Reprise du message précédent :
C'est une vache qui  qui reçoit le bulletin scolaire de son fils, elle est en scolère car elle y lit , en appréciation finale :  
 
"Peut faire meuh"

Toi, t'es pas loin de nous sortir l'histoire du petit nuage qui veut faire pluie-pluie.

Non, ça, c'était moi.

Et un fan de Pascal Praud va faire Pro-Praud    
 

Trop de mauvaises notes car il a corné tous ses cahiers  

C'est vraiment une bouse

Mr et M Asec ont 2 fils :
 

Est-ce que pendant un tremblement de terre un malade atteint de Parkinson se stabilise ?

Non mais il aura une sacrée bonne excuse en rapportant les cafés quasi vides à ses collègues

cinq ?
 

Cette réponse c'est uniquement quand tu veux que ce soit drôle

Quelle est le titre de série que Trump déteste le plus ?
 

Aujourd’hui j’étais dans le bus, et à un moment, un nain s’est assis à côté de moi !  
Au bout d’un moment, le bus freine… le nain glisse de son siège et je le prends par le bras pour l’aider à se rasseoir.  
Un peu plus tard, le bus freine encore… même scène. Je le reprends par le bras et je l’aide à nouveau !  
Encore un peu plus tard, le bus freine une troisième fois et le nain glisse encore.  
Je le reprends encore une fois par le bras et je lui dis :  
— Hé, tu dois t’accrocher pour ne pas glisser !!  
Lui, encore plus énervé que moi, me répond :  
— Et toi tu devrais te mêler de tes affaires… ça fait trois arrêts que j’essaie de descendre !

Excellent cette blague

 
 
Je pluzun

je la connaissais au bordel, toute la nuit a faire grincer le lit

Pourquoi Marc Dutroux fait régulièrement la greve de la faim en prison ?  
 

 
Il n'était pas plutôt orienté vers les petites filles?
 
En tout cas, un belge m'a expliqué pourquoi les nouvelles maisons sont moins chères en Belgique que chez nous.
Ils n'osent plus faire des caves.

Ben non, il est Belge

Le fiston: "Papa, j'ai reçu la médaille Coluche à l'école!"
Le père: "C'est quoi?"
Le fiston: "Ben, c'est le bâtiment où tu me dépose chaque jour et j'y vais pour apprendre"

 
Non, c'est parce qu'elles sont équipées de toilettes belges

Là où on tire la chasse avec un fusil

À l’Auchan de Mont-Saint-Martin, une maman crie : « Keviiin ! » Et là, cinq gamins déboulent en courant.
Un homme intrigué lui demande : « Dites donc, vous avez appelé tous vos fils Kevin ? C’est pas commun… »
La mère répond : « Bah oui, comme ça, quand je crie “Kevin”, ils viennent tous ! »
L’homme insiste : « Mais si vous voulez qu’un seul vienne, comment vous faites ? »
Elle dit : « Je l’appelle par son nom de famille. »

Mdr!

Change un peu, on a un vocabulaire riche : ptdr, xptdr, lol, rofl,  etc...

" Bah c'est un truc qu'on met autour du coup quand on a gagné, que tu n'a donc jamais porté  de ta vie "
Mdr !  
 
Hé Chloé, regardes, j'ai trouvé une capote, un gode, des boules de geisha, un masque SM, et un plug anal sous la véranda, mais tu le.ne  dis pas à papa et maman!"  
-" C'est quoi une  véranda ?"

FYP

un peu plus tard, après avoir testé tous ces accessoires
- tu baises mieux que maman
- je sais, papa me le dit a chaque fois

bon halloween le topic
 

Zoé (12 ans), la grande soeur de Chloé lui dit: Je commence à avoir des poiles autour de la chatte!
Chloé (9 ans pour mémo): Cool mais ça ne dérange pas quand on baise?

Un bûcheron malpoli est un personnage gros scié qui ferait mieux de stère.

Et qu'est-ce qu'un franc-maçon ?  
Un portugais honnête  
 
 

 
 
Tellement ignoble celle-là

Mignon

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Trois bonnes soeurs se tuent dans un accident de voiture, et arrivent aux portes du paradis devant Saint Pierre. Mes Soeurs, leur dit-il, le royaume des cieux vous est déjà acquis. Cependant, avant de vous laisser entrer, je dois vous demander de vous confesser une dernière fois.
Il se tourne vers la premiere et lui demande:
- As-tu déjà commis le péché de chair ? - Ben, non, mais... j'ai tenu une fois un sexe d'homme dans mes mains... - Malheureuse! Va vite te les laver dans ce baquet d'eau bénite ! Il a peine le temps de se tourner vers la deuxième bonne soeur pour lui poser la même question que la troisième se précipite vers le baquet et commence à se gargariser !
- Ma soeur! Ne me dites pas que... - Si, si, dans la bouche, c'est pour ça que je suis passé avant que l'autre se lave le cul...

Hier soir j'ai raconté à ma femme: "J'ai vu un manifique cerf sur le chemin au boulot ce matin"
Elle me répond: "Comment tu sais qu'il était sur son chemin au boulot?"

Ça marcherait mieux avec "du boulot" plutôt qu'"au boulot".

Mais j'aime bien  

La lecture des dernières pages du topic m’a montré que les questions tests ne sont pas les seules admises ici. Je me permets donc de partager quelques histoires qui ne sont pas des questions, de l’inénarrable Nasrudin (ou Nasr Eddin), le GOAT de l’humour. En tapant Nasrudin, je constate qu’aucun résultat n’apparait dans le topic. Il faut absolument remédier à cette immense lacune !
L’esprit peut mettre du temps à s’habituer, mais une fois ce cap franchi (ce pourquoi je préfère en poster un grand nombre d’un coup), on découvre un humour inégalé dans toute l’histoire de l’humour. Le meilleur antidépresseur qui soit, tant ces histoires font du bien à l’âme.
Certaines trouveraient d’ailleurs leur place dans le topic philosophie (ou dans un topic soufisme, s’il en existait un (j’ai découvert Nasrudin via Gurdjieff).
 
LES HISTOIRES DE NASRUDIN
 
“On aimait bien embarrasser Nasr Eddin avec des questions oiseuses ou carrément impossibles à trancher. Un jour on lui demande :
Nasr Eddin, toi qui es versé dans les sciences et les mystères, dis-nous quel est le plus utile, du soleil ou de la lune.
La lune, sans aucun doute. Elle éclaire quand il fait nuit, alors que ce stupide soleil luit quand il fait jour.”
 
__________
 
“En sortant de chez lui, un matin, Nasr Eddin voit à terre les morceaux d’un miroir brisé. Il en ramasse un et s’y regarde. Il se trouve un visage qui ne lui plaît pas, des traits que l’âge a alourdis, un teint plutôt rougeaud, et ce nez en rostre, hérité du père Abdullah Effendi.
Dans sa fureur, il envoie promener aussi loin qu’il peut le fragment de verre : hors de ma vue ! s’emporte t-il. Je comprends, à présent qu’on t’ait jeté.”
 
__________
 
“Nasruddin acheta un âne. Chaque jour, il devait, lui dit-on, donner à l’animal une certaine quantité de nourriture. C’était bien trop à ses yeux… Il décida donc de tenter une expérience : il allait habituer son âne à manger moins. De jour en jour, il réduisait donc sa ration en conséquence. Un beau jour, cependant, alors qu’il en était réduit à ne presque plus rien manger du tout, l’âne se coucha sur le sol et mourut.
– Ah ! Quel dommage ! s’écria Nasruddin. Si j’avais eu seulement un peu plus de temps devant moi, je suis sûr que j’aurais pu réussir à l’habituer à vivre sans manger…”
 
__________
 
“Un voisin passe voir Nasrudin.
Mulla, veux-tu me prêter ton âne ?
— Désolé, je l’ai déjà prêté.
À ces mots, l’âne, qui se trouve dans l’écurie, se met à braire.
Hé ! Mulla, ton âne est là, je l’entends !
— Un homme qui attache plus d’importance à ce que dit un âne qu’à ce que je dis, moi, ne mérite pas qu’on lui prête quoi que ce soit », fait Nasrudin, très digne, en lui fermant la porte au nez.”
 
__________
 
Londres, British Museum. Un groupe de touristes, conduit par un guide, visite le département des antiquités égyptiennes.
- Ce sarcophage a cinq mille ans, explique le guide.
Un personnage portant barbe et turban, en qui l’on aura reconnu Mulla Nasrudin, se détache du groupe :
- Tu fais erreur ! Ce sarcophage a cinq mille trois ans.
Les touristes sont impressionnés, le guide se renfrogne.
On passe dans une autre salle.
- Ce vase, dit le guide, a deux mille cinq cents ans.
- Deux mille cinq cent trois, corrige Nasrudin.
- Mais enfin, comment peux-tu assigner une date aussi précise à des objets anciens ? Peu m’importe que tu viennes d’Orient ! Personne au monde ne peut connaître l’âge exact de ces pièces !
- C’est pourtant bien simple : la dernière fois que je suis venu ici, c’était il y a trois ans : tu as dit alors que le vase avait deux mille cinq cents ans.”
 
__________
 
“A la fin de l’office du vendredi, l’imam, emporté par un élan mystique, s’écrie d’une voix forte :
Ô Tout puissant ! Donne-nous la foi ! Donne-nous la force et l’humilité ! Donne-nous le repentir de nos fautes ! Éloigne de nous les mauvaises pensées !…
À ces mots, Nasr Eddin se lève et crie encore plus fort :
Ô Tout puissant ! Donne-moi des montagnes d’argent, une belle maison, des femmes, des baklavas à la pistache !…
Arrête, mécréant, blasphémateur, fils de chien !
Tiens ! mais nous faisons pourtant la même chose l’un et l’autre, s’étonne le Hodja : chacun demande ce qu’il n’a pas.”
 
__________
 
“Un soir que Nasreddine revenait d’une journée de travail dans les champs avec des vêtements sales, il entend chanter : il y avait une fête dans les environs.
Or la tradition veut que, quand il y a une fête, tout le monde peut y participer. Nasreddine pousse donc la porte de la maison et sent l’odeur du couscous de la cuisine. Mais ses vêtements sont tellement sales qu’on le chasse de la maison. Furieux, il court chez lui, décide de mettre son plus beau manteau et revient à la fête. Cette fois, il est accueilli chaleureusement. Nasreddine se dirige alors vers le buffet, prend du couscous, de la sauce, du vin, et commence à les étaler sur son manteau, en disant : Mange, mon manteau ! Bois, mon manteau !
Les autres lui demandent : Mais… Qu’est-ce que tu fais Nasreddine ? Tu es devenu fou ?
Nasreddine se contente de répondre : Pas du tout. Moi je ne suis pas invité. C’est mon manteau qui est invité.”
 
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“Un jour, Nasrudin perdit son portefeuille. Après l’avoir cherché pendant deux heures, il tomba à genoux et pria Dieu ainsi :
Seigneur, je t’en prie, aide-moi à retrouver mon portefeuille et j’en donnerais la moitié au pauvre.  
Alors qu’il était à genoux depuis une demi-heure, continuant à prier, il vit son portefeuille, coincé sous les coussins de son fauteuil. Il dit alors :  
Laisse tomber, Dieu, je viens de le retrouver.”
 
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“Il est dit que le Mollah Nasrudin, le Hodja des paradoxes, le fou, mendiant, descendant d’Esope, frère de Till, parent riche de Si Djeha, grand père de Birbal… enfin, un personnage connu par tout ce qui compte dans ce monde, était un homme pauvre mais accueillant. Un après-midi, un homme de Horto, son village natal, lui rendit visite et lui fit cadeau d’un canard bien dodu. Le Mollah fut très content. Sans perdre un instant, il pluma le canard et prépara une riche et délicieuse soupe qu’il partagea avec son hôte.
Le lendemain, un autre homme vint visiter le Hodja. Il n’apporta pas de cadeau mais il expliqua :  
Je suis le frère de celui qui t’a offert le canard.  
Sois le bienvenu, dit Nasrudin, et l’invita à partager son dîner.  
Un autre jour passa et un autre visiteur aux mains vides frappa à sa porte :
Que la jeunesse, la prospérité et la santé soient avec toi pour toujours !, dit l’homme. Je suis le cousin du frère de l’homme qui t’apporta le canard.  
Le Hodja le fit entrer et lui offrit son hospitalité.  
Il arriva que pas plus qu’une semaine plus tard, encore un homme vint et dit à son tour :  
Sois béni, Hodja ! Je suis le voisin du cousin du frère de l’homme qui t’amena le canard et je viens te transmettre leurs meilleurs veux.  
Nasrudin le pria de s’asseoir en tête de table et s’entretint avec lui très amicalement. Puis il amena une grosse marmite d’eau bouillante dont il servit une bonne assiette à son visiteur :
Qu’est-ce que c’est ça, Hodja ?, s’exclama l’homme.  
Ceci, mon ami, c’est la soupe de la soupe de la soupe de la soupe du canard.”