Reprise du message précédent :
 
Barbarie et infractions à la pelle : un lanceur d’alerte traumatisé ‘balance’ un élevage de porcs.
 
L’association de défense des animaux L214, qui lutte pour le bien-être de ces derniers et dénonce régulièrement les maltraitances dans les élevages, publie une nouvelle enquête le 19 août 2021. Encore une fois, il s’agit d’un élevage intensif dans lequel les règles sanitaires ne sont pas respectées et dans lequel de véritables sévices interdits par la loi sont pratiqués. Les autorités ont réagi tandis que le ministre de l’Agriculture dénonce ces faits.

Élevage de porcs dans l’Yonne : des vidéos choquantes publiées par L214
 
L’association L214 publie, le 19 août 2021, une nouvelle enquête avec un témoignage d’un lanceur d’alerte à visage découvert. Elle dévoile ainsi, vidéos à l’appui, les maltraitances subies par les porcelets et les truies dans l’élevage SCEA des Tremblats II, situé dans l’Yonne sur la commune d’Annay-sur-Serein et appartenant au groupe Provent-SDPR.
Sur les vidéos, on voit que les queues des porcelets sont systématiquement coupées, ce qui est interdit depuis 2003 précise L214, que les densités d’élevage sont trop élevées, que les truies blessées ne sont pas soignées… des images difficiles.
 
     Volontairement je ne poste pas les images mais on peut imaginer le calvaire de ces pauvres animaux.

 
Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, dcm890, Sam, Sundy et les Aminautes
 
 
   

 
 Magnifique les portraits 'à la manière des peintres' de Bill Gekas et de sa petite fille du photographe, qui avait alors 5 ans.  
 
 

Hello les Animautes : mon bonjour des poltrons minets       *

 
 
    * Heu, pas certain de l'orthographe...
 
 
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L’improbable amitié entre cette ado et… son bourdon >> Lacey a recueilli Betty un jour dans le parc. Depuis, les deux amis ne se quittent plus.  
 
Encore une histoire d’amitié hors du commun… Après Adie, qui entretenait une «relation particulière» avec le chimpanzé Chita au zoo d’Anvers, cette fois, c’est Lacey Shilinglaw, une jeune fille britannique, qui entretien des liens forts avec son bourdon, Betty, qui dort à côté d’elle et qui la suit partout, même au bowling !
 
Selon les informations de HLN et Sudinfo, c’est en promenant son chien à Coventry, en Angleterre, que Lacey a trouvé ce fameux bourdon. Elle explique que son aile avait l’air un peu froissée, c’est pourquoi elle a attrapé l’insecte et l’a emmené dans un parc voisin. Elle lui a ainsi choisi un beau parterre de fleurs, pour qu’il puisse se servir en nectar.
 
Mais c’est alors que le bourdon n’a plus voulu quitter la jeune fille ! Une heure après leur rencontre, il se trouvait encore sur le corps de Lacey, qui a fini par rentrer chez elle avec son nouvel ami sur l’épaule ! Sur la route du retour, quand Lacey s’est arrêtée dans un magasin pour acheter du lait, le bourdon se trouvait sur ses lunettes, ce qui a fortement étonné les autres clients.
 
Depuis ce jour, Betty et Lacey sont les meilleurs amis du monde et ne se séparent jamais. Betty suit Lacey partout, même au bowling ! « Je n’oublierai jamais cela, je pensais qu’elle partirait au bout d’une journée, mais ce n’est pas le cas. Son aile est en ordre depuis longtemps maintenant, elle va donc rester là par conviction. Cette amitié inattendue me rend folle de joie », témoigne Lacey.
 
Lacey nourrit son bourdon avec de l’eau sucrée, du miel et de la confiture de fraises. Elle grignote même les biscuits de sa maîtresse ! Pendant la journée, Betty se glisse en général dans le cou de Lacey ou bien dans sa manche.
 
La mère de Lacey, Laura, approuve totalement cette amitié que sa fille entretient avec son bourdon : « Elle rampe sur son visage, sur ses lunettes et même entre ses orteils ! 90 % du temps, elle est sur son corps. Lacey a les cheveux très longs, pour Betty cela ressemble à la jungle. Ma fille n’a pas du tout peur, je ne comprends pas. Mais en même temps, cette histoire est si belle. Nos portes sont presque toujours ouvertes, mais Betty ne pense même pas à partir », explique Laura.
https://www.sudinfo.be/id412373/art [...] -betty-son
https://www.coventrytelegraph.net/n [...] l-21293574
 
 

 
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PS. Ce qui me rappelle une autre belle histoire...

Antibiotiques interdits: «On ne pourra plus soigner votre chien»  20-08-2021 à 06:00 - Alain Wolwertz - L'Avenir  
 
Certains antibiotiques vitaux pour soigner les animaux ne pourront plus être utilisés, craignent les vétérinaires. didesign – stock.adobe.com
Les vétérinaires craignent qu’un règlement européen ne les prive d’antibiotiques essentiels pour soigner les animaux.
 
Les vétérinaires sont inquiets. Dans une communication concertée, plusieurs associations professionnelles européennes tirent la sonnette d’alarme concernant le risque de ne plus pouvoir utiliser certaines catégories d’antibiotiques. Ce qui représenterait «un vrai danger pour nos animaux», indique l’UPV (Union professionnelle vétérinaire), l’aile francophone de l’association professionnelle nationale qui représente un peu plus de 30% des vétérinaires belges.
 
Le danger que craignent les vétérinaires, il se trouve dans le règlement européen sur les médicaments qui a été adopté il y a deux ans et doit être voté au Parlement européen le mois prochain.
Ce règlement brasse large puisqu’il concerne l’usage des médicaments pour les humains et les animaux. Mais un volet concerne les antibiotiques, notamment la question de la résistance de certaines bactéries. Avec, dans ce cadre, l’élaboration de critères de désignation des médicaments antibiotiques qui devraient être réservés à un usage humain.
C’est sur ce point que, en commission de l’environnement, de la santé publique et de la sécurité alimentaire du Parlement européen, ça a calé. Les Verts ont ajouté une proposition de résolution pour interdire certains types d’antibiotiques dans les élevages intensifs d’animaux.
 
Et si ça passe, c’est 40% des familles d’antibiotiques utilisées par les vétérinaires qui seront interdits, dit Gregory Schoonbroodt, président du Comité des praticiens ruraux à l’UPV.
Et ce ne serait alors pas seulement les animaux de ferme qui seraient concernés, assurent les vétérinaires. Toutes les espèces animales seraient affectées par l’interdiction, avec des effets dramatiques sur la thérapie des animaux, assure l’UPV. Car même les exceptions pour les animaux individuels ne seraient plus possibles dans ce cadre juridique.
 
«Si vous venez avec votre chien atteint d’une septicémie par exemple, on ne pourra plus le soigner», illustre le docteur Schoonbroodt.
 
Dans une réaction à la levée de bouclier des vétérinaires européens, la députée des Verts, la Luxembourgeoise Tilly Metz, estime toutefois qu’il s’agit d’un malentendu. Le but de la résolution est que certains antibiotiques ne soient plus utilisés à titre prophylactique (NDLR: en prévention) dans l’élevage de masse, a-t-elle indiqué. La proposition de résolution ne concernerait donc pas les animaux de compagnie, ni les animaux de ferme dans le cadre d’un traitement curatif, assure-t-elle.
 
Mais les vétérinaires n’ont pas la même lecture du texte et maintiennent que, tel que prévu, le texte supprimerait bel et bien une des exceptions d’utilisation de certains antibiotiques (fluoroquinolones, des céphalosporines de 3e et 4e générations, des polymyxines et des macrolides). «Des substances aujourd’hui utilisées lorsque la vie de l’animal est en danger», indique le docteur Schoonbroodt. Qui rappelle par ailleurs que, depuis 2016, les efforts effectués tant par les éleveurs que les vétérinaires ont permis de réduire de 70% le volume d’antibiotiques utilisés en élevage. Alors que dans le même temps, peu a été fait en médecine humaine pour lutter contre le phénomène de résistances aux antibiotiques.
 
«On sait ce qu’on fait, on n’utilise pas les antibiotiques n’importe comment, dit le docteur Schoonbroodt. Mais avec ce règlement radical, on va balayer d’une main notre savoir, notre déontologie et notre sens des responsabilités.»  
https://www.lavenir.net/cnt/dmf2021 [...] otre-chien
https://www.3trois3.com/derniere_he [...] %BB_14795/

Organization that saves animals in Afghanistan trying to leave safely
Nowzad, a non-profit that reunites animals with U.S. military service members is now trying to get their staff and animals to safety
Posted: August 22, 2021 11:08 PM
by Adam Seibel
 
 
KABUL, Afghanistan – Nowzad, a non-profit organization based in Kabul, Afghanistan has reunited cats and dogs that once roamed the streets of Afghanistan with military service members who befriended the animals. As the Taliban gain more control in Afghanistan the clock is ticking for those who want to leave.
Nowzad is trying to figure out how to do just that, getting almost 200 cats and dogs they’ve rescued off the streets in Afghanistan to safety. Victoria native and active-duty service member Christopher Cazinha said the organization helped him get his dog, Hoodie, back home so he didn’t have to leave her back in Afghanistan while he was on tour there over ten years ago.  
Hoodie on a hike. Cazinha said if it weren’t for Nowzad he wouldn’t have been able to bring Hoodie back to the U.S.
“Organizations such as Nowzad and Kabul Small Animal Rescue have done so much for American servicemen and women. Just reuniting us with these animals, my life has been exponentially greater since I’ve had Hoodie home with me,” said Cazinha. Cazinha also said that while on tour in Afghanistan Hoodie would frequently hang out near the military base and mingle with the service members. He said one time a soldier was attacked by two Afghanistan men and Hoodie rushed to the scene to save the soldier, drawing blood on one of the attackers and potentially saving the life of a service member.
Nowzad was able to get a cargo plane through donations to get the almost 200 cats and dogs in their care to safety. And it’s not just the pets they’re saving, some of their staff are women who would be unable to work under Taliban rule, and they would be able to leave as well. The organization is also bringing around 150 Afghanistan refugees to safety too.
“This is a mission that transcends politics, transcends religions, it transcends everything. It’s just about human beings trying to do the best they can in a terrible situation,” said Cazinha.
Nowzad is so close to Cazinha’s heart because he knows how hard it can be to leave behind those furry friends, not knowing what ends up happening to those left behind.
“These dogs have done so much for soldiers, a lot of them 90% of them had to be left behind, left to fate, I don’t even want to think about,” said Cazinha.
However, for the almost 1,600 hundred animals that have been reunited with servicemembers, it means all the world to those animals and their families. Another organization, Kabul Small Animal Rescue is attempting to do the same but still needs donations to get out of the country.
Nowzad is good to go but they still need safe passage from their compound to the airport, so the journey for Nowzad and their animals and staff is still a daunting task.  

  L'organisatin Nowzad va essayer d'évacuer +-200 chiens ou chats d'Afghanistan qui s'étaient "liés" avec les Américains sur place...
 L'organisme de bienfaisance Nowzad Dogs a été créé par Pen Farthing, un ancien commando des Royal Marines après avoir sauvé un chien qu'il a appelé Nowzad alors qu'il servait dans la ville de Nowzad en Afghanistan.  
https://www.nowzad.com/
 

 

Bon aprèm Sundy, Peluche et todos    
 

 
 
5 raisons qui expliquent pourquoi les chiens lèchent leur maître >><  Beaucoup de propriétaires de chien n'attendent qu'une chose après une longue journée de travail, c'est de rentrer chez soi et profiter de l’accueil chaleureux de son chien. Un sentiment de bien-être et de satisfaction nous envahit rien qu'à observer leur réaction et leur joie énorme de nous voir.  
https://www.woopets.fr/
 
Si vous pensez que nos chiens nous lèchent uniquement pour nous montrer leur affection, eh bien c'est une erreur. Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles nos chiens se mettent instinctivement à nous lécher, mais pourquoi le font-ils ?
 
 
Découvrez pourquoi 5 significations possibles du léchage des chiens sur leur maître :
1. Montrer leur affection
La raison qui semble la plus évidente pour beaucoup de propriétaires de chiens derrière ce comportement reste la démonstration d'affection. Quel(lle) maître(sse) n'a jamais connu le bonheur de rentrer chez soi après une longue absence en recevant un accueil des plus chaleureux par son chien agrémenté de quelques léchouillles au visage, sur les mains et, disons-le, de toutes les zones de peau à portée de langue. En revanche, veillez à ce que ce comportement ne soit pas systématique, car il peut être problématique (notamment au niveau de l'hygiène) pour votre entourage ou toute personne que votre chien sera amené à croiser.
 
2. Communiquer
La communication peut être corporelle, comme lorsque le chien agite sa queue ou quand il aboie. Il essaye de nous dire quelque chose à travers ces gestes. C’est pareil lorsqu'il lèche ; il se peut que votre chien veuille vous dire qu’il a besoin de manger. En effet, le chiot a pour habitude de pratiquer le léchage sur sa mère afin de lui signifier qu'il a faim et qu'il souhaite obtenir de la nourriture. Il le reproduit donc par mimétisme à l'âge adulte pensant que vous le comprendrez comme sa mère naturelle.
Recevez les conseils de Woopets en vous inscrivant à la newsletter
 
 
3. Attirer votre attention
Les chiens veulent non seulement aimer, mais aussi être aimés. Ils adorent recevoir votre attention et feront tout pour cela. Vous lécher, vous sauter dessus… Ce sont autant de tentatives pour attirer votre attention. Votre rôle et votre responsabilité dans ce type de léchage ne doivent pas être sous-estimés. C'est vous qui allez encourager cette pratique simplement par la réaction que vous aurez face au léchage. Si à chaque léchage, vous réagissez systématiquement (que ce soit pour lui faire une caresse ou une remontrance), votre chien obtient ce qu'il veut : une réaction de votre part. C'est uniquement ce qu'il cherche et vous lui donnez ainsi satisfaction.
 
 
4. Un geste pour apaiser une situation stressante
Pour les chiens, lécher peut également être un marqueur pour tenter d'apaiser une situation dans laquelle il se sent stressé. Le chien le fait par mimétisme en souvenir de son enfance. Lorsqu'il était chiot, sa mère avait pour habitude de le lécher, lui et sa fratrie, pour désamorcer un conflit ou rassurer la portée face à un événement anxiogène. Ainsi, il peut arriver à votre chien de vous lécher lorsque vous êtes en train de le gronder (en signe d'apaisement) ou lorsqu'il se retrouve au milieu d'une dispute entre vous et un(e) proche. C'est d'ailleurs un rituel d'apaisement qu'il peut également reproduire avec un congénère agressif afin d'atténuer le conflit.
 
 

5. Développer leurs sens
Les chiens sont des chasseurs par nature. Ils sont dotés de sens hors du commun pour explorer les lieux et découvrir les objets. Leur langue leur sert aussi d'outil d'investigation. Ainsi, il peut vous lécher simplement parce qu'il apprécie le goût de votre peau. La sueur peut satisfaire ses papilles tout comme la crème hydratante ou l'eau encore parfumée à la sortie de votre douche. Beaucoup de propriétaires de chien s'étonnent de voir leur animal s'empresser de leur lécher les jambes à la sortie de la douche, le secret est enfin percé.
 

 
 
  Par ailleurs, attention au léchage intensif qui est un trouble comportemental du chien qu'il convient de prendre en charge rapidement, il peut témoigner d'un mal-être comme l'anxiété, un ennui profond ou même des troubles d'ordre neurologique. Ce trouble obsessionnel compulsif peut donc être développé par le chien qui va se servir du léchage comme occupation ou pour faire face à son stress perpétuel. Seule la fréquence soutenue du léchage chez le chien doit vous alerter.  

Fin de la sieste avant le repas du soir, et le dodo.....
 
 
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Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, dcm890, Sam, Sundy et les Aminautes  
 
 
 
       
 

 
 
Question délicate : la bzzzz du bourdon ou la bzzzzz de l'abeille?

Maya a refusé de répondre. Il est vrai que c'était durant la ruche's hour....    
 

   
 Bonne journée tout le monde  éléphant et les fans!
 

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Vu hier soir dans un JT...    
 
 


La Sierra de Guara est une chaîne extérieure calcaire située au sud des Pyrénées, en Espagne. La présence humaine remonte au paléolithique, les hommes profitaient alors des nombreux abris naturels des falaises. ....Le parc de la Sierra de Guara est devenu un refuge pour de nombreuses espèces d’oiseaux, de mammifères, de reptiles, d’amphibiens et d’insectes.  
Plus de 160 espèces d’oiseaux sont présents et parmi les plus emblématique, le vautour fauve, le gypaète barbu, l’aigle royal, le vautour percnoptère…
 Les amoureux d’ornithologie ne manqueront pas le spectacle des vautours fauves, nourris tous les samedis matins par l’association Fondo amigos del buitre à Santa Cilia...  
https://www.lesensdeleau.fr/parc-sierra-de-guara/
 

 
 
Syndrome de domestication : ces animaux qui ont changé physiquement au contact de l’humain    
Le simple fait de partager l’environnement des humains peut amener certaines espèces à modifier leur aspect physique et leurs comportements.
 
La domestication des animaux est un processus vieux de milliers d’années. Les animaux "de compagnie" ont certains traits physiques différents de leurs ancêtres sauvages comme des oreilles plus tombantes, des queues plus courbées, des poils bouclés, des mâchoires et des dents plus petites ou encore des taches blanches sur leur fourrure.
Ce phénomène est connu sous le nom de "syndrome de domestication". Si Darwin observait déjà ces changements, il en existe d’autres sur des espèces qui ne sont pas "de compagnie" mais qui ont évolué près des humains sans devenir leur compagnon de vie.  

             
Comme l’explique poulesetcie, la poule domestique que l’on connaît aujourd’hui trouve son ancêtre il y a environ 8000 ans, en Asie du Sud-Est. Les nomades habitant cette région ont commencé à élever de la sauvagine rouge, un oiseau tropical que l’on peut trouver encore aujourd’hui dans les forêts et les mangroves de l’Asie du Sud-Est.
Si son ancêtre muait et changeait de plumage deux fois par an, le poulet domestique ne connaît pas de mue. De plus, la poule commune a développé une sociabilisation forte avec ses congénères et pond plus d’œufs que son homologue sauvage.  
 
 
       
Les ancêtres sauvages des moutons et des chèvres ont été domestiqués il y a environ 10.500 ans au Moyen-Orient, dans la région de l’Anatolie et les monts Zagros d’Iran. Ils suivent les migrations humaines et ont pris place partout dans le monde (et surtout en Nouvelle-Zélande) alors que les espèces sauvages, (l’aegagre et le mouflon asiatique), sont restées dans leur région native.
Les scientifiques ont donc pu comparer les deux et expliquent dans un article, publié dans medecinesciences, qu’une nette différenciation génétique entre individus sauvages et domestiques a été détectée.
 
Parmi les différences, on remarque que le pelage est très différent, plus uniforme chez les animaux sauvages, saisonnier également puisque le mouflon perd ses poils chaque année. Leurs corps sont différents, les sauvages sont plus petits, plus légers et donc plus agiles et plus rapides.
Ces différences sont apparues il y a des milliers d’années, au fur et à mesure du temps passé avec les hommes et des choix fait par les éleveurs en termes de reproduction.  
 
 
                 
L’exemple le plus célèbre de syndrome de domestication est celui des renards argentés. Une expérience de 1959 menée par des biologistes soviétiques, Dmitri Belyaev et Lyudmila Trut, a donné naissance à des renards bien différents de leurs parents. Les deux scientifiques avaient pour but d’élever des renards dociles, ils ont donc sélectionné les parents les plus doux pour créer des générations de renards domestiqués.
Leurs choix se sont portés uniquement sur le comportement et pas sur le physique. Pourtant, en seulement quelques générations, les deux scientifiques ont pu voir des renards aux museaux plus courts, aux oreilles tombantes, avec des taches blanches et des queues courbées qu’ils secouent (comme les chiens).  
La souris domestique est un bon exemple d’animal qui a changé sans l’intervention spécifique de l’humain.
 
             
La première interaction entre souris et humains remonte probablement à i15.000 ans en Méditerranée quand les souris se sont aventurées dans les premiers garde-mangers.
D’après une étude de l’Institut Max Planck en Allemagne, la cohabitation entre les souris et les hommes aurait changé l’ADN même de l’animal. Sur trois sous-espèces de souris ayant rencontré l’humain à des moments différents de son histoire (il y a respectivement 15.000 ans, 8000 ans et 2000 ans), celle dont les ancêtres connaissent l’homme depuis le plus longtemps est plus intelligente que les autres.
"Les souris que nous avons testées n’avaient jamais vécu avec des humains, mais leurs ancêtres l’avaient fait. Vivre près des humains a modifié la constitution génétique des souris", explique la chercheuse Anja Guenther.
 
       
Encore un animal qui s’est adapté physiquement à la présence de l’humain sans intervention direct de celui-ci.
Les hirondelles ont modifié la taille de leurs ailes en moins de 50 ans pour pouvoir survivre le long des autoroutes américaines en construisant leurs nids sous les ponts. Comme l’explique newscientist, la taille réduite des ailes leur permet une plus grande agilité. Elles peuvent ainsi passer entre les camions sans se faire attraper.
 
 
Pourquoi les animaux changent-ils à proximité de l’humain ?
La réponse reste aujourd’hui inconnue mais une des théories actuelles serait liée aux glandes surrénales. L’homme, en choisissant des animaux plus dociles sélectionne sans le savoir des individus avec des glandes surrénales sous-développées. Ces glandes sont en partie responsables de l’instinct de fuite ou de combat qu’un animal ressent face à un danger. Moins il fuit, moins ses glandes sont développées.
Ces glandes sont également responsables des cellules pigmentaires et du développement du crâne, des mâchoires, des dents et des oreilles. Cela pourrait donc être une bonne explication puisque les éléments divergents entre espèces sauvages et domestiques sont presque tous reliés à ces glandes, comme l’explique sciencedaily.
Ainsi, le syndrome de domestication pourrait en fait être un effet secondaire accidentel de l’élevage d’animaux.  
https://www.rtbf.be/tendance/green/ [...] d=10827053

 
On disait aussi dans le temps "dès potrons-jacquet":  le "jacquet" étant l'écureuil, donc dès qu'il faisait assez clair pour apercevoir l'arrière-train d'un écureuil !  
NB : probablement inspiré par la deuxième syllabe  du nom de ce sympathique animal..      
   
 

[i]Il pleut à 3.000 mètres d’altitude sur la calotte glaciaire groenlandaise: «Un probable signe du réchauffement climatique»
Par AFP, le 23/08/2021 à 17:34
 
La pluie a été observée pendant plusieurs heures le 14 août à la station américaine Summit située au sommet de la calotte glaciaire, a signalé le Centre de données américain de la neige et de la glace (NSIDC). « La pluie ne peut tomber que si la température est supérieure ou légèrement inférieure à 0ºC. Il s’agit donc d’une situation extrême, car elle n’a peut-être jamais eu lieu auparavant », a expliqué à l’AFP un chercheur du DMI, Martin Stendel.
 
« Il est probable qu’il s’agisse d’un signe du réchauffement climatique », a-t-il dit. Les températures étaient juste au-dessus de 0ºC, ce qui signifie que la neige fond et regèle pour se transformer en glace, ce qui ne s’est produit que neuf fois au cours des 2.000 dernières années, dont trois au cours des dix dernières années (2012, 2019 et 2021), mais il n’a pas plu en 2012 et 2019, a-t-il relevé.
 
« Nous ne pouvons pas prouver qu’il a plu ou non les six fois précédentes, mais c’est très peu probable, ce qui rend les pluies observées encore plus remarquables », a souligné le chercheur.
 
Cet épisode pluvieux intervient à un moment où des températures inhabituelles de plus de 20 degrés, avec des records locaux, ont été enregistrées dans le nord du Groenland pendant l’été. Cette vague de chaleur s’est traduite par un rythme accéléré de fonte de la calotte glaciaire. Son recul entamé il y a plusieurs décennies s’accélère depuis 1990 et ne cesse de s’emballer.
           
 
...
PS. Cela étant, si cet endroit a pour nom "groenland", cela signifie qu'il a, un moment dans le passé ,  été "groen" (vert), grâce à la pluie..  
                   
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Sympa le bonjour    

 
Brrrr, un méduse échouée ce matin sur la plage .... (+- 20 cm de diamètre )
 
 

Victime de l’incendie dans le Var : la tortue Hermann a-t-elle encore une chance ?
Les incendies qui ont frappé la forêt varoise en août 2021 ont également été une catastrophe pour la faune. Des centaines de tortues des Maures ont péri, calcinées par les flammes.
 

 
Après l’incendie, 60 % des tortues seulement ont été retrouvées vivantes
La tortue d’Hermann est une espèce menacée. Elle figure sur la Liste rouge française des espèces menacées en tant qu’espèce vulnérable et est même en danger d’extinction dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur.
Hasard du destin, c’est précisément en PACA, dans le Var, que des centaines de ces tortues viennent de périr dans les incendies qui ont ravagé 7.000 hectares de forêt, dont la moitié de la Réserve Naturelle Nationale de la Plaine des Maures.
 

  L'heure du lunch n'est plus loin ....  
 
 

 
 
   

 
   
Triste résultat de ces incendies souvent dues à l'inconscience des humains (le mégot que l'on jette...)
 
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C'est le moment des migrations pour les cigognes.  
 

 

 
 
La fin de l'été : premier signal (quoique .... il semble n'avoir jamais commencé...   )
 
 
 
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(C'était ce matin : un chien dingue de mouettes )
 
 

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Charlie Watts (des Rollings Stones) ... R.E.P.
 
 
 
     

Charlie Watts  : les premières années ....  
 
[/center]

 
 
Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, dcm890, Sam, Sundy et les Aminautes  
 
 
 

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Gracie, le Border Collie qui assure la sécurité de la faune et des visiteurs dans un parc national
Publié le 24/08/2021  // Ecrit par Joséphine Voisart  
 

 
Le personnel du parc national de Glacier (Montana, États-Unis), a intégré en 2016 un membre particulier à son équipe : Gracie. La chienne, brave et intelligente, surveille les animaux sauvages et les visiteurs.
Il y a 5 ans, le personnel a découvert un problème de sécurité dans le parc. La faune, en particulier les chèvres de montagne et les mouflons d'Amérique, errait à proximité des routes et des parkings.
Pour pallier ce problème, Mark Biel, directeur du programme des ressources naturelles, a eu l'idée de faire intervenir un chien de troupeau, dans le but d'éloigner en toute sécurité la faune des zones à risque. Il a proposé son propre Border Collie pour effectuer cette mission. Après une formation de 10 semaines, Gracie était prête pour son nouveau travail.
Son propriétaire a confié à Daily Paws qu'elle avait réussi, dès le premier jour, à emmener 6 ovins loin d'une aire de stationnement en moins d'une minute. « Un Border Collie de 23 kilos contre tous ces mouflons d'Amérique... Elle se sentait plutôt bien dans sa peau », a-t-il confié.
Âgée de 7 ans, Gracie est dépeinte par Mark Biel comme une chienne désireuse de plaire et incroyablement intelligente. Elle se montre également énergique et concentrée lors de chaque tâche à réaliser. Et ce sont loin d'être ses seules compétences.
En plus de préserver la sécurité des animaux sauvages, le canidé veille – avec son propriétaire – à ce que les visiteurs respectent les règles du parc, notamment en ce qui concerne l'approche de la faune. « Si c'était juste moi qui essayais d'éloigner les gens de la faune, ils pourraient me regarder et m'ignorer », a expliqué l'Américain. « Mais avec Gracie, je trouve que les gens écoutent vraiment. »
 
Au fil du temps, Gracie est devenue un membre incontournable de l'équipe du parc. Ses collègues, autant que son propriétaire, sont fiers de son accomplissement. Ils savent qu'ils peuvent compter sur elle en toute circonstance. Et vice versa.
https://share.america.gov/fr/des-ga [...] le-public/



Gracie pose avec l’ex-secrétaire aux Affaires intérieures des États-Unis Sally Jewell et le garde forestier Mark Biel. (NPS/Jacob W. Frank)
 
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PS. Autres chiens qui aident les humains dans leur boulot  ....

Piper, en patrouille à l’aéroport de Traverse City, dans le Michigan
 
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Belle fait des patrouilles au Reflecting Pool de Washington, à la fois autour et dedans, pour éloigner les oies.
 
 
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Tobias, un golden retriever, inspecte un bateau à la recherche d’espèces invasives. (NPS/A.W. Biel)