Reprise du message précédent :
 
Toute la journée, oui. Pour un libraire, c'est assez normal.    

Si ton père ne veut pas que tu lises des livres, change de père au plus vite (plus que deux ans avant la majorité). Je ne peux rien pour toi.  

 
Ah ouais, c'est vrai j'avais zappé.  
Et tu manges beaucoup de clients à la semaine ?

 
Non mais relis toi avant de poster tes ébauches parce que les fautes ça ne passera jamais.
Maintenant, tu as 16 ans, tu fais l'effort d'écrire un truc, c'est pas la moins intelligente des occupations.

Naaaaaaaan. IRL, je suis une crème.  

Effectivement, j'en connais qui, à 16 ans, s'occupaient à boire de la bière, draguer des nanas dans des voitures et fumer des clopes en séchant le lycée...........
 

J'en appelle à la brigade du fake  

on s'inquiète vraiment de leurs orthographe, conjugaison et grammaire alors !

(remarque c'est avant qu'on apprend ça en fait... )

 
Mobylette à 16 ans non?

draguer dans une mobylette ptain faut être souple...

désolé, je n'ai pas dépassé la première phrase.Une phrase ne doit pas dépaser les 15 mots. Sinon on a tendance à oublier le message. Et encore, 15 mots c'est pour les grandes phrases.  
 
 exemple:

 
Nous sommes un dimanche soir. Comme d'habitude, la taverne est pleine de villageois. Ils viennent oublier leur triste vie de paysan en dépensant le peu d'argent gagner.

waw, le rythme !
 
sinon, encore mieux:  
 
Nous sommes un dimanche soir. Comme d'habitude. La taverne est pleine de villageois. Ils viennent oublier leur triste vie de paysan. En dépensant le peu d'argent gagné.
 
 

Other version
 
Le dimanche soir, les paysans viennent oublier leur triste vie à la taverne du village en y dépensant le peu d'argent gagné.

oups pardon!  je n'avais pas vu qu'il y avait un membre imminent de l'académie française. je suis vraiment honteux d'avoir intervenu. mille excuses.

Ca se fait quand ?  

être

Spa grav', je ferm lé yeuz pour c'te fois  

tout le monde est d'accord, c'est mon post le plus drôle ?

on fait du queneau ?
 
Comme en chaque jour du seigneur, lorsque que l'astre du jour cède la place à sa consoeur nocturne, les pauvres hères des campagnes environnantes venaient noyer dans la boisson leur affligeante condition à la taverne locale, y laissant le misérable pécule gagné la journée.

Il faut que j'arrête de faire plusieurs choses à la fois.
 Et surtout, je dois respecter la règle : " lis au moins une fois avant de cliquer sur valider..."
J’ai honte de mes fautes. Je vais aller lire le bled 3 fois avant de me coucher en pénitence.

On a le même livre de chevet !!      

c'est l'effet forum, c'est normal...

(edit: je répondais au post d'avant hein. )

On pourrait tourner en rond longtemps. Seul l'auteur sait quelles informations sont importantes. Si cette phrase est juste là pour planter le décor, alors oui, une très grande phrase que l'on aura oubliée dans 1 page, est jouable.
Mais s'il faut retenir que c'est dimanche, le dimanche la taverne est pleine de villageois, les villageois ne sont pas riches et tristes etc. Je peux affirmer que l'on n'aura pas du tout retenu ces informations.
 

ha ben faut faire une liste alors :

Ouvrez vos cahiers et veuillez noter:

• Nous sommes dimanche,
• La taverne est pleine de villageois,
• Les villageois ne sont tristes et pauvres.

Interro écrite demain matin.

Dimanche soir. Une fois de plus, la taverne est bondée de ces pécores qui pensent trouver dans la bière le réconfort à leur triste vie.
 

Dimanche soir, les gueux geignent dans un rade en se bourrant la tronche à la pisse d'âne.

Dimanche soir, que font donc ces futurs chômeurs dans cet établissement à épuiser leur pouvoir d'achat en boissons bientôt prohibées comme le tabac qu'ils ne peuvent plus fumer au lieu de travailler plus comme tout bon citoyen ?

C'est tout de même extraordinaire, ça, Monsieur

Dimanche soir, d'honnêtes travailleurs opprimés par un patronat esclavagiste, spoliés par un état tout entier vendu au grand capital,  tentent de trouver un juste réconfort à la mondialisation galopante des finances en partageant des boissons populaires ancestrales dans un lieu simple et modeste.
 
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