Yesterday russia unleashed its most complex missile strike on Ukraine yet.
All in a futile attempt to destroy the Su-24 aircraft at Starokostiantyniv Air Base that launch every day Storm Shadows at russian ammo depots, logistics hub, command post and lines of communication.
 
As russia can't shoot down Storm Shadows, the russians launched:
• 36 cruise missile from different directions and with a multitude of different flight paths
• 4 ballistic missiles of two types from different directions
 
All 36 cruise missiles were shot down and the 4 ballistic missiles hit nothing of value.
 
And so the next Su-24 with Storm Shadow will soon take to the air and russia will never be able to stop them.
 
PS: Ukraine's Defense Minister published that Starokostiantyniv is the Storm Shadow base (See photo).

Le groupe industriel français Ommic, spécialisé dans la fabrication de semi-conducteurs, joue un rôle essentiel dans la production de puces électroniques pour les objets connectés du quotidien. Grâce à une technologie innovante et secrète, Ommic fournit des puces puissantes et performantes, notamment pour les domaines militaires tels que les émetteurs 5G, les satellites, les radars de chars et d'avions de chasse, ainsi que les systèmes de guidage de missiles. En raison de l'importance stratégique de cette technologie, Ommic est soumis à une réglementation stricte. Cependant, un scandale récent a révélé que l'entreprise était sous emprise étrangère depuis plusieurs années, impliquant des acteurs chinois et russes, qui auraient contraint Ommic à transférer des secrets industriels sensibles à des pays étrangers, probablement pour équiper leurs armées. Cette situation soulève des inquiétudes quant aux conséquences de la perte de contrôle sur une technologie si stratégique.
 
Le coup de filet de la DGSI
Une opération judiciaire d'urgence menée par la DGSI a permis d'arrêter neuf personnes liées à Ommic, dont des dirigeants et des ingénieurs, soupçonnées d'avoir fui un savoir-faire français critique vers des puissances étrangères, notamment la Chine et la Russie, mettant en péril les intérêts fondamentaux de la nation. Quatre suspects, dont le directeur général d'Ommic et une cadre chinoise, ont été inculpés pour trahison et espionnage. L'enquête porte également sur des soupçons d'exportations illégales, d'association de malfaiteurs et d'autres délits. La justice a pris des mesures inédites, notamment la saisie des parts sociales majoritaires d'Ommic pour que l'État reprenne temporairement le contrôle de l'entreprise et la libère de l'emprise chinoise. Des dizaines de millions d'euros ont également été saisis dans le cadre de cette affaire.
 
Un intrigant homme d'affaires chinois
Les soupçons concernant Ommic ont été suscités par la découverte d'un chargement de puces électroniques à destination de la Chine qui avaient été trafiquées pour dissimuler leur véritable puissance. Cela a soulevé des inquiétudes quant au respect des réglementations sur les biens à double usage, qui exigent des déclarations et autorisations d'exportation préalables pour les produits sensibles. Une enquête menée par le PNAT, la DGSI et l'OCRGDF a révélé qu'un homme d'affaires chinois, Ruodan Z., avait pris le contrôle d'Ommic en achetant 94% des parts via un fonds d'investissement en France. Lié à l'industrie de la défense en Chine, il est également impliqué dans d'autres entreprises françaises sensibles. La DGSI le surveillait déjà dans le cadre de missions de contre-ingérence économique. Chez Ommic, Ruodan Z. reste discret et veille à ne jamais apparaître publiquement.
 
La direction d'Ommic est assurée par Marc R, un ex-ingénieur français qui a gravi les échelons de l'entreprise depuis quarante ans. Cependant, l'homme d'affaires chinois Ruodan Z. a placé des employés chinois de confiance à des postes clés, y compris son neveu et une femme surnommée "la vice-présidente" en interne. Ces agents sont soupçonnés de soutenir financièrement l'entreprise dans le but de capter du savoir-faire français et transférer des technologies en Chine que Pékin ne maîtrise pas. Notamment, ils cherchent à obtenir la nouvelle technologie GaN, maîtrisée exclusivement par Ommic en Europe. Le procédé GaN, basé sur le nitrure de gallium, a révolutionné l'électronique en offrant des gains de puissance phénoménaux dans la fabrication des semi-conducteurs.
 
Des circuits vers la Russie pour contourner l’embargo
Selon le ministère des Armées, la technologie GaN est d'une importance stratégique pour la défense et la souveraineté nationale. Elle est largement utilisée dans le matériel militaire, notamment dans les systèmes de guerre électronique déployés sur le front ukrainien. La DGSI a découvert que Ruodan Z. cherche à transférer du personnel français en Chine pour travailler pour ses sociétés et tente de créer une société miroir à Chengdu. Plus inquiétant encore, le dirigeant français d'Ommic, Marc R., aurait sciemment livré des puces puissantes et des informations sensibles sur le GaN à la Chine et à la Russie en utilisant des stratagèmes de contournement, notamment de fausses factures et déclarations techniques frauduleuses. Certains produits auraient été exportés vers des sociétés d'armement chinoises, avec l'Armée populaire de libération (APL) de Pékin comme client final potentiel. De plus, un montage complexe nommé "Projet Sichuan-Nord" aurait été mis en place pour transférer du matériel interdit vers Moscou en contournant l'embargo commercial imposé à la Russie depuis l'invasion de la Crimée, en passant par la Chine. Des circuits d'approvisionnement russes ont également été créés avec des passages par la Lituanie, l'Inde et la Turquie.
 
11,8 millions d’€ de livraisons litigieuses
Les puces électroniques et procédés se sont finalement retrouvés entre les mains d'une société d'État russe qui produit des composants militaires pour l'armée. Lors d'une écoute judiciaire, Marc R., le dirigeant français d'Ommic, exprime ses inquiétudes concernant les informations transmises et envisage de détruire des données sur les ventes sino-russes des logiciels d'Ommic. Selon l'enquête, il aurait livré en personne des puces électroniques à des clients russes lors de voyages en Grèce ou par colis postal avec un faux nom. Jusqu'au coup de filet de la DGSI en mars dernier, ces agissements occultes auraient persisté. Au cours de sa garde à vue, Marc R. a reconnu une partie des faits tout en minimisant son implication. Il affirme que les exportations russes, bien qu'illégales, étaient "vitales" pour la survie économique de l'entreprise, car les pratiques commerciales du président Z. favorisaient la Chine avec des prix bradés sur les semi-conducteurs légaux. Il nie tout enrichissement personnel, mais admet que les Russes lui ont proposé "femmes et argent liquide". Un enquêteur l'a questionné sur la possibilité que les semi-conducteurs Ommic exportés vers la Russie aient pu être utilisés dans des missiles de l'armée russe frappant des villes ukrainiennes. Marc R. prétend qu'ils étaient utilisés pour des antennes à pointage électronique dans les avions et les bateaux, selon ce que l'entreprise russe lui aurait dit.
Placé en détention provisoire à la prison de la Santé après sa mise en examen, le septuagénaire a depuis été remis en liberté par la chambre de l'instruction. Contacté, son avocat n'a pas souhaité s'exprimer.
 
On a transmis des infos qu’on n’aurait pas du
Marc R.,directeur général françaisd'Ommic
 
Les Américains s'en mêlent.
 
Parmi les autres mis en examen, figure « la vice-présidente» chinoise présumée d'Ommic. Accusée d'avoir participé à ces transferts occultes et d'avoir tenté de copier l'ensemble des données d'Ommic, elle conteste les infractions reprochées et rejette la responsabilité des exportations sur Marc R., le seul cadre ayant un pouvoir décisionnaire selon elle. Elle été placée sous contrôle judiciaire, contre l'avis du PNAT qui réclamait son incarcération. Sollicité, son avocat indique que sa cliente réserve ses explications à la justice. Installé en Chine, Ruodan Z. n'a, quant à lui, jamais remis les pieds en France. Il est depuis recherché. Grâce à la saisie des actions majoritaires d'Ommic du président chinois, la justice a confié un mandat de gestion à l'État par son Agence de recouvrement et de gestion des avoirs saisis et confisqués (Agrasc), le temps que la pépite française soit cédée... à un industriel américain. Signe que les semi-conducteurs restent un enjeu de domination technologique entre les États-Unis et la Chine. La vente est effective depuis la fin du mois de juin et Ommic est devenu Macom
 

“Over the next two-three weeks, one of the goals of the counteroffensive of the Ukrainian Armed Forces is to reach the Sea of Azov.”

Selon les médias russes, l'hélicoptère s'est écrasé dans le village de Tungur. Selon des témoins oculaires, l'hélicoptère a heurté une ligne électrique, est tombé et a pris feu (des photos et une vidéo sont disponibles au bas de la page).
 
Les images de l'accident montrent le Mi-8 en train d'atterrir, de tourner, de heurter un poteau et de tomber sur le côté.
 
On sait que le vol était opéré par AltaiAvia, avec des touristes à bord de l'hélicoptère.
 
Le nombre exact de victimes est en cours d'évaluation. Les pompiers et les unités de secours travaillent sur les lieux, a indiqué le ministère russe des situations d'urgence.
 
Rosaviatsiya a indiqué qu'il y avait 15 personnes à bord de l'hélicoptère : trois membres d'équipage et 12 passagers. Il s'agissait d'un vol commercial, avec des touristes se rendant au Mont Belukha, ont rapporté les médias locaux.

The 32-year-old rejected Smirnova's handshake afterwards, instead offering her sabre to tap blades.

It led to an appeal from Smirnova, who staged a 45-minute sit-down protest.