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correction d'une version anglaise

n°508084
melissandr​e
Posté le 06-10-2005 à 14:16:29  profilanswer
 

Bonjour, est-ce que quelqu'un pourrait corriger mes fautes, s'il vous plaît?
Merci d'avance.
 
When I was quite small my mother took me to london, where we visited Westminster Abbey. I could not have been more than 5 years old, yet to this day, I remember the marvel of seeing stained-glass for the first time – my mother pointed it to me just as the sun was striking a rose window, and I stared in fearful rapture as the colours throbbed to life. “Each window tells a story,” she explained, but I could not quite understand how a window “spoke”.
“Where is Harriet?” I asked.
Mother was puzzled. “Harriet?”
“Harriet and the Matches,” I said, meaning a particularly frightening cautionary tale that Mother had recently read to me. In it, Harriet is repeatedly admonished by her mother not to play with matches. The little idiot does not listen, of course, and one day she strikes the fatal match; her dress catches fire, and she dances and screams in agony as the flames consume her. If each stained-glass window “ told a story”, I wanted to be shown Harriet being immolated.
“Not children’s stories,” my mother said, laughing softly (how I loved hearing her laugh; it was such a rare occurence). “No, darling, stories from the bible. Stories about Christ, and his mother and father, and the Tree of Jesse...”
Holding hands, we wandered on through the echoing vastness of the Abbey, staring at the busts and memorials of the great, stopping finally at Poets’ corner. “Mamma, what are they?” I asked.
“They are memorials,” she wispered. “If you are a very great man, when you die people erect a memorial to your memory. It may be a stained-glass window, or a bust like that one there, or a tablet on the wall.”
“Mamma, shall I have a bust or a stained-glass window when I am dead? For I may be a great man one day.”
“Which would you like, my darling?”
I considered for a moment. “A bust, I think, for I am rather good-looking.”
 
>>Lorsque j’étais assez petit, ma mère m’emmena à Londres où nous visitâmes l’abbaye de Westminster. Je ne devais pas avoir plus de cinq ans, cependant à ce jour, je me rappelle mon émerveillement en voyant des vitraux pour la première fois – ma mère me les montra juste au moment où le soleil frappait une rosace, et je la fixais avec un ravissement effrayant comme les couleurs tremblaient de vie. « Chaque fenêtre raconte une histoire », expliquait-elle, mais je n’arrivais pas à comprendre comment une fenêtre « pouvait parler ».
« Où est Harriet ? » je demandais.
Mère était perplexe. « Harriet ? »
« Harriet et les allumettes », je répondis, en parlant d’un récit édifiant particulier que Mère m’avait récemment conté. Dans ce conte, Harriet est à maintes reprises exhortée à ne pas jouer avec des allumettes. La petite idiote n’écoute pas, bien sûr, et un jour elle gratte l’allumette fatale ; sa robe prend feu, et elle bouge dans tous les sens et crie dans une douleur atroce alors qu'elle est consumée par les flammes. Si chaque vitrail « racontait une histoire », je voulais qu’on me montrât Harriet s’immolant.
« Ce ne sont pas des histoires pour les enfants », dit ma mère, en riant doucement (comme j’aimais entendre ma mère rire ; c’était un évènement tellement rare). « Non, chéri, ce sont des histoires de la Bible. Des histoires à propos du Christ, de sa mère, de son père, et de l’Arbre de Jessé… »
Main dans la main, nous errions à travers l’immensité résonnante de l’abbaye, scrutant les bustes et les mémoriaux des grands, nous arrêtant finalement au coin des poètes. «Maman, qu’est-ce que c’est? » je demandais.
 « Ce sont des mémoriaux », murmura-t-elle. « Si tu es un très grand homme, quand tu meurs  les gens érigent un mémorial à ta mémoire. Cela peut être un vitrail, ou un buste comme celui-là là-bas, ou une plaque commémorative sur le mur. »
« Maman aurais-je un buste ou un vitrail quand je serai mort ? Car je pourrais être un grand homme un jour. »
« Lequel aimerais-tu, mon chéri ? »
Je réfléchis un moment. « Un buste, je pense, car je suis plutôt mignon. »
 

mood
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Posté le 06-10-2005 à 14:16:29  profilanswer
 

n°508102
bus 101
Posté le 06-10-2005 à 14:54:21  profilanswer
 

melissandre a écrit :

Bonjour, est-ce que quelqu'un pourrait corriger mes fautes, s'il vous plaît?
Merci d'avance.
 
When I was quite small my mother took me to london, where we visited Westminster Abbey. I could not have been more than 5 years old, yet to this day, I remember the marvel of seeing stained-glass for the first time – my mother pointed it to me just as the sun was striking a rose window, and I stared in fearful rapture as the colours throbbed to life. “Each window tells a story,” she explained, but I could not quite understand how a window “spoke”.
“Where is Harriet?” I asked.
Mother was puzzled. “Harriet?”
“Harriet and the Matches,” I said, meaning a particularly frightening cautionary tale that Mother had recently read to me. In it, Harriet is repeatedly admonished by her mother not to play with matches. The little idiot does not listen, of course, and one day she strikes the fatal match; her dress catches fire, and she dances and screams in agony as the flames consume her. If each stained-glass window “ told a story”, I wanted to be shown Harriet being immolated.
“Not children’s stories,” my mother said, laughing softly (how I loved hearing her laugh; it was such a rare occurence). “No, darling, stories from the bible. Stories about Christ, and his mother and father, and the Tree of Jesse...”
Holding hands, we wandered on through the echoing vastness of the Abbey, staring at the busts and memorials of the great, stopping finally at Poets’ corner. “Mamma, what are they?” I asked.
“They are memorials,” she wispered. “If you are a very great man, when you die people erect a memorial to your memory. It may be a stained-glass window, or a bust like that one there, or a tablet on the wall.”
“Mamma, shall I have a bust or a stained-glass window when I am dead? For I may be a great man one day.”
“Which would you like, my darling?”
I considered for a moment. “A bust, I think, for I am rather good-looking.”
 
>>Lorsque j’étais assez petit, ma mère m’emmena à Londres où nous visitâmes l’abbaye de Westminster. Je ne devais pas avoir plus de cinq ans, cependant à ce jour, je me rappelle mon émerveillement en voyant des vitraux pour la première fois – ma mère me les montra juste au moment où le soleil frappait une rosace, et je la fixais avec un ravissement effrayant comme les couleurs tremblaient de vie. « Chaque fenêtre raconte une histoire », expliquait-elle, mais je n’arrivais pas à comprendre comment une fenêtre « pouvait parler ».
« Où est Harriet ? » je demandais.
Mère était perplexe. « Harriet ? »
« Harriet et les allumettes », je répondis, en parlant d’un récit édifiant particulier que Mère m’avait récemment conté. Dans ce conte, Harriet est à maintes reprises exhortée à ne pas jouer avec des allumettes. La petite idiote n’écoute pas, bien sûr, et un jour elle gratte l’allumette fatale ; sa robe prend feu, et elle bouge dans tous les sens et crie dans une douleur atroce alors qu'elle est consumée par les flammes. Si chaque vitrail « racontait une histoire », je voulais qu’on me montrât Harriet s’immolant.
« Ce ne sont pas des histoires pour les enfants », dit ma mère, en riant doucement (comme j’aimais entendre ma mère rire ; c’était un évènement tellement rare). « Non, chéri, ce sont des histoires de la Bible. Des histoires à propos du Christ, de sa mère, de son père, et de l’Arbre de Jessé… »
Main dans la main, nous errions à travers l’immensité résonnante de l’abbaye, scrutant les bustes et les mémoriaux des grands, nous arrêtant finalement au coin des poètes. «Maman, qu’est-ce que c’est? » je demandais.
 « Ce sont des mémoriaux », murmura-t-elle. « Si tu es un très grand homme, quand tu meurs  les gens érigent un mémorial à ta mémoire. Cela peut être un vitrail, ou un buste comme celui-là là-bas, ou une plaque commémorative sur le mur. »
« Maman aurais-je un buste ou un vitrail quand je serai mort ? Car je pourrais être un grand homme un jour. »
« Lequel aimerais-tu, mon chéri ? »
Je réfléchis un moment. « Un buste, je pense, car je suis plutôt mignon. »


Cela me paraît très bien. Il y a sans doute qq fautes si on se place au niveau prépa ou agreg, mais bon.
Qq suggestions:
-édifiant ne rend pas totalement la notion de particularly frightening  
-ravissement/transport plein d'effroi (l'enfant a peur)
- événement (pour les puristes)
- arbre de Jessé: à vérifier?
-nous avons erré
- demandais-je
- aurai-je un buste
- mignon, vu l'âge peut-être...
Good luck.

n°508352
melissandr​e
Posté le 07-10-2005 à 09:21:09  profilanswer
 

Merci beaucoup pour vos corrections.

n°514063
babybarn00​7
Posté le 19-10-2005 à 20:22:30  profilanswer
 

yet to this day : encore aujourd'hui

n°514064
babybarn00​7
Posté le 19-10-2005 à 20:23:48  profilanswer
 

Et la traduction est trop littérale et tiens t'en au passé simple (We wandered = nous errames)


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