djidee a écrit :
Pour "l'effort de guerre" si la boîte est de petite taille c'est compréhensible. Il y a bien des employés allemands qui ont accepté des baisses de salaire de l'ordre de 15/20% pour continuer leur activité.Après tu peux "ne rien lâcher" mais dans ce cas la tu seras dans le collimateur et au moindre écart pif "faute professionnelle" et la c'est
edit: A ta place je négocierai la chose suivante. Tu fais une croix sur ton variable pendant 3/6/12 mois le temps que la boite se reprenne, et tu négocie une augmentation de ce bonus une fois sortit de la zone rouge.
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l'effort de guerre se fait déjà depuis 6 mois dans cette boite, qui va mieux depuis. Gel des salaires et des formations.
Dans ce cas précis, le variable est calculé sur l'année et concerne peu de personne.
nazzzzdaq a écrit :
Pour moi c'est prud'homme direct.
Le variable est une composante du salaire. Te le refuser alors que les objectifs ont été atteints, c'est comme si, arbitrairement, on ne te payait pas le mois de mars, par exemple.
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C'est la ligne dur du mouvement ça
En règle général, lorsqu'un variable est adossé à des règles de calcul/objectifs chiffrés/appréciations/...., comment cela se passe "à l'échéance" ? Il y a un entretien pour faire le calcul ? C'est fait par la boite dans son coin ?
Là, cela aurait dû être traité fin juillet/début aout mais personne n'en parle. Il n'y a pas de refus C'est juste pas à l'ordre du jour. Une piqûre de rappel de la part des intéressés est à envisager.