Alors que six adolescentes rentraient de leur chasse aux bonbons ce samedi soir dans le Val-de-Marne, trois jeunes hommes les ont suivies et ont lancé une bouteille contenant de l’acide dans leur direction.

«Si on te trouve, on te tue» : quand l’influenceur chrétien Ashur Sarnaya, assassiné à Lyon, était menacé par des islamistes

Pour ces internautes musulmans, il était visiblement intolérable que cet homme déambulant en fauteuil roulant dans son quartier prenne plaisir à évoquer sur la toile sa vie passée et présente, le christianisme et son message. Le soir de sa mort, Ashur Sarnaya, réfugié en France depuis 2014 après avoir été menacé en Irak en raison de sa religion, avait d’ailleurs commencé un « direct » sur TikTok à 18h06. Et les échanges en langue arabe, ponctués d’anciens chants chrétiens, se sont prolongés jusqu’au moment où l’influenceur a été poignardé par-derrière alors qu’il ouvrait avec difficulté la porte d’entrée de son immeuble.

Voilà pour « l’atmosphère », que l’on peut retrouver dans nombre de dossiers terroristes islamistes, dans laquelle se déroulaient les vidéos du réfugié irakien. Car, sans même parler des signalements à TikTok pour obtenir la fermeture des comptes, les menaces ne se seraient pas limitées au 10 septembre. Se définissant comme un Palestinien vivant à Lyon, un internaute se serait ainsi régulièrement invité sur les directs, insultant et menaçant Ashur Sarnaya, affirmant vouloir porter plainte contre lui. Et avertissant à une occasion : « je vais venir, prépare-toi ». Un autre interlocuteur aurait lâché : « nous sommes arrivés à toi ». Un troisième, se disant tunisien, aurait cherché à savoir avec insistance où l’influenceur habitait, affirmant qu’il finirait bien par le trouver. Enfin un individu au patronyme maghrébin mais disant vivre en Bulgarie aurait carrément promis un million de dollars pour la tête du tiktokeur… Selon un témoin, on aurait même adressé ce message à ce dernier : « si on te trouve, on te tue »…

"Il s'appelle Shaouliya Abed E., et il a déjà 16 mentions à son traitement des antécédents judiciaires, c'est-à-dire qu'au moins 16 fois la police a eu l'occasion de l'interpeller", indique Amary Bucco dans Christine Kelly et vous. "Son permis avait été annulé en 2023, et il avait d'ailleurs été arrêté en 2024 pour conduite malgré cette suspension de permis. Donc effectivement, il était en récidive de cette conduite sans permis."

En 2020, il avait été condamné à trois ans de prison, dont deux ferme, pour avoir séquestré et violenté un homme d'une cinquantaine d'années. Lui et des complices se servaient de son appartement qui était au 11ème étage d'une tour à Lille pour faire de leur trafic de drogue. Ils squattaient son appartement, séquestraient cet homme, et ils lui faisaient subir des violences. Par exemple, on a retrouvé beaucoup de brûlures de cigarettes sur lui. Il avait le crâne à moitié rasé etc. Il avait finalement réussi à s'échapper pour prévenir la police et expliquer ce qui lui arrivait. Donc il avait été condamné pour ces faits."

"Il s'appelle Shaouliya Abed E., et il a déjà 16 mentions à son traitement des antécédents judiciaires, c'est-à-dire qu'au moins 16 fois la police a eu l'occasion de l'interpeller", indique Amary Bucco dans Christine Kelly et vous. "Son permis avait été annulé en 2023, et il avait d'ailleurs été arrêté en 2024 pour conduite malgré cette suspension de permis. Donc effectivement, il était en récidive de cette conduite sans permis."

En 2020, il avait été condamné à trois ans de prison, dont deux ferme, pour avoir séquestré et violenté un homme d'une cinquantaine d'années. Lui et des complices se servaient de son appartement qui était au 11ème étage d'une tour à Lille pour faire de leur trafic de drogue. Ils squattaient son appartement, séquestraient cet homme, et ils lui faisaient subir des violences. Par exemple, on a retrouvé beaucoup de brûlures de cigarettes sur lui. Il avait le crâne à moitié rasé etc. Il avait finalement réussi à s'échapper pour prévenir la police et expliquer ce qui lui arrivait. Donc il avait été condamné pour ces faits."

"Il s'appelle Shaouliya Abed E., et il a déjà 16 mentions à son traitement des antécédents judiciaires, c'est-à-dire qu'au moins 16 fois la police a eu l'occasion de l'interpeller", indique Amary Bucco dans Christine Kelly et vous. "Son permis avait été annulé en 2023, et il avait d'ailleurs été arrêté en 2024 pour conduite malgré cette suspension de permis. Donc effectivement, il était en récidive de cette conduite sans permis."

En 2020, il avait été condamné à trois ans de prison, dont deux ferme, pour avoir séquestré et violenté un homme d'une cinquantaine d'années. Lui et des complices se servaient de son appartement qui était au 11ème étage d'une tour à Lille pour faire de leur trafic de drogue. Ils squattaient son appartement, séquestraient cet homme, et ils lui faisaient subir des violences. Par exemple, on a retrouvé beaucoup de brûlures de cigarettes sur lui. Il avait le crâne à moitié rasé etc. Il avait finalement réussi à s'échapper pour prévenir la police et expliquer ce qui lui arrivait. Donc il avait été condamné pour ces faits."

"Il s'appelle Shaouliya Abed E., et il a déjà 16 mentions à son traitement des antécédents judiciaires, c'est-à-dire qu'au moins 16 fois la police a eu l'occasion de l'interpeller", indique Amary Bucco dans Christine Kelly et vous. "Son permis avait été annulé en 2023, et il avait d'ailleurs été arrêté en 2024 pour conduite malgré cette suspension de permis. Donc effectivement, il était en récidive de cette conduite sans permis."

En 2020, il avait été condamné à trois ans de prison, dont deux ferme, pour avoir séquestré et violenté un homme d'une cinquantaine d'années. Lui et des complices se servaient de son appartement qui était au 11ème étage d'une tour à Lille pour faire de leur trafic de drogue. Ils squattaient son appartement, séquestraient cet homme, et ils lui faisaient subir des violences. Par exemple, on a retrouvé beaucoup de brûlures de cigarettes sur lui. Il avait le crâne à moitié rasé etc. Il avait finalement réussi à s'échapper pour prévenir la police et expliquer ce qui lui arrivait. Donc il avait été condamné pour ces faits."