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  GPL : je serai dans la légalité ou pas ?

 


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Auteur Sujet :

GPL : je serai dans la légalité ou pas ?

n°850622
ZenonDelee
Posté le 11-10-2006 à 16:21:27  profilanswer
 

Bonjour à tous,
 
Je viens de passer 2 x 2 heures sur la licence GPL V2 (version US et version non officielle française) et vraiment j'y lis tout et son contraire.
 
Mon cas me semble simple : je suis dans un petite société qui réalise des softs JAVA sur Windows Mobile.
 
J'aimerais utiliser, comme JVM, MySaifu (http://www2s.biglobe.ne.jp/%7Edat/java/project/jvm/index_en.html) qui est en GPL V2.
 
Est-ce que je dois donner un accès libre à tous les softs que je produis et qui utiliserais MySaifu ?
 
C'est ce que je comprends à la lecture de (version française) :
 

Citation :

Mais lorsque vous distribuez ces mêmes éléments comme partie d'un tout, lequel constitue un ouvrage fondé sur le Programme, la distribution de ce tout doit être soumise aux conditions de la présente Licence, et les autorisations qu'elle octroie aux autres concessionnaires s'étendent à l'ensemble de l'ouvrage et par conséquent à chaque et toute partie indifférement de qui l'a écrite.

 
 
 :??:  :??:  Je ne comprends rien...  :pt1cable:  
 
Help !

mood
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Posté le 11-10-2006 à 16:21:27  profilanswer
 

n°850713
Mjules
Modérateur
Parle dans le vide
Posté le 11-10-2006 à 19:03:23  profilanswer
 

A mon avis, il n'est pas nécessaire de le placer sous GPL.
 
voir là :
http://www.gnu.org/licenses/gpl-fa [...] ToolsForNF
http://www.gnu.org/licenses/gpl-fa [...] sOutputGPL


---------------
Celui qui pose une question est idiot 5 minutes. Celui qui n'en pose pas le reste toute sa vie. |  Membre du grand complot pharmaceutico-médico-scientifico-judéo-maçonnique.
n°850716
M300A
Sehr hopfen, vielen IBU, wow!
Posté le 11-10-2006 à 19:06:05  profilanswer
 

A partir du moment ou tu ne link pas ton code avec celui de la JVM en GPL t'as pas besoin de release sous GPL (étranglez moi si je dis de la merde ;))
 
Ceci dit je t'invite quand même à releaser libre :)

n°850813
Dumbledore
Posté le 11-10-2006 à 22:46:04  profilanswer
 

Et de toute façon, rien ne prouve que la GPL ne soit légale en France. Tant qu'elle n'est pas passée devant un juge.
 
Le problème est qu'elle impose au développeur d'abandonner des droits moraux qui sont, en France inaliénables (cf : le code de la propriété intéllectuelle)

Message cité 2 fois
Message édité par Dumbledore le 11-10-2006 à 22:48:58
n°850819
jebb
pacman -S fantomes
Posté le 11-10-2006 à 23:14:23  profilanswer
 

Dumbledore a écrit :

Et de toute façon, rien ne prouve que la GPL ne soit légale en France. Tant qu'elle n'est pas passée devant un juge.
 
Le problème est qu'elle impose au développeur d'abandonner des droits moraux qui sont, en France inaliénables (cf : le code de la propriété intéllectuelle)


La, forcement, ca va partir en live... :sarcastic:

n°850826
M300A
Sehr hopfen, vielen IBU, wow!
Posté le 12-10-2006 à 00:38:22  profilanswer
 

On en a rien à foutre de la France, ce n'est qu'une vaste plaisanterie, une démocratie ridicule basée sur l'hypocrasie.
 
Evitons de parler de la France, j'ai envie de vomir :-)

n°850831
eL_Shaman_​__
Plop.
Posté le 12-10-2006 à 01:22:03  profilanswer
 

T'es plus sur « Discussions » là, hein...

n°850833
M300A
Sehr hopfen, vielen IBU, wow!
Posté le 12-10-2006 à 01:42:30  profilanswer
 

Désolé ^^

n°850906
Mjules
Modérateur
Parle dans le vide
Posté le 12-10-2006 à 13:46:05  profilanswer
 

jebb a écrit :

La, forcement, ca va partir en live... :sarcastic:


 
Il n'a pas tort, entre autre, un contrat doit être en français pour être valide en France.
 
Maintenant, je ne suis pas sur que ce sois un risque juridique ; si on considère que le contrat est valide, habituellement, seules les clauses illégales sont réputées non écrites, ça ne concernerait donc que la partie sur l'abandon des droits patrimoniaux et pas le reste ; donc pas forcément de soucis.
 
Si on considère que le contrat est nul, on tombe dans le droit "habituel" et là, je doute que tu puisses redistribuer une oeuvre de l'esprit (admettons que le logiciel tombe dans ce cadre) sans accord de l'auteur ou des ayant-droits.
 
Le risque juridique pour un contrevenant à la GPL sera donc le même qu'elle soit valide ou non à mon avis.
 
Maintenant, un développeur français aurait tout de même intérêt à licencier son code sous une licence plus "sure" du point de vue du droit français. Je pense en particulier à la licence Cecill  ( http://www.cecill.info/ ) qui a l'avantage de préserver les même droits que la GPL et de posséder une exception qui permet l'inclusion d'un code Cecill dans du GPL, le code résultant étant GPL. Il y a aussi la solution de la double licence, une pour la France, une pour le reste du monde.
 
Maintenant, je ne suis pas juriste donc ce ne sont que mes opinions, basées sur ce que je comprend du droit français.


Message édité par Mjules le 12-10-2006 à 13:47:01

---------------
Celui qui pose une question est idiot 5 minutes. Celui qui n'en pose pas le reste toute sa vie. |  Membre du grand complot pharmaceutico-médico-scientifico-judéo-maçonnique.
n°850940
Dumbledore
Posté le 12-10-2006 à 15:45:50  profilanswer
 

Il demande s'il est légal ou non, je ne pense donc pas être à côté de la plaque en faisant cette réponse.
 
Je reconnais que je ne suis pas juriste, mais j'ai quand même une formation en droit...
 
Comme l'as dit Mjules, pour être sûr en France, il vaut mieux se tourner vers la CeCILL. Mettre le code en double licence CeCILL/GPL peut aussi être une bonne idée.
 
Pour le cas précis de ton programme, du Java qui a beson d'une JVM, est-ce que c'est du Java standard, c'est à dire, est-ce que ton code fonctionne aussi sur la JVM de Sun que sur MySaifu ? Si c'est le cas, je pense que tu dois pouvoir en faire ce que tu veux, par contre, si tu utilise des extensions spécifiques à MySaifu, j'en doute.

mood
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Posté le 12-10-2006 à 15:45:50  profilanswer
 

n°850969
Bigon
Avis défavorable
Posté le 12-10-2006 à 17:51:44  profilanswer
 

Dumbledore a écrit :

Et de toute façon, rien ne prouve que la GPL ne soit légale en France. Tant qu'elle n'est pas passée devant un juge.
 
Le problème est qu'elle impose au développeur d'abandonner des droits moraux qui sont, en France inaliénables (cf : le code de la propriété intéllectuelle)


 
 
Errr tu n'abandonne pas tes droits moraux c'est grâce aux droits d'auteur que la GPL (et autres licences) existent. C'est vu que tu as des droit que tu définis comment les autres peuvent utiliser tes créations

n°851011
Dumbledore
Posté le 12-10-2006 à 19:38:12  profilanswer
 

Les droits moraux prévoient entre autre, les droit d'arrêter ou d'interdire la diffusion d'un prog. De mon avis, ça pose un sérieux problème en cas de fork() d'un développement.

n°851020
Bigon
Avis défavorable
Posté le 12-10-2006 à 20:12:51  profilanswer
 

ah vi dans ce cas la en effet ca pourrait poser des problèmes...

n°851033
Mjules
Modérateur
Parle dans le vide
Posté le 12-10-2006 à 20:58:17  profilanswer
 

Dumbledore a écrit :

Les droits moraux prévoient entre autre, les droit d'arrêter ou d'interdire la diffusion d'un prog. De mon avis, ça pose un sérieux problème en cas de fork() d'un développement.


 
plutôt les droits patrimoniaux que les droits moraux ; et les droits patrimoniaux n'interdisent pas les droits de la GPL pour ce que j'en ai lu (d'où la cecill qui donne les même libertés).
 
EDIT : je crois que je viens de comprendre, tu parles sans doutes de la partie qui permet à l'auteur de s'opposerà toute modification. Effectivement, ça peut être un problème.
 

Citation :

1 - Le droit d’auteur confère à son titulaire une propriété privative lui permettant de déterminer les conditions d’exploitation de son œuvre.
 
Ces droits comportent deux types de prérogatives, des droits patrimoniaux qui permettent à l’auteur d’autoriser les différents modes d’utilisation de son œuvre et de percevoir en contrepartie une rémunération et des droits moraux dont la finalité est de protéger la personnalité de l’auteur exprimée au travers son œuvre.
 
Cette propriété est de nature incorporelle, elle ne porte pas sur l’objet matériel dans lequel s’incorpore la création mais sur la création même de l’œuvre; il en résulte que les droits d’auteur sont indépendants des droits de propriété corporelle portant sur l’objet matériel, ainsi la vente du support matériel de l’œuvre (par exemple un tableau) n’emporte pas la cession des droits d’auteur, qui doit être spécifique.

Citation :

LES DROITS CONFÉRÉS
 
Tout auteur dispose sur son œuvre de deux types de prérogatives : les droits moraux et les droits patrimoniaux dont le régime est fixé par les articles L.121-1 à L.122-12 du code de la propriété intellectuelle (CPI).
 
1 - Les droits moraux
 
Le droit moral confère à l’auteur d’une œuvre de l’esprit, le droit au respect de son nom, de sa qualité et de son œuvre (CPI, art, L.121-1).
Le droit moral a un caractère inaliénable, perpétuel, et imprescriptible; il subsiste donc après l’expiration des droits pécuniaires et ne peut faire l’objet d’une renonciation ou d’un transfert par voie contractuelle.
 
Le droit moral comporte quatre type de prérogatives :
 
    * le droit de divulgation permet à l’auteur de décider du moment et des conditions selon lesquelles il livrera son œuvre au public (CPI,art,L.121-2 ),
    * le droit à la paternité permet à l’auteur d’exiger la mention de son mon et de ses qualités sur tout mode de publication de son œuvre. C’est aussi l’obligation pour tout utilisateur de l’œuvre d’indiquer le nom de l’auteur. Ce droit ne fait obstacle à l’anonymat ou l’usage d’un pseudonyme,
    * le droit au respect permet à l’auteur de s’opposer à toute modification susceptible de dénaturer son œuvre,
    * le droit de repentir permet à l’auteur, nonobstant la cession de ses droits d’exploitation de faire cesser l‘exploitation de son œuvre ou des droits cédés, à condition d’indemniser son cocontractant du préjudice causé (CPI, art, L.121-4).
 
2 - Les droits patrimoniaux
 
L’auteur dispose du droit exclusif d’exploiter son œuvre sous quelque forme que ce soit et d’en tirer un profit pécuniaire (CPI, art, L.123-1). Les prérogatives patrimoniales conférées aux auteurs sont le droit d’exploitation et le droit de suite.
 
2 -1- le droit d’exploitation comprend le droit de représentation et le droit de reproduction(CPI,art,L.122- 1)
 
Ces prérogatives confèrent à l’auteur le droit d’autoriser ou d’interdire toute forme d’exploitation de son œuvre quelqu’en soit les modalités; toute utilisation de son œuvre sans son autorisation constitue une contrefaçon et est civilement et pénalement sanctionnée (CPI, art, L 122-4 ).
 
Le droit de reproduction consiste dans la fixation matérielle de l’œuvre au public par tous les procédés qui permettent de la communiquer au public de manière indirecte (L.122-3 CPI). Le code cite notamment : «l’imprimerie, la photographie et tout procédé des arts graphiques et plastiques ainsi que l’enregistrement mécanique cinématographique ou magnétique».
 
Le droit de représentation consiste dans la communication de l’œuvre au public par un procédé quelconque (L.122-2 CPI) notamment par récitation publique, exécution lyrique, représentation dramatique, présentation publique, projection publique et transmission dans un lieu public de l’œuvre télédiffusée; ou par télédiffusion (diffusion par tout procédé de télécommunication de sons, d’images, de documents, de données et de messages de toute nature. L’émission d’une œuvre vers un satellite est assimilée à une représentation).
 
Ces droits s’appliquent à tout support et technique de reproduction et de représentation; l’énumération des modes par ces articles n’est pas limitative. Leur champ s’élargit aux utilisations secondaires de l’œuvre telles la réalisation d’une œuvre dérivée, (l’adaptation ou la traduction) et au mode de reproduction et transmission numérique (tels que numérisation, stockage, transfert électronique sur un autre support ). De même le code de la propriété intellectuelle ne prend pas en considération l’étendue de l’exploitation (partielle ou totale) ou sa finalité (commerciale ou non commerciale).
 
Le consentement de l’auteur devra donc être obtenu pour chaque procédé de reproduction et chaque mode de représentation.
 
2-2 - Le droit de suite
 
Le droit de suite est un droit qui bénéficie exclusivement aux auteurs d’œuvres graphiques ou plastiques. Ces auteurs disposent du droit inaliénable de participer au produit de la vente de leurs œuvres faites aux enchères publiques ou par l’intermédiaire d’un commerçant (CPI, art, L.122-8). Le montant de ce droit est de 3%, il est prélevé sur le prix de vente publique de l’œuvre. Le droit de suite est applicable dès que la vente atteint le prix de 100 Francs (15 euros 24).


 
http://www.culture.gouv.fr/culture [...] es/droits/


Message édité par Mjules le 12-10-2006 à 21:05:44

---------------
Celui qui pose une question est idiot 5 minutes. Celui qui n'en pose pas le reste toute sa vie. |  Membre du grand complot pharmaceutico-médico-scientifico-judéo-maçonnique.
n°851066
jebb
pacman -S fantomes
Posté le 12-10-2006 à 22:37:35  profilanswer
 

Citation :

Le droit moral a un caractère inaliénable, perpétuel, et imprescriptible; il subsiste donc après l’expiration des droits pécuniaires et ne peut faire l’objet d’une renonciation ou d’un transfert par voie contractuelle

Corollaire : la seule voie d'entree dans le domaine public d'une oeuvre en droit francais, c'est la mort de l'auteur. M'endormirai moins con ce soir, decidemment.
 
Dumbledore : mes excuses pour la reflexion un rien desobligeante du debut du topic.

n°851427
Dumbledore
Posté le 13-10-2006 à 21:25:35  profilanswer
 

jebb a écrit :

Dumbledore : mes excuses pour la reflexion un rien desobligeante du debut du topic.


 
Accepté uniquement si tu me compile toutes les sources de KDE à la main en tapant toi même les commandes de GCC une par une et sans copier/coller  :whistle:  

n°852006
ZenonDelee
Posté le 16-10-2006 à 00:32:17  profilanswer
 

Merci à tous pour les réponses.
 
J'ai l'impression que je serais ds la légalité si j'utilise Mysaifu, car effectivement, je ne "linke" pas avec MiSaifu (c'est une JVM) et je pourrai le remplacer par une autre JVM : Sun, J9, etc. Mais bon, ce n'est pas absolument certain et je n'ai ni envie de jouer mon gagne-pain sur un pari, ni envie de payer un avocat à 2000 € la journée...
 
Y a vraiment un souci avec le libre. :pfff:  
 
On en arrive à la situation contraire de celle recherchée et j'entends de plus en plus (aussi bien ds le public que ds le privé) les propos "Ce soft est en GPL ? Oublie tt de suite, c'est une source d'emmerd pour nous et de pépètes pour les avocats" ! :??:  
 

Citation :

Ceci dit je t'invite quand même à releaser libre :)


 
Question (réellement naive, car si il y a une solution, je prends tt de suite !!!  :) ) : comment je fais pour faire vivre ma famille, si ma société "donne" sa production ?

n°852234
Mjules
Modérateur
Parle dans le vide
Posté le 16-10-2006 à 18:20:54  profilanswer
 

ZenonDelee a écrit :

Merci à tous pour les réponses.
 
J'ai l'impression que je serais ds la légalité si j'utilise Mysaifu, car effectivement, je ne "linke" pas avec MiSaifu (c'est une JVM) et je pourrai le remplacer par une autre JVM : Sun, J9, etc. Mais bon, ce n'est pas absolument certain et je n'ai ni envie de jouer mon gagne-pain sur un pari, ni envie de payer un avocat à 2000 € la journée...
 
Y a vraiment un souci avec le libre. :pfff:
 
On en arrive à la situation contraire de celle recherchée et j'entends de plus en plus (aussi bien ds le public que ds le privé) les propos "Ce soft est en GPL ? Oublie tt de suite, c'est une source d'emmerd pour nous et de pépètes pour les avocats" ! :??:  
 

Citation :

Ceci dit je t'invite quand même à releaser libre :)


 
Question (réellement naive, car si il y a une solution, je prends tt de suite !!!  :) ) : comment je fais pour faire vivre ma famille, si ma société "donne" sa production ?


 
Il n'y a aucun souci avec le libre (en tout cas pas celui là), personne ne t'oblige à utiliser ce soft. Par contre, si tu l'utilises, il faut te conformer à la licence. C'est comme tout autre logiciel, quel qu'il soit (si tu utilises la JVM de Sun, tu es obligé de te conformer à sa licence).
Celà dit, je pense que tu serais parfaitement en règle en utilisant Misaifu mais as tu seulement contacté son auteur pour savoir ce qu'il en pense ? vu qu'il n'y a que lui qui pourrait te poser problème, si il est d'accord ; c'est tout bon.
 
Cette histoire d'insécurité juridique, c'est du FUD grossier et stupide. La plupart des problèmes de violations GPL se règlent à l'amiable et ne vont que très rarement au tribunal.


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n°852301
ZenonDelee
Posté le 16-10-2006 à 21:20:17  profilanswer
 

Merci Mjules pour cette réponse pleine de bon sens !
Je vais contacter celui qui réalise cette jvm !
 
Sinon, je comprends tt à fait que je dois me conformer à la licence du soft. C'est bien pour cela que je me renseigne !... Je trouve simplement la licence GPL atrocement compliquée :-(
 
Y a vraiement plus simple (cf. par exemple la licence Apache BSD qui est très claire).

n°852304
Mjules
Modérateur
Parle dans le vide
Posté le 16-10-2006 à 21:27:26  profilanswer
 

je suis d'accord que la GPL n'est pas un modèle de simplicité. ;)


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n°852394
gee
Bon ben hon
Posté le 17-10-2006 à 09:46:35  profilanswer
 

La BSD c'est une license proche du domaine publique, la GNU GPL ce n'est pas trop son but.
 
edit : :whistle:


Message édité par gee le 18-10-2006 à 21:53:44
n°853250
Dumbledore
Posté le 18-10-2006 à 21:40:39  profilanswer
 

La BSD c'est une license proche du domaine publique, la GNU GPL c'est pas trop son but.
 
En effet, un logiciel libre n'est pas un logiciel qui est dans le domaine public, que la licence soit BSD, GPL ou autre. Pour qu'il soit dans le domaine public, il faut que ça soit clairement écrit.

n°853269
gee
Bon ben hon
Posté le 18-10-2006 à 21:53:19  profilanswer
 

Bien sûr, mais les licenses BSD, MIT etc.. sont proches du domaine publique, car de base viennent de subventions de l'état, d'où ma remarque :)

mood
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