Forum |  HardWare.fr | News | Articles | PC | S'identifier | S'inscrire | Shop Recherche
1738 connectés 

 


Croyez vous en l'homme ???




Attention si vous cliquez sur "voir les résultats" vous ne pourrez plus voter

 Mot :   Pseudo :  
 
 Page :   1  2  3
Page Suivante
Auteur Sujet :

[Sondage] Croyez vous en l'homme ???

n°1251574
eyeless
Posté le 30-09-2003 à 20:58:43  profilanswer
 

Reprise du message précédent :

Cappadocius a écrit :

 
 
60% ne croit pas en l'homme...  :ouch:  
 
Perso, je préfère croire en l'homme, que croire en dieu ou je ne sais quelle autre fadaise du même acabit...  :sarcastic:


 
je plussoi  :wahoo:  
 
Mais maintenant je me demande si il existe une correlation avec l'opinion politique des repondants au sondage [:meganne]

mood
Publicité
Posté le 30-09-2003 à 20:58:43  profilanswer
 

n°1251633
Atman
Posté le 30-09-2003 à 21:08:14  profilanswer
 

firebird2 a écrit :

bah de toute facon a l'état de nature nous sommes ignorant, et on s'empresserait comme toute civilisation de se trouver des dieux et des conneries du genre pour s'abrutire et se foutre sur la geule.Faut savoir aussi qu'il y en aura toujours un pour vouloir dominer l'autre, c aussi la nature humaine, et animal également, mais dans le cas de l'animal ca marche, car ca permet une régulation et il n'y a pas de notion de cruauté ,de violence gratuite

a ce qu'il parait. De la le peché originel:
Eve qui malgré l'interdiction tente adam  en lui disant de croquer la pomme (de la connaissance)résultat:
chasser du paradis  :D

n°1251654
firebird2
mé qué ski raconte ? .........
Posté le 30-09-2003 à 21:11:16  profilanswer
 

Atman a écrit :

a ce qu'il parait. De la le peché originel:
Eve qui malgré l'interdiction tente adam  en lui disant de croquer la pomme (de la connaissance)résultat:
chasser du paradis  :D  

bah oué je croix pas en dieu mais c l'idée.


---------------
"Sur le plus beau trône du monde, on n'est jamais assis que sur son cul !"    Montaigne
n°1251720
sombresong​e
Posté le 30-09-2003 à 21:23:09  profilanswer
 

Mouarf ya des personnes vraiment déconnecter de la réalité! Vous arreter pas de parler du mal que fait l'Homme sur la  nature etc.
Vous vous rendez compte à quel point c'est ridicule de parler de bien et de mal à l'echelle naturel. Vous vous rendez compte que le bien et le mal sont des concept humains et que ça ne s'applique pas à autre chose qu'à des Hommes et que d'un individus à l'autre ces notions n'ont pas la même définition?
A l'echel de l'évolution ya ceux qui évoluent et survive et ya ceux qui n'évoluent pas et disparaisse c'est tout!

n°1251795
Atman
Posté le 30-09-2003 à 21:41:12  profilanswer
 

firebird2 a écrit :

bah oué je croix pas en dieu mais c l'idée.

meme pour un non-croyant, etudier les religions peut etre instructif (c'est pas amazan qui dira le contraire)

n°1251810
Atman
Posté le 30-09-2003 à 21:43:00  profilanswer
 

sombresonge a écrit :

Mouarf ya des personnes vraiment déconnecter de la réalité! Vous arreter pas de parler du mal que fait l'Homme sur la  nature etc.
Vous vous rendez compte à quel point c'est ridicule de parler de bien et de mal à l'echelle naturel. Vous vous rendez compte que le bien et le mal sont des concept humains et que ça ne s'applique pas à autre chose qu'à des Hommes et que d'un individus à l'autre ces notions n'ont pas la même définition?
A l'echel de l'évolution ya ceux qui évoluent et survive et ya ceux qui n'évoluent pas et disparaisse c'est tout!

La différence avec l'homme c'est qu'il est sensé avoir une conscience ,d'autant plus que sa capacité de nuisance est trés supérieure a celle des autres animaux

n°1251828
Cappadociu​s
Via Caeli
Posté le 30-09-2003 à 21:46:51  profilanswer
 

sombresonge a écrit :

Mouarf ya des personnes vraiment déconnecter de la réalité! Vous arreter pas de parler du mal que fait l'Homme sur la  nature etc.
Vous vous rendez compte à quel point c'est ridicule de parler de bien et de mal à l'echelle naturel. Vous vous rendez compte que le bien et le mal sont des concept humains et que ça ne s'applique pas à autre chose qu'à des Hommes et que d'un individus à l'autre ces notions n'ont pas la même définition?
A l'echelle de l'évolution ya ceux qui évoluent et survive et ya ceux qui n'évoluent pas et disparaisse c'est tout!


 
Tout à fait  :jap:  
Ca fait aussi partie du processus irrationnel d'anthromorphisme des animaux.
 

n°1251909
ptitperver
Posté le 30-09-2003 à 22:04:11  profilanswer
 

duduche33 a écrit :

Moi j'y crois plus ,je pensais etant jeune que les gens etaient quasiment tous bons et quand ils fesaient des choses pas bien,c'etait principalement par maladresse ou inconscience,malheureusement tout n'est pas si simple,si les gens sont aussi malsains ,c'est la faute de notre société !
 
De nos jours c'est beaucoup trop facile de trouver des gens hypocrites,egocentrique,méchants,aggressifs,cupides etc y en a à tous les coins des rues...tout ca car notre société nous dit que c'est comme cela qu'il faut "vivre" ou "survivre" .
 
Mais la société est en perpétuelle mutation,comment seront nous au niveau de la mentalité dans quelques années,peut on esperer une prise de conscience générale? Y aura t'il une volonté d'outrepasser cet abétissement que notre société procure ??? ou bien allons nous droit au poteau,les mentalités evolueront elles encore plus négativement ???  
Ce que je pense,c'est qu'il y a quelques années les gens etaient humainement plus intéréssants,la société pronait la notion "d'entraide",normal c'est suite à la guerre il fallait tout reconstruire ,aujourd hui ,la société prone l individualisme et la capacité à tout faire pour arriver à ses fins sans se soucier des autres,l'egoisme pure.
Et dans 50 ans ? soit ca ira moins bien,ce qui fait que on sera dans une pente descendante constante et l'etre humain est vraiment une race pourrie,soit ca ira mieux ,et cela voudra dire que les mentalités suivent une forme de sinusoidale ,y a des periodes ou cest bien et d'autres ou c'est naze.
Et la je crois mpas d'chance pour nous,qu'on est profond dans le naze en ce moment ,du moins en France,pour les autres pays je sais pas trop .
 
Je crois que le probleme,c'est que la société ne donne pas assez l'exemple,y a des gens qui ont conscience de cela ,ils voudraient faire des efforts,mais quand on est entouré de "merdes" ,il est difficile de progresser et de trouver reconnaissance ,alors que si cette personne etait
entouré de personne "positive" elles pourraient progresser mentalement.  
Il faudrait donc agir à grande echelle,peut etre que le gouvernement Francais devraient interdire ou bien favoriser certains choses pour que les mentalites aillent dans le bon sens,
Juste un petit exemple,le gouvernement pourrait punir les gens qui font preuve d'incivilité meme à petites echelles,comme par exemple sur la routes les gens qui en insultes d'autres pour diverses raisons,et hop ! juste une petite amende pour apprendre que quelquesoit la situation,on se doit de respecter son prochain.C'est par pleins de petites mesures telles que celle ci qu'on pourrait peut a peu changer les mentalités.
 
Actuellement ,je crois pas en l'homme car l'homme est complemement imparfait ,l'intelligence fait de nous des etres remplis de malice,tue la spontaneité,complique les regles du jeu et les relations humaines,on ne sait jamais si on peut faire confiance aux gens ou si ils vont vous poignarder dans le dos ,il est devenu trop rare de tomber sur des gens de confiance et ca c'est bien triste .
 
qu'en pensez vous ????


 
je serais tenter...de copier/coller cet excellent article  :D  
 
Le bien-être est-il dans l'excès ?
 
Dans une société individualiste, marquée par l'urgence et l'intensité, la quête du bonheur devient un exercice complexe.
Les gens heureux n'ont pas d'histoire : s'il faut croire l'adage, nos contemporains ont alors beaucoup à dire. Peut-on apprendre à être heureux ? (Albin Michel), Travailler pour être heureux ? (Fayard), S'épanouir en couple et en famille (InterEditions), Et si le bonheur dépendait de moi ? (Le Courrier du livre)...  Rarement le monde de l'édition a à ce point exploité le concept de bien-être, de développement personnel et, plus généralement, de bonheur.
 
Pourquoi cet engouement ? Comment expliquer que cette notion, philosophique s'il en est, suscite à ce point l'intérêt des vulgarisateurs de tout bord - et de leurs lecteurs ? On peut, bien sûr, objecter que le bonheur ne se cache pas dans un livre de recettes, si pertinent soit-il. Mais ces ouvrages se vendent, et se vendent bien. Dans une société en pleine mutation, marquée par l'instabilité et l'individualisme, leur succès est révélateur d'un malaise. Malaise dont ont longuement débattu les sociologues et autres spécialistes des sciences humaines participant au colloque sur "L'individu hypermoderne", qui s'est tenu à Paris, du 8 au 11 septembre, sous l'égide de l'Ecole supérieure de commerce de Paris (ESCP-EAP).
 
L'individu hypermoderne ? Autrement dit : nous tous, habitants de pays riches dont les fondements actuels sont ceux de la compétition et de la guerre économique. Lancé - pour ne pas en être exclu - dans la logique du profit immédiat, désabusé face aux espoirs en un avenir meilleur, qu'il prenne la forme de la vie éternelle, de la victoire du prolétariat ou de la marche irréversible vers le progrès, l'hypermoderne vit au jour le jour. "Comme s'il devait être le seul ou le dernier qui nous soit donné pour combler nos attentes ou réaliser nos désirs", souligne la sociologue Nicole Aubert, principale organisatrice de ce colloque. D'où une course permanente vers le "toujours plus, toujours plus vite", dans une société qui se caractérise avant tout par l'excès.
 
Excès de consommation, excès de sensations, excès d'activité... Excès de changement, également. "Il ne s'agit plus de vénérer des figures anciennes, des sages qui imposent le respect, les pères de la science, de l'Etat ou encore les maîtres d'une technique particulière, mais d'admirer celui qui apporte du nouveau", remarque Jean-Paul Dumond, docteur en gestion, management public et conduite de projet à l'Ecole nationale de la santé publique, pour qui le changement "est devenu une valeur".  
 
Dans notre économie libérale, la puissance se mesurerait ainsi à la vitesse de réalisation des mutations. Vitesse encore amplifiée par les technologies de l'information et de la communication, d'où leur succès.
 
Conséquences pour tout un chacun ? Dans l'entreprise, les personnels ne sont plus considérés comme une donnée, mais comme une variable. L'individu lui-même, bénéficiant d'une formation continue, doit être en perpétuel mouvement. Même pour ceux qui travaillent dans une entreprise publique ou dans une administration, et qui ne sont donc pas menacés de perdre à tout moment leur emploi, les effets de cette dynamique de changements incessants finissent par se faire sentir. Pas facile d'être confiant et sûr de soi quand les liens se défont sans cesse, et que l'on est censé faire face, pour prouver ses compétences, à des demandes de plus en plus versatiles.
 
Dans la sphère privée également les bouleversements s'accumulent. De nouveaux comportements collectifs apparaissent, dont le but, souvent, ne semble pas dépasser la sensation d'être ensemble : immenses rassemblements de rollers ou attroupements éclairs (flashmobs), ces étranges rituels urbains, entre canular et spectacle, se multiplient actuellement dans les grandes villes (Le Monde du 17 septembre). Les projets collectifs, en revanche, se font rares, et restent le plus souvent ponctuels : ainsi la mobilisation massive contre Jean-Marie Le Pen au second tour de la présidentielle, puis de nouveau l'éparpillement et l'abstention aux législatives.
 
Dans le même temps se sont répandus des moyens de communication faisant apparaître de nouvelles façons de composer avec les autres - quand ce n'est pas avec soi-même. Messagerie électronique, répondeurs, portables : en dissociant l'espace et le temps, les technologies de communication instantanée permettent désormais de choisir le moment et l'endroit où nous contactons les autres, de se sentir, à tout moment, partout et nulle part. Et que dire d'Internet, qui permet, en dialoguant sur ses réseaux de chat, de prendre des visages multiples, et, par là même, de cacher sa véritable identité ? Si l'on ajoute à cette virtualisation de soi-même la multiplication de ses existences réelles (parcours professionnel, recompositions conjugales et familiales), on admettra que l'hypermodernité puisse engendrer une certaine instabilité... et une légère perte de sens.
 
Comment s'y retrouver dans une société qui préconise avant tout l'ubiquité, la polyvalence, la mobilité ? Certes, cette flexibilité poussée à l'extrême ne présente pas que des inconvénients. Ainsi que le soulignaient plusieurs intervenants du colloque, elle génère aussi de la créativité. Le tissu social devient plus fragile, mais plus élastique, les relations humaines sont moins fortes, mais plus nombreuses... Selon la logique du libéralisme, chacun devient également plus libre de construire son destin. Mais ce surplus de liberté individuelle se paie cher. En premier lieu pour ceux qui n'auront pas su ou pu en profiter, et qui, livrés à la précarité, vivent le plus souvent dans une grande solitude sociale. Mais aussi pour bien d'autres, auxquels cette vie effrénée et compétitive procure un sentiment croissant d'insécurité et d'angoisse.
 
"Pour beaucoup, la vie est devenue une espèce de course individuelle - au bonheur, à la réussite, au développement personnel. Le bien-être tend ainsi à se déplacer du niveau social et politique au niveau individuel et psychologique", souligne le sociologue Vincent de Gaulejac, directeur du laboratoire de changement social de l'université Paris-VII. De quoi ne plus savoir, en effet, à quel bonheur se vouer.
 
Catherine Vincent
 
http://www.lemonde.fr/article/0,59 [...] 5-,00.html et cet article :  http://www.lemonde.fr/article/0,59 [...] 6-,00.html : "Le mode d'action en urgence est devenu la règle"  
 

n°1252458
Atman
Posté le 30-09-2003 à 23:43:20  profilanswer
 

Il me semble trop facile de dire: "c'est la faute a la société"
Un homme accompli (faute de trouver un autre terme)peut passer outre a la société dans laquelle il vit.
Sinon , qu'est ce que le bonheur?
Réponse: c'est ce qui nous manque.
Conclusion ,pour etre heureux il faudrait se satisfaire de ce que l'on a.

n°1252523
Infi888
Intermittent des forums
Posté le 30-09-2003 à 23:53:47  profilanswer
 

Cappadocius a écrit :


 
Tout à fait  :jap:  
Ca fait aussi partie du processus irrationnel d'anthromorphisme des animaux.
 
 


 
On juge le mal des humains pas des animaux. Il n'y a pas antropomorphisme. on s'en fout que les animaux aient ou non des sentiments proches des notres. Le problème n'a rien à voir. Il s'agit de jugements d'humains envers d'autres humains.

mood
Publicité
Posté le 30-09-2003 à 23:53:47  profilanswer
 

n°1252554
Atman
Posté le 01-10-2003 à 00:01:05  profilanswer
 

Infi888 a écrit :


 
On juge le mal des humains pas des animaux. Il n'y a pas antropomorphisme. on s'en fout que les animaux aient ou non des sentiments proches des notres. Le problème n'a rien à voir. Il s'agit de jugements d'humains envers d'autres humains.

:jap:  et envers les autres animaux également.

n°1253192
Killall-9
+on&2foo...
Posté le 01-10-2003 à 10:12:17  profilanswer
 

Atman a écrit :

Il me semble trop facile de dire: "c'est la faute a la société"
Un homme accompli (faute de trouver un autre terme)peut passer outre a la société dans laquelle il vit.
Sinon , qu'est ce que le bonheur?
Réponse: c'est ce qui nous manque.
Conclusion ,pour etre heureux il faudrait se satisfaire de ce que l'on a.


 
La faute à la société? Si un peu quand même. A la société de consommation. Le principe: produire et vendre des biens. Même si on en a pas besoin. Qui a un besoin vital de l'ordinateur personnel? Un besoin vital d'un téléphone mobile? Personne. Mais on crée le besoin: t'en as pas, t'es "out". Achète le produit, tu sera "in" et heureux. Seulement, une fois le produit acheté, on est pas plus heureux, il nous manque tout un panel de produits et de services.
 
La société de consommation vit en faisant miroiter le bonheur à des gens qu'elle entretient en état de perpetuelle frustration.

n°1253296
GregTtr
Posté le 01-10-2003 à 10:36:23  profilanswer
 

duduche33 a écrit :

De nos jours c'est beaucoup trop facile de trouver des gens hypocrites,egocentrique,méchants,aggressifs,cupides etc y en a à tous les coins des rues...tout ca car notre société nous dit que c'est comme cela qu'il faut "vivre" ou "survivre" .
 
Mais la société est en perpétuelle mutation,comment seront nous au niveau de la mentalité dans quelques années,peut on esperer une prise de conscience générale?


 
Moi je suis hypocrite, egocentrique (mais pas mechant, ni agressif ni cupide). C'est comme ca.
La societe n'a pas grand chose a voir la-dedans d'apres moi. Au plus, elle peut limiter cette tendance, mais c'est j'en suis convaincu une tendance naturelle et genetique: un individu qui s'occupe de lui (et d'un tout petit groupe autour) plutot que des autres est favorise, donc il a plus de chances d'avoir une descendance nombreuse. C'est donc un critere positif pour la selection naturelle, donc ca a de bonnes chances d'avoir ete selectionne ainsi. Dans ce cas, la societe ne fait qu'essayer de nous eduquer a l'oppose de notre nature.
Elle n'y arrive pas forcement tres bien, mais de tte facon, ce n'est pas de sa faute, sans elle ce serait pire.

n°1253321
leFab
Itadakimasu !!!
Posté le 01-10-2003 à 10:42:53  profilanswer
 

Cappadocius a écrit :


 
Tout à fait  :jap:  
Ca fait aussi partie du processus irrationnel d'anthromorphisme des animaux.
 
 


 :non: C'est qd même une vision simplette.
 
Qd l'activité d'une espèce à elle seule condamne tout un écosystème, on peut parler de 'mal' (même si je n'aime pas ce mot) objectif, ou plutôt d'influence négative, néfaste, car cela a pour conclusion inéluctable l'autodestruction.
 
Et puis faut arrêter d'être aussi binaires  [:mlc]  
 
Ne pas croire en l'homme -> se suicider  :sarcastic:  
Je ne crois pas en l'avenir de l'humanité et ça n'a rien à voir avec l'estime que je peux avoir pour moi, j'ai pas envie de crever tout de suite.
 
Ou le post duquel est parti le truc sur l'antropomorphisme :  
 

Cappadocius a écrit :


 
Tu detestes à ce point les Hommes pour leurs préférer la fréquentation des animaux ?  :sarcastic:  


 
Ce n'est pas parce qu'on trouve qu'un monde serait horrible sans animaux/plantes que tu peux conclure de ça qu'on déteste les Hommes et qu'on leur préfère les animaux. Idem : ne pas croire en l'homme ne signifie pas détester les hommes...
 
Et ouvrez les yeux : ya pas l'écosystème d'un côté et l'homme de l'autre. L'homme en fait partie, il aimerait sans doute croire qu'il le maitrise mais c'est des foutaises. Le scénario avec tout l'écosystème détruit et l'humanité qui survit qd même  :lol:


Message édité par leFab le 01-10-2003 à 10:49:03
n°1253339
leFab
Itadakimasu !!!
Posté le 01-10-2003 à 10:48:03  profilanswer
 

GregTtr a écrit :


 
Moi je suis hypocrite, egocentrique (mais pas mechant, ni agressif ni cupide). C'est comme ca.
La societe n'a pas grand chose a voir la-dedans d'apres moi. Au plus, elle peut limiter cette tendance, mais c'est j'en suis convaincu une tendance naturelle et genetique: un individu qui s'occupe de lui (et d'un tout petit groupe autour) plutot que des autres est favorise, donc il a plus de chances d'avoir une descendance nombreuse. C'est donc un critere positif pour la selection naturelle, donc ca a de bonnes chances d'avoir ete selectionne ainsi. Dans ce cas, la societe ne fait qu'essayer de nous eduquer a l'oppose de notre nature.
Elle n'y arrive pas forcement tres bien, mais de tte facon, ce n'est pas de sa faute, sans elle ce serait pire.


 
Bien sur  :jap:  
 
Dans nos gènes est inscrit le principe suivant (comme pour tout les animaux sauf peut être les insectes sociaux) : survit au détriment des autres. D'où les notions d'égoisme et de vision à court terme, le besoin de possèder des trucs et machins... Bref tout ce qui fait que c'est un sacré bordel...

n°1253658
Atman
Posté le 01-10-2003 à 11:47:00  profilanswer
 

leFab a écrit :


 :non: C'est qd même une vision simplette.
 
Qd l'activité d'une espèce à elle seule condamne tout un écosystème, on peut parler de 'mal' (même si je n'aime pas ce mot) objectif, ou plutôt d'influence négative, néfaste, car cela a pour conclusion inéluctable l'autodestruction.
 
Et puis faut arrêter d'être aussi binaires  [:mlc]  
 
Ne pas croire en l'homme -> se suicider  :sarcastic:  
Je ne crois pas en l'avenir de l'humanité et ça n'a rien à voir avec l'estime que je peux avoir pour moi, j'ai pas envie de crever tout de suite.
 
Ou le post duquel est parti le truc sur l'antropomorphisme :  
 
 
 
Ce n'est pas parce qu'on trouve qu'un monde serait horrible sans animaux/plantes que tu peux conclure de ça qu'on déteste les Hommes et qu'on leur préfère les animaux. Idem : ne pas croire en l'homme ne signifie pas détester les hommes...
 
Et ouvrez les yeux : ya pas l'écosystème d'un côté et l'homme de l'autre. L'homme en fait partie, il aimerait sans doute croire qu'il le maitrise mais c'est des foutaises. Le scénario avec tout l'écosystème détruit et l'humanité qui survit qd même  :lol:


Tiens!? un mec bien! :)

n°1253682
Atman
Posté le 01-10-2003 à 11:50:45  profilanswer
 

Killall-9 a écrit :


 
La faute à la société? Si un peu quand même. A la société de consommation. Le principe: produire et vendre des biens. Même si on en a pas besoin. Qui a un besoin vital de l'ordinateur personnel? Un besoin vital d'un téléphone mobile? Personne. Mais on crée le besoin: t'en as pas, t'es "out". Achète le produit, tu sera "in" et heureux. Seulement, une fois le produit acheté, on est pas plus heureux, il nous manque tout un panel de produits et de services.
 
La société de consommation vit en faisant miroiter le bonheur à des gens qu'elle entretient en état de perpetuelle frustration.


Non désolé. C'est ça etre un homme accompli, ne pas se laisser mener par le bout du nez ,ne pas se laisser betement influencer,
exister par soi-meme (dans la mesure du possible).

n°1253732
Killall-9
+on&2foo...
Posté le 01-10-2003 à 11:58:23  profilanswer
 

Tu l'as dis: "dans la mesure du possible"...
 
Dès que tu as des interactions avec les autres, tu est influençé, c'est aussi simple que ça. Ça ne signifie pas être un "mouton bêlant", mais ne serais-ce que la mode: si tu veux pas être rejeté du groupe, faut suivre. Je suis sûr que même si les affaires de ton arrière grand père peuvent encore faire de l'usage, même si elles sont chaudes et confortables, même si elles sont à ta taille tu les mettra pas. Pourquoi? Par soucis d'integration sociale.
 
C'est pareil pour le reste: la frustration vient aussi du regard des autres.

n°1253741
Atman
Posté le 01-10-2003 à 12:01:15  profilanswer
 

Killall-9 a écrit :

Tu l'as dis: "dans la mesure du possible"...
 
Dès que tu as des interactions avec les autres, tu est influençé, c'est aussi simple que ça. Ça ne signifie pas être un "mouton bêlant", mais ne serais-ce que la mode: si tu veux pas être rejeté du groupe, faut suivre. Je suis sûr que même si les affaires de ton arrière grand père peuvent encore faire de l'usage, même si elles sont chaudes et confortables, même si elles sont à ta taille tu les mettra pas. Pourquoi? Par soucis d'integration sociale.
 
C'est pareil pour le reste: la frustration vient aussi du regard des autres.


C'est bien ça le problème, les gens ont trop peur d'etre rejeter, ils sont incapables d'exister sans les autres ,manque de courage. C'est bien pour cela que l'originalité est en voie de disparition.

n°1253787
leFab
Itadakimasu !!!
Posté le 01-10-2003 à 12:12:41  profilanswer
 

Killall-9 a écrit :

Tu l'as dis: "dans la mesure du possible"...
 
Dès que tu as des interactions avec les autres, tu est influençé, c'est aussi simple que ça. Ça ne signifie pas être un "mouton bêlant", mais ne serais-ce que la mode: si tu veux pas être rejeté du groupe, faut suivre. Je suis sûr que même si les affaires de ton arrière grand père peuvent encore faire de l'usage, même si elles sont chaudes et confortables, même si elles sont à ta taille tu les mettra pas. Pourquoi? Par soucis d'integration sociale.
 
C'est pareil pour le reste: la frustration vient aussi du regard des autres.


 
Boaf, je n'ai jamais suivi ou été influencé par la dernière mode dans mes fringues ou quoi que ce soit, je m'habille toujours pareil depuis des années [:spamafote]. Pareil pour les gadgets style portable/ordi/etc... Dans les 5 dernières années, j'ai du acheter qq caleçons, un manteau et deux ou trois pulls comme fringues. C'est tout [:spamafote]. Je ne me suis jamais senti obligé de 'suivre' comme tu dis.
 
Et aucun de mes potes ne fait partie de ce 'groupe' que tu décris qui rejetterais qq'un pour ces raisons.

n°1254453
Killall-9
+on&2foo...
Posté le 01-10-2003 à 13:55:35  profilanswer
 

leFab a écrit :


Et aucun de mes potes ne fait partie de ce 'groupe' que tu décris qui rejetterais qq'un pour ces raisons.


 
Je ne parlais pas d'un groupe de gens te connaissant bien, mais du groupe social.
 
Comprendre que pour entrer dans un groupe, c'est quand même bien plus facile si tu lui donne ses "codes": vestimentaires, gestuels, linguistiques.
 
Tu arrive à une soirée hupée en costard-cravate en attendant qu'on te présente pour féliciter "madame la comtesse sur sa magnifique toilette", tu est admis.
Tu y arrive en survèt'-baskets en t'écriant "ziav, la vielle, ta beu-ro elle arrache grâve, j'kiffe trop!", t'es rejeté
 
Je carricature, mais des fois la nuance est très subtile. L'originalité, la différence fait peur, la peur engendre le rejet. Il est beaucoup plus facile pour les autres de t'éviter dès que tu ne présente pas des signes d'intégration, et ils le font. Tu dois montrer un minimum "patte blanche" en renvoyant des indices qui montrent que tu corresponds aux critères du groupe.
 
Pour la société de consommation, la valeur positive est d'être un gros consommateur: avoir des fringues récentes, une voiture chère, bref, montrer des signes exterieurs de richesse.

n°1254753
leFab
Itadakimasu !!!
Posté le 01-10-2003 à 14:42:57  profilanswer
 

Killall-9 a écrit :


 
Je ne parlais pas d'un groupe de gens te connaissant bien, mais du groupe social.
 
Comprendre que pour entrer dans un groupe, c'est quand même bien plus facile si tu lui donne ses "codes": vestimentaires, gestuels, linguistiques.
 
Tu arrive à une soirée hupée en costard-cravate en attendant qu'on te présente pour féliciter "madame la comtesse sur sa magnifique toilette", tu est admis.
Tu y arrive en survèt'-baskets en t'écriant "ziav, la vielle, ta beu-ro elle arrache grâve, j'kiffe trop!", t'es rejeté
 
Je carricature, mais des fois la nuance est très subtile. L'originalité, la différence fait peur, la peur engendre le rejet. Il est beaucoup plus facile pour les autres de t'éviter dès que tu ne présente pas des signes d'intégration, et ils le font. Tu dois montrer un minimum "patte blanche" en renvoyant des indices qui montrent que tu corresponds aux critères du groupe.
 
Pour la société de consommation, la valeur positive est d'être un gros consommateur: avoir des fringues récentes, une voiture chère, bref, montrer des signes exterieurs de richesse.


 
Oui, j'avais compris, mais ce que je voulais dire, c'est qu'il y a peut être finalement peu de gens comme ce que tu décris (des gens qui se sentent obligés de 'suivre' : qui s'habillent ou agissent de façon à ne pas être rejeté du groupe même si cela est en contradiction avec leur gouts), à part qq victimes de la mode à l'adolescence ou qq personnes particulièrement influençables. De la même façon, les gens qui vont rejeter qq'un uniquement pour des questions d'apparence non conformiste (sauf cas extrèmes bien sûr) doivent être assez rares (je n'en ai jamais rencontré) ou très jeunes.
 
Dans le cas de groupes aux codes bien particuliers (ton exemple de la comtesse de machin par ex.), OK : si tu veux t'y intégrer, il faut t'adapter, mais des groupes si sectaires sont à mon avis assez rares et la société dans son ensemble n'en est pas un.
 
Ex perso par rapport à ta description de la valeur positive : je n'ai presque pas de fringues ayant moins de 5 ans et ma voiture a 15 ans et 290000 km (BX powaaa). Pourtant, je ne me suis jamais senti rejeté pour cela.


Message édité par leFab le 01-10-2003 à 14:44:59
n°1256063
Atman
Posté le 01-10-2003 à 18:05:23  profilanswer
 

leFab a écrit :


 
Oui, j'avais compris, mais ce que je voulais dire, c'est qu'il y a peut être finalement peu de gens comme ce que tu décris (des gens qui se sentent obligés de 'suivre' : qui s'habillent ou agissent de façon à ne pas être rejeté du groupe même si cela est en contradiction avec leur gouts), à part qq victimes de la mode à l'adolescence ou qq personnes particulièrement influençables. De la même façon, les gens qui vont rejeter qq'un uniquement pour des questions d'apparence non conformiste (sauf cas extrèmes bien sûr) doivent être assez rares (je n'en ai jamais rencontré) ou très jeunes.
 
Dans le cas de groupes aux codes bien particuliers (ton exemple de la comtesse de machin par ex.), OK : si tu veux t'y intégrer, il faut t'adapter, mais des groupes si sectaires sont à mon avis assez rares et la société dans son ensemble n'en est pas un.
 
Ex perso par rapport à ta description de la valeur positive : je n'ai presque pas de fringues ayant moins de 5 ans et ma voiture a 15 ans et 290000 km (BX powaaa). Pourtant, je ne me suis jamais senti rejeté pour cela.


Bien au contraire! il y en a beaucoup,la majorité des gens sont comme ça. Faut-il pour autant suivre la majorité ?

mood
Publicité
Posté le   profilanswer
 

 Page :   1  2  3
Page Suivante

Aller à :
Ajouter une réponse
 

Sujets relatifs
[sondage] Etes vous Daltonien ? (Viendez tester vos z'oeil)[Sondage]Etes vous epanoui au sein de votre travail ?????
[Sondage] Votre Connexion ? (RTC/ADSL/CABLE)un homme a part ?
[Sondage] Vous fumez ???Le "coup de foudre"....vous y croyez?
Pourriez vous devenir homme au foyer ?[TopikuniK] Stephen King
montoya chez McLaren, vous y croyez vraiment?? 
Plus de sujets relatifs à : [Sondage] Croyez vous en l'homme ???


Copyright © 1997-2022 Hardware.fr SARL (Signaler un contenu illicite / Données personnelles) / Groupe LDLC / Shop HFR