Reprise du message précédent :
     
 
L’axolotl, cette salamandre qui reste à l’état larvaire toute sa vie, est doté de capacités régénératrices hors du commun. Cet amphibien en voie d’extinction intéresse particulièrement les chercheurs, que ce soit pour ses capacités de régénération ou sa place dans l’arbre de l’évolution.
 https://static.nationalgeographic.f [...] 900&h=1581  
Cette salamandre n’est pas seulement une mascotte des internes, elle est aussi championne de régénération et la coqueluche des laboratoires. Pourquoi L’axolotl est-il convoité par la médecine régénérative ?
   
Les laboratoires du monde entier l’adorent. Ce n’est pas juste pour ses petits yeux ronds, ses branchies duveteuses, ou encore son grand sourire. Cet amphibien peut régénérer ses membres en 2 à 3 semaines, mais aussi des parties de sa moelle épinière, de son cœur et de son cerveau. Pour ses étonnantes caractéristiques, cette salamandre mexicaine suscite l’engouement des chercheurs. Pourtant, dans son état naturel, elle est en danger critique d'extinction.
https://static.nationalgeographic.f [...] =710&h=400  
Pour en parler, La Science CQFD a le plaisir de recevoir Pierre Kerner, maître de conférences en génétique évolutive du développement à l’université Paris-Cité et à l’Institut Jacques Monod, Eglantine Heude, chargée de recherche CNRS au Muséum, au laboratoire de physiologie moléculaire et adaptation, et Jean Raffaëlli, spécialiste des urodèles au niveau mondial et membre de l’UICN au sein du groupe de reproduction des amphibiens ancien collaborateur du Muséum National d'Histoire Naturelle.
Visite de spécimen d'achoques et axolotl au Jardin des Plantes  
La ménagerie du Jardin des plantes du MNHN a été le premier institut en Europe à accueillir des axolotl au XIXe siècle. La partie historique de la ménagerie héberge encore aujourd’hui dans leur vivarium des achoques, qui font partie de la famille des urodèles. Comme l'axolotl, c’est une espèce néoténique, restant à l’état larvaire toute sa vie, sans se métamorphoser. Aude Bourgeois, responsable vétérinaire du zoo du Jardin des Plantes, nous amène au sein du laboratoire vétérinaire, où trois individus d'axolotls vivent en harmonie, près d’une végétation luxuriante et dans des conditions de vie adaptée à leur bien-être, non pas à des fins de recherche, mais de conservation et sensibilisation.
https://www.nationalgeographic.fr/a [...] es-organes
https://lemagdesanimaux.ouest-franc [...] 070026.jpg https://i.f1g.fr/media/cms/orig/202 [...] 279c87.jpg  
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  beced
 
 

 
 
Bon Vendredi

 
  sundy
 

 
Bon Vendredi

 
Sundy, Peluche, et toutezétous    

 
Plus que  75 minutes avant le miam miam            
 

   Peluche
 
Un peu de détente...
 

 
Superbe photo : avec le hibou qui a l'air un peu jaloux ..    
 
 
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Bienvenue Tout Le Monde
 

Fantôme d'Etosha
Solly Levi Photographie faunique
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 
Bon Appétit

 
                         
 
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Que des comediens ...  [img]
 (Peut-être déjà posté ici      )
 
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Le majestueux faisan argenté

 
Trop joli ...    
 
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  Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age,  Sasquash, Dcm890, Sam, Sundy et les Aminautes...   
 
   
 
 
 
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PS. Inspiré par le film Didier (sur la chaîne 20)...    
 
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 Bon weekend les Animautes  ..  


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Dangers des tulipes pour nos animaux de compagnie ...          

Signes du retour du printemps, les tulipes fleurissent nos intérieurs et nos jardins… mais peuvent aussi être source de dangers pour nos animaux. Si vous avez chien, chat ou lapin à la maison qui sont susceptibles d’en faire leur quatre heures, mieux vaut être sur vos gardes ...
 
Les tulipes contiennent des glycosides (comme toutes les plantes de la famille des liliacées) qui peuvent être extrêmement nocifs pour nos animaux de compagnie voire même pour les humains. Le muguet fait partie de cette même famille et est également toxique.  
La bonne nouvelle c’est que même si toutes les parties de la plante renferment cette substance, c’est essentiellement au niveau du bulbe de la plante que la concentration est particulièrement élevée.
C’est donc plus particulièrement au moment de la plante des bulbes au jardin, ou même si vous avez un chien ou un chat qui aime creuser et retourner la terre pour tester gustativement ce qu’il va y trouver, que vous devrez être vigilant.

Que se passe-t-il si l’animal mange des bulbes ou des tulipes ? Le glycoside (que l’on appelle particulièrement tuliposide) perturbe la production des protéines dans l’organisme intoxiqué. Or les protéines possède un rôle important en transportant notamment l'oxygène.  
L’intoxication la plus grave concerne surtout les chiens ou les chats qui auront plongé la tête dans le sac à bulbes et se seront délectés de plusieurs d’entre eux.
Mâchouiller un tige de tulipe ou même une ou deux fleurs ne porte pas tant à conséquence, on pourra simplement observer quelques irritations au niveau des gencives, de la langue et de l’œsophage… qui passeront toutes seules. Rien de plus conséquent.
Même les humains peuvent avoir quelques allergies en manipulant les bulbes de ces fleurs, selon leur sensibilité.
Les signes sont facilement reconnaissables et ne laissent que peu de doute sur le déclenchement d’une situation anormale : le chien ou le chat salive abondamment, il peut en quelques heures seulement déclencher des troubles digestifs.
En cas d’intoxication plus massive, on observe des troubles cardiaques, respiratoires, des douleurs abdominales et dans les cas extrêmes ou si l’intoxication n’a pas été détectée assez rapidement, la situation s’aggrave, avec parfois des animaux qui perdent connaissance et tombent dans le coma. Dans ces cas-là, surtout ne faites ni boire ni manger votre chien ou votre chat !

Il est possible de traiter l’animal et de le sauver mais ses chances de guérison vont surtout dépendre du temps qui se sera écoulé entre l’ingestion de la plante (bulbe ou tige) et le moment où la prise en charge va être effective chez le vétérinaire. Ce dernier effectuera un lavage d'estomac ou essayera de faire vomir l'animal.
Il faudra prévoir beaucoup de calme et une petite assistance pour votre chien ou votre chat après cet incident car il peut subir des difficultés de coordination des mouvements.
Si vous avez plusieurs animaux à la maison ou si il y a des enfants, il est bienvenu d’isoler l’animal en convalescence pour lui donner toutes les chances de récupération rapide.  
https://www.animo-petfood.com/blog/ [...] chats-n529

 
 
 
Les stratégies des animaux pour survivre dans le désert  // François H. Lallier — 12 avril 2023  
   
Dans les régions arides, le manque d'eau est le principal problème. Mais certains animaux ont développé des capacités extraordinaires pour survivre
La principale problématique pour les animaux du désert est bien sûr le manque d'eau.
La solution, pour survivre, est d'en perdre le moins possible, que ce soit via l'excrétion (l'urine et les crottes), la transpiration ou la respiration.
   
La première voie qui vient à l'esprit quand on essaie d'imaginer par où on peut perdre de l'eau est la voie urinaire. C'est le rein qui, en filtrant le sang, fabrique l'urine et l'envoie dans la vessie. Pour perdre le moins d'eau possible par cette voie, il faut avoir des reins adaptés, capables de produire une urine très concentrée.
Chez les mammifères, par exemple le rat-kangourou qui vit dans les zones désertiques de l'ouest des États-Unis ou la gerboise du Sahara, la fabrication de l'urine passe par une très longue boucle (appelée «anse de Henlé») qui permet de réabsorber un maximum d'eau avant que l'urine rejoigne la vessie. Ainsi, l'urine de ces animaux désertiques est beaucoup plus concentrée, ce qui leur permet de perdre cinq fois moins d'eau que nous en faisant pipi.
Récupérer l'eau du tube digestif avant d'évacuer les aliments non digérés est une autre stratégie. Les insectes n'ont pas du tout le même type de rein que les vertébrés mais chez certains, l'extrémité des tubes («tubes de Malpighi») qui servent à éliminer les déchets du sang sont collés au rectum et récupèrent la quasi-totalité de l'eau qui s'y trouve. Ces insectes produisant des crottes complètement sèches.
 
Cette réabsorption rectale est aussi renforcée chez les vertébrés du désert –reptiles, oiseaux ou mammifères– qui, eux aussi, font des crottes bien plus sèches que nous.  
La deuxième cause de perte d'eau est la transpiration, c'est-à-dire les pertes à travers la peau. Les mammifères du désert n'ont pratiquement pas de glandes sudoripares –donc pas de sueur– et des graisses originales rendent leur peau particulièrement imperméable à l'eau.
Une bonne fourrure assure aussi une protection contre les pertes d'eau, même dans le désert: les chameaux le savent bien. Attention: si le chameau est capable de boire de grandes quantités d'eau dès qu'il en a l'occasion, il ne la stocke pas dans ses bosses, remplies de réserves de graisse. Son eau est répartie dans tout le reste de son corps mais puisqu'il peut en perdre trois fois plus que nous avant de mourir de soif, il résiste bien plus longtemps au climat du désert.
Les insectes du désert ont souvent une carapace recouverte de cire qui assure également une bonne imperméabilisation. Plus fort encore: adapter sa carapace pour en faire un récupérateur de rosée. Certains scarabées du désert de Namibie (Stenocara) ont de petites bosses hydrophiles (qui attirent l'eau) sur leur dos, sur lesquelles l'humidité de la brume matinale va se condenser et couler dans de petites rigoles hydrophobes (qui repoussent l'eau) vers leur bouche. Des chercheurs du MIT se sont inspirés de ces insectes pour fabriquer des toiles récupératrices d'eau de rosée: un bel exemple de biomimétisme.
Une autre voie qui occasionne des pertes d'eau importantes, c'est la respiration: même si l'air du désert qu'on inspire est sec, celui-ci est humidifié en arrivant dans les poumons. Si on l'expire rapidement, il emporte avec lui une grande quantité de vapeur d'eau. Par contre, si cet air humide est canalisé dans les méandres des fosses nasales, maintenues plus fraîches que le reste du corps, la vapeur d'eau de l'air expiré va se condenser et être récupérée, surtout la nuit. Le chameau, les antilopes ou le rat-kangourou (encore lui!) ont effectivement des fosses nasales labyrinthiques capables de récupérer un maximum d'eau la nuit.

Et c'est justement la nuit que le rat-kangourou sort de son terrier pour aller chercher les graines dont il se nourrit. Mais il ne les mange pas tout de suite: il va les cacher sous terre, souvent dans une chambre spéciale de son terrier. Ainsi, ces graines vont gonfler de 30% environ en captant l'eau de l'air un peu humide du terrier. Manger ces graines réhydratées suffit à combler les besoins en eau limités de notre rat-kangourou, qui n'a donc pas besoin de boire du tout.
       
https://www.slate.fr/story/244175/c [...] espiration
 

 
 
  beced  
 
Réveil en Fanfare    
 

Corvus monedula bien installé sur la tête de Cervus elaphus.
Photo : Moana Ghiandoni
 
Bon Samedi

 
Hello Peluche    
2 paires de yeux valent évidemmet mieux qu'une seule ...  
 

 
Malurus cyaneus > Mérion superbe (Superb fairywren) > Le Mérion superbe est une espèce d'oiseaux de la famille des Maluridae, commun et familier en Australie du Sud-Est et en Tasmanie//Wikipédia
 

Bienvenue Tout Le Monde
 

Petit-duc des montagnes (Megascops kennicottii) dans un saguaro (Carnegiea gigantea)

 
 
  sundy
 
 

 
Bon Samedi

 

 

 

 
Bon Appétit

 

 

 

 

 

 

 

 

Dans le centre de Valence, en Espagne, se trouve une sculpture en l'honneur de tous les chiens et chats sans abri.
Une belle sculpture réalisée par Elena Negueroles

 
 
 
   

Bonne nuit Peluche, Rem, Coke y Age,  Sasquash, Dcm890, Sam, Sundy et les Aminautes...
 
 
 

    Hello les Animautes :  c'est dimanche : voilà c'est dit!!  

 
 
Les Blaireaux, des animaux étonnants avec Vincent Rillardon.
 
Le Blaireau européen (en réalité plutôt eurasien) porte le nom scientifique Meles meles. C'est la deuxième plus grosse espèce de Mustélidés d'Europe après le Glouton Gulo gulo. Trapu et court sur pattes, il peut atteindre 70 cm de long (90 cm avec la queue, qui mesure 20 cm environ), pour 25 à 30 cm au garrot et jusqu'à une vingtaine de kilogrammes (12 kg en moyenne).
Meles meles possède 34 dents. Il présente parfois une très petite prémolaire derrière les canines..
Il est très reconnaissable aux bandes longitudinales noires qu'il porte sur son museau blanc. Ce blaireau vit potentiellement dans presque toute l'Europe et une grande partie du nord de l'Asie centrale et du nord, au sud du cercle polaire (jusqu'à 2 000 m d'altitude en France).//wiki
 

Quand c'est l'heure, c'est l'heure *
 

 
 
* Lapalissade?    
 
   
 
   
LAPALISSADE -  HENRI MONNIER  
 
Le chat noir de la palissade
Promène son museau partout,
C'est un pirate en embassade,
Le chat noir qui s'en vient chez nous.
Dans le jardin ou sur le toit,
En mille et une escapades
De tous côtés, il est le roi.
Il est le tigre du Bengale
Et le prince des maraudeurs,
Sa moquerie est sans égale:
Ce chat-là est un chapardeur.
Il faut le voir, cet escogriffe,
Ce gracile animal ingrat
Qui lacère à grands coups de griffe
Les détritus de papier gras.
Il mène sa vie à sa guise,
Ne faisant que ce qui lui plaît,
Il se complaît dans des bêtises
Qui ne valent pas un couplet.
Et cependant si ce vaurien
Ne commet que des incartades
A la maison, on l'aime bien,
Le chat noir de la palissade.  

Henri Monnier

 
 
 
 
 

 
 
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PS. Il y a eu les années précédentes de fausses images sur les chutes de neige dans cette région; ce qui est d'ailleurs peut-être le cas aussi cette fois-ci...    
 
 
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