Reprise du message précédent :
Ouais perso xanax ou smarties je vois pas trop la différence mais bon vu la dose de cheval de weed qu'il me faut pour dormir 5h c'est pas très étonnant !

Très bonne synergie, l'un amplifie les effets de l'autre et vice versa.
C'est vrai de tout mélange Benzo/alcool.
 
En général : désinhibition totale, sentiment d'invincibilité, on fait ou dit n'importe quoi et le lendemain on a tout oublié.
Reste le compte-rendu des gens qui étaient présents et que tu as du mal à croire.
Là, je parle de doses élevées. En version soft, c'est moins catastrophique, mais la frontière qui les sépare est vite franchit à l'insu de son plein gré  
Par contre j'ai l'impression que ça contribue à augmenter la dépendance aux deux produits de les consommer en même temps.

Ouais pas forcément le risque effet +++, celui la je pense qu´on peut le gérer    ou pire l´apprécier    
 
je pense plus au risque de co-dépendance... Un beau cercle de merde ou on se péte bien le cerveau et la volonté, et par la suite difficile de savoir quelle dependance gérer en premier...
 
Bon avec une prescription pour un mois ca va mais j´ai vu les ravages sur la prise à longue durée  

 
T'en es où toi ?  
T'as toujours dans l'idée de repartir en Polandie ?

En plus, par les temps qui courent, ce n'est vraiment pas le pays européen qui donnent envie de s'y installer

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Virage vers la droite dure, corruption, nationalisme exacerbé (bon...ça a toujours été le cas, on ne peut pas leur reprocher au vu de leur histoire), gouvernement pourri

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J'en ai aucun souvenir... Je dirai 1,36 je ne sais pas pourquoi j'ai ce nombre dans la tête...

Quand je pense à ce que tu t enfilais, et le déni dans lequel tu étais, quel chemin ! Féloches Marcel !

ouais jme rappelle encore de la gaufre qu'il avait pris dans un escalier
c'est impressionnant

j'ai encore des cicatrices
là ça me fait sourire, mais à l'époque, pis en y pensant de plus près, c'était bien chaud et j'ai eu beaucoup de chance...

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ouep et je pense une fissure de la mâchoire en tombant contre une armoire
ou le pouce cassé, j'avais oublié de retirer ma main en fermant ma porte blindée

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Déjà testé, ça fait que dalle, effet proche du néant
Pour moi du moins et je ne suis pas un gros toxico des cachetons pourtant, à part mon traitement au Baclofène depuis un an.

J'en ai une petite aussi, tranche de la porte contre tranche du nez, ça m'a carrément assomé sur le coup

Idem pour les cicatrices
 

Idem, chute ou cognage de tête, heureusement elles sont discrètes.
Des bons hématomes bien violacés à des endroits surprenants du corps que tu découvres le lendemain sans comprendre comment ils sont arrivés là
 
Heureusement, c'est terminé depuis un bout de temps ça

Nez pété en tombant en sortant d’un taxi devant un hôtel... je me suis pris une bagnole garée la devant un bus entier de spectateurs
 
Ce qui m’a valu une rupture avec mon ex...

Quand on est fin saoul, on évite souvent la catastrophe car le corps est complètement détendu au moment de l'impact.
Du genre on roule dans l'escalier sans se casser les deux jambes, les deux bras ou la nuque car on a pas le réflexe de se raidir (comme le petit bonhomme en mousse ).

Par contre, c'est clair que ça n'évite pas les ecchymoses, les coupures, les saignements et autres ouvertures d'arcade sourcilière ou nasale, un petit traumatisme crânien pour les grands soirs
Les côtes fêlées semblent être un grand classique aussi mais ça ne m'est jamais arrivé, juste des gros bleus sur le thorax.

Je suis content de m'être éloigné de tout ça. Le plus désagréable, c'était surtout de ne pas se souvenir le lendemain comment c'était arrivé exactement.

http://www.lemonde.fr/sante/articl [...] 51302.html

Le pire qu'il me soit arrivé était quand même d'exploser ma première twingo dans un arbre à 6h du mat à 70km/h... Je sais même pas comment j'ai survécu ! L'arbre était au niveau des genoux côté passager...

J'ai même réussi à m'en sortir vis à vis de la police avec juste une amende pour défaut de maitrise du véhicule...

Et le pire dans tout ça c'est que mes deux retraits de permis ont eu lieu après

Oui, j'ai lu ça, je suis l'affaire de près depuis le début, via la presse mais surtout les associations de médecins et patients.
C'est un scandale sanitaire, un de plus.

L'interdiction se base sur une analyse statistique bidon, mal ficelée, on ne pourrait même pas appeler ça une étude : résultats biaisés, manque de précision quant aux patients et leurs médecins, cause à effet invérifiable et surtout, on ignore le commanditaire et elle n'est pas signée. Ce dernier point l'enfonce clairement, on ne sait pas qui l'a faite, on a pas d'interlocuteur...
Pendant ce temps, dans le reste du monde, depuis près d'une dizaine d'années, dans de nombreux pays (US, Europe, Australie), des études indépendantes ont constaté l'efficacité du traitement de l'alcoolisme par le Baclofène.
Ce qu'on sait avec certitude, entre autre, c'est qu'il faut plus que le plafond imposé par l'ANSM (80 mg) pour que 87% des patients atteignent l'indifférence (la moyenne se situant aux alentours de 150-180 mg).
Il y a derrière des conflits d'intérêt évidents, du lobbying des labos qui veulent continuer de vendre des molécules inefficaces très chères aux malades alcooliques, alors que le Baclofène fonctionne, ne coûte rien et ne leur rapporte rien.

De toute façon, ça va être simple, en attendant que la résistance s'organise mieux (elle a déjà commencé à le faire, entre autre avec Renaud de Beaurepaire et Bernard Granger, deux psychiatres favorables au Baclo), il y aura des médecins qui continueront de prescrire à haute dose et des pharmaciens de la délivrer.
Ca sera juste un peu plus le parcours du combattant que d'habitude.

Comme avec la cigarette électronique, des lobbys essaye de forcer la santé publique à entraver des procédés peu onéreux et efficaces pour mettre un terme à une addiction, parce que ça leur fait perdre du fric.
Voilà voilà, rien de neuf sous le soleil

Edit : pour ceux que ça intéresse, un résumé de l'affaire http://www.jim.fr/e-docs/baclofene [...] _pro.phtml

Je ne suis pas un grand fana des histoires de lobbies mais sur ce coup je suis assez d'accord avec Brown.
 
Maintenant l'augmentation du risque d'hospitalisation ou de décès est bel et bien présent. J'en ai discuté avec mon addicto la semaine dernière, qui n'a pas semblé vouloir me vendre une molécule en particulier puisque je suis reparti les mains vides .
 
Maintenant c'est comme pour plein d'autres choses, le patient devrait avoir son mot à dire. Quand il n'y a plus d'espoir et que le baclo fonctionne à 180mg/j, faut évaluer le rapport bénéfices/risques par rapport à une conso d'alcool qui persiste, et là c'est assez vite vu j'imagine...

Depuis environ deux semaines, l'ANSM (Agence Nationale du Médicament et de la Sécurité, qui est responsable des autorisations de mise sur le marché -AMM- youpi les acronymes ) a fait du mailing auprès des professionnels de santé et des pharmaciens pour faire de la désinformation en se basant sur cette fameuse "étude" bidon.
Ceux qui connaissent bien les résultats du traitement au Baclofène ne s'y sont pas laissé prendre, les autres si...
 
D'ailleurs on ne parle que d'une seule mort subite dans le cadre de cette "étude".
De quoi ? On ne sait pas. Son médecin prescripteur ? On ne connait pas. L'état de santé de la victime, son background médical ? Inconnus au bataillon. Et bien sûr, qui a mené "l'étude" ? On ne sait pas.
 
Je ne suis pas du genre à crier au complot mais là, c'est tellement énorme...

Un premier acte fort sous la présidence Macron

Vu toutes les casseroles que se trimbale notre nouvelle ministre de la santé au niveau du lobbyisme et qu'elle encourage le financement de la recherche publique par des fonds privés (laboratoires en tête), je ne suis qu'à moitié pas surpris
 
A la tienne Agnès

Comme pour la codéine je pense que le raccourci avec le gouvernement est bien trop rapide. Ces décisions ne sont pas prises comme ça. Le baclofène on savait que ça pouvait tomber vu que l'autorisation était temporaire et en attente d'études françaises qui viennent d'aboutir. Après que l'information relayée ne soit pas complète : là est le problème. Ya qu'à voir comment et pour quoi bossent nos chers journalistes.
 
Maintenant je peux comprendre les déçus de la démarche, surtout ceux chez qui la molécule a fonctionné ! Et comme toujours, il devrait être possible d'adapter au cas par cas...
 

 
Tu sais, je gère une entreprise, on édite un logiciel de gestion. On ne dit pas tout non plus...

Savoir qui a mené l'étude, c'est le B.A-BA d'une démarche scientifique honnête
Et cette soit-disant "étude" est la seule qui contredise toutes celles qui ont été faites sur 3 continents depuis 10 ans

Perso, je m'en fous, je continuerai à ma dose plateau de 240 mg grâce à des médecins et pharmaciens qui ne sont pas dupes.
C'est pour ceux qui pourraient être sauvés par le traitement que c'est dégueulasse.

Je suis d'avis qu'il n'y a rien de moins pire que de laisser un alcoolique continuer à boire....
 
Ils veulent vendre plus de Révia

En effet, le laboratoire Lundbeck est sur la brèche depuis longtemps, entre autre avec le Selincro, un "remplaçant" du Revia qui a tout autant aucun effet.
Un traitement placebo qui coûte cher  
 

(Article de 2015) http://www.baclofene.org/baclofene/lundbeck-ma-tuer
 
Le Baclofène joue sur ses plate-bandes depuis trop longtemps, une vieille molécule, qui ne coûte rien (l'équivalent d'une ou deux bières par jour en moyenne) et fonctionne bien, alors qu'il a tout plein de molécules toutes fraîches sorties de son labo qui se vendent à prix d'or et sont inefficaces.
Du coup, il a mis les bouchées doubles, comme on est en train de le voir
 

(Article de Juin 2017) http://www.baclofene.org/baclofene [...] -baclofene
 
Pendant ce temps là, environ 120 personnes crèvent de l'alcoolisme chaque jour en France.
44 000 par an.
 

on l'a trouve où cette fameuse étude ?

C'est l'ANSM qui l'a commandée sans en parler à personne puis l'a sortie de sa manche comme par magie, de façon spontanée.
Elle n'est pas signée donc on ne sait pas qui l'a effectuée, ce qui est assez délirant pour prendre ce genre de décision et, forcément, ça se fait fin Juillet, comme tous les trucs qu'on veut faire passer en douce

Je suis en train de la chercher, elle a disparu du site de l'ANSM, c'est dingue...
J'arrive juste a retrouver qu'elle a été faite par 3 organismes : CNAM-INSERM-ANSM et que les auteurs sont inconnus.

Edit : ayé, retrouvée. C'est rempli de contre-vérités et de biais honteux.
http://ansm.sante.fr/S-informer/Pr [...] Communique

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Tout ça, c'est déjà de l'histoire ancienne (la RTU, etc...), shamshir.
Je fais référence au forcing récent (début Juillet 2017) qu'a fait l'ANSM en se basant sur une étude bidon de moins de 100 lignes, non signée...
cf mon lien ci-dessus.

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