Alam Eric N a écrit :
Ca, c'est ce que tu supposes, pas forcément ce qui est, et pour l'explication, c'est avec lui qu'il faut l'avoir et ça n'a rien d'une attitude de "gonzesses"; rien ne vaut une bonne mise à plat, tu verras tout de suite s'il te poignarde dans le dos...s'il est mal à l'aise quand tu vas droit vers lui, sans agressivité, calme et déterminé à tirer ça au clair...
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En fait mon bureau est juste à côté du sien et on bosse sur le même projet.
Et depuis peu je sais même plus comment lui poser une question sans risquer de froisser sa suceptibilité, et forcément il doit le sentir et ça doit empirer les choses, et forcément laisser entendre à qqun de susceptible qu'il est susceptible c'est un peu le comble du comble.
Ce matin il m'a plus ou moins posé la question que je l'aimais pas, je sais plus pour quoi j'ai pas cherché, je me suis dit qu'il tentait de plaisanter, mais ptetre que non, et j'ai rien répondu, ce qui je présume n'a fait qu'accroitre sa paranoïa.
Donc effectivement va falloir tirer ça au clair.
Mais un autre collègue m'avait fait la remarque qu'il avait l'air plutot tendu, j'y ai pas preté attention au début, mais j'ai fini par réaliser que en effet y avait un soucis en ce moment.
En fait le truc con c'est qu'on a peu près le même age, milieu de vingtaine.
Bref j'aurai plutot tendance à laisser pisser, sauf si bien sur il me fait un caca nerveux un de ces quatres ...
J'ai plutot peur que ça atteigne le point de non retour sinon.
Je veux bien croire que je le soule, et ça me pose pas de probleme, mais j'ai l'impression d'être victime de cassage de sucre dans le dos. (ça c'est ma paranoia ).
putain mon post est un peu long, et c'est un peu 3615 ma vie
Message édité par pactole@ le 12-07-2006 à 23:46:20