Reprise du message précédent :

 
Est-on en novembre ? Simple question à te poser.

Est-ce que tu as lu les posts plus haut ou je dis de BUY ZE FUCKING DIP ? (ou éventuellement de hold, si tu n'as plus un rond)

J'ai vu mais honnêtement sur X, j'ai toujours vu DOCTOR PROFIT avoir raison c'est impressionant. Il commence à shorter et dit que Septembre sera maxi bearish. il s'est très rarement trompé cet enfoiré. je suis pas trop du genre à suivre les autres mais là je commence à flipper.

On lit aussi que les exchange OTC n'arrivent plus à satisfaire la demande, que cette fois-ci le supply shock est tout proche.
 
Mais ça fait aussi des mois qu'on lit que ça va arriver.

Tu crois vraiment à tout ce que tu dis ?
Tu penses vraiment que quelqu'un ici tient compte des tes messages ?

https://x.com/DrProfitCrypto/status/1957370865873776769

 
C'est ce que disait un autre gars fort suivi, y'a un gros dip avant la grosse hausse.
 
wait and see.
 
Perso je hold et je refill si ça dip fort.

 
Novembre ou go home.

Y a des gens ici qui le prennent au sérieux.  
Pourquoi s’arrêterait il ?

Moi je recharge a 112K/4K comme dit plus haut  

 
On va l'avoir le supply shock

Ah bon ?

 
En plus de lui ?

 
J'en vois pas des masses honnêtement...

En attendant, emprunt de GHO sur Fluid/Arbitrum à 0.15% (c'était même en négatif ce weekend) et lend sur AAVE/Base à 8%

Parce que la modération lui a demandé déjà plusieurs fois de se calmer avec ses posts de prédiction à la con. Donc soit il se calme, soit la modération s'en chargera.
 
Rappel du dernier message adressé à Allen :

J'ai VRAIMENT bien timé le marché à faire mon premier achat BTC la semaine dernière

preuve qu'on ne time pas le marché sauf énorme gigantissime moule.

Airdrop PLUME ajd 17h
https://www.binance.com/en/support/ [...] 1df14509f7

 
 
Mais je suis conforme à la stratégie DCA avec ce premier mois

Quand tu es un noob, oui.

Sinon, ton affirmation est équivalente à "j'ai marché 50m, tout était plat, donc la terre est plate".

C'est plutôt l'inverse. Ce sont les noobs qui croient pouvoir timer le marché. Plus tu fréquentes/lis des investisseurs expérimentés avec XX années sur les marchés, et moins tu entendra/lira d'histoire de trading  

 
c'est surtout qu'un investisseur expérimenté ne donnera jamais sa stratégie que ca soit de trading ou autre. Mais les indicateurs restent les mêmes pour eux aussi.

Pas forcément vrai. Même si la règle est de garder sa manière de trader secrete pour éviter de se faire dégommer sur les marchés, ce n'est pas systématiquement le cas. Par exemple la stratégie de trading de Saylor elle est assez claire.

Hu, vraiment ? Sur le topic bourse on n'arrête pas de donner nos stratégies.

Saylor ne fait pas de trading. Il ne fait qu'acheter.

On parle de stratégies qui marchent.

Vraiment ? il fait du collatéral avec MSTR, entre autres.

 
Et on se croute bien parfois
 
Et on empoche de la grasse PV parfois

difficile de te prendre au sérieux...

el famoso trader secret qui fait la nique à tout le monde
 
c'est d'ailleurs pour ça que les fonds passifs surperforment toujours les traders kissikonnaissent et qui pensent timer le marché

Les "investisseurs expérimentés" qui font moins bien que l'indice oui

Seul le DCA tu respecteras, et millionnaire tu finiras.  

T'as continué le DCA ?

 
les rapports de risk management des fonds  de produits listés sont pas plus avancés que ce que les traders utilisent comme indicateurs.

on parle de perf là
 
même les meilleurs le disent (coucou Warren)

quel était le traitement médiatique francais de l'arrivée d'internet ?
ChatGPT said:
 
Bonne question ! L’arrivée d’Internet en France (début des années 1990, puis explosion fin 1990s / début 2000s) a été accompagnée d’un traitement médiatique contrasté, oscillant entre fascination technologique, inquiétudes sociétales, et vulgarisation progressive. Voici une synthèse des grandes phases du discours médiatique français :
 
1. Les débuts (1993–1996) : curiosité et exotisme
 
Les grands médias (TF1, Le Monde, Libération, France 2…) présentent Internet comme une curiosité importée des États-Unis.
 
On parle de « la toile » ou du « réseau des réseaux », avec une insistance sur l’aspect technique et mystérieux.
 
Le traitement médiatique est souvent didactique : expliquer ce qu’est un « e-mail », un « site web », ou comment fonctionne la « navigation ».
 
On compare fréquemment Internet au Minitel, référence française familière.
 
2. L’explosion (1997–2000) : engouement et utopie
 
Période de la « nouvelle économie » et des start-ups : Internet est présenté comme une révolution comparable à l’imprimerie ou l’électricité.
 
Les médias mettent en avant des promesses de démocratisation du savoir, mondialisation des échanges, fin des intermédiaires.
 
Des magazines comme Courrier International, Le Nouvel Observateur ou Les Inrockuptibles proposent des dossiers enthousiastes sur la « cyberculture ».
 
La presse économique (Les Échos, La Tribune) annonce l’avènement d’une « nouvelle économie » liée au numérique.
 
3. Les inquiétudes (fin 1990s – début 2000s) : peur et fascination
 
En parallèle, le discours médiatique insiste sur les dangers : pornographie, sectes, violence en ligne, piratage, cybercriminalité.
 
Reportages télé (notamment TF1, France 2) adoptent parfois un ton alarmiste : Internet comme espace incontrôlable.
 
On retrouve des titres comme « Internet, une jungle sans loi » ou « Les pièges du cyberespace ».
 
Le débat sur la régulation (censure, protection des mineurs, législation) devient central.
 
4. La banalisation (milieu des années 2000)
 
Internet cesse d’être perçu uniquement comme une « nouveauté » : il devient un outil du quotidien (emails, forums, e-commerce).
 
Les médias commencent à intégrer Internet comme source d’information et relais (apparition des versions en ligne des journaux).
 
Le traitement médiatique se déplace vers les usages sociaux : blogs, rencontres en ligne, jeux vidéo, forums, puis réseaux sociaux.
 
En résumé
 
Années 1990 : exotisme + pédagogie + fascination.
 
Fin 1990s : utopie technologique + discours sur la « nouvelle économie ».
 
Début 2000s : inquiétudes sécuritaires + scandales (pédophilie, piratage).
 
Milieu 2000s et après : banalisation et intégration dans la vie quotidienne.

On est donc encore early.