324
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 04-08-2006 à 17:46:57  profilanswer
 

Bon voilà j'ai quelques questions à vous poser. "Le vent faisait frémir les feuilles des arbres puis se frayait un chemin à travers les champs de blés pour aller s’échouer plus loin sur les murs du village." Est-ce que ça vous paraît chelou que le vent s'échoue sur les murs du village, parce qu'en fait c'est une métaphore mais je voulais savoir si ça génait quand même dans ma phrase. "L’homme s’enfonçait dans la forêt, le cœur à se rompre. " Je voulais savoir si c'était français "le coeur à se rompre". Voilà c'est tout ce que je voulais savoir.  
Merci d'apporter votre aide

n°9126475
Das schrec​kliche K
j'ai pas trouvé plus simple...
Posté le 04-08-2006 à 18:05:10  profilanswer
 

alors, la première phrase le verbe échouer est en effet un peu bizarre, même en sachant qu'il s'agit d'une métaphore. Aprés, ce n'est pas non plus choquant, ça ne perturbe pas particuliérement la lecture. Si il te dérange (on peut toujours l'améliorer!) tu peux la reformuler d'une autre façon, toujours sous forme de métaphore mais avec d'autres verbes et d'autres images, du genre:
"Le vent submergeait/noyait les feuilles des arbres puis ondulaient à travers les champs de blés pour aller s'échouer sur les murs du village"
bon, la métaphore filée est pas génial (désolé je suis pas inspiré) mais ça peut donner des idées, ainsi l'image du verbe s'échouer est justifiée...
 
la deuxième... "le coeur à se rompre" eh bien ce n'est pas trés joli et en tout cas je ne l'ai jamais vu employer dans un livre (je ne pense pas que se soit très français) tu peux faire une légère modification "le coeur battant à tout rompre"
voilà pour moi!


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The Riders come with the rain clouds, you will hear the thunder of their hooves in the sky.
n°9126879
samy nc
Posté le 04-08-2006 à 18:55:40  profilanswer
 

"Le vent submergeait les feuilles des arbres puis ondulait à travers les champs de blés pour (aller) s'échouer sur les murs du village". Cette formulation proposée par schreckliche K est bonne, bien que moi je retirerai "aller", mais en tout cas la métaphore doit rester présente tout au long de la phrase submerger/onduler/s'échouer, car si la métaphore ne touche que le dernier verbe, elle sonne pas très juste.
 
Le coeur à se rompre, il manque un terme je dirais, "le coeur prêt à se rompre", mais pas très joli non plus, ou encore une fois la proposition faite "Le coeur battant à tout rompre" est très bonne je pense.  

n°9127088
daniel_lev​rai
Semper eadem sed aliter
Posté le 04-08-2006 à 19:23:39  profilanswer
 

oui bon, c'est pas un concours de synonyme. Tout dépend l'image qu'il a à l'esprit. On peut imaginer que le blé tournoi ou se courbe. Le blé se courbant telles des demoiselles blondes faisant la référence. Pourquoi pas une anarchie dans les épis de blé ? Le blé ça tourne de manière bien différente. Un vent violent peut créer des vagues sur le blé. C'est d'ailleurs très impressionnant à voir. Et puis, le blé a une odeur particulière et c'est très lié à l'été, ou alors le blé est encore vert et apporte par le vent une fraicheur printanière. Je ne pourrais jamais trouver un synonyme pour toi das


Message édité par daniel_levrai le 04-08-2006 à 19:24:09
n°9133505
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 05-08-2006 à 14:28:27  profilanswer
 

Bon ok je vais revoir ça, en tout cas merci pour l'aide. Je pense que dans le truc du vent je dois changer le premier verbe parce que le deuxième, se frayer un chemin, c'est aussi une métaphore non? Pour le coeur à se rompre je me rends compte maintenant que c'est pas trop français et je vais changer ça. En tout cas merci à vous. Je reviendrai peut-être avec d'autres questions et j'espère que vous serez toujours là pour m'aider.

n°9140043
keskiya
I'm lost...
Posté le 06-08-2006 à 13:31:38  profilanswer
 

en attendant qu'Arwen revienne avec d'autres questions, j'en pose une... (m'en veux pas Arwen, OK? ^^)
 
bon, dans ce que j'écris, il y a une porte pour passer d'un monde à l'autre (plus d'une en fait). Et jusque là je l'avais fait très matérielle. Mais je me demande si ça ne serait pas mieux s'il y avait plus de subtilité, style que la porte se situe entre les mondes et que, du coup, on peut passer au travers sans se cogner (comme un hologramme quoi, sauf qu'au lieu de se retrouver de l'autre côté, on attérit dans un autre monde)... ça fait peut-être un peut abrupte, une porte matérielle, non?
 

n°9162073
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 08-08-2006 à 18:18:07  profilanswer
 

Mmmh! Ta question mérite réflexion. Comme j'ai lu un bout de ton histoire je sais un peu de quoi il est question. Peut-être tout simplement que ta porte PARAIT matérielle (on peut la toucher, l'ouvrir, lui parler (lol)) mais de toute façon ce n'est pas une porte normale. Elle peut avoir les caractéristiques d'une porte normale tout en gardant un certain mystère autour d'elle. Ou peut-être que chacun la voit comme il veut. Certains pourront la toucher et l'ouvrir, d'autres la traverseront, d'autres chercheront un message pour pouvoir passer, d'autres encore verront une immense grotte à explorer... comme si elle agissait sur l'imagination des gens, un truc bizarre quoi. Bref tu as sans doute des possibilités infinies avec une porte de ce genre. N'hésites pas à les utiliser pour en faire une porte extraordinaire.
 
Voili, voilou. Pour le moment je n'ai pas d'autres questions.

n°9168743
keskiya
I'm lost...
Posté le 09-08-2006 à 12:05:28  profilanswer
 

merci Arwen, je vais réfléchir à ce que tu as dit, c'est une bonne idée... enfin, je trouve. Mais je ne sais pas trop... je t'envoie un mp...

n°9197895
Bloompott
Posté le 12-08-2006 à 09:25:09  profilanswer
 

A keskiya
 
le système de portes qui permettent de passer d'un monde à l'autre a été très bien exploité par Stephen King dans la série de la Tour Sombre (en particulier dans les volumes 3, 6 et 7). Si tu as une centaine d'heure à dépenser, tu peux te jeter dedans. Tu peux également aller voir du côté de Philip José Farmer avec la Saga des Hommes-Dieux. Il ya aussi de très bons exemples de ce mode de transport.  
 
En réponse à daniel_levrai, je ne suis pas vraiment d'accord avec tes propos sur le fait de lire plus de lecture française qu'étrangère. L'intérêt de lire beaucoup se situe à mon avis dans le fait de comprendre comment sont construits les récits, comment évoluent les personnages. Je ne vois pas très bien ce que la traduction enlève à cela (même si mes lectures me portent plus vers les auteurs français).
 
Et je le réécris, évitez de faire trop de fautes. Peut importe que tel auteur ne soit pas grammairien ou prof d'orthographe. La plupart d'entre vous n'avez jamais publié et, heureusement, écrire sans trop de fautes est un passe qu'il ne faut pas négliger.

n°9199828
Profil sup​primé
Posté le 12-08-2006 à 16:41:07  answer
 

Salut tout le monde !
    je voulais savoir: si l'on écrit un roman mais qu'il y a des erreurs d'orthographes que peut-on faire pour les corriger? (existe-t-il un meilleur corecteur d'orthographe que celui de word?)
 
Merci d'avance!  :)  

n°9199855
Das schrec​kliche K
j'ai pas trouvé plus simple...
Posté le 12-08-2006 à 16:49:04  profilanswer
 

Pour les fautes d'orthographe il n'y a pas de secrets: il faut se relire, ouvrir ses livres de grammaire/orthographe/conjugaison jusqu'à ce que ça rentre. Crois moi, d'ici quelques semaines (ou mois s'il y a vraiment de grosses lacunes) tu ne feras plus que des fautes d'inattentions ou de frappes, enfin... le plus souvent!).
Après pour les correcteurs autographiques je pense que le meilleur est word après tu peux toujours fureter sur les sites de téléchargement mais ça m'étonnerait que tu trouves mieux.
Autres techniques: te faire relire par des amis bons en orthographe ou payer un correcteur professionnel (perso je n'apprécie pas trop cette technique!)


Message édité par Das schreckliche K le 12-08-2006 à 16:52:08

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The Riders come with the rain clouds, you will hear the thunder of their hooves in the sky.
n°9199892
Profil sup​primé
Posté le 12-08-2006 à 16:56:15  answer
 

Merci pour la reponse!
Mais niveau bouquin de conjugaison/grammaire...:sarcastic:  Je n'ai pas grand chose malgrès que je suis au collège. :)  
 

n°9200607
Bloompott
Posté le 12-08-2006 à 19:29:09  profilanswer
 

D'accord avec schreckliche K. Le correcteur word est pas mal. Tu peux aussi investir dans le larousse ou le robert (papier ou version cd rom). Il y a aussi une gamme de dicos pas mal chez micro application (et moins chers que ceux sus-mentionnés).
Après, si tu gagnes à l'euro-millions, tu peux t'offrir la rolls-royce des correcteurs : Pro-Lexis (mais attention, y'a plusieurs zéros derrière le premier chiffre).
Mais le mieux (tous ces trucs sur PC c'est un peu gadget !), c'est un bon dico, un dico de synonymes, un bescherelle pour la grammaire et... de la patience !

n°9204483
Profil sup​primé
Posté le 13-08-2006 à 17:29:56  answer
 

A quoi sert le point virgule? Et quand doit on l'utiliser ? :)  Merci d'avance!

n°9205311
Das schrec​kliche K
j'ai pas trouvé plus simple...
Posté le 13-08-2006 à 20:04:28  profilanswer
 

le point virgule marque une pose plus importante dans la phrase qu'une simple virgule mais ne signifie pas une coupure définitive (on l'appelle d'ailleurs ponctuation mi-forte). Si tu préfères ce n'est pas comme un point qui sert lui à terminer, le plus souvent, une phrase.
Utiliser un point virgule peut servir si ta phrase a un rapport avec la précédente ou si tu enchaînes une suite de phrases comme un raisonnement (phrases longues etc.)  
Du moins, c'est comme ça que je m'en sers, aprés il peut y avoir d'autres subtilités.  
 
exemple: son sabre (hum hum hum, quelle inspiration...) était aussi long que son avant bras, sa garde légérement incurvée ; sa lame, particuliérement tranchante, s'adaptait en tout point à son fourreau.......
ici, le point virgule peut servir à remplacer le "et" si cela ne nuit pas à la lecture, elle suit également la description de cette magnifique arme (hum hum hum).
 
autre exemple: elle voulait m'énerver; elle y réussit
là, il sert à marquer une pose mi-forte dans le texte, pour indiquer le ton de la phrase.
 
Dernier exemple:
Mr Truc leva les yeux au ciel, le soleil poursuivait sa course parmi les nuages. L'ombre ainsi portée serait à droite de la troupe ; depuis son refuge, derrière un tertre, Mr Truc aurait tout le temps nécessaire d'élaborer une embuscade.  
ici, le point virgule sert d'enchaînement, il ne marque pas de couure puisque la phrase à un lien direct avec la précédente mais permet au lecteur de "reprendre son souffle", ce qui facilite la lecture sans obtenir un rythme trop "haché".
 


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The Riders come with the rain clouds, you will hear the thunder of their hooves in the sky.
n°9209799
Profil sup​primé
Posté le 14-08-2006 à 13:47:00  answer
 

Merci pour ta réponse! :jap:  

n°9211059
Profil sup​primé
Posté le 14-08-2006 à 16:43:46  answer
 

Je poste un texte. Toutes les critiques sont les bienvenues.
 
 
"Séramus était un petit dragon de deux ans. Il était grand pour son âge, possédait de longues dents très aiguisées et savait même voler. Son corps était recouvert d’écailles bleues qui lui donnait un air de petit animal domestique.  
 Il vivait avec sa mère et son père dans une grotte, mais déjà très ambitieux il voulait quittait le cocon familial. Sa vie actuelle ne l’intéressait plus ; il se contentait de chasser pour se nourrir et quand il ne mangeait pas il dormait. Il voulait découvrir de nouveaux horizons, voir la mer, les montagnes, ne pas se contentait d’une caverne.
 Un beau matin, alors que le soleil se levait sur la prairie, dans laquelle il vivait, il décida de quitter ses parents, son antre et tout ce qu’il avait connu auparavant. Il s’envola et versa une dernière lame en guise d’adieu.
 La fraîcheur matinale lui redonnait courage. Il pouvait voir en dessous de lui des animaux, que d’habitude il chassait, aller s’abreuver. Les paysages défilaient sous ses yeux. Il ne s’était encore jamais autant éloigné de ses parents.  
 Cela faisait maintenant plusieurs heures qu’il volait et la nuit commençait à tomber. Il avait atteint les collines de Balivernes et avait décidé d'y dormir. Il s’installa au pied de l’une d’entre-elles et fit un feu.
 Le ciel était clair et étoilé. Le père de Séramus avait enseigné quelques rudiment à son fils concernant les étoiles. Le jeune dragon passa la soirée à admirait les astres qui illuminaient la nuit.  
 Lorsqu’il se réveilla, il était déjà tard et plusieurs animaux rodaient sur les dunes. Comme il n’avait pas mangé la veille il tua un cerf qu’il dévora en quelques secondes.
 Reput, il reprit son périple en quête de savoir."  
 
 :)

Message cité 1 fois
Message édité par Profil supprimé le 14-08-2006 à 16:45:44
n°9211826
Profil sup​primé
Posté le 14-08-2006 à 18:20:59  answer
 

y a personne?

n°9213086
Profil sup​primé
Posté le 14-08-2006 à 21:12:34  answer
 

Je sais que c'est court mais j'aimerais vos critique!

n°9213226
Profil sup​primé
Posté le 14-08-2006 à 21:36:40  answer
 

francois2024 a écrit :

c tres difficile d'ecrire un roman  :o


je suis d'accord avec toi! :)

n°9213715
Profil sup​primé
Posté le 14-08-2006 à 22:46:34  answer
 


J'aime bien le style. Les phrases sont courtes et leur construction simple, ça se lit facilement.
 
Pari réussi, on a envie de lire la suite.
 
Ne le prends pas comme une critique, au contraire, mais je pense que ce genre de récit plairait beaucoup aux plus jeunes. Enfin, entre autres, hein :D
 
Attention aux quelques fautes.

n°9214441
Profil sup​primé
Posté le 15-08-2006 à 00:40:38  answer
 

Merci pour ta réponse! C'est vrai que les phrases sont simples. Mais je n'arrive pas vraiment à écrire autrement. :)

n°9224179
sheratan
Qu'il est vilain, le lama!
Posté le 16-08-2006 à 14:33:13  profilanswer
 

Il y a de la simplicité dans l'écriture et dans l'histoire. La brièveté des phrases fait que je rejoints Fartlighter, je pense que ce petit extrait conviendrait parfaitement à un jeune public. Quelques fautes qui se corrigent à la relecture et sinon, c'est frais et agréable à lire.

n°9250151
blondin341
Posté le 19-08-2006 à 09:37:56  profilanswer
 

Bonjour à tous. Je suis nouveau sur ce forum ; il s’agit de mon premier post. J’ai 17 ans et depuis le début des vacances j’ai commencé à écrire un texte. Je suis tombé sur ce forum en cherchant un endroit pour en poster un extrait. J’aimerais avoir des avis objectif puisque j’ai l’impression que mes lecteurs actuels (qui sont accessoirement mes amis, mais dans la business, il n’y a pas d’amitié qui comptent) ne le sont pas vraiment.
Bref.
L’extrait que voici que voilà se situe dans la deuxième partie du livre. Dans la première, je prenais le point de vue d’un soldat Allemand et dans celle-ci, celui d’un parachutiste américain.
Bref résumé : Nuit du 5 au 6 août 1944. 0h00. Le Capitaine Jim Wariner, idéaliste déchu d’une génération perdue, est largué sur la Normandie. Il n’est qu’un soldat parmi des milliers d’autres. Pourtant, depuis la veille, il sait qu’il n’aura pas le même traitement que les autres. Son passé le rattrape. Son avenir le fuit.
L’extrait se situe après la prise d’un bunker.
Pour ceux que ça intéresse, je pourrais éventuellement dans un élan de bonté poster un autre extrait.
 
Une atmosphère funèbre s’était abattue sur le bunker. L’odeur de la mort. Nauséabonde. Macabre. Une odeur qui vous prend à la gorge, vous étouffe, vous broie. Une odeur qui persiste, empestant tout, vêtements, nourritures, armes, haleines… Une odeur qui vous remue cœur et estomac. Une odeur qui se mélange aux parfums rances du sang et de la sueur. Un charnier.
La mort planait. Menace silencieuse. Rapace tournoyant, observant de son œil aiguisé ses futurs convives, serrant déjà dans ses serres acérées leur cœur. Nuit faste pour elle. Neuf nouveaux adhérents rien que dans ce bunker. Des centaines d’autres dehors.
Le bunker n’était pas si grand qu’il en avait l’air vu de derrière la pente. Le superbe mobilier se composait de caisses entassées les unes sur les autres. Art Nouveau ?  
J’inspectai les deux MG42 de mon œil expert. Elles n’étaient plus de première jeunesse. Euphémisme. Si celle qui nous avait gracieusement offerts des échantillons de plombs était dans un état encore acceptable, en revanche, l’autre n’était plus qu’une épave. Une croûte métallique. Une relique, antique témoignage d’une époque dont l’ingéniosité n’avait d’égale que la cruauté. Elle n’était même pas chargée et aucune ceinture de balles ne se trouvait à proximité. Je souris. Jaune. L’attaque latérale était bien impossible…
Voilà pourquoi nous nous étions battus. Notre butin ? Inespéré ! Deux pitoyables mitrailleuses, dont une laissée à l’abandon et un tas de caisses vides. Pharaonique ! Ce bunker, si effrayant tout à l’heure, était en fait ridiculement petit. Minable. Cette nuit-là, neuf hommes étaient morts pour prendre ou défendre ce vulgaire abri de béton. Neuf hommes étaient morts pour une broutille. Une broutille si petite, qu’aucun des généraux qui en avaient jugé essentiel la prise n’accepterait d’en faire son bureau.  
Avant, aux temps héroïques, on se battait pour prendre une ville ou un château fort. Maintenant, aux temps trisomiques, on se bat pour prendre un pont, une route, un bunker. Bientôt, aux temps apocalyptiques, on ne cherchera même plus d’excuses pour s’entre-tuer. Ca sera ça, la guerre moderne.
Je fis lentement le tour du bunker. La mine sombre et fière du guerrier inspectant ses vaillantes troupes.
Je m’arrêtai devant deux hommes allongés, raides comme des piquets de barbelés. Henderson et Kordac avaient été ramené à l’intérieur.
Dans quelques heures ils ne seront plus que des cadavres anonymes. Des cadavres parmi tant d’autres, alignés et recouverts d’un drap blanc.  
Ils n’ont fait aucune action héroïque qui pourraient leurs valoir des récompenses posthumes. Leur nom ne sera jamais inscrit dans un manuel d’histoire au côté de ceux de Custer ou d’Einsenhower. On ne leurs érigera pas de statue. On ne racontera jamais leur vie.
Ils se sont justes battus et ont donné leur sang. Tombés aux champs de malheurs. Ils sont morts comme ils ont vécu. Misérablement. Pour l’ingrate Mère Patrie, ils ne sont rien, qu’ils soient morts ou vivants. Des noms et des numéros de matricules à barrer. Des armes à redistribuer. Des bouches à nourrir, des gueulards dégueulasses en moins. Rien de plus.  
Que restera-t-il d’eux ? Un nom inscrit sur une croix de bois. C’est tout.  
Ils ont rejoint l’innombrable foule des morts anonymes de la guerre. Des guerres. Comme ces hoplites athéniens morts à Salamine, comme ces marins français morts à Trafalgar, comme ces cavaliers confédérés morts à Bull Run. Oubliés. Engloutis par les flots ravageurs de l’Histoire. Grains de poussière balayés d’un revers de manche par cette gigantesque mascarade.
Qu’est ce qu’ils en ont à foutre maintenant d’être mort pour la Patrie ? Ça leur fait une belle tombe. On devrait leur demander leur avis. Maintenant que pour eux fin de guerre rime avec fin de vie. Sûr qu’il répondrait : « mais bien entendu que j’en suis content, mon sacrifice me comble de bonheur, c’est bien simple ma mort me ravie, si c’était à refaire, je souhaiterais que ça se passe tout pareil. » Si les morts pouvaient parler, ils nous en raconteraient de belles. La censure aurait du boulot.
Leur sacrifice n’a servi à rien. L’issue de cette saloperie galopante ne s’en trouvera nullement changée.
Qu’étaient-ils pour moi ? Guère plus. Je ne les connaissais pas. Ou si peu. Je n’éprouvais pas la moindre peine à les voir étendus, sans vie, sous mes yeux. Il y trois ans, je n’aurais pas eu le courage de les regarder. Il y a deux ans, je les aurais regardés furtivement, le cœur serré et les yeux humides. Il y a un an, je les aurais regardés avec mélancolie. Cette nuit-là, je les regardais et je n‘éprouvais rien. Avant j’étais un homme

n°9260550
Alisdair
Encre noire, ami des corbeaux
Posté le 20-08-2006 à 19:09:42  profilanswer
 

Ancienne moitié de quart de poéte qui ne s'est remis à la prose que depuis relativement peu de temps, je n'aurais pas grand chose à vous faire lire (pas mal de choses assez diverses dans le traitement).
 
Je me contenterai pour l'instant de vous proposer la 1ère nouvelle depuis ma reprise en prose. C'est assez métaphysique (certains disent Werber :(  ).
 
 
     
 
      Passage
 
 
 
 
 La respiration rapide et les yeux clos, il attend. Le visage tourné vers le dehors, le ramenant à chaque instant à sa bulle de silence. La douce musique de la ville ne le concerne pas. Ce sont des rires d'enfants, ou peut-être les pépiements convulsifs de quelques oiseaux virevoltant entre les platanes. Comment le savoir dans son univers de pénombre ?  
Il ne se souvient pas l'avoir été ni l'un ni l'autre. Pensée vacillante d'une petite âme ténue. L'idée de  devenir un minuscule moineau sautillant lui fait plisser les lèvres, il ne peut sourire. Aveugle, rien pourtant ne l'empêche de sentir jusqu'à l'extrémité de ses membres noueux, son corps frêle et mou. Il ne lui parvient de lui même qu'un assemblent de chair sensible. Pâle reflet de l'homme qu'il fût. A présent les rumeurs de l'extérieur ont cessées. Recroquevillé comme un insecte foudroyé par le froid hivernal, il continue d'attendre. Flotter dans le fluide chaud et se laisser porter vers le noir oubli. Plume légère sur le Styx. Ô Monde qui continue de tourner alors qu'il perd la mémoire, cruelle conscience de soi !
Seule la force lui manque pour crier son désespoir. Battant de plus en plus vite, son coeur témoigne de cette injustice. La bouche entre-ouverte la créature chétive lutte pour rester ce qu'elle est. Il espère que la lumière succède aux ténèbres. Il ne serait pas si difficile de ne pas résister et laisser la nature accomplir sa tâche, éternelle.  
Après tout, tous ceux qu'il connaît s'y sont résolus. Il ne sera pas le dernier. Mystère de l'existence ?
Le mouvement de la vie entame une nouvelle convulsion, signe que cela approche. Au moins, sait-il lorsque le temps sera irrémédiablement venu. Un ultime regard à ce sur quoi il a laissé une empreinte.; ce flux incolore et la chaude couleur. Rien de plus. Si au moins cela pouvait l'accompagner au moment de partir.
Soudain, il l'entend, la douce mélopée aux accents sucrés. Elle l'appelle, l'implorant de venir à elle, Mère de chacun. Le rythme est lent et régulier comme une chute d'eau claire venue des cieux pour l'oindre dans un bâptème aux frontières de la vie.
La mesure du chant ralentit à mesure que son pouls s'accélère. Un dernier coup d epief dirigé vers la voix pour prouver sa présence dans cet instant. Il sent que cela vient, désormais imminent.
C'est fait, il ne sait plus. Les souvenirs ont volés en éclats comme du verre se fracassant sur le sold dur de l'inconscience. Qu'est-il sinon un esprit tourmenté par ce pour quoi nous ne sommes jamais apprêté. Mais oublier permet de continuer vers l'issue de façon moins cruelle, l'omission draine la souffrance loin de lui. Être dépouillé ce qui fait de nous des Hommes. Le bourdonnement sourd résonne dans l'immensité-liquide. Serrant le poing sur le fin cordon de la vie qui le relie à l'ailleurs. Il n'ose tirer dessus pour ne pas précipiter les choses.
Le long fil d'existence est un appel à rallier la direction qu'il indique. Droit devant, au-delà de la mer obscure. La musique à nouveau ondule, deux fois comme une injonction e plus en plus pressante. Le petit homme chauve et sans dents sent qu'il est temps. Tel un cycle immuable, il fût, il est et sera quoiqu'il arrive. L'après est incertain, mais cela ne peut-qu'être meilleur. La source du chant, seule mérite le passage. Le dehors d'où provient la mélopée céleste est-il composé d'un florilège de blancs chérubins et de nuages rieurs ? Et ces petits oiseaux jouant avec les enfants, bien qu'il ne se rappelle pas en avoir vu ni entendu, sont-ce des anges qui l'attendent ?
La faible petite chose rose, les yeux fermées, fixe le bout du fil pâle, porte vers un monde d'espérances ? Il trépigne, bat du pied comme le cheval piaffant au pré. La perte de souvenirs inhibant sa faiblesse, il donne du poing sur la paroi de son isolement. Il est prêt. Languir après son avènement lui pèse mais ne fait qu'amplifier la beauté des merveilles de l'Après à découvrir par la magie de l'impatience. La curiosité qu'il éprouve, toute enfantine, a chassé la peur. L'enfant de ce nouveau monde arrive. Le Foetus caresse son cordon le rattachant au monde qui lui est promis. La perte de qu'il a été lui permet de se lancer vers l'air libre, loin de sa caverne liquide crépusculaire.
Rien désormais ne le retient ici. Il sait ce qu'il reste à faire.
La douce musique alors reprend une ultime fois son ondulation, qui à présent lui est familière. Cette fois au moment du sortir, sa mère l'attend.
 
 
               
 
 
                           
 
 
                                                                                                                   21 Mars 2006
                                                                                                              Journée de Printemps
 
 
 
 
Pendant le temps que je ne passe pas à préparer mon roman, je note beaucoup sur un cahier Moleskine, si ça interesse certains d'entre vous, je posterai des extraits au fûr et à mesure.


Message édité par Alisdair le 20-08-2006 à 19:11:57
n°9321253
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 26-08-2006 à 20:14:07  profilanswer
 


 
Ne t'inquiètes pas, au fur et à mesure que tu liras et que tu écriras, tes phrases seront plus recherchées, la mise en forme de tes idées sera plus élaborée, ça viendra avec le temps en lisant bc et en continuant d'écrire. Et puis tu es au collège, je ne sais pas quel àge tu as exactement mais je ne dois pas être bc plus vieille que toi, je rentre en seconde et quand je relis des textes de cinquième ou quatrième ça me trippe, mais le plus important c'est que je vois combien j'ai progressé en peu de temps. Avec le français et les études de textes qui t'attendent (oh joie), tu vas comprendre des trucs qui permettent d'améliorer ton récit. En attendant je rejoins les idées des autres, que ton texte serait plus pour les jeunes lecteurs. Mais cela ne t'empêche pas de te relire et de tenter d'améliorer tes textes, recherche d'autres idées de mettre en forme tes phrases, autres que sujet verbe complément et y a plein d'autre conseils comme ça.

n°9321450
Arwen Etoi​le du Soir
Posté le 26-08-2006 à 20:31:51  profilanswer
 

A Blondin 341
D'abord Bienvenu dans le topic
Ce qui est sûr c'est que ton texte n'est pas pour les gamins, ni même les un peu plus vieux. Moi-même j'ai eu un peu du mal, je dois avouer que je ne suis pas allée jusqu'au bout désolée, mais peut-être est-ce la fatigue, car je pense quand même que si je me concentre un peu y aura pas de souci. Quand je suis pressée ou fatiguée je serais capable de ne pas comprendre l'histoire d'un joli lapin rose.  
Tu hâche ton texte et il est clair que c'est ton style, et c'est bizarre mais je trouve que ce "hachement" se lit bien, mais fait quand même attention à ne pas trop en faire parce que ça peut devenir lourd au bout d'un moment (j'ai moi-même adopté ce style mais juste pour une toute petite partie de mon prologue, pour moi c'est en qlq sorte la musique que j'associe à un personnage, ce style reviendra peut-être quand les personnages en question réapparaitront). Quand je dis n'en fait pas trop je pense par exemple a "Art nouveau?", je sais pas si tu devrais le mettre car on avait l'impression que tes phrases devenaient moins hachées, avec un verbe et tout ça, et d'un coup tu nous poses cet "Art nouveau?". Enfin bon ce n'est qu'un avis de qqn de pas concentrée (lol). Bon excuse mais je vais arrêter là, j'ai à faire. Mais peut-être reviendrais-je en continuant mes critiques.

n°9359295
Chiroptere
le retour de la chauve-souris
Posté le 30-08-2006 à 12:36:06  profilanswer
 

Depuis quelques temps une question me trote dans la tête : à partir de combien de pages considère-t-on qu'un manuscrit est un roman?
Je veux dire, c'est difficile de savoir combien une page écrite sur un traitement de texte d'ordinateur va faire de pages une fois publier. Par example un ami m'a fait lire une de ses histoires qui faisait 150 pages (je crois qu'il utilisait des caractère de taille 12) et il me demandait si c'était assez long. Moi je lui ai dis que je pensais que oui étant donné le temps que j'avais mis pour le lire, mais je n'ai pas pu m'empécher de me demander combien de page ça pourrais faire une fois publié...
Alors est-ce que certain d'entre vous pourront m'éclairer sur ce point?
Désolé si se n'est pas le bon topic pour poser cette question.

n°9362300
Ange Lunai​re
Un Ange de La Lune !
Posté le 30-08-2006 à 17:33:52  profilanswer
 

:pt1cable:  Bonjour à tous. Je suis également nouvelle, et, étant plutôt curieuse, je me suis aventurée dans ce topic. Je ne le regrette absolument pas. Moi même ayant commencé à écrire (il y a bientôt un an) ce que j'appelle affectueusement "Ma petite histoire". Seulement voilà, je suis totalement en panne d'inspiration depuis un bon moment déjà, et même si je me référe à mon idée générale, je n'arrive plus à continuer ... Comment me remotiver ? Avez-vous des idées ?  
 
Sinon, bravo à ceux qui ont posté des extraits, c'est super  ;)


---------------
Ce sont toujours nos bons sentiments qui nous font faire de vilaines choses.
n°9368677
Alisdair
Encre noire, ami des corbeaux
Posté le 31-08-2006 à 11:26:31  profilanswer
 

Bienvenue aux nouveaux. Alors ma modeste contribution à vos questions :
 
Un roman n'a pas de nombre de pages limite mais il est vrai qu'en dessous de 100 pages selon les critères du genre, ça fera très léger, pourquoi ?
 
Le roman est une ouvre qui se caractérise par un début (Incipit) et une fin (donc Excipit), si l'on reprend ses mots cela a une signification de l'ordre du "rentrer dans, sortir de cet univers diégétique). Le roman c'est une histoire bouclée. Et donc, rien à voir avec la nouvelle qui a bien souvent une fin énigmatique ou qui appelle à la réflexion. Le roman se doit d'être plutôt exhaustif, description des personnages, le plus d'intéractions possibles, dépeindre le monde en question. Voilà en de grandes lignes une définition non complète de ce genre littéraire dont le 1er représentant est l'Astrée de "d'Urfé" (Honoré d'Urfé ?) et pas loin de la dizaine de millier de pages. Un bon roman, je dirais ne doit pas apporter de questions sans réponses, à mon avis.
 
Pour la motivation, j'y ai réfléchi il y a quelques temps sur mon chti carnet et je peux te dire que pour avoir des idées, l'inspiration et le goût d'écrire, il faut VIVRE ! Oui. Bouger, discuter avec les gens,"consommer" des média de masse (c'est très porteur d'idées sans pour autant que ce soit toujours ironique ou critique) et bien sûr lire. Au détour d'une discussion, d'un chemin, d'une dispute, d'une réconciliation, te viendra l'envie d'écrire (surtout si tu es du genre à écrire sous le coup de grandes émotions). Les grands que sont Hemingway, Kipling, Wilde et Hugo ont eu une vie mouvementée (à part le dernier) les autres ont connu la misère la plus noire et de nombreuses aventures. Y a pas à dire, ça marque son petit bonhomme. La vie est un immense champ d'inspiration.
Et pour finir, aménage toi un coin calme ou personne ne pourra venir t'espionner, un espace agréable où tu seras dévouée totalement à ta mission rédactrice.
 
J'espère que ces petites réflexions vous aideront et j'aimerai à présent qu'on me fasse un petit peu de feedback sur ma courte nouvelle (y compris du "mais c'est incompréhensible ! si besoin est).


Message édité par Alisdair le 31-08-2006 à 11:30:56
n°9368795
jeff82
Posté le 31-08-2006 à 11:39:42  profilanswer
 

salut à tout le monde.
 
j'ai une question plutot technique. Jécris avec word et je voulais savoir a quoi correspondait le format poche, c 'est a peu prés pour compter le nombre de page et pour comparer.
 
Pour qu'une page sous word corresponde a une page d'un livre poche il faut écrire avec quelle taille de caractére.
 
pour l'instant j'écris en 14. mais jai du mal a me rendre de la quantité.

mood
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