donc oui je peux lire des histoires de grandes personnes... mais pour moi stephen king c la littérature type poor ado boutonneux dans sa periode rebelz  
y'a p-e trop de profondes (mouarf) métaphores chez stephen king poor k'il y reste vraiment une substance interessante ?
 
enfin bon tt ça poor dire ke moi stephen king spamontruc
kan g vu 'dreamcatcher' au ciné ça m'a fait exactement penser à 'ça', dans lekel le début est bien accrocheur avec du suspense, tt ça et puis kan on arrive vers la fin le monstre est un peu limite (une arraignée géante, moué , un roswell ki en réalité est un espèce de grd ver plein dents, oué ), et la fin carrément baclée (tt va bien les gentils héros ont kan même gagné et la race humaine est sauvée   )
 
 
edit : poortant g aimé certaines adaptations des romans de stephen king (faudrait ke je vois si les bouquins ki ont inspiré ces films sont particulièrement bons ou pas), comme shining, dolores claiborne, misery (e et je crois ke c tt )

L'important c'est surtout le "4 juillet" associé à l'année, fête de l'indépendance américaine. Et c'est ça qui est drôle en fait dans ce film. L'indépendance américaine, c'est un truc inventé pour des immigrés. Alors que les vrais américains eux ont été massacrés. Et tout le long du film ce n'est que références sur références au massacre indien et dont l'Amérique ne sait plus se souvenir (le nom de l'hôtel "overlook" signifie  aussi bien "dominer" que "oublier" ) : l'hôtel est construit sur un ancien cimetière indien et la marrée de sang qui coule de l'ascenseur provient justement du sous-sol, là où se trouve précisément l'ancien cimetière. La hache est un symbole indien et la femme de Nickolson ressemble étrangement à une squaw quand elle court dans l'hôtel affolée. D'ailleurs, le petit enfant, quand il s'échappe, revient sur ses propres pas pour ne pas en faire d'autres dans la neige : c'est une technique indienne. C'est un film sur la grande Amérique qui en prend un sale coup : l'assassinat du Noir comme le massacre indien : même combat !