Russia's alleged interference in elections under spotlight at Prague summit
Security specialists from 27 nations including Britain and the US will meet for five-day conference in Czech capital

Analysts accuse the Kremlin of backing mainly far-right fringe movements opposed to Nato, the EU and immigration across a host of countries, including the Baltic republics, the Czech Republic, Slovakia, Hungary, Finland, Sweden and elsewhere. Destabilisation efforts are aided by news websites which peddle slanted accounts and outright disinformation.

Elections are approaching in several European countries including Britain next month, Germany in September and the Czech Republic, which faces a parliamentary poll in October and a presidential election a few months later. Officials have voiced fears about the possibility of Russian-backed disruption.

After all, blaming the Americans for all of Russia's woes was a matter of convenience: The Kremlin simply fanned the flames of hatred, keeping its population's attention fixed far from the problems unfolding inside its borders.

But to ensure its continued loyalty, the president has traditionally relied on propaganda and foreign scapegoats.

In losing an enemy, though, Russia seems to have gained a new problem. The country's enmity toward America has long been the lifeblood of Russian politics, and without it, Moscow seems bent on finding a replacement — perhaps even one inside Russia

No matter how bad things got inside Russia, there was always someone else to pin it on. It wasn't always Washington, either. Europe was occasionally portrayed as Moscow's enemy, especially during Ukraine's Euromaidan uprising in 2014. Nevertheless, no country was as useful a scapegoat as the United States.

Who else? Ukraine? Too small. Africa? Too poor. Australia or New Zealand? Too peaceful, and too distant. Clearly, finding a replacement for the United States is not so simple a task. Even terrorist groups like the Islamic State — a natural enemy to many countries — would not work, because the shared threat they pose encourages more cooperation than antagonism.

In many ways the hunt has already begun: Putin has labeled human rights activists "national traitors," while residents with dual passports or citizenship elsewhere can be fined and possibly deported as spies. Nonprofits, charities and independent polling companies are required to register as "foreign agents" if they receive funding from abroad and are said to be engaged in "political activity" (a term so vague it can be applied to nearly anyone). These institutions are then barred from working with state organizations, and the financial reports they must submit are so complicated that they often get in the way of day-to-day operations.

La Maison Blanche a d’abord démenti en janvier tout contact avec des responsables russes au cours de la campagne 2016. Depuis, la position de la présidence a évolué et la Maison Blanche a confirmé quatre rencontres entre M. Kislyak et des conseillers de Trump au cours de la campagne.

Les spécialistes politiques notent que les contacts avec des responsables étrangers au cours d’une campagne électorale ne sont pas inhabituels mais le nombre recensé entre l’équipe de Trump et des responsables russes est exceptionnel.

Les deux hommes entendaient établir un canal de communication secret entre Donald Trump et Vladimir Poutine afin de court-circuiter l’administration de la sécurité nationale américaine, que les deux présidents considéraient comme hostile à une amélioration des relations entre les Etats-Unis et la Russie, indiquent quatre responsables américains.

Bonjour,
[...]
je vous écris pour vous consulter sur autre chose: vous savez peut-être qu’un jeune blogueur russe a été condamné, cette semaine à 3,5 ans de prison avec sursis pour avoir joué à Pokemon Go dans une Eglise en septembre 2016. Cette condamnation, jugée trop clémente par certains responsables religieux orthodoxes en Russie et qui n’a été condamnée par aucun responsable religieux officiel, fait suite à l’article 148 du code pénal Russe qui prévoit des peines de prison pouvant aller jusqu’à 5 ans dans les cas d’ »atteinte aux sentiments des croyants ». Dans le cas du jeune blogueur, le procureur réclamait 3,5 ans fermes car le jeune homme avait osé, tout en admettant avoir commis un acte idiot en jouant à Pokemon Go dans une Eglise, expliquer son geste par le fait qu’il ne croyait pas que Jésus ait existé. Or nier l’Existence de Jésus et de Mahomet est une atteinte majeure aux sentiments des croyants, selon le même article 148.
 
Des croyants russe de toutes confessions chrétiennes (je ne sais pas s’ils sont aussi de toutes religions) ont écrit une lettre ouverte, qu’ils souhaitent diffuser parmi les chrétiens du monde entier, pour leur demander de réagir face à cette situation dans le but d'essayer de faire supprimer l’article 148 du code pénal: ils considèrent, en effet, que l’existence de cet article de loi porte atteinte à la dignité des croyants bien plus que les offenses commises par ceux qui sont jugés selon cet article.  
Pour rappel (et la liste n’est pas complète), un metteur en scène, en 2016, a échappé de peu à une condamnation car on lui reprochait que dans sa mise en scène de Tanhauser, un personnage au comportement débauché ressemblait trop au personnage historique du Christ, un internaute a été condamné a une peine de prison ferme (quelques mois) pour avoir écrit sur internet « qu’il n’en avait rien à foutre de Dieu et de la religion », deux jeunes femmes (Pussy Riot) on fait deux et demi ans de prison pour avoir chanté, dans une église, un pastiche de prière insultante envers Poutine et le Patriarche (mais pas envers la foi chrétienne).
 
Voilà le texte de la lettre ouverte, que j’ai rapidement traduite de l’anglais (je n’ai pas vu l’original russe):
 
LETTRE OUVERTE
"Aux évêques, clergé et fidèles des églises locales, responsables des associations et mouvements religieux du monde entier.
Votre Sainteté, Eminences, Excellences, Révérends Pères, Mères, Frères et Soeurs,
Les croyants de différentes confessions en Russie vous adressent un appel. Nous sollicitons votre aide pastorale et votre soutien pour nous aider à résister à la situation d'arbitraire législatif qui a cours en Russie avec l'assentiment de la plupart des hiérarques religieux du pays.  
Le code pénal Russe stipule, dans son article 148, que toute personne qui "porterait atteinte aux sentiments des croyants" serait passible d'une peine de prison ferme. Cet article a déjà été appliqué dans le passé, et a amené des personnes à purger des peines de prison.
Nous vous demandons instamment de prendre publiquement position à propos de cet article de loi et d'user de votre influence personnelle auprès de vos correspondants et contacts religieux en Russie afin de les convaincre de demander que cet article de loi, qui est contraire à la constitution et qui porte atteinte à la dignité des croyants, soit retiré du code Pénal Russe.
 
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