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Auteur | Sujet : Fatal Bazooka 16 juin en salle |
Publicité | Posté le 05-05-2010 à 01:46:11 |
fabone276 Bisous les nounours |
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MattStone | C'est ça qui est beau ahahah, j'ai raté l'ouverture de sujet pour les films cultes "coco", "safari", "les bronzés 3", "cyprien" XD |
fatah | Ce film entrera sans aucun doute dans le top 3 des bouses de l'année http://www.dailymotion.com/video/x [...] -a-ses_fun Message cité 1 fois Message édité par fatah le 05-05-2010 à 19:54:23 --------------- Mon image publique est étonnamment négative, est-ce à cause de mon hobbie qui consiste à gifler des orphelines ? | Je dois aller faire quelque chose de masculin, tel conquérir une nation ou uriner debout. |
Cizia |
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MattStone | http://www.filmsactu.com/critique- [...] -10069.htm
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Cizia | Message édité par Cizia le 06-05-2010 à 22:22:10 --------------- |
MattStone | "Avoir-alire.com" "Sans aucun doute la comédie du mois de juin." "Cinélive" : ""On n'est jamais mieux servi que par soi-même." Acteur jusque-là peu gâté (Coursier...), Michaël Youn a visiblement suivi l'adage en imaginant et signant lui-même ce Fatal. Une comédie sous Red Bull, un Zoolander musical, où le rappeur bling-bling Fatal Bazooka (frimeur trash crée à l'époque du Morning live) sombre dans la déprime depuis que le gosbo bio-pop Kris Proll lui a ravi la place du number one. Inégal (un peu trop de caca-prout), le film dégage toutefois une vitalité ahurissante et carbure au rythme de douze gags/minute. Une ambition rare en France." "Première" : "Plus de 500 000 albums vendus, une armée de tubes auxquels seuls les sourds ont échappé (Fous ta cagoule, Parle à ma main) On s'étonnerait presque de ne pas avoir vu débarquer Fatal Bazooka, le faux rappeur imaginé par Michael Youn, plus tot au cinéma. En découvrant le film, on comprend pourquoi: avec son scénario super affuté qui distribue quinze vannes à la minute, Fatal n'a rien d'un coup marketing. C'est l'oeuvre d'un type inspiré qui a digéré plusieurs décennies de comédie américaine, regardé la télé se griller les neurones de l'intérieur, vu l'industrie du disque sous son profil le moins flatteur et a décidé de tout jeter: ses admirations, ses ricanements, ses dégouts, dans un énorme shaker pop. Avec un humour épatant de régularité,Youn n'épargne personne, à commencer par lui-meme. Rappeurs, chaines de télé, nouvelle chanson francaise, labels: tout le monde y passe, y compris ceux qui n'avaient rien demandé (les Enfoirés, devenus Les Enc*** dans le film). On pense beaucoup à Zoolander, dont Fatal est un peu le jumeau bling bling. S'il n'est pas encore Ben Stiller, Michael Youn, qui a occupé à peu près tous les postes sur le projet à part la cantine, impose une déconne extremement recommandable." "Ecranlarge" : "Michaël Youn réussit là où Gad Elmaleh avait lamentablement échoué avec Coco (et dans une moindre mesure, Sacha Baron Cohen avec Ali G) : faire rire en se moquant du bling-bling. Les nostalgiques du Morning live peuvent y aller en toute confiance." "Filmactu" : "Contre toute attente, Michael Youn s'impose meilleur cinéaste que trublion télévisuel et propose avec son Fatal Bazooka une comédie fraîche et généreusement débile comme seuls les américains savent le faire. Proposant un univers cynique et sans concession plutôt efficace, celui que l'on a souvent aimé détester nous propose une surprise franchement pas désagréable, sorte de pendant français du cinéma de Ben Stiller ou des frères Farelly. Pas totalement parfait, parfois trop lourd, Fatal demeure pourtant la seconde chance que l'on peut accorder à un garçon qui avait finalement gardé quelques atouts..." "L'Express" " Ne dîtes pas à ma mère que j’ai aimé Fatal, de Michaël Youn, elle me croit journaliste dans un grand hebdomadaire français. D’ailleurs, j’ai beaucoup plus ri à ce film-là qu’à Oncle Boonmee, celui qui se souvient de ses vies antérieures, d’Apichatpong Weerasethakul. C’est vrai, la Palme d’or 2010 n’est pas une comédie. C’est vrai, je suis de mauvaise foi. Il faut d‘abord vous raconter la cuisine de cette chronique. Face à une montagne de 23 films sortant le 9 et le 16 juin à priori aussi attrayant qu’une semaine de vacances aux Kerguelen, je décidais, les pieds à reculons, d’aller voir ce qu’un trublion cathodique parfois amusant, connu pour ses fesses nues et ses chansons crétines, pouvait bien faire avec une caméra entre les mains. Rien ne m’énerve plus que ces gens qui se décrètent réalisateur sous prétexte de célébrité – dans le genre, le somment de navétitude fut atteint pat T’aime, de Patrick Sébastien. Je le reconnais : je m’installais dans la salle un peu bougon, décidé, non pas forcément à incendier le film, mais à tenter de comprendre pourquoi ce type avait autant de succès auprès des ados – moi, quand j’étais jeune je riais devant Et la tendresse ? Bordel !, film autrement plus intellig… Pardon ? Oui, bon, d’accord. Fatal est une comédie. " "
Record de visites pour la France pour le clip qui accompagne le film : Le début du film ici : http://www.youtube.com/watch?v=MMCl0Bx6hqg Message édité par MattStone le 07-06-2010 à 19:43:06 |
bananaday | allloooooors quelqu'un l'a vu ? |
MattStone | - Le journal du dimanche :
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Publicité | Posté le 17-06-2010 à 13:56:34 |
pseudalx |
khakhaone |
MattStone | Extrait inédit fu film "FATAL", scène coupée du film "Pédofile d'ici" : http://www.m6bonus.fr/videos-backs [...] 36514.html Message édité par MattStone le 21-06-2010 à 13:21:37 |