Bonjour,
 
Je réalise la maquette d'un manuel technique de 60 pages. Il n'y a pas d'éléments récurrents d'une page à l'autre.
 
Je trouve les gabarits extrêmement pratiques car ayant plein d'illustrations / photos, je les mets en gabarit et je mets uniquement les blocs de texte dans la page. Cela m'évite des déplacements accidentels.
 
Ma question est : quel est le nombre maximum de gabarits qu'on peut créer par fichier InDesign ?
 
Avec 60 pages, en théorie je vais créer 30 planches de gabarit  
 
Merci !

Pourquoi te prendre la tête avec les gabarits ? tu fais un calque illustrations que tu verrouilles, c'est plus simple non ?

les gabarits ne sont valables que si ils sont redondants dans la publication.
si tu n'as pas d'elements recurrents quel interet d'utiliser les gabarits?
 
comme le dit Nikos tu mets ce qui est fixe sur un calque ou tu fais un gabarit en mettant juste les elements inhérents à toutes les pages (le foliotage pour ne citer que lui)

Merci pour vos réponses !
 
Oui, c'est vrai, j'avoue avoir le réflexe calques sous Photoshop et Illlustrator mais je ne les utilise pas du tout sous InDesign.
 
L'intérêt d'utiliser les gabarits c'est qu'en termes d'ergonomie, je peux naviguer facilement entre 2 layouts à part : le background d'un côté et les blocs de texte de l'autre, sans risque de décaler un élément par inadvertance.
 
En plus, j'ai un visu sur mes planches de gabarit, je peux reproduire des pages, etc.
 
D'ailleurs, c'est ce que je fais également dans d'autres logiciels de PAO comme Publisher et ses pages maîtres.

Comme dit, les gabarits, si c'est pas pour des éléments récurrents, ça sert à rien. Là tu crées des calques indépendants les un des autres que tu peux masquer/verrouiller à loisir. En tout cas dans le cas que tu donnes, je vois que ça à faire pour pas se prendre la tête si t'as pas 2 pages pareilles. Après rien ne t'empêche effectivement de faire 2/3 gabarits de pages types, pour les garder dans un coin et les rappeler au besoin de créer des nouvelles pages.
Exemple d'un job en cours :

sur indy la premiere chose qu'on m'a appris :
 
créer ton doc
créer trois calques
1/ charte 2/textes 3/images et autres

Merci pour vos conseils
 
Je reconnais m'être formé en autodidacte, d'où ma mauvaise utilisation. Indy reste très accessible pour un noob qui tâtonne, en tous cas beaucoup plus que d'autres logiciels de la suite Adobe. Pour quelqu'un comme moi qui passe d'un soft de PAO non pro (Publisher) à Indy, le travail paraît même plus simple et efficace car plus de fonctionnalités et moins de bugs.
 
J'ai regardé et en effet, c'est bien géré, les calques sont communs à tout le document mais leur contenu est propre à chaque page. J'avais peur que la fenêtre calques affiche tous les calques du document
 
Avec les calques, si je veux intervenir sur le background, ça oblige à le déverrouiller / reverrouiller. Alors qu'avec un gabarit, en 1 clic dans la fenêtre Page je suis dessus
 
Pour info, sur mon doc de 60 pages, j'ai 30 gabarits et a priori, ça ne bugue pas. Après "Z-Gabarit", Indy crée "a-gabarit", "b-gabarit", etc.

Il faut quand même double cliquer sur le gabarit, et après idem pour revenir sur ton chemin de fer, 4 clics contre 2 pour déverrouiller/verrouiller    
Et tu as bien les calques qui contiennent les sous-calques (éléments propres de ta mise en page).
Si tu débutes sur Indesign, je te conseillerai de prendre de "bonnes habitudes" dès maintenant  
Gérer 30 gabarits, pour s'y retrouver c'est vite le bordel. Déjà qu'en j'en ai 10 je pleure (chose rare heureusement).

Merci pour les conseils
 
Je ne débute pas
 
J'ai déjà travaillé sur une maquette de 200 pages et pas de problèmes car je l'avais travaillée et livrée à l'imprimeur sous forme de 5 fichiers pour des raisons techniques (ne pas avoir un export qui prend des heures, etc). Et pour le PDF complet, j'avais rassemblé les PDF
 
Après, quand je vois les fichiers faits par certains collègues infographistes pros, je suis pas le plus bordélique. Les fichiers Photoshop avec 100 calques sans nom "Copie de Copie de Copie de", la PAO faite sous Illustrator, les fichiers InDesign avec des blocs vides utilisés à la place des repères, les éléments non verrouillés avec des micro-décalages d'une page à l'autre qui donnent des petits sauts à la lecture à l'écran, les 200 fichiers liés en vrac dans un même dossier...

Alors après il y a la théorie, et la pratique. Moi le premier, j'aime quand c'est tout carré bien clean, mais des fois t'as pas le temps ou alors tu récupères des trucs fournis, des contraintes clients… du coup tu fais au plus rapide/mieux et forcément ça se ressent sur la façon de monter les fichiers.
Et de toute façon en t'appelant proot tu perds déjà toute crédibilité