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Auteur Sujet :

venez lire le brouillon de ma nouvelle

n°2640638
Orkin Maru​s
Arvi pâ !
Posté le 06-05-2004 à 11:32:02  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
 
  Bon c vrai que c'est nul, j'avais aucune inspiration.  
  Il s'évanouit c'est mieux, déjà !
 
  Sinon vous acez lu l'extrait du roman ?


---------------
écrire, y'a que ça de vrai !
mood
Publicité
Posté le 06-05-2004 à 11:32:02  profilanswer
 

n°2640694
foularou
Posté le 06-05-2004 à 11:39:13  profilanswer
 

Perso j'ai survolé mais comme il n'y a pas de suites logiques entre tes extraits j'avoue que je n'y prete pas trop attention

n°2640707
Orkin Maru​s
Arvi pâ !
Posté le 06-05-2004 à 11:40:16  profilanswer
 


  comment ça pas de suite logique ?


---------------
écrire, y'a que ça de vrai !
n°2645204
Orkin Maru​s
Arvi pâ !
Posté le 06-05-2004 à 20:00:13  profilanswer
 


  Bon, je n'ai pas eu le temps d'écrire aujourd'hui, alors pour compenser, je met le début de mon roman !
 
  Bonne lecture !
 
 
 
 
CHAPITRE  1
DES RETROUVAILLES INATTENDUES
 
 
  La plus chaude journée de l'été tirait à sa fin lorsque Sewin se laissa tomber sur une chaise et s'étira pour soulager ses épaules douloureuses. Il resta ainsi un long moment, les yeux clos et le visage las. Tenir une auberge dans le petit village de Vallée verte devenait de plus en plus difficile. Chaque jour le nombre de visiteur augmentait. De plus, cette chaleur n'arrangeait pas les choses. La soleil qui chauffait depuis près d'un mois semblait amener avec lui les étrangers les plus lointains, tels les nains et les goraix
  « Des vacances me ferait le plus grand bien, » songea t- il
  Il quitta la salle et se dirigea vers la cuisine pour se préparer un petit encas. Celle-ci était étonnement petite pour quelqu’un qui y passe la journée à cuisiné. Il s’y trouvait une table de bois collée contre le mur, et à l opposé, de vieux meubles piteux étaient envahis de nombreuse poêles et casseroles, sans oublier les innombrables couverts qui les jonchaient et les multiples torchons qui traînaient sur le sol. Ils commença par se tartiner de fromage frai un morceaux de pain, puis il se servit un verre d’eau qu’il avala d’une traite. Ensuite il se dirigea dans la salle de bain, où une fois de plus il se cogna la tête contre le linteau de la porte, tellement il était grand. Dans celle-ci, se trouvaient deux tonneaux remplis d’eau, deux serviettes blanches posées sur le sol, et trois bols dont un rempli d’eau fumante. Sewin ôta ses vêtements et s’introduisit dans le tonneau de gauche. La pointe de ses cheveux brun trempait dans l’eau tiède, où seul son bouc foncé, son nez fin et ses yeux vert émergeaient. Il y resta un bon moment les yeux clos à se prélasser et à se détendre. Mais ce bonheur fût de courte duré, il n’avait pas encore commencer à faire ça toilette que deux personnes frappèrent à sa porte. Il  émit un grognement et dit assez fort et distinctement pour que les deux personnes l’entendent :  
  —Désolé mais l’auberge est fermée.  
  —S’il te plais ouvre, répondirent en chœur deux voies.
  —Non je ne reçoit personne après 20h30, s’énerva Sewin.
  —Si ouvre c’est nous, insistèrent les deux personnes.
  —Partez d’ici ou je sort vous mettre une correction, s’emporta Sewin.
  —Mais c’est nous, tes amis : Liran et Téhédoff.
  La colère qui avait envahit le visage de Sewin s’effaça aussitôt et laissa place à un grand étonnement. Il sortit en toute hâte du tonneau en manquant de le renversé, et s’essuya à moitié le corps. Il enfila un pantalon jaune qui lui arrivait aux mollets et une chemise qu’il ne boutonna même pas, puis il attrapa  les clés de la porte qui traînaient sur une table, et déverrouilla la serrure.  
  A la vision de ses deux amis, il afficha un large sourire puis se jeta dans leurs bras. Il les serra avec une telle force que leur visage vira au pourpre.  
  —Comment allez vous, ça fait si longtemps que l’on ne s’est pas vus, dit-il joyeusement en relâchant peu à peu son étreinte.
  —Nous allons très bien, répondit Téhédoff enjoué.
  —Venez, entrez, vous prendrez bien quelque chose à boire et à manger, j’ai de la bière et il me reste un plat de soupe dans la cuisine.
  —Volontiers, répondit Liran.
  —Asseyez vous, je reviens tout de suite.
  Liran et Téhédoff  s’assirent dans la grande salle et sortirent de leurs sacs à dos divers objets qu’ils étalèrent sur une table. Il y avait parmi ces objets une carte, de la nourriture et une épée ornée de deux magnifique dragons en or. Tèhédoff attrapa ensuite un petit animal qui ressemblait à un lézard, mais qui ne pouvait l’être du fait de sa taille. Il devait mesurer près de cinquante centimètres de long et dix de large, et surtout il n’était pas vert mais plutôt orange. Sewin fit irruption dans la pièce tenant dans une main le grand plat de soupe qui dégageait une odeur forte agréable, et tenant dans l’autre deux assiettes, deux verres  et des couverts. Il déposa précautionneusement le tout sur la table et s’assit à son tour.
  — Alors qu’est ce qui vous amène dans ma petite bourgade, questionna Sewin.
  —Nous sommes partis de notre cher Bourgoraix il y a un mois, nous avons visités bon nombres de villes qui nous étaient encore inconnues, puis en avons profité pour te rendre une petite visite, dit chaleureusement Liran.
  —Regarde tout ce que nous avons acheté sur notre passage, dit Téhédoff d’un ton enthousiaste.
  Il montra de la main tous les objets étalés sur la table, puis il regarda Sewin dans l’attente d’une certaine stupéfaction de sa part.
  —Eh bien,…qu’est-ce donc ? interrogea Sewin.
  —Quoi, beugla Téhédoff, tu ne sais pas ce que sont ces merveilles.
  —Non, pourquoi, je devrai, demanda t- il
  —Evidement ! Mais ce n’est pas grave, je vais t’expliquer. Il attrapa de la main droite la nourriture et la posa devant Sewin. Ca c’est du Forcateur, quand tu le mange, tu acquiert une très grande force pendant quelques secondes. Ce sont les nains qui l’ont confectionnés, nous leurs en avons achetés lorsque nous étions chez les nains. Tu verrais cet immense village souterrain, une vraie merveille, et je pense que nous aurons l’occasion d’y retournés.
  —Ca c’est une carte que j’ai crayonné lorsque nous marchions. Je n’est cessé de prendre des durant le voyage, dit Liran. Toute la région y est représentée, et la tracé en rouge, l’itinéraire que nous avons emprunté pour venir.
  —Ce petit animal que tu vois là est un rattoneur, nous l’avons achetés à un marchand ambulant qui traînait dans le coin, dit Téhédoff fier de son achat.
  —Et à quoi il sert, questionna Sewin.
  —J’y viens, j’y viens. Lorsque nous l’avons achetés, nous ne pensions pas qu’il avait une quelconque utilité hormis sa compagnie, mais il s’est révélé que Trouvtou…
  —Trouvtou, s’étonna Sewin.
  —Oui, il fallait bien lui donné un nom, et figure toi que Trouvtou n’a pas arrêté de déterrer des pierres depuis l’endroit où nous l’avons acheté jusqu'à que nous arrivions chez toi.
  Sewin se tourna vers Liran et celui-ci acquiesça d’un signe de tête.
  —C’est bizarre quand même, un animal qui déterre les pierres, on en voit tous les jours, dit Sewin surprit.
  —Oui cela m’étonne aussi, approuva Liran.
  —Et toi alors qu’est ce que tu deviens, depuis le temps que nous ne nous somment pas vus ?  questionna Téhédoff.
  —Moi, la routine, je tiens toujours cette auberge, les jours passent et se ressemblent, répondit il d’un ton las.  
  Les trois amis continuèrent à parler de maintes choses d’un ton très animé pendant encore un long moment, puis ils allèrent dans la chambre préparer leurs lits. La chambre de Sewin n’en comprenait qu’un, ainsi qu’un bureau qui tenait précairement en équilibre sur trois pieds. Téhédoff et Liran étalèrent sur le sol de nombreux draps qui firent office de lit pour la nuit. Bientôt la chambre s’était transformée en un petit dortoir de fortune. Les trois amis continuèrent à parler un long moment dans l’extrême gaieté qu’offrait ces retrouvailles. Ils finirent tant bien que mal par s’endormir au milieu de la nuit étoilée pour ne plus se réveiller qu’a l’aube.  
   
  La matinée s’annonçait très belle, déjà  un large soleil illuminait de ses rayons la maison et les alentours. Le premier à se réveiller fût Sewin, il se pressa d’aller dans la cuisine pour préparer un petit déjeuner à ses deux amis ainsi qu’aux premiers clients de la journée. Il éparpilla les différents mets sur toutes les tables et retourna dans la cuisine pour préparer d’autres plats. Mais aussitôt le premiers visiteur frappa à la porte. Sewin enleva ses gants, les posa sur une table environnante, puis alla ouvrir la porte.
  —Bonjour, soyez le bienvenu. Asseyez-vous, je vais venir prendre votre commande dans un instant, dit très poliment Sewin.
  Dès que la personne fût assise, il se précipita dans la chambre d’où on entendait des ronflements puissants. Il ouvrit la porte énergiquement puis s’introduisit à l’intérieur de la pièce, et à son grand étonnement Liran était déjà réveillé. Il le regarda un instant, puis détourna son regard sur Téhédoff, celui-ci dormait à poing fermés. Il s’était enroulé dans tout les draps, et il ronflait avec encore plus d’intensité. Sewin s’approcha de lui, puis le secoua doucement pour qu’il se réveille.
  —Allons réveille toi, il est déjà 8h30, chuchota Sewin.
  Téhédoff émit un ronflement encore plus sonore, et il se tourna vivement de l’autre côté. Sewin recommença une nouvelle fois, mais Téhédoff ne bougea pas d'un millimètre.
  —Ca ne sert à rien, il ne se lèvera pas, dit Liran sur un ton d’excuse.
  —Mais il y a déjà un client, si il l’entend ronfler, il va se demander ce qu’il se passe. Il va penser que j’héberge des inconnus. Alors levez-vous et venez me donner un petit coup de main, s’énerva Sewin.
  Liran consentit à le suivre mais Téhédoff continua dormir. Sewin prêta un tablier blanc à Liran, et ferma la porte derrière lui.        
  —Alors garçon, rugit l’homme qui attendait.  
  Sewin se précipita dans la cuisine pour prendre un verre et une assiette.  
  —Me voilà, j’arrive.
  —Surtout Liran, tu vas dans la cuisine et tu ne fais que ce que je te demande! Sewin avec une pointe de menace dans la voix.
  —Bien, mais pour Tèhèdoff ?
  —Laisse le dormir, il finira bien par ce réveiller, il nous aidera ensuite, dit-il amusé
  Lorsque Sewin retourna dans la salle le nombre de visiteur avait considérablement augmenté, il y avait maintenant six personnes. Parmi eux, deux goraix assis près de la cheminée qui parlaient à voix basse, l’homme seul et trois hommes assis au milieu de la salle. Deux d’entre eux avaient une forte ossature et riaient fortement, le dernier avait l’air plutôt inoffensif, il les regardait avec un visage qui exprimait la peur.
  Sewin s’approcha des trois hommes, et pris leurs commandes. Il avaient tous pris une chope de bière ainsi que des fruits. Il se dirigea ensuite vers les goraix et fit de même. Ces deux goraix étaient de petite carrure contrairement à Téhédoff et Liran. Mais sinon ils se ressemblaient en tous points, leur peau était recouverte d’écailles marron clair, leurs bras étaient musculeux, leur crâne presque chauve, et ils avaient les yeux particulièrement foncés, presque noir. Et pour finir leurs dos étaient couvert d’épines plus ou moins longues, qui leur conféraient un très bon moyen de défense en cas d’attaque.
  Tout comme les quatre hommes, ils prirent une bière, ainsi que des fruits. Et ils avaient également pris une omelette verte.
  Les omelettes vertes étaient la spécialité de l’auberge, non seulement c’était le plat préférer de Sewin, mais il adorait les cuisinées, et à chaque fois c’était une réussite. Tout les clients qui avaient goûtés à ce délice, étaient revenus en manger les jours suivant, ce qui augmentait considérablement ses bénéfices. Sewin pouvait également se vanter d’être le seul de la région à en préparer.
  Puis il tournât les talons et retourna tranquillement dans la cuisine où l attendait Liran encore somnolent.  
  —Liran met sur le feu deux œuf vert, et sort moi deux verres, dit Sewin.  
  Il sortit les deux verres, les posa sur la table, et regarda Sewin. d’un air interrogateur.  
  —Qu’est ce que tu attend ? demanda Sewin.
  —C’est quoi un œuf vert? questionna Liran.  
  —Ah oui, c’est vrai à Bourgoraix, on ne trouve pas d’œuf vert, ils n’existent que dans la Vallée verte. C’est une espèce de poule qui les ponds, comme tu le pense, elle est très différente de celle que tu peut voir partout ailleurs. Elle mesure une bonne cinquantaine de centimètres de long et trente de haut, et bien sur elle est verte, un vert assez sombre. Ces œuf peuvent atteindre dix centimètre de diamètre, et ils sont dur comme pierre, il faut un marteau pour les casser, dit-il joyeusement.
  Prends en un ainsi qu’un marteau , ils se trouvent dans le tiroir de gauche, tout en haut, et ensuite mets le dans une poêle.
  —Très bien, je le fait de suite, consentit Liran.
  Sewin plongea cinq chopes dans un tonneau remplit de bière, puis il les étala sur un plateau.
  Il traversa ensuite la cuisine et entra dans la salle, puis il déposa quatre demis sur la table des hommes. Aussitôt servit, le petit homme vida le verre d’une traite, il faillit s’étrangler et recracha toute la boisson sur l’homme qui était en face. On aurait que cet homme venait d’affronter un ouragan, des centaines de gouttelettes ruisselaient sur sa barbe hirsute, et ses cheveux touffus lui tombaient sur le visage sous le poids de la bière. Sa figure mouillée vira au rouge foncé tandis que l’autre malheureux essayait de se cacher derrière l’autre homme. Les quatre personnes se regardèrent un instant avec des visages graves, puis ils explosèrent d’un rire effréné. Sewin resta un moment à plaisenter avec eux, et lorsqu’il se dirigea vers les goraix, des larmes coulaient sur ses joues tellement il avait rit.
  Il posa les chopes sur la table des goraix qui esquissèrent une grimace en guise de remerciement.
  Ensuite il allait retourné dans la chambre pour voir Téhédoff, quand de la fumée noire s’éleva  dans la salle ainsi qu’un cri perçant de Liran. Sewin fit volte-face et couru dans la cuisine où la fumée était encore plus épaisse. Lorsqu’il entra Liran se battait contre les flammes qui s’élevaient de la poêle munit d’un torchon à moitié en feu. Son visage et ses mains étaient noir foncés. Il se tourna vers Sewin et hurla :
  —Vite, aide moi Sewin !
  —Prends le sceau d’eau sous la table, et verse le sur les flammes, haleta t- il
  Liran ne se le fit pas prier, il attrapa le sceau et le vida sur la poêle. Un instant plus tard le feu était éteint et laissait entrevoir deux mixtures calcinées qui laissaient échapper une odeur nauséabonde.                              
  —Surtout ne fais plus un geste, je vais prévenir les clients qu’il n’y à aucun danger, dit il d’un ton coléreux.
  Sewin sortit de la cuisine et se précipita dans la salle où des visages de frayeur étaient apparut.
  —N’ayez aucune crainte messieurs, c’est.… c’est mon jeune apprenti qui a fait une erreur de cuisson, mais cela ne se reproduira plus.
  Téhédoff fit alors irruption dans la salle avec un visage rayonnant, au plus grand désarroi de Sewin.
  —Eh bien que se passe t- il, pourquoi ces gens font-il une tête pareille ? Il y’ a une bête sauvage qui a forcé la porte ? Et ce cri, c’était qui ? questionna Téhédoff.
  —S’il te plais Téhédoff, va dans la cuisine et attend moi la bas, dit Sewin avec une colère controlée.
  —D’accord, mais tu me diras tout !
  —Oui, oui. Quand à vous (il se tourna vers ses clients), vous pouvez reprendre vos activités.
  Sewin s’avança d’un pas mal assuré vers les deux goraix et s’excusa pour ce petit contretemps. Il firent encore une fois une grimace et reprirent leur conversation.
  « Il ne doivent pas réussir à sourire, ces deux là »,pensa t’ il avec dégoût.
  Sewin retourna dans la cuisine les yeux flamboyant de colère et s’assit auprès de Liran.


---------------
écrire, y'a que ça de vrai !
n°2649205
foularou
Posté le 07-05-2004 à 09:00:03  profilanswer
 

ben tu nous met juste le chapitre un maintenant on avait jusque la eu que des chapitres pioché au hasard on ne connaissé meme pas leur but ni rien .

n°2649430
The Flint
Will for ever
Posté le 07-05-2004 à 10:06:29  profilanswer
 

Moi je reste sur la nouvelle.
Ca prend déjà du temps.

n°2650665
Orkin Maru​s
Arvi pâ !
Posté le 07-05-2004 à 12:09:15  profilanswer
 


  Foularou t'as pas bien compris le truc.  
  Depuis le début j'ai mis le prologue, chap 1,2,3,4,5,6 de ma "NOUVELLE" et ensuite j'ai mis deux petit morceaux de mon "ROMAN", donc si tu lis bien les messages, tu comprendras les morceaux du roman et les morceaux de la nouvelle !
 
  Allez, salut !


---------------
écrire, y'a que ça de vrai !
n°2651626
tomlameche
Et pourquoi pas ?
Posté le 07-05-2004 à 13:54:21  profilanswer
 

J'ai pas tout lu de ton dernier extrait, mais dés le début, quelques petites remarques :

Citation :

Il quitta la salle et se dirigea vers la cuisine pour se préparer un petit encas. Celle-ci était étonnement petite pour quelqu’un qui y passe la journée à cuisiné


1. Il est évident que s'il passe la journée dans la cuisine, c'est pour cuisiner. C'est un peu le but d'une cuisine
2. à cuisiner

Citation :

il se cogna la tête contre le linteau de la porte, tellement il était grand.


Cette phrase est mal construite.

Citation :

Sewin fit irruption dans la pièce tenant dans une main le grand plat de soupe qui dégageait une odeur forte agréable, et tenant dans l’autre deux assiettes, deux verres  et des couverts


On fait irruption lorsque cette arrivée est inatendu. Là, c'est chez lui, on ne peut pas parler d'irruption dans la pièce.
 
Et sinon et à part ça, les descriptions sont souvent inutiles, il vaut mieux éviter de décrire chaque objet dans une pièce si ça n'apporte rien. Exemple :

Citation :

Dans celle-ci, se trouvaient deux tonneaux remplis d’eau, deux serviettes blanches posées sur le sol, et trois bols dont un rempli d’eau fumante.


 
Bonne continuation !
 


---------------
Gérez votre collection de BD en ligne ! ---- Electro-jazzy song ---- Dazie Mae - jazzy/bluesy/cabaret et plus si affinité
n°2654384
Orkin Maru​s
Arvi pâ !
Posté le 07-05-2004 à 18:16:05  profilanswer
 


  Merci pour tes commentaires, ils sont très intéressants, je vais changer !


---------------
écrire, y'a que ça de vrai !
n°2672304
foularou
Posté le 10-05-2004 à 09:10:57  profilanswer
 

sisi j'ai bien compris si je ne me trompe les chapitres du roman sont dans un autre thread :p

mood
Publicité
Posté le 10-05-2004 à 09:10:57  profilanswer
 

n°2672461
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 10-05-2004 à 09:50:11  profilanswer
 

Orkin Marus a écrit :

Salut, j'ai commencé à écrire une nouvelle dans le genre héroic-fantasy, (mais c'est dans un style un peu commun que j'écrit ce texte),et j'ai besoin de vos avis pour avancer, merci d'avance !
 
  Le prologue n'est pas long, alors lisez le si vous voulez, ensuite laissez-moi des messages pour me dire ce qui est bien est pas bien, et si il y a une demande je mettrai sans doute la suite des aventures, allez, salut à tous et bonne lecture !   :D  
 


 
Mes commentaires:
 
Les deux premières lignes sont épouvantables pour cadrer le dialogue. Il faut absolument que tu revoies ça. Surtout le "faisaient des projets". Soit tu te lances dans le dialogue directement, soit tu étoffes un peu ton premier paragraphe, mais je trouve que ça fait vraiment incongru, là...
 
Pour le reste, je trouve le style pas trop mal. C'est vrai qu'il est un peu familier, mais ça n'est pas gênant.  
 

Citation :


Un coude posé sur la table, Goekin se passa une main dans les cheveux, mal à l'aise. Cette réponse ne le satisfaisait que très peu. Il n'avait que vingt ans, et ne connaissais pas la terre comme son ami, il n'avait fait que très peu de voyage loin de chez lui. Une fois il s'était aventuré vers Baren, une grande cité, mais une dizaine d'autres personnes avaient fait le voyage avec lui.  


 
Ca, par exemple, j'aime bien.
 
Pour la suite, je trouve - mais ça concerne plus le fond que la forme - qu'il n'y a pas vraiment d'accroche. On ne sait pas qui sont ces gens, et surtout leur seule motivation semble être de trouver le meilleur chemin pour aller récupérer un arc. Ca fait assez faiblard pour un début d'aventure - ou alors, il y a des motifs sous-jacents qu'il faudrait que tu exposes, même discrètement, pour inciter le lecteur à aller plus loin. Parce que là, tout ton prologue se résume à:
- J'ai besoin d'un arc
- Passons par la forêt !
- Elle est hantée !
- Non.
- Ah, ok alors.
 
En particulier, le "tu ne comprends donc pas ?" de l'elfe m'a fait rire. On sent toute l'intensité dramatique, la révélation suprême... alors qu'il dit juste qu'il y a un chemin devant eux :sweat:
 
Autre chose: tu n'as aucune description ou presque. Toute ton introduction n'est qu'un long dialogue.
 
Donc mon commentaire général sur ce prologue: niveau style, c'est pas mal du tout. Par contre, je ne suis pas sûr qu'il soit adapté à ce fond...
 


Message édité par Grenouille Bleue le 10-05-2004 à 09:52:25

---------------
Ma chaîne YouTube d'écrivain qui déchire son père en pointillés - Ma page d'écrivain qui déchire sa mère en diagonale
n°2672517
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 10-05-2004 à 10:05:09  profilanswer
 

Orkin Marus a écrit :

Voici le chapitre un, mais quand je l'ai relut, je l'ai trouvé moyen, la situation est moyennement décrite, mais bon jugez par vous même.
 
  Bonne lecture !
 
 
   
                             CHAPITRE 1


 
Le fond est un peu plus intéressant. On se demande pourquoi ton héros a soudain changé d'avis (ennemis aux trousses ?) et ce qu'il est allé faire dans la bâtisse. J'espère que ce sera exploité dans les chapitres précédents.
 
L'idée de la rencontre avec la vendeuse est elle aussi intéressante, mais je la trouve assez mal exploitée. Tu ne t'attaches pas assez aux attitudes, aux mimiques, aux expressions. On a du mal à comprendre comment ton elfe a flashé. Globalement, tu n'exprimes pas assez les pensées de ton personnage - ce qui lui passait par la tête, ce qu'il a voulu faire en lui donnant plus de pièces, son embarras en réalisant qu'elle avait mal compris... Accessoirement, une voix "aigüe" n'est pas particulièrement sensuelle. Tu aurais pu dire une voix chaude, ou rauque, ou douce, ou claire... mais aigüe, ça fait un peu mégère :D
 
Sinon, même problème que pour l'introduction: tu n'as presque aucune description et peu d'action, tout tient dans les dialogues. Personnellement, j'aime beaucoup les styles qui font la part belle au dialogue, mais là c'est un peu trop.


---------------
Ma chaîne YouTube d'écrivain qui déchire son père en pointillés - Ma page d'écrivain qui déchire sa mère en diagonale
n°2672678
Grenouille​ Bleue
Batracien Azuré
Posté le 10-05-2004 à 10:37:34  profilanswer
 

Orkin Marus a écrit :

Voici le chapitre 2, en espérant qu'il vous plaise.
 
                           CHAPITRE 2


 
Toujours aucune description - et aucun scenario.
Tes dialogues sont intéressants et posent bien la personnalité de tes deux héros - mais il ne se passe absolument rien. Je pensais, comme je te l'ai dit sur le chapitre 1, qu'il y avait une raison au revirement subit de Goekin mais j'apprends ici qu'il est juste rentré dans une maison pour prendre une épée.
 
Après deux chapitres, on ne sait toujours pas pourquoi on lit l'histoire. La seule chose que l'on sait, c'est que deux personnes (qui ?) ont décidé de voyager (pourquoi ?) pour aller quelque part (où ?) en passant par un coin censé être dangereux (pourquoi par là ?).


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Ma chaîne YouTube d'écrivain qui déchire son père en pointillés - Ma page d'écrivain qui déchire sa mère en diagonale
n°2672788
primseven
.... LET'S GO EXPLORING!
Posté le 10-05-2004 à 10:54:35  profilanswer
 

[:drapo]

n°2672802
Xamoth
Slapping young trads
Posté le 10-05-2004 à 10:56:03  profilanswer
 

Orkin Marus a écrit :

Xamoth c'est le royaume elfe, d'où Amcanil est parti avant de venir à Zérin.

c'etait donc ca mes douleurs intestinales, des elfes dans mon kü... [:jean-guitou]


---------------
Ma BL des plus gros fils de pute de HFR en ordre alphabétique aléatoire inverse
n°2686926
Orkin Maru​s
Arvi pâ !
Posté le 11-05-2004 à 18:38:18  profilanswer
 


  Merci grenouille, tes commentaires sont très très constructifs !!
  Un mot pour dire que j'ai pas réécris grand chose depuis la dernière fois, je me concentre plus sur mon roman.
  Sinon je vais appliquer tous ce que vous m'avez dit.
  Allez, à la prochaine !


---------------
écrire, y'a que ça de vrai !
n°2686979
Xamoth
Slapping young trads
Posté le 11-05-2004 à 18:42:56  profilanswer
 

Orkin Marus a écrit :

Merci grenouille, tes commentaires sont très très constructifs !!
  Un mot pour dire que j'ai pas réécris grand chose depuis la dernière fois, je me concentre plus sur mon roman.
  Sinon je vais appliquer tous ce que vous m'avez dit.
  Allez, à la prochaine !

xamoth spa un nom de bois pour des tarlouzes en collants verts bordel! :fou:


---------------
Ma BL des plus gros fils de pute de HFR en ordre alphabétique aléatoire inverse
n°2691169
The Flint
Will for ever
Posté le 12-05-2004 à 09:16:44  profilanswer
 

Xamoth a écrit :

xamoth spa un nom de bois pour des tarlouzes en collants verts bordel! :fou:


 
Ah mais t'es là aussi ?

n°2695161
Xamoth
Slapping young trads
Posté le 12-05-2004 à 15:54:10  profilanswer
 
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