Bienvenue tout le Monde
Les missions se suivent et ne se ressemblent pas... Mercredi dernier, en fin d'après midi, le peloton de gendarmerie de montagne (PGM) des Hauts de Bienne est intervenu sur la commune de Chapelle des Bois pour secourir un cochon immobilisé dans la neige en bordure des pistes de ski de fond ! La propriétaire de ce cochon apprivoisé, très attachée à son animal , ne souhaitant pas attendre la fonte des neige pour le sortir de cette impasse, s'apprêtait à passer la nuit à ses cotés. Afin d'éviter d'en arriver à cette extrémité et ne pas aggraver l'état d’hypothermie de sa propriétaire, les deux militaires du PGM ont damé un sentier pour permettre au cochon de regagner fort dignement la piste de ski et permettre à l'un comme à l'autre de passer une nuit bien au chaud ! De mémoire de secouriste jurassien, c'est une première !
Elaeomyxa cerifera est une espèce de myxomycète qui ressemble à une galaxie miniature. Ces créatures étranges font partie des protistes, des organismes unicellulaires qu'on ne peut classer ni parmi les champignons, ni parmi les végétaux, ni parmi les animaux.
Les abeilles ne sont pas toujours jaunes et noires : parmi les 20 000 espèces d'abeilles connues, on en trouve aussi des vertes, des blanches, et mêmes des bleues ! Xylocopa caerulea est une espèce d’abeille charpentière qui vit principalement en Asie du Sud-Est. Les femelles sont presque entièrement couvertes de poils bleus, ce qui leur donne cette robe incroyable.
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Des graffitis sur les bébés phoques pour que leurs fourrures soient inexploitables ! C’est incroyable de devoir en arriver là non ?
Changement climatique : l'Amazonie pourrait disparaître en 50 ans (étude)
L'écosystème amazonien pourrait ainsi basculer dès l'an prochain, selon Simon Willcock et ses collègues.
a forêt amazonienne s'approche d'un point de non retour sous l'effet du changement climatique et pourrait se transformer en une savane aride d'ici un demi-siècle, avertissent des chercheurs dans une étude parue dans nature communications. Un autre écosystème majeur, la barrière de corail dans les Caraïbes, pourrait disparaître en 15 ans s'il dépasse lui aussi un point de non retour, indiquent les scientifiques dans la même étude. De tels changements auraient des conséquences dramatiques pour les humains et les autres espèces qui dépendent de ces habitats, mettent-ils en garde. 20 % de la forêt amazonienne rasés depuis 1970 Dans les deux cas, les causes de ces modifications sont le changement climatique causé par l'humanité et les dommages environnementaux, déforestation dans le cas de l'Amazonie, pollution et acidification des océans pour les coraux.
Selon les travaux des experts climat de l'ONU, le Giec, 90 % des coraux en eaux peu profondes seront condamnés si le réchauffement climatique atteint 1,5°C comparé à la période pré-industrielle. Une hausse de 2°C signera leur disparition quasi-complète. Le réchauffement atteint déjà 1°C. Concernant l'Amazonie, le point de basculement est moins clair, mais des scientifiques estiment que la perte de 35 % de surface déclencherait sa disparition. Environ 20 % de la forêt amazonienne, qui recouvre plus de cinq millions de km2 répartis sur sept pays, ont été rasés depuis 1970, en grande partie pour cultiver du soja, du bois, de l'huile de palme, des biocarburants ou l'élevage bovin. Des écosystèmes "au bord du précipice"
"L'humanité doit se préparer à des changements beaucoup plus vite qu'attendu", a prévenu l'auteur principal de l'étude, Simon Willcock, de l'université de Bangor. L'écosystème amazonien pourrait ainsi basculer dès l'an prochain, selon lui et ses collègues. Les feux de forêt devenus hors de contrôle en Amazonie ou en Australie suggèrent que de nombreux écosystèmes sont "au bord du précipice", a-t-il ajouté. "Si l'on n'agit pas rapidement, nous pourrions être sur le point de perdre une des forêts tropicales les plus vastes et les plus diversifiées, qui évolue depuis 58 millions d'années et dont dépendent des dizaines de millions de personnes", indique Alexandre Antonelli, des Jardins botaniques royaux de Kew, qui n'a pas participé à l'étude.
Les écosystèmes peuvent changer, parfois rapidement, en situation de stress. Les chercheurs ont étudié de tels changements dans 40 régions naturelles, de différentes tailles
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