« Je représente Les Républicains ». Une minute après le début de l’audience qui a débuté à 11 heures au tribunal judiciaire de Paris, visant à se prononcer sur la possibilité pour le bureau politique de suspendre celui qui était jusqu’alors président du parti, Eric Ciotti, deux voix s’élèvent des deux côtés de la salle.
 
« Il va falloir vous mettre d’accord, maîtres, répond la présidente du tribunal, Maïté Grison-Pascail. Je ne peux pas recevoir de double constitution. » Les deux avocats, Philippe Torre, représentant des Républicains mandaté par Eric Ciotti, et Benoît Verger, avocat des Républicains historique, s’approchent de la barre et entament des échanges vifs, à voix basse… sans se mettre d’accord.
 
L’audience a été suspendue une trentaine de minutes. A son retour, la présidente du tribunal a annoncé qu’elle avait contacté un représentant du bâtonnier, afin qu’il tranche l’épineuse question de savoir qui représente le parti Les Républicains.

« Je représente Les Républicains ». Une minute après le début de l’audience qui a débuté à 11 heures au tribunal judiciaire de Paris, visant à se prononcer sur la possibilité pour le bureau politique de suspendre celui qui était jusqu’alors président du parti, Eric Ciotti, deux voix s’élèvent des deux côtés de la salle.
 
« Il va falloir vous mettre d’accord, maîtres, répond la présidente du tribunal, Maïté Grison-Pascail. Je ne peux pas recevoir de double constitution. » Les deux avocats, Philippe Torre, représentant des Républicains mandaté par Eric Ciotti, et Benoît Verger, avocat des Républicains historique, s’approchent de la barre et entament des échanges vifs, à voix basse… sans se mettre d’accord.
 
L’audience a été suspendue une trentaine de minutes. A son retour, la présidente du tribunal a annoncé qu’elle avait contacté un représentant du bâtonnier, afin qu’il tranche l’épineuse question de savoir qui représente le parti Les Républicains.

« Je représente Les Républicains ». Une minute après le début de l’audience qui a débuté à 11 heures au tribunal judiciaire de Paris, visant à se prononcer sur la possibilité pour le bureau politique de suspendre celui qui était jusqu’alors président du parti, Eric Ciotti, deux voix s’élèvent des deux côtés de la salle.
 
« Il va falloir vous mettre d’accord, maîtres, répond la présidente du tribunal, Maïté Grison-Pascail. Je ne peux pas recevoir de double constitution. » Les deux avocats, Philippe Torre, représentant des Républicains mandaté par Eric Ciotti, et Benoît Verger, avocat des Républicains historique, s’approchent de la barre et entament des échanges vifs, à voix basse… sans se mettre d’accord.
 
L’audience a été suspendue une trentaine de minutes. A son retour, la présidente du tribunal a annoncé qu’elle avait contacté un représentant du bâtonnier, afin qu’il tranche l’épineuse question de savoir qui représente le parti Les Républicains.

« Je représente Les Républicains ». Une minute après le début de l’audience qui a débuté à 11 heures au tribunal judiciaire de Paris, visant à se prononcer sur la possibilité pour le bureau politique de suspendre celui qui était jusqu’alors président du parti, Eric Ciotti, deux voix s’élèvent des deux côtés de la salle.
 
« Il va falloir vous mettre d’accord, maîtres, répond la présidente du tribunal, Maïté Grison-Pascail. Je ne peux pas recevoir de double constitution. » Les deux avocats, Philippe Torre, représentant des Républicains mandaté par Eric Ciotti, et Benoît Verger, avocat des Républicains historique, s’approchent de la barre et entament des échanges vifs, à voix basse… sans se mettre d’accord.
 
L’audience a été suspendue une trentaine de minutes. A son retour, la présidente du tribunal a annoncé qu’elle avait contacté un représentant du bâtonnier, afin qu’il tranche l’épineuse question de savoir qui représente le parti Les Républicains.

« Je représente Les Républicains ». Une minute après le début de l’audience qui a débuté à 11 heures au tribunal judiciaire de Paris, visant à se prononcer sur la possibilité pour le bureau politique de suspendre celui qui était jusqu’alors président du parti, Eric Ciotti, deux voix s’élèvent des deux côtés de la salle.
 
« Il va falloir vous mettre d’accord, maîtres, répond la présidente du tribunal, Maïté Grison-Pascail. Je ne peux pas recevoir de double constitution. » Les deux avocats, Philippe Torre, représentant des Républicains mandaté par Eric Ciotti, et Benoît Verger, avocat des Républicains historique, s’approchent de la barre et entament des échanges vifs, à voix basse… sans se mettre d’accord.
 
L’audience a été suspendue une trentaine de minutes. A son retour, la présidente du tribunal a annoncé qu’elle avait contacté un représentant du bâtonnier, afin qu’il tranche l’épineuse question de savoir qui représente le parti Les Républicains.

«Alliance» LR-RN : la «consternation globale» de Nicolas Sarkozy

Si Nicolas Sarkozy reste silencieux pour le moment, son entourage ne fait pas mystère de sa «consternation globale» . « Viendra le temps d'une expression de sa part, mais certainement pas dans ce brouhaha indigne vis-à-vis des Français» , ajoute-t-on.

« Je représente Les Républicains ». Une minute après le début de l’audience qui a débuté à 11 heures au tribunal judiciaire de Paris, visant à se prononcer sur la possibilité pour le bureau politique de suspendre celui qui était jusqu’alors président du parti, Eric Ciotti, deux voix s’élèvent des deux côtés de la salle.
 
« Il va falloir vous mettre d’accord, maîtres, répond la présidente du tribunal, Maïté Grison-Pascail. Je ne peux pas recevoir de double constitution. » Les deux avocats, Philippe Torre, représentant des Républicains mandaté par Eric Ciotti, et Benoît Verger, avocat des Républicains historique, s’approchent de la barre et entament des échanges vifs, à voix basse… sans se mettre d’accord.
 
L’audience a été suspendue une trentaine de minutes. A son retour, la présidente du tribunal a annoncé qu’elle avait contacté un représentant du bâtonnier, afin qu’il tranche l’épineuse question de savoir qui représente le parti Les Républicains.

Les trois questeurs de l'Assemblée élus mercredi, Marie Guévenoux (Renaissance) et Éric Woerth (Renaissance) et Éric Ciotti (LR), sont tout aussi bien lotis. Ces députés, chargés, entre autres, du bon fonctionnement des finances de l'Assemblée, voient 5 .000 euros bruts s'ajouter à leur indemnité. Et, grâce à ce poste, chacun loge dans un appartement de 400 mètres carrés, à deux pas du palais Bourbon, avec une vaste salle de réception et un maître d'hôtel. Un chauffeur, un secrétaire et un collaborateur supplémentaires sont également à leur disposition.

« Je représente Les Républicains ». Une minute après le début de l’audience qui a débuté à 11 heures au tribunal judiciaire de Paris, visant à se prononcer sur la possibilité pour le bureau politique de suspendre celui qui était jusqu’alors président du parti, Eric Ciotti, deux voix s’élèvent des deux côtés de la salle.
 
« Il va falloir vous mettre d’accord, maîtres, répond la présidente du tribunal, Maïté Grison-Pascail. Je ne peux pas recevoir de double constitution. » Les deux avocats, Philippe Torre, représentant des Républicains mandaté par Eric Ciotti, et Benoît Verger, avocat des Républicains historique, s’approchent de la barre et entament des échanges vifs, à voix basse… sans se mettre d’accord.
 
L’audience a été suspendue une trentaine de minutes. A son retour, la présidente du tribunal a annoncé qu’elle avait contacté un représentant du bâtonnier, afin qu’il tranche l’épineuse question de savoir qui représente le parti Les Républicains.