Reprise du message précédent :
 
 https://www.wur.nl/upload_mm/7/6/a/ [...] 80x305.jpg  
 
A scientist created emotion recognition AI (artificial intelligence) for animals > "Emotion recognition" might be too strong a term. More like pain recognition
A researcher at Wageningen University & Research recently published a pre-print article detailing a system by which facial recognition AI could be used to identify and measure the emotional state of farm animals. If you’re imagining a machine that tells you if your pigs are joyous or your cows are grumpy… you’re spot on....etc..
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Un scientifique a créé une IA de reconnaissance des émotions (intelligence artificielle) pour les animaux> «Reconnaissance des émotions» est peut-être un terme trop fort. Plus comme la reconnaissance de la douleur
Un chercheur de la Wageningen University & Research a récemment publié un article pré-imprimé détaillant un système par lequel l'IA de reconnaissance faciale pourrait être utilisée pour identifier et mesurer l'état émotionnel des animaux de ferme. Si vous imaginez une machine qui vous dit si vos cochons sont joyeux ou si vos vaches sont grincheuses… vous êtes sur place… etc.
https://thenextweb.com/news/a-scien [...] or-animals
   https://newseu.cgtn.com/news/2021-0 [...] d22c4.jpeg https://i1.rgstatic.net/publication [...] review.png

 
 
Porte-bonheur? Hum....    
 
 
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Merci Rem de le rappeler      
 
Bonne journée

Bienvenue Tout le Monde
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Bon samedi

Hello Peluche  
 
 
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Hello Peluche, Rem, Coke y Age, Sam, Sundy et les Aminautes      
 ((nb. pas de muguet dans la collection Wiki smilies...     ).
 
 
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[http://fandeloup.f.a.pic.centerblog.net/e9f1829d.jpg][/img]
 
 
 

 
 
 

 

 

 

 
 
 
Sur cette photo il y a un chat..
 

 
Pour ma part; il n'y à pas un Chat      
 
 

 

 
 
Le " Miro embrasé "
 
Le Miro embrasé (Petroica phoenicea) est une espèce d'oiseaux assez commune des parties froides du sud-est de l'Australie y compris la Tasmanie.
 
Les autochtones australiens lui donnent souvent le nom de rouge-gorge, bien qu'il ne soit pas apparenté.
 
Comme les autres espèces du genre Petroica, les miros embrasés se nourrissent d'insectes. Ils se tiennent immobiles sur leur branche favorite et attendent qu'une proie passe à proximité pour lui bondir dessus et la dévorer. (fdl)
 

 
 
 
 
Le mérion superbe est une espèce d'oiseaux communs en Australie du Sud-Est et en Tasmanie. Le Mérion superbe est sédentaire et territorial. Il se nourrit principalement d'insectes et complète son alimentation avec des graines, fleurs, fruits.  
 

 
 
L‘Anhinga d'Amérique est une espèce d'oiseau aquatique vivant dans les parties les plus chaudes du continent américain.
 
Il fréquente les rivières, les marais et les lagunes.
 
Contrairement au canard, l'Anhinga n'est pas en mesure d'imperméabiliser ses plumes en utilisant de l'huile produite par la glande uropygienne. Par conséquent, les plumes deviennent vite saturées d'eau, rendant l'oiseau à peine capable de flotter.
 
Toutefois, cela lui permet de plonger facilement et de rechercher ses proies sous l'eau, tels que poissons et amphibiens. Il peut rester en plongée pendant des durées importantes. Si nécessaire, l'Anhinga va sécher ses ailes et ses plumes.
 
Il va se tenir perché pendant de longues périodes avec ses ailes déployées pour se sécher, tout comme les cormorans. S'il tente de s'envoler pendant que ses ailes sont humides, il a beaucoup de peine à sortir de l'eau et s'envole en battant vigoureusement des ailes tout en "courant" sur l'eau. (fdl)
 

 
 
 
Le cordonbleu à joues rouges est une espèce de passereaux qui vit en Afrique  sub-saharienne du Sénégal à l'Éthiopie, au Katanga et à la Zambie. Il a été introduit aux îles Hawaï. Il fréquente les prairies sèches, les zones cultivées, les savanes et les abords des habitations humaines, et se nourrit principalement de petites graines.(fdl)
 

 
 
 

 
 
Le Bouvreuil pivoine est une espèce de passereaux d'Eurasie. Il vit et se nourrit en couple, à la lisière d'un bois ou d'une haie. Le Bouvreuil pivoine se nourrit presque exclusivement de graines et de bourgeons. Il est diurne et peu territorial. Le Bouvreuil pivoine connaît une chute rapide depuis la fin des années 1970, due à la perte de son habitat, aux pesticides et au réchauffement climatique.(fdl)
 

 
 
 
Le loriquet à col rouge vit dans le Nord de l'Australie. Il fréquente les forêts tropicales ouvertes, mais aussi les villages et les jardins) fdl
 

 
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
 
 

 
 
 
 
Bon après-midi
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 

 

Bon aprèm  Peluche, Rem, Coke y Age, Sam, Sundy et les Aminautes    
 
Jolie florilège  de photos Peluche    

 
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Ci-dessous, rubrique sans muguet.  


















 
 
 
 

   
 

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coucou,
 
 
 

 
 

 
 
 
 

 
 
Mettre une musique angoissante ....    
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Une histoire qui finit bien !  
 
https://actu.fr/occitanie/rieupeyro [...] 88335.html

   
  Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, Sam, Sundy et les Aminautes      
     

 
Oui, grâce au flair du chien Jedi..    

 
PS. On en a parlé dans le JT de TF1 de ce soir....  
 
 
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Bonsoir Sam, Rem, Sundy, Peluche  et les Aminautes    
 
 
Dans le même jt de ce soir sur TF1, il y avait aussi un documentaire sur le déplacement de bouquetins vers la Savoie pour un repeuplement : tout en douceur...
Superbes images aussi ...  
 
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Justement c'est suite au reportage que j'ai fait passer l'info ici ! Ça s'est passé pas très loin de chez moi en plus !

   

Attention aux guêpes ....  

 
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Bon mai-mai les Aminautes!  
 

. ....   Il n'y a pas de raison que cela ne fonctionne pas...  
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Dans le désert, des puits creusés par les chevaux désaltèrent tous les animaux  (AFP)
 
Depuis des milliers d'années, les chevaux et les ânes ont compté parmi les plus importants partenaires des humains. Une nouvelle étude publiée jeudi montre qu'ils sont aussi d'une aide précieuse pour les animaux et les plantes du désert, en creusant de profonds puits qui leur procurent une source d'eau vitale, en particulier au pic de l'été.
 
Le biologiste Erick Lundgren, auteur principal de ces recherches publiées dans la prestigieuse revue Science, a expliqué à l'AFP avoir remarqué ce phénomène pour la première fois lorsqu'il travaillait dans l'ouest de l'Etat américain de l'Arizona, où il étudiait à l'époque le réseau de rivières.
 
"Les gens ne pensaient pas que c'était digne d'une attention scientifique", dit le chercheur, qui travaille aujourd'hui à l'Université de technologie de Sydney.  
 
Il avait par le passé lu sur les éléphants africains creusant des puits, qui se révèlent parfois être la seule source d'eau pour les autres animaux durant la saison sèche. Et il a voulu savoir si les équidés pouvaient jouer un rôle similaire en Amérique.
 
Une idée intrigante, "car les ânes et les chevaux sont considérés comme des agents nuisant à la biodiversité", n'étant pas des espèces originaires de la région, dit-il.
 
Durant trois étés, lui et son équipe ont ainsi observé plusieurs sites dans le désert de Sonoran, qui s'étend de l'Arizona à la Californie.
 
Ils ont comparé la contribution des puits creusés par les équidés par rapport à l'eau disponible à la surface pour les animaux, qui provient de sources parfois permanentes, parfois intermittentes selon la saison.
 
Ils ont également installé des caméras pour observer la façon dont les autres animaux les utilisaient.  
 
Leurs résultats montrent que ces puits, qui atteignent jusqu'à deux mètres de profondeur, ont augmenté la quantité d'eau disponible pour beaucoup d'espèces originaires du désert, et réduit la distance entre les grands points d'eau durant les périodes sèches.
 
Pendant les moments les plus chauds de l'été, ils se sont même révélés être la seule source d'eau sur certains sites.
 
Selon Erick Lundgren, les équidés servent ainsi de "tampon" atténuant l'extrême variabilité des sources d'eau d'une année sur l'autre.
 
Les puits "étaient utilisés par quasiment toutes les espèces que vous pouvez imaginer, dont certaines surprenantes comme des ours noirs, qu'on ne s'attend pas à voir dans le désert", a-t-il expliqué.
 
Egalement vus en train de s'abreuver: des lynx, des espèces d'oiseaux ou de porcs sauvages.
 
Certaines espèces d'arbres ont parfois commencé à pousser dans des puits abandonnés, ce qui montre qu'ils ont aussi un effet bénéfique sur la flore.  
Les chevaux et les ânes ont été introduits en Amérique par les Européens pour aider à la colonisation du continent, mais beaucoup ont ensuite été abandonnés avec les progrès des engins à combustion.  
Depuis, ils ont été étudiés sous le concept biologique d'"invasion", explique le chercheur, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas considérés comme faisant partie de la faune locale.
 
Mais ce raisonnement est trop fermé d'esprit et a empêché les scientifiques d'avoir une compréhension plus nuancée de leurs effets sur l'écosystème, considère-t-il.
 
Selon lui, ces puits deviendront plus importants encore avec le temps, l'activité humaine et le réchauffement climatique réduisant le nombre de sources d'eau pérennes dans ces régions.
Par ailleurs, ce comportement chez les chevaux et les ânes pourrait avoir un "précédent" dans l'Histoire, selon Erick Lundgren.
 
Des équidés, éléphants et autres grands animaux qui parcourraient autrefois l'Amérique du Nord, jusqu'à une mystérieuse extinction il y a 12.000 ans, pourraient avoir eu un rôle similaire.
https://www.france24.com/fr/info-en [...] es-animaux
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VIDEO >   https://www.youtube.com/watch?v=XIg [...] b_err_woyt

 Un cheval creusant un puit dans le désert, permettant ainsi à d'autres animaux de s'abreuver et de leur fournir une préciseuse source d'eau, comme le révèle une nouvelle étude Erick Lundgren Erick Lundgren/AFP  
 
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https://www.livescience.com/stretch [...] mouth.html
https://www.top10clipz.com/2017/04/ [...] st-mouths/
Un article sur qui a la plus grande gueule/bouche....
 

 
L'anguille pélican :

https://www.youtube.com/watch?v=iT_EMKl2A3Y
 

   Formidable.

 
 
Couleur de lavande ... Pas encore possibe de se rendre dans les régions de Provence ....  
 

 
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PS. La lavande n’est pas répertoriée parmi les plantes toxiques à proprement parler, mais certaines huiles essentielles ont un potentiel toxique pour les félins. Dans le doute, vaut mieux s’abstenir! ( https://www.noovomoi.ca/style-et-ma [...] 67463.html

  Mumbaï  ...    
 

   
Ils parlent probablement des enfants .....  
 
   
 
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 Les élagueurs de la ville interviennent pour aider à descendre un chat coincé dans un saule.
 
Désertée des élèves, la cour d'une école de Nancy  a été le théâtre d’une bagarre entre chats. L’un d’eux a trouvé refuge dans l’immense saule mais ne pouvait plus en redescendre. Les élagueurs de la ville ont été appelés à la rescousse.
 

 
Désertée des élèves, la cour de l’école Jean-Pompey a été le théâtre d’une bagarre entre chats. L’un d’eux a trouvé refuge dans l’immense saule mais ne pouvait plus en redescendre. Les élagueurs de la ville ont été appelés à la rescousse.
 
Désertée de ses élèves durant les vacances, la cour de récréation de l’école Jean-Pompey s’est transformée, l’espace d’un instant en une arène de combat : trois matous au tempérament volcanique s’y sont en effet violemment affrontés. Défense de territoire ou règlement de compte pour la possession d’une dulcinée, personne ne saurait le dire.
Trois jours dans le saule
 
Quoi qu’il en soit, les coups de griffes ponctués des sifflements et des feulements propres à cette espèce se sont finalement soldés par la fuite du plus faible, dans l’immense saule tout proche. Poursuivi par ses agresseurs, le pauvre petit chat roux n’a dû son salut qu’à sa capacité à s’accrocher à la plus haute branche du saule. En sécurité sur les hauteurs, les deux autres félins ont finalement renoncé à lui infliger la correction programmée.
 
Mais, coincé ou traumatisé par la peur, le petit chat roux ne parvenait ou ne voulait plus descendre. Pendant trois jours il est resté ainsi perché en miaulant.
 
Les riverains malgré leurs tentatives pour le convaincre de descendre, ont finalement fait appel aux élagueurs de la commune pour le déloger. Georges, Julien et Mélanie équipés de cordes et de baudriers entreprirent aussitôt d’aller quérir l’animal tout penaud.
Un drap blanc tendu pour accueillir l’animal
 
Devant la résistance du petit félin à décrocher ses griffes des branches molles du saule, des riverains venus en spectateurs ont proposé de tendre un drap, pendant que Georges pousserait l’animal pour le faire tomber dedans, comme le font les pompiers pour réceptionner les habitants sautant des hauts étages d’un immeuble en feu dans la bâche salvatrice.
 
L’opération a pleinement réussi, le chat a fait un magnifique saut de l’ange… et a détalé sans demander son reste au grand dam de ses sauveurs !

      Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age, Sam, Sundy et les Aminautes          
 
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Sympa l'histoire ...    
 
       

   Et hop les Aminautes :  le mois de mai est reparti  .... .
 

 

 
 
L’élevage des lions en captivité bientôt interdit en Afrique du Sud >> L’Afrique du Sud a annoncé dimanche son intention d’interdire l’élevage de lions en captivité, que ce soit aux fins de chasse ou pour permettre aux touristes de caresser des lionceaux, afin de promouvoir une image plus «authentique» du pays.

 
 
Cette décision a été prise conformément aux recommandations d’une commission chargée par le gouvernement de se pencher sur les règles encadrant la chasse, le commerce et la captivité des lions, éléphants, rhinocéros et léopards.
 
La commission dit que «nous devons cesser et faire marche arrière sur la domestication et l’élevage en captivité des lions», a indiqué la ministre sud-africaine de l’Environnement Barbara Creecy lors d’une conférence de presse.
Stop aux interactions avec les touristes
 
«Nous ne voulons plus d’élevage en captivité, de chasse (d’animaux élevés) en captivité, de câlinerie (de lionceaux) en captivité, d’utilisation de lions en captivité», a poursuivi la ministre, précisant que la commission demandait que la mesure soit «prise immédiatement pour faire cesser les interactions entre les touristes et les lions en captivité».
 
La décision, qui doit encore être traduite dans une loi, va probablement susciter l’opposition du très lucratif secteur de l’élevage des lions. En Afrique du Sud, de 8.000 à 12.000 lions sont élevés dans quelque 350 fermes pour la chasse en enclos, le commerce des os, le tourisme ou les recherches scientifiques, selon les estimations d’associations.
 
Quelque 3.500 lions seulement vivent à l’état sauvage dans le pays, selon l’ONG Endangered Wildlife Trust, basée en Afrique du Sud.
Un débat éternel
 
La chasse de lions élevés en captivité est depuis longtemps un sujet controversé en Afrique du Sud et des campagnes pour interdire l’importation des trophées de lions élevés en captivité ont recueilli ces dernières années un soutien croissant aux Etats-Unis, en Australie et dans plusieurs pays d’Europe.
 
«La chasse légale et encadrée d’espèces emblématiques permise par le cadre réglementaire continuera d’être autorisée», a souligné la ministre. L’intention est de s’assurer que les touristes intéressés par «la chasse authentique aux animaux sauvages» ne vont «pas chasser des animaux qui ont été sortis d’une cage», a-t-elle expliqué.
 
L’ONG international World Animal Protection a salué une décision «courageuse». «C’est une victoire pour la faune sauvage», qui va permettre que «les lions restent dans le milieu auquel ils appartiennent: la nature», a affirmé Edith Kabesiime, chargée de campagne Afrique de l’ONG.

 
 
 
Les rhinocéros aussi concernés   >>  La commission a également recommandé la suppression progressive de l’élevage en captivité des rhinocéros, et d’étudier les options sur la future utilisation des stocks de cornes de rhinocéros, dont le commerce fait l’objet d’un moratoire depuis 1977. La corne de rhinocéros est prisée en Asie pour ses prétendues vertus thérapeutiques, et le braconnage décime l’espèce.
 
L’Afrique du Sud abrite environ 80% de la population mondiale des rhinocéros et plus de 300 éleveurs de rhinocéros.
 
Vice-président de l’Association des chasseurs professionnels d’Afrique du Sud et membre d’une association des propriétaires de rhinocéros, Barry York a estimé que ces recommandations n’aideraient pas à sauver les animaux, mais «mènent à la destruction et l’éradication de nos espèces», à leur «extinction».
https://saint-brieuc.maville.com/ac [...] 4_actu.Htm