Reprise du message précédent :
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   Il est incroyable ce chien!
 

 
Il est coquet ce chat.....  
 
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  Un petit problème?
 

 
 
Un chat australien?    
 
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Comment gérer votre quarantaine si vous contractez le coronavirus alors que vous vivez avec un chat ou un chien ? Voici nos conseils.
 
Le sujet du Coronavirus (ou COVID-19) est sur toutes les lèvres. Comme on le sait maintenant, en Europe, il existe plusieurs zones « rouges » qui ont été mises en quarantaine. Comment faire si vous êtes dans cette situation et que vous avez un chien ou un chat ?
 
Voici nos conseils pratiques pour mieux vivre avec votre compagnon à quatre pattes pendant cette période de quarantaine à cause du coronavirus.
 
Avertissement : en raison de l'immense quantité de fausses informations à ce sujet, il est recommandé de se renseigner auprès de sources officielles telles que le site du ministère de la santé ou celui de l'organisation mondiale de la santé.
 
Nous vous rappelons également que, comme indiqué dans le communiqué de la WSAVA  (The World Small Animal Veterinary Association), il n'existe à ce jour aucune preuve fiable que les chats et les chiens peuvent transmettre le coronavirus aux humains.
Que faire avec mon chien ou mon chat si je dois rester en quarantaine ?
 
Nous vous avons déjà expliqué ce qu’il faut savoir aujourd’hui sur le coronavirus du chien et du chat, mais que faire en cas de quarantaine si vous tombez vous-même malade avec le coronavirus ? Si vous êtes obligé de rester à la maison, il est important, tout d'abord, de rester calme et d'essayer d'utiliser la quarantaine comme période de repos pour vous rétablir.
 
Pour les propriétaires de chats, la situation ne sera pas particulièrement compliquée : avec un bac à litière à disposition, votre chat sera suffisamment équipé. Mais comment faire pour votre chien ?
 
A notre connaissance, il n'y a pas de réglementation précise sur le comportement à suivre en cas de quarantaine en France.
 
Ce que nous pouvons vous conseiller, bien sûr après avoir contacté votre municipalité pour leur demander conseil, c'est de vous organiser avec votre balcon, des journaux par terre ou votre cour intérieure, sans sortir promener votre chien en dehors de la zone de quarantaine.
 
Certaines races de chiens ont besoin de beaucoup de sport et si la sortie n'est pas possible, vous devrez travailler dur pour faire jouer le chien à la maison.

 
Sujet pertinent aujourd'hui.    

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PS. Dans la tête des toutous, ils doivent se dire "mon humain était déjà parfois bizarre, mais là c'est du n'importe quoi..""    
 
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Bienvenue tout le Monde
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Bonne soirée

   Peluche
Jolies images.    
 

 

 
 
 

   
 
Quelqu'un a faim...  
 

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   Bonne nuit les Aminautes    
 
 


 
 
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Bon jeudi 12 mars les Aminautes.    
 
 
Donc demain on sera un vendredi 13..
Qu'est-ce qui pourrait encore être pire?....
 
 

 
Un suspect particulier a été identifié pour le vol d’une onéreuse pièce d’un équipement de recherche. Un crabe de cocotier, le plus grand arthropode terrestre également appelé le crabe voleur, aurait en effet dérobé un caméra thermique sur l’île Christmas, dans l’Océan indien.
 
Sur cette île, réputée pour abriter de nombreux crustacés, les crabes de cocotier peuvent atteindre la taille d’un mètre et ceux-ci sont connus pour avoir une tendance kleptomane.
L’un d’eux est ici soupçonné d’avoir détruit et volé une caméra appartenant à une équipe de scientifiques étudiant les pteropus de l’île (renards volants, sorte de très grandes chauves-souris, NDLR).  

La chercheuse Annabel Dorrestein de la Western Sydney University a expliqué que ce n’était pas la première fois que des crabes menaient des attaques et qu’elle avait déjà dû à plusieurs reprises sauver du matériel de leurs pinces.
«Ils m’ennuient depuis que j’ai commencé mon doctorat», a-t-elle expliqué à la chaîne ABC. «Je les vois emmener les caméras, je leur cours après et alors ils les lâchent. Mais pas cette fois-ci.» La caméra dérobée était attachée à un trépied, les chercheurs ont constaté après le vol des traces de pinces et des câbles sectionnés.
L’équipe a cherché la caméra pendant des heures mais n’a pu remettre la main dessus.
http://www.lessentiel.lu/fr/news/i [...] y/19111289
 

 
Des sauveteuses en montagne retrouvent une chienne égarée grâce à un barbecue >> Lorsque Nell s’est égarée dans une des régions les plus reculées du Royaume-Uni, les sauveteurs en montagne, the  Fisherfield Forest, ont décidé d’opter pour un stratagème particulier afin de lui faire retrouver ses propriétaires. Ils ont allumé un barbecue afin de mettre en éveil l’odorat de ce Border Collie.
 
Dimanche dernier, Nell accompagnait son maître et un ami à lui, qui effectuaient un ultra-trail, cette catégorie de course qui sort des sentiers battus, pour aller sur des terrains hostiles et escarpés sur de très longues distances. Malheureusement, le groupe s’est retrouvé en difficulté dans la forêt de Fisherfield, et des secours ont été envoyés pour leur venir en aide.
 
Le bruit des hélicoptères a toutefois fait peur à Nell, qui a fui sans que les deux hommes avec elle ne puissent la suivre et voir où elle était. Sauvés par les équipes de secours en léger état d’hypothermie, ils ont rapidement indiqué que la chienne avait pris peur et était introuvable. Les recherches se sont donc poursuivies, mais n’ont pas été concluantes le jour de la disparition de Nell.
 
Dès lors, deux femmes, membres de l’équipe de secours, ont décidé de retourner à l’endroit où l’animal avait fui la veille, et ont mis au point un plan original pour le faire revenir à eux. « Elles ont allumé un barbecue et ont commencé à faire cuire des saucisses et du bacon. Elles ont rapidement eu ce qu’elles souhaitaient, puisque le Border Collie est apparu à l’horizon, confus et anxieux, mais attiré par l’odeur de la nourriture », a expliqué un porte-parole des secours.
 
Maîtrisée et rassurée, la chienne a marché avec ses sauveuses durant huit kilomètres avant de retrouver la route. Elle ne semblait pas avoir été blessée lors de sa mésaventure et a pu retrouver son propriétaire sans difficultés. Les équipes de secours avaient à l’origine été avertis car les deux hommes étaient en retard lors de la course qu’ils effectuaient en partie de nuit.
https://www.bbc.com/news/uk-scotlan [...] s-51815807
 
 
 

 
Des braconniers ont tué la seule girafe blanche femelle au monde et son petit au Kenya >> Une girafe blanche extrêmement rare et son petit ont été tués par des braconniers au Kenya. Selon des écologistes, des gardes ont trouvé les corps de la femelle et de son petit dans un village du nord-est du comté de Garissa, au Kenya. Une autre girafe blanche, un mâle né de la défunte mère, est toujours en vie et serait la seule girafe blanche restante au monde.
 
La mort des deux girafes a été confirmée par le Garissa County Conservation Center dans un communiqué de presse publié sur les réseaux sociaux le mardi 10 mars. Selon le communiqué, le corps de la mère girafe était « dans un état squelettique après avoir été tuée par des braconniers armés ».
 
Mohammed Ahmednoor, directeur du Ishaqbini Hirola Conservancy, a déclaré : « C’est un jour très triste pour la communauté d’Ijara et du Kenya dans son ensemble. Nous sommes la seule communauté au monde à garder des girafes blanches ».
 
 
Son abattage est un coup dur pour les immenses mesures prises par la communauté pour conserver les espèces rares et uniques, et un signal d’alarme pour un soutien continu aux efforts de conservation. Il s’agit d’une perte à long terme étant donné que les études et les recherches en génétique, qui constituaient un investissement important dans la région par les chercheurs, se sont volatilisées.
 
Ahmednoor a poursuivi en disant que le tourisme sera affecté à la suite des décès, marquant une autre perte pour la région, car la girafe blanche a été un « grand coup de pouce » pour l’industrie du tourisme.
 
La girafe blanche a fait la une des journaux en 2017 après sa découverte, avec son aspect blanc unique résultant d’une affection connue sous le nom de leucisme, qui provoque une perte partielle de pigmentation chez un animal.
 
Contrairement à l’albinisme, les animaux atteints de leucisme continuent de produire des pigments sombres dans leurs tissus mous, et donc les yeux des girafes étaient de couleur sombre plutôt que rouge, comme on le voit généralement dans les cas d’albinisme.
 
Lorsque la girafe blanche femelle a fait la une des journaux, elle a été découverte aux côtés de son petit. Un deuxième petit a suivi, et la famille de trois a grandi dans le sanctuaire.
 
Le corps de la mère aurait été là pendant environ trois à quatre mois et a été retrouvé aux côtés de celui de son plus jeune petit, qui semble être mort de faim après la mort de la mère, a-t-on appris de Newsweek.
https://news.sky.com/story/kenya-wo [...] s-11954985
 

 
Zoom sur les dénombrements hivernaux des oiseaux d’eau >>  Les lacs de l’Eau d’Heure/Belgique constituent le plus important site d’hivernage des oiseaux d’eau en Wallonie.  
Quatre fois par an, des volontaires y organisent un comptage dans le cadre d’une campagne internationale, essentielle à la compréhension de l’évolution de ces populations d’oiseaux au niveau mondial.
 
Six cent cinquante hectares de plan d’eau et plus de kilomètres de rivage que la côte belge : un immense terrain de jeu pour les volontaires de la cellule ornithologique de Natagora Entre-Sambre-et-Meuse venus s’attaquer aux lacs de l’Eau d’Heure.  
Leur mission  : dénombrer tous les oiseaux d’eau qui fréquentent les plans d’eau de Froidchapelle et Cerfontaine. Le contexte : le Dénombrement hivernal des oiseaux d’eau (DHOE), un événement organisé depuis plus de cinquante ans par l’association Wetlands International. Ces comptages, organisés simultanément dans le monde entier à la mi-janvier, représentent probablement l’effort collectif d’inventaire de la biodiversité le plus important au monde.  
 
Ce samedi-là, plusieurs équipes se répartissent les principales zones d’hivernage des oiseaux d’eau en Wallonie. Sur les lacs de l’Eau d’Heure, six volontaires se partagent le travail : les rives des cinq lacs du site seront parcourues, et les espèces d’oiseaux d’eau scrupuleusement comptées. « Nous laissons cependant de côté les laridés, explique Philippe Deflorenne, coordinateur pour le site. Les mouettes et goélands, qui représentent ici quelque 10 000 individus, font l’objet de recensements à part ». Toutes les autres espèces, pourvu qu’elles soient aquatiques (échassiers, anatidés…), sont susceptibles d’être retenues. « Et la moitié seront des foulques macroules », prévient Philippe avant le départ. C’est en effet l’espèce la plus présente sur le site.
 
Philippe connaît bien les lieux et participe aux recensements depuis trente-cinq ans. « Anciennement, les cormorans fréquentaient très peu le site, indique-t-il. Ils sont devenus réguliers à partir de la fin des années 1990. Et depuis quelques temps, on constate une diminution des populations de canards siffleurs avec, dans le même temps, une augmentation de celles de canards chipeaux ».  
 
Et c’est tout l’intérêt de ces recensements : Wetlands International, grâce à ces comptages, publie régulièrement l’état des populations mondiales d’oiseaux d’eau. Ces données globales constituent ainsi la base des discussions préalables aux accords internationaux, sur la chasse par exemple, ou sur le statut officiel de conservation des espèces. Le comptage montre que les populations concernées hivernent de plus en plus au nord ; il permet ainsi de se rendre compte de l’impact du changement climatique. Ainsi, depuis quelques années, le nombre de fuligules morillons hivernant en Méditerranée fond, tandis qu’il augmente en Wallonie.
 
Le comptage permet aussi de s’apercevoir de réelles chutes de populations à l’échelle mondiale. La macreuse brune, par exemple, a vu ses populations de la Baltique s’effondrer, sans constat d’augmentation sur d’autres sites.
 
En Wallonie et à Bruxelles, les résultats 2020 devraient être assez proches de ceux de l’année dernière : 283 sites avaient été visités par 168 observateurs. Au total, on compte plutôt moins d’oiseaux qu’il y a quelques années, effet constaté du réchauffement climatique. Pour 2019, on totalisait un total d’environ 35 000 oiseaux indigènes comptés, un chiffre qui atteignait 50 000 il y a une dizaine d’années.
 
Ce jour-là, les lacs de l’Eau d’Heure ont donc aussi été passés au peigne fin. En plusieurs haltes autour des plans d’eau, l’œil rivé à la longue-vue dans un silence studieux, les compteurs n’ont pas raté grand-chose. Et les espèces attendues étaient bien présentes, foulque macroule en tête !
 
Faute d’effectifs suffisants, de nombreux plans d’eau ne sont pas recensés. Les ornithologues amateurs sont les bienvenus pour compléter les équipes. www.bit.ly/denombrement
 
SOURCE >> Benoît Vignet
https://www.aves.be/index.php?id=1387
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2 phoques soignés au Sea Life ont été relâchés en Mer du Nord >> Deux phoques ont été relâchés aujourd'hui à Blankenberge/Belgique.  
Découverts sur la plage, épuisés et malades, ils avaient été soignés au centre Sea Life.
Video:
https://www.rtl.be/info/Video/739486.aspx
 
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    Encore une triste nouvelle. C'est lamentable.

 

 
Bien vu le coup des saucisses!      

 
Comme cela s'est passé en Ecosse, si on avait débouché une bouteille de whiskey, le résultat aurait été identique ....  
 
 
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A taaaaaaaaaaaaable  ...  
 
 

 
   Magnifique.
 
https://youtu.be/Hodomt6bBOw

 

Superbe...  
 (Sauf peut-être la séquence des méduses     )
 
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 Ils sont supers: surtout les deux dans la dernière image ...  
 
 
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Bonne nuit les Aminautes .            
 
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 Bonjour les Aminautes  
 

VIDEO.
https://youtu.be/1v9VwC3sWdc
 
 Des centaines de singes déchaînés envahissent les rues de Thaïlande, désertées par les touristes  
Ces images incroyables montrent des centaines de singes particulièrement agressifs dans les rues de Lopburi, au centre de la Thaïlande. Affamés, car les touristes qui les nourrissent habituellement ne mettent plus les pieds dans le pays, ils s’attaquaient les uns les autres pour un morceau de nourriture.  
 
Cette vidéo a été tournée à Lopburi, dans le centre du pays. Des milliers de singes sauvages errent dans les rues de ce quartier thaïlandais. Beaucoup s’abritent dans les anciens temples de la ville.
 
Mais ce mercredi, ils ont semé le chaos dans la ville. Par centaines, ils ont envahi les rues thaïlandaises à la recherche de nourriture. Cris, bousculades, attaques… ils se montraient particulièrement agressifs les uns envers les autres. Quand l’un d’entre eux attrape une banane, il se fait immédiatement poursuivre et attaquer par les autres primates.
 
Affamés à cause du coronavirus >> Les habitants locaux, qui ont pourtant l’habitude de côtoyer ces primates, ont témoigné de leur étonnement face à ces comportements féroces.  «Ils ressemblaient plus à des chiens sauvages qu’à des singes », raconte une commerçante de la rue. « Ils sont devenus fous pour le seul morceau de nourriture. Je ne les ai jamais vus aussi agressifs !»
 
D’habitude, ces primates sont nourris par les touristes. Aujourd’hui, ils se retrouvent les estomacs vident car le pays est déserté en raison de l’épidémie de coronavirus.
 
Chaque année, la Thaïlande accueille quelque 35 millions de touristes, principalement chinois. Le secteur représente 18% du PIB thaïlandais.  
https://toutelathailande.fr/news/gu [...] a-lopburi/
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Ils veulent ouvrir un centre de soins pour les animaux sauvages blessés de Savoie >> Le Centre de Sauvegarde de la Faune Sauvage des Pays de Savoie s'est donné pour mission de soigner les animaux sauvages blessés.
Par Alice Claux -  
 
Le Centre de Sauvegarde de la Faune Sauvage des Pays de Savoie est une association qui souhaite, depuis cinq années, ouvrir un centre de soins pour animaux sauvages blessés. En mai 2020, le centre va finalement ouvrir et a mis en place un financement participatif.  
 
Le CSFS Pays de Savoie, c’est une équipe de passionnés qui se bat depuis 5 ans pour ouvrir un centre de soins à proximité de Chambéry pour prendre en charge les animaux sauvages blessés.
 
La région des pays de Savoie regorge d’une faune formidablement variée. Chamois, aigles, hérissons ou petites mésanges des jardins, il n’est pas rare d’y croiser des animaux sauvages. Malheureusement, les interactions homme/animal ne sont pas toujours positives … Choc avec une voiture, entortillement dans un barbelé ou un fil de pêche sont autant de cas de blessures pour ces animaux. Nous avons fait le constat qu’il n’y avait pas de structure à même d’accueillir ces animaux en détresse, alors que c’est principalement l’activité humaine qui est en cause.
 
Un centre de sauvegarde, à quoi ça sert ? Prenons un exemple concret : vous avez un jardin, et un matin vous retrouvez une mésange qui a l’air mal en point, vous vous demandez ce que vous pouvez faire. Le Centre de Sauvegarde permet dans ces cas-là de réceptionner votre appel, vous donner des conseils sur ce qu’il faut faire (et ne pas faire !), et si nécessaire peut organiser le rapatriement de l’oiseau au centre ou chez un vétérinaire partenaire afin de le soigner.
 
En Savoie et Haute-Savoie, il y a depuis 3 ans une ligne téléphonique et un réseau de vétérinaires partenaires. Ce dispositif provisoire a permis de secourir près de 3000 animaux sauvages entre 2018 et 2019. 2020 est l’année de consécration : le centre est sur le point d’ouvrir !  
 
En octobre 2019, l’association a pu enfin accéder à un terrain et à un bâtiment sur la commune de Montagnole (au sud de Chambéry) grâce à un mécène important. Les travaux s’y déroulent depuis afin d’adapter les lieux aux exigences d’un centre de sauvegarde (travaux d’isolation, d’électricité et de plomberie, préparation d’enclos à mammifères et de volières).
 
Nous prévoyons d’ouvrir en mai. Ce choix n’est pas anodin : en effet, la période de mai à août représente le pic d’accueil d’animaux blessés. C’est donc une course contre la montre pour pouvoir ouvrir dans les temps. Un financement participatif a été mis en place.
Pourquoi avez-vous décidé de vous lancer dans cette aventure ?
 
Après la fermeture il y a presque 10 ans du seul centre de sauvegarde dans les pays de Savoie, les animaux ont dû être pris en charge par d’autres centres de la région. Cependant, ces centres devant déjà gérer les animaux de leurs propres zones d’intervention, ceux-ci se retrouvent aujourd’hui saturés et ne sont plus en mesure d’accueillir les animaux savoyards.
 
Et de plus en plus d’animaux sont retrouvés blessés chaque année, du fait du développement des activités humaines. Le centre de sauvegarde, c’est aussi sensibiliser le public à la cohabitation avec la faune près de chez soi. Laisser un tas de feuilles en tant qu’abri pour le hérisson du jardin, faire attention aux nids d’oiseaux avant de tailler les arbres ou éviter les pesticides sur son terrain sont autant d’actions favorables à nos amis à poils et à plumes.  
 
Pas besoin d’être expert vétérinaire pour venir donner un coup de main au centre de sauvegarde ! On y rejoint une équipe motivée et passionnée, prête à former les volontaires débutants et admirative devant la beauté de la faune sauvage et de sa liberté. Car c’est dans leurs milieux naturels, libres et sereins, que les animaux sauvages sont sublimés.  

L’équipe du centre de sauvegarde se tient prête pour sa première année de prise en charge des animaux. C’est le branle-bas de combat pour ouvrir en mai 2020, et c’est le meilleur moment pour soutenir notre mission en participant à notre financement participatif !
 
https://positivr.fr/ils-veulent-ouv [...] de-savoie/
 
 
 

Des gens publient des photos sympas de leurs chats noirs pour montrer qu’ils n’ont rien à voir avec la malchance >> Certaines personnes pensent que les chats noirs portent malchance.
De plus, ils ressemblent à de magnifiques et nobles petites panthères.  
 
Il y a beaucoup de superstitions qui entourent les chats noirs. Malheureusement, certaines d’entre elles sont négatives.  
Par exemple, au Moyen Âge, les chats étaient censés partager un lien étroit avec la magie noire et la sorcellerie. En fait, les chats étaient considérés comme des sorcières déguisées !  
Cela a conduit à de nombreux minous blessés, car ils ont été punis aux côtés de sorcières dans l’Europe du 13e siècle et le Massachusetts du 17e siècle.  
De nos jours, les chats noirs sont encore parfois considérés comme des symboles du mystique. Et quelle fête d’Halloween est complète sans que quelqu’un se déguise en chat ou mette un accessoire de félin avec un chapeau de sorcière ?  
 
   

 



 
 
 



 

 
 
 
 
 
 
   
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RUBRIQUE : pil poil            
 
Saviez-vous que certains poneys peuvent avoir une moustache ?  
Ce trait est plus commun chez une race de chevaux appelée cob gypsy, qui est connue pour sa longue crinière luxueuse, sa robe pie et son comportement amical et calme. Le même gène qui est responsable des tresses luxuriantes du cheval est aussi celui qui lui donne sa moustache, peu importe le sexe (ce peut être un étalon, un hongre et même une jument !).
 
Les amateurs de chevaux sur Internet semblent divisés dans leurs opinions concernant la moustache du cheval. « Je trouve que c’est la chose la plus méprisable de tous les temps… rasez-la ! Rasez-la ! Pouah ! » Ce fut la réaction d’un propriétaire de cheval.  
Un autre commentateur était un peu moins cinglant, mais toujours sceptique, pensant que « c’est un peu mignon d’une manière bizarre, mais si c’était mon cheval, je le raserais à coup sûr ! » Un éleveur de chevaux gypsys, cependant, ne raserait jamais le visage des chevaux, car le poil est considéré comme un trait très recherché et porteur de chance pour le propriétaire.
 
Chez ipnoze, nous pensons que ces types de chevaux sont tout simplement fabuleux, surtout lorsqu’ils sont associés à un style de crinière tout aussi attrayant. Qu’en pensez-vous ? Découvrez les photos de chevaux ci-dessous par vous-même !
 






 







   

 
     
 
Dans certains buildings l'étage no.13 n'existe pas.... : miracle de l'architecture ...  

 
Et Mao, et Mao, et Mao,...    
 

 
On ne peut pas dire que celui-ci est formidable.