"Squirt" ce fût un terrible rituel que j'entendais désormais chaque jour. Le terrible bruit d'un zombie qui essayant de se jeter sur nous finissait par être libéré de l'éternel vie dont il bénéficiait malheureusement.
Depuis que nous nous étions enfuis de la prison suite à l'attaque du gouverneur, Daryl et moi marchions sans réel conviction avec le maigre espoir de retrouver nos compagnons. J'étais terrifiée à l'idée d'avoir perdus nos amis, notre nouvelle famille, la seule qu'il nous restait.
L'heure du dîner approchait, il était temps de faire du feu pour réchauffer les boites de conserve qu'il restait. Daryl, malgré son air de gros dur était quelqu'un d'attachant et de protecteur, on l'aimait tous, on avait confiance en lui. Il était vaillant et ses muscles saillants, les gouttes perlant de ses cheveux le rendait torride. Cependant, ce soir là, l'ambiance était morose et tendue, de quoi serait fait le lendemain? nous avions l'habitude de cette question, mais ce soir là c'était particulier, la prison, malgré les attaques du gouverneur nous offrait un abri, bien que tout cela n'était qu'éphémère.
La tension était à son comble mais j'essayais de ne pas y penser en mangeant ces haricots en conserve. Soudain, Daryl renversa des haricots encore chauds dans sous son teeshirt en voulant les mettre dans sa bouche. Il grommela de rage, puis, je me mis à rire. Il éclata de rire aussi, de bon cœur également. Des petits chose simples de la vie quotidienne.
Il était beau quand il riait, on pouvait voir se dessiner des paulettes, des yeux qui me faisait penser à un petit animal qui joue au dur mais qui n'en est pas réellement un au fond. Effleurage sa cuisse.
Il fit semblant de ne pas remarquer mais indéniablement je compris qu'il avait été sensible à ce petit geste de ma part, quand je vis une petite bosse se former sous son treillis trouvé dans un surplus militaire.
Je souris.
Puis, d'un élan fougueux, il m'embrassa et m'attrapa les cheveux. Je ne pouvais ni ne voulais résister, je me laissa me donner à lui. J'étais désormais allongé sur son torse pendant que sa main descendit doucement vers mon bassin. Elles étaient froides mais ceci ne manqua nullement d'éveiller mon clitoris qui se mit à cracher du liquide séminal, jeu un petit soupir de plaisir pendant que ma bouche était encore scotchée à celle de mon protecteur.
Il me masturba intensément et je ne pu résister à lui demander d'y pénétrer un doigt. Je succombai littéralement de plaisir. Herschel, mon défunt papa m'avait toujours dit de partager. J'empoigna donc son confortable pénis qui s'exprimait à travers son pantalon. Je le masturbai pendant quelques minutes, ma main sur son pantalon, avec seulement le tissu séparant sa verge de ma main.
Elle te plaît, ma bite, Beth? Tu peux toucher.
J’attrapais son sexe bandé, mais ma petite main faisait tout juste le tour de son épaisseur hallucinante. Je me mis à le branler lentement, prenant conscience que ce que je maniais là était digne d’un acteur porno. Après quelques instants à secouer son pénis, mon Protecteur se fit plus pressant.
- Allez, ma jolie, il est temps de montrer ce que tu sais faire avec ta bouche.
C’était moi qui avais provoqué mon Protecteur et fait des avances, je devais assumer les conséquences de mes actes.
J’ouvris la bouche et approchais mon visage de sa grosse pine. Je posais mes lèvres sur son gland et l’avalais. Puis j’avançais un peu plus et finalement fis marche-arrière, goûtant à ma toute première grosse bite. Je gobais de nouveau son sexe et commençais une séance de fellation. Je bougeais activement la tête pour bien sucer son mandrin, dont mes lèvres avaient du mal à faire le tour.
Cela dura quelques minutes, puis soudainement, mon beau daryl m'attrapa mon crâne avec ses deux mains, et poussa son engin au fond de ma gorge, m’étouffant littéralement. Je poussais un gémissement étouffé, ne pouvant plus respirer. Mon crâne était collé contre son ventre et mon nez écrasé sur ses poils de couilles. Mais le pire était l’énorme pine qu’il avait réussi à me mettre dans la bouche. Entièrement. J’eus de terribles nausées, mais réussis à me contenir. Il me lâcha au bout de quelques secondes, et je pus respirer de nouveau. Je crachais sur le sol une quantité astronomique de bave, tandis que mon Protecteur dit:
- T’as une bonne gorge, Beth! T’es peut-être bien taillée pour être une belle salope!
- Mais t'es taré ou quoi? T'as failli m’étouffer!
- Tu veux que je continue à te protéger, oui ou non?
- Oui.
- Alors, tu fermes ta gueule, et tu suces, répondit il très vulgairement.
J’attrapais son membre et l’avalais de nouveau, continuant ce que j’avais commencé, et ce que je ne pouvais désormais plus arrêter. J’entrepris de le pomper ardemment, goûtant au plaisir d’une bite aussi volumineuse.
Je ne me rendais pas compte de ce que je faisais: je suçais mon Protecteur de zombies pour obtenir une protection, quel apocalypse. J’étais en train de me vendre pour obtenir quelque chose. Mais après tout, nous y étions gagnant tous les deux.
Au bout de quelques minutes, il me demanda de cesser.
- Qu’y a-t-il? demandai-je.
- Lève-toi.
J’obéis. À peine debout, l'homme à l'arbalette me poussa vers le bureau et me retourna. IL me claqua les fesses et les caressa. Puis il remonta vers ma grosse poitrine.
- Arrêtez… soufflai-je. La pipe, OK, mais là…
- On va aller jusqu’au bout, Beth.
Il baissa doucement mon mini short et mes fesses apparurent devant lui. Il vit le petit string bleu ciel que je portais. Il joua avec et caressa longuement mes fesses. Puis il écarta doucement le tissu et effleura ma chatte mouillée.
- T’es toute humide, jeune salope.
Il enfonça un doigt dans mon vagin, me faisant gémir.
- Je crois que je vais me régaler avec toi.
Il baissa mon string, rejoignant mon mini short au sol. Mes fesses et mon intimité étaient maintenant nus devant cet homme. Je sentis ses énormes mains m’attraper par les hanches et mon Protecteur venir se coller contre moi. Mon cœur battit la chamade: il allait passer à l’action. Une partie de moi ne voulait pas que mon Protecteur me domine et aille jusqu’au bout. Mais d’un autre côté, j’avais envie de sexe et l’énorme bite de cet homme me faisait mouiller d’excitation.
Il agita son mandrin devant ma fente, puis donna un coup de boutoir, m’enfilant enfin.
Je poussais un petit gémissement de plaisir. Son sexe était énorme en moi, jamais je n’avais ressenti pareille sensation dans mon vagin.
Lorsque mon amant sentit qu’il fut profondément ancré dans mon vagin, il me maintint plus fermement et commença un lent mouvement de va-et-vient. Je sentais parfaitement bien son mandrin racler les parois de mon vagin, me procurant mille sensations. Je gémissais de plaisir, je sentais que cette baise allait être la meilleure de ma vie, du moins jusqu’à maintenant.
Mon Protecteur accéléra son rythme après quelques instants. Chaque coup qu’il me mettait me faisait gémir de plaisir, comme une salope. Ses grosses mains viriles me maintenaient contre lui posées sur mes hanches. Il grognait de plaisir également.
J’étais bien baisée près du feu, mon cul contre lui, et son engin me ramonant la chatte avec fougue. Je me sentais chienne à me vendre ainsi à mon Protecteur beaucoup plus âgé, mais c’était nécessaire pour ma survie Après tout, je ne risquais rien à coucher avec lui.
En attendant, ses mouvements étaient plus rapides et il me baisait avec davantage de puissance. J’eus alors mon premier orgasme avec lui. Je me mis à crier, mais mon Protecteur, conscient que des zombies pouvaient entendre, posa une de ses mains sur ma bouche, me faisant taire. Aucune importance, je jouissais de sa pine au fond de ma chatte.
Nous baisâmes encore quelques minutes, et mon Protecteur me demanda:
- Tu penses encore à ton petit ex de tarlouze tué à la prison, jeune pute?
Ignorant l’insulte, je répondis entre deux gémissements.
- Nonnnnnn, nonnnnnnnn!
Il accéléra alors son mouvement et stoppa net au bout de quelques secondes, en poussant un grognement de jouissance.
Je sentis alors un liquide visqueux envahir mon vagin. Mon Protecteur éjaculait en moi, faisant de moi sa salope. Je le laissais se vider les couilles en moi, son sperme chaud me faisant jouir ne nouvelle fois. Une fois remplie, mon Protecteur décida de retirer son sexe. Je pus reprendre ma respiration, une fois son mandrin hors de mon vagin. Je me relevais doucement et me tournais vers lui, toujours le cul à l’air. Il remettait son pantalon.
- T’es vraiment bonne, me dit-il en souriant. Tu vivras.
- Merci daryl...
Je remis mon mini short et mon string puis quittais la pièce, le laissant remettre son énorme sexe dans son caleçon.
En quittant la salle, je n’en revenais pas! Je venais de baiser avec mon Protecteur pour bénéficier de sa protection. Seules les garces et les putes faisaient cela! Mais je n’avais pas vraiment eu le choix, après tout. Une fois, ce n’était pas grand chose, et puis personne n’en saurait jamais rien.
Le lendemain...carol arriva...suite....