At the World’s Most Famous Arena and before one of his largest rally crowds of the cycle, Trump railed against opponents he sees as “the enemy from within,” described the media as “the enemy of the people,
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“It’s just this amorphous group of people, but they’re smart and they’re vicious, and we have to defeat them,” Trump said in explaining his use of “the enemy from within.”
 
“And when I say the enemy from within, the other side goes crazy. … They’ve done very bad things to this country. They are indeed the enemy from within. But this is who we’re fighting,” he continued.
 
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Grant Cardone, a conservative influencer and investor, said Harris and “her pimp handlers will destroy our country” and raised his middle finger to the camera to show what message a Trump victory would send to “the elites.”
 
“It needs to be a landslide,” he said. “We need to slaughter these other people. We need to bring 100 million votes to Donald Trump.”
 
David Rem, who announced his candidacy for mayor of New York on stage, echoed a rallygoer who called Harris “the devil” and added that she is “the Antichrist.” Conservative media personality Tucker Carlson joked that Harris, who is of Black and Indian descent, would be “the first Samoan Malaysian low IQ, former California prosecutor ever to be elected president.”
 
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His jokes included saying Latinos “love making babies” because “there’s no pulling out. They don’t do that. They come inside, just like they did to our country.”
Then he targeted Puerto Rico, describing it as “a floating island of garbage in the middle of the ocean right now.” Then he told a joke about how he and a Black friend “carved watermelons” together.

J'aime pas trop le personnage mais bon, on veut vraiment pas Kamala donc... On vote pas que pour Donald Trump, on vote pour les Républicains, pour redonner une dynamique aux USA. Je pense qu'elle est pas au courant vraiment de la vraie vie des gens, contrairement à Trump qui a géré ses entreprises et qui connait le monde du travail et le monde des gens qui se lèvent tous les matins pour aller travailler...

A Tempe, près de Phoenix, les vitres d'un QG démocrate portent les stigmates des coups de feu qui l'ont visé. Ces tirs réveillent la crainte de violences politiques à l'approche de l'élection entre Kamala Harris et Donald Trump.

Le local démocrate de Tempe a d'abord été la cible de balles de pistolet à plomb ou à bille, le 16 septembre, puis de tirs à balles réelles, une semaine plus tard, rapporte ABC News(Nouvelle fenêtre). Les derniers tirs ont eu lieu peu après minuit, le 6 octobre, d'après la police. Pour Janice, qui travaille tout près, les faits s'expliquent par "la colère au sujet de l'élection". "Je ne pensais pas que ce genre de choses pourrait se produire ici", glisse sa collègue. "C'est effrayant. Il y a une garderie à côté", renchérit Hillary, propriétaire de l'école de coiffure voisine. "

Depuis ces tirs, les équipes de la campagne démocrate se sont dispersées dans Tempe et travaillent désormais dans des lieux tenus secrets, précise la candidate démocrate Lauren Kuby, en campagne dans cette circonscription pour un siège au Sénat de l'Arizona.

Lauren Kuby, elle-même, a été menacée à plusieurs reprises. "J'ai partagé votre adresse et votre téléphone avec un groupe d'étrangers illégaux, je paye leur nourriture et billets de bus pour qu'ils viennent vous cambrioler", lit-on dans l'un des trois messages qu'elle a reçus. Un autre, d'une violence extrême, évoque un viol collectif.

A Tempe, près de Phoenix, les vitres d'un QG démocrate portent les stigmates des coups de feu qui l'ont visé. Ces tirs réveillent la crainte de violences politiques à l'approche de l'élection entre Kamala Harris et Donald Trump.

Le local démocrate de Tempe a d'abord été la cible de balles de pistolet à plomb ou à bille, le 16 septembre, puis de tirs à balles réelles, une semaine plus tard, rapporte ABC News(Nouvelle fenêtre). Les derniers tirs ont eu lieu peu après minuit, le 6 octobre, d'après la police. Pour Janice, qui travaille tout près, les faits s'expliquent par "la colère au sujet de l'élection". "Je ne pensais pas que ce genre de choses pourrait se produire ici", glisse sa collègue. "C'est effrayant. Il y a une garderie à côté", renchérit Hillary, propriétaire de l'école de coiffure voisine. "

Depuis ces tirs, les équipes de la campagne démocrate se sont dispersées dans Tempe et travaillent désormais dans des lieux tenus secrets, précise la candidate démocrate Lauren Kuby, en campagne dans cette circonscription pour un siège au Sénat de l'Arizona.

Lauren Kuby, elle-même, a été menacée à plusieurs reprises. "J'ai partagé votre adresse et votre téléphone avec un groupe d'étrangers illégaux, je paye leur nourriture et billets de bus pour qu'ils viennent vous cambrioler", lit-on dans l'un des trois messages qu'elle a reçus. Un autre, d'une violence extrême, évoque un viol collectif.

Pour les deux responsables démocrates, "il y a toujours eu quelques menaces", mais les tensions ont pris une autre ampleur dans le courant des années 2010. Jon Ryder met en cause la rhétorique du mouvement conservateur Tea Party, lors de la présidence de Barack Obama, puis celle de Donald Trump et de ses soutiens les plus radicaux. "Le niveau de violence a augmenté en grande partie à cause du mouvement Maga [l'acronyme du slogan "Make America Great Again" de Donald Trump]", fustige-t-il, dénonçant "des mensonges qui radicalisent les gens". Contactés, plusieurs candidats républicains dans la région de Phoenix et Tempe n'ont pas répondu à nos questions.