Nous sommes un dimanche soir et comme chaque dimanche la taverne est pleine de villageois prêt à dépenser le peu d’argent gagner pour oublier la triste vie de paysan. Ils étaient là à vider leurs choppes et à chanter à tue tête. Rien ne semblait pouvoir arrêter leurs gaités, jusqu’à ce que la porte de la taverne s’ouvre avec fracas. Une femme se dessina dans les ténèbres, elle semblait être âgée d’une cinquantaine d’année, vêtu d’une robe jaunâtre usé par le temps, ses yeux était humides et ses mains tremblante. Elle s’approcha d’une table et bu le contenu d’une choppe d’un client qui ce mit en colère. Elle reprit son souffle et demanda à chaque personne présente dans cet établissement s’il n’avait pas vu son unique fille âgée d’une dizaine d’année disparu depuis à présent trois heures.  Tout le monde se mit à parler en même temps, elle les écouta tous un à un, tout les dires étaient confus certains disait l’avoir vu au marais d’autre sur la place du marcher. Tous continua à parler ensemble, à se contredire, jusqu’à ce que la porte fût de nouveau ouverte, cette fois c’était un soldat de son armure vêtu, il entre, se dirigea vers la femme et dit :
 
- J’ai aperçu votre fille se faire enlever par les troupes ennemis et ce faire emmener dans le labyrinthe des ombres, je n’ai rien pu faire. Ils étaient nombreux et moi seul.
 
La mère s’effondre en sanglot dans les bras du garde qui la fit s’assoir à une table. Elle venait de perdre sa fille unique, toutes les personnes entrantes dans ce labyrinthe n’en ressortent jamais, elle a déjà perdu un mari et perdre à présent sa fille était une épreuve qui lui était insurmontable. Toutes les dames de l’auberge s’empressèrent autour de la mère pour lui remonter le moral tant bien que mal. Les minutes passait dans le silence, les gens de la taverne n’étaient plus aussi gaies d’en début de journée, mais triste du sort de la petite Madeleine. Le temps était en train de passer et les dames voyant que la mère était toujours dans un tas effrayant, prit l’initiative de lui donner un breuvage qui la fît dormir en un instant.
Elle se réveilla le lendemain matin dans sa chambre misérablement meublé, d’un simple lit et d’une commode ou était rangé ses tuniques. Elle se sentait faible mais essaya tout de même se lever toutefois une des mesdemoiselles de l’auberge était présente essayant de la retenir allonger.
 
- Ne bougez pas chère dame.
- Ma fille, que va devenir ma fille ? dit-elle les larmes aux yeux.
- Les bons hommes de la taverne sont partis à sa recherche, nous n’avions pas cru le garde qui lui était soûl.  
 
Le temps passa, il n’y avait aucune nouvelle,  la mère de famille s’inquiéta de plus belle. La Miss vint lui apporter son petit déjeuner au lit, mais elle ne put manger l’appétit coupé.

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Une mère de famille d’un certain âge était à la taverne à écouter les dires des clients
à propos de sa fille qui n’était toujours pas revenu du puits. Tout étaient confus,
certains disait l’avoir vu au marais, d’autre sur la place du marcher. La porte de
l’auberge s’ouvra, un gendarme de bleu vêtu entra et dit :
 
- J’ai aperçu votre fille ce faire enlever par les troupes ennemis et ce faire
emmener dans le labyrinthe des ombres, je n’ai rien pu faire. Ils étaient nombreux et moi seul.
 
La femme s’écroula en sanglot dans les bras du gendarme qui la fit s’assoir à une table.
Toutes les dames de l’auberge s’empressèrent autour de la mère pour lui remonter
le moral tant bien que mal. Les minutes étaient en train de passer, les gens de la
taverne n’étaient plus aussi gaies qu’en début de journée, mais tristes du sort de
la petite Madeleine. Une personne qui était au fond de la salle et que la mère
n’avait pas encore remarqué se leva et s’approcha d’elle. Il avait le visage recouvert d’un
capuchon, mal vêtu, d’une cape râpé est d’une tunique bleuté décolorer par le temps.
Il prit les mains de la femme avec douceur et tendresse et dit :
 
- Je vais aller retrouver votre fille chère madame.
- Toi ? S’écria l’aubergiste d’un air moqueur, tu n’ais pas capable de tenir une épée de tes
deux mains et tu t’engage auprès de cette pauvre femme d’aller retrouver sa fille disparus ?
Laisse-moi rire.
- Je ne vais pas la laisser ainsi, j’ai aussi perdu ma fille y a quelque année,
je sais ce qu’elle ressent. Y a encore une chance de sauvé Madeleine.

Nous sommes un dimanche soir et comme chaque dimanche la taverne est pleine de villageois prêt à dépenser le peu d’argent gagner pour oublier la triste vie de paysan. Quelque ancien de la taverne, des paysans âgés d’une soixantaine d’années étaient là à vider leurs choppes et à chanter à tue tête. Rien ne semblait pouvoir arrêter leurs gaités, jusqu’à ce que la porte de la taverne s’ouvre avec fracas. Une femme se dessina dans les ténèbres, elle semblait être âgée d’une cinquantaine d’année, vêtu d’une robe jaunâtre usé par le temps. Ses yeux était humides, ses mains tremblante, elle s’approcha d’une table et bu le contenu d’une choppe d’un client qui ce mit en colère. Elle prit son souffle et demanda à chaque personne présente dans cet établissement s’il n’avait pas vu son unique fille disparu depuis à présent trois heures. Tout le monde se mit à parler en même temps, elle les écouta tous un à un, tout les dires étaient confus certains disait l’avoir vu au marais d’autre sur la place du marcher. Tous continua à parler ensemble, à se contredire, jusqu’à ce que la porte fût de nouveau ouverte, cette fois c’était un soldat de son armure vêtu, il entre, se dirigea vers la femme et dit :
 
- J’ai aperçu votre fille se faire enlever par les troupes ennemis et ce faire emmener dans le labyrinthe des ombres, je n’ai rien pu faire. Ils étaient nombreux et moi seul.
 
La mère s’effondre en sanglot dans les bras du garde qui la fit s’assoir à une table. Elle venait de perdre sa fille unique, toutes les personnes entrantes dans ce labyrinthe n’en ressortent jamais, elle a déjà perdu un mari et perdre à présent sa fille est une épreuve qui lui est insurmontable. Toutes les dames de l’auberge s’empressèrent autour de la mère pour lui remonter le moral tant bien que mal. Les minutes passaient, les gens de la taverne n’étaient plus aussi gaies d’en début de journée, mais triste du sort de la petite Madeleine.
 
Une personne qui était au fond de la salle et que la mère de famille n’avait pas encore remarqué se leva et s’approcha d’elle. Il avait le visage recouvert d’un capuchon, mal vêtu, d’une cape râpé et d’une tunique bleuté décolorer par le temps. Il prit les mains de la femme avec douceur et tendresse et dit :
 
- Je vais aller retrouver votre fille chère madame.
- Toi ? S’écria l’aubergiste d’un air moqueur, tu n’ais pas capable de tenir une épée de tes deux mains et tu t’engage auprès de cette pauvre femme d’aller retrouver sa fille disparus ? Laisse-moi rire.
- Je ne vais pas la laisser ainsi, j’ai aussi perdu ma fille y a quelque année, je sais ce qu’elle ressent. Y a encore une chance de sauvé Madeleine.

juste de l'Héroic Fantasy hein

Trop de fautes, désolé mais pas eu le courage de lire jusqu'au bout : mes yeux saignent de trop.