bon, je vais mettre une autre nouvelle plus longue que j'ai faite aussi...
donner moi votre avis... ^^
.....................Khanaan........................
Dans le ciel bas et lourd dune nuit dautomne, des myriades détoiles constellaient silencieusement. Seul un vent frais qui traversait les arbres frissonnant qui bordent la frontière Noire venait briser le silence pesant.
Chunk frissonna
« cest pour cette nuit ». La courageuse communauté de Khan avais décidée de migrer au delà de la frontière noire gardée par les féroces gardiens
« Ils sont calme ce soir » chuchota Chunk, comme si il avait peur quils puissent lentendre.
Après un long murmure, une ombre se détacha du groupe, et sélança sur la longue et cruelle frontière. Cétait Nix qui sélançait en éclaireur. La peur au ventre, son cur palpita furieusement tandis quil passait la première zone sombre. Chunk qui le suivait des yeux le vit sarrêter sur la zone claire
Il sembla se reposer un moment, puis repris sa course acharnée sur la seconde zone sombre. Cest alors que Chunk vit au loin des gardiens sapprocher, provoquant ainsi une accélération forcée du pauvre Nix qui nétait plus quune petite ombre au loin
lun des gardiens plus rapide que les autres, fonça directement sur nix. Il neut heureusement pas le temps de le réduire en morceau, car Nix sous leffet de la peur, avait eu le temps de sauter dans les taillis de lautre coté de la frontière
Enfin cest ce que pu percevoir Chunk et ses compagnons.
« il est passé ? » demanda Gasp, tout frétillant, les yeux pétillant.
« bien sûr quil est passé, il a su déjouer les gardiens !! »
La réussite de nix avait provoqué un vent denthousiasme dans la communauté, qui ne comptait pas moins de vingt membres. Ils avaient fuis la ville car la vie y était devenue infernale. Les rues nétaient plus sûres, et nombre dentre eux finissaient tués, exterminés cruellement. Les plus malchanceux se retrouvaient derrière des barreaux, à subire d'attroces expériences scientifiques.
Ainsi était-il crucial pour eux de traverser cette frontière car selon les dires, lon ne manquais de rien de lautre coté.
Nix ne réapparaissant pas, les membres commencèrent à simpatienter.
« Il profite sûrement déjà des plaisir du nouveau monde » dit lun.
« De tout façon, il est inutile que nous attendions plus longtemps » dit lautre
« allons y avant que des gardiens ne reviennent »
Ainsi, dun commun accord, tous sélancèrent, petit comme grands. Ils se mirent à traverser la première zone sombre. Elle était sèche, blessante. Ils sentaient de la chaleur émaner du sol, une chaleur conservée la journée, et qui séchappait le soir.
La communauté arriva alors dans la zone claire, qui sembla tout dun coup plus fraîche et douce, quand soudain, un frisson parcourut le groupe. Une légère tension se fit sentir dans le sol. Tous se regardèrent, et lurent la peur dans les yeux de chacun. Cette peur saccrut quand un bruit sourd se rapprocha du lointain. Personne ne bougea, figé par ce bruit qui allait en samplifiant. « Les gardiens sont de retour !! » Cria lun. La panique traversa les rangs. Les uns sélancèrent de lavant dans la seconde zone noire, alors que dautres revinrent sur leurs pas. Krunk, lui, eut le réflexe de rester sur la zone claire, et tout alla très vite. Un bruit infernal et des éclairs jaillirent de tout cotés. Il se recroquevilla sui lui même, et sentis tout dun coup un liquide tiède gicler sur lui. Tout de suite après, le bruit qui deux seconde auparavant était insoutenable, alla se perdre dans le lointain. Il ouvrit ses yeux
Son dos était recouvert de sang. De grandes trainées de sang sétalaient des deux cotés de la zone claire. Les gardiens avaient traînés ses compagnons sur des mètres, repeignant les zones sombre dun rouge sang. Il ne restait plus rien deux que ces mares dhémoglobines. Ils étaient trois rescapés du carnages. Chunk alla relever ses deux compagnons de leurs prostrations, car ils navaient bougés depuis lapparition des gardiens.
Il fallait partir, ne pas rester là. Il le savait, ils allaient revenir. « vite les taillis de lautre coté de frontière, cest notre seule chance de nous cacher ! Nous naurons pas de deuxième chance. Ayant repris leurs esprit, ils galopèrent, haletant dans la seconde zone sombre. Ils passèrent avec dégoût dans le sang de leurs frères. De fraîches bourrasques de vents fouettèrent leurs corps crispés et meurtris
Leurs gorges se nouèrent, leurs curs sursautèrent, un gardiens chargeait !
Son hurlement déchira le silence de la nuit. Les poils de nos amis se dressèrent, tétanisés par la puissance du gardien. Chunk repris ses esprit juste à temps, et dans un dernier effort parcourut le peu de distance qui le séparait des taillis salvateurs.
Il ne se retourna pas, il ne vit pas ses compagnons se faire happer avec violence, et le sang gicler de chaque parties de leurs corps. Il ne perçut quun craquement sourd et le bruit de tonnerre que fit le gardien en séloignant.
Tout alors se déroula très vite, La peur lavait fait sauter dans les taillis, mais il neut pas la réception escomptée. Il sentit le vent siffler dans ses oreilles, le ciel tomba. Il lui sembla défier la gravité. Dinterminable secondes et le silence avant le choc. Le trou noir. La fraîcheur de la nuit le fit frissonner, il retrouva ses sens. Il remarqua quil était affalé sur quelque chose de mou. Il fut écuré quand il reconnut le corps de Nix étendu sous lui, sanglant. Chunk perdait du sang, une douleur sur son coté mélangée dune sensation de douce chaleur le lui disait. Au fur et à mesure que le temps passait, un flaque de sang noir épais coulait sur le corps de Nix.
Le Silence, rien que le silence dune fraîche nuit dautomne. Il sentit son coté sengourdir, son corps perdait sa matière vitale. Il devint froid. Les reflets argentés des étoiles baignèrent le corps de Nix dune lumière diffuse et blanche, qui prenais maintenant des airs de linceuls. Puis, une grande ombre sétendis sur le sol, des nuages savançaient dans le ciel, cachant de la sorte la lueur des astres. Il ny eu plus quune seule étincelle de lumière dans la nuit, une dernière larme qui coulais de lil de Chunk qui ne se rouvrirais jamais plus.
Un grand vent froid venant du nord annonçant la venue de lhiver, filtra à travers la barrière de sécurité dune nationale, et effleura dans un ravin en contrebas, les corps inertes de deux souris grises enlacée, teintée dun sang ocre