Reprise du message précédent :

 
Mon avis est que le terme drogue douce est mal perçu. En fait c'est juste que ça n'entraine pas de dépendance physique, et c'est le cas. L'année dernière j'ai du faire une pause en vacances, somnifères aidant j'ai eu aucun mal à arrêter, seule l'habitude générait un manque.
 
Et sur l'addiction psychologique on est tous tellement différents !

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Bon je reste soft entre 1 et 3 bédo par jour donc ceci explique peut-être cela  
 
Oh oui quand on était jeunes on s'est pas connu shamshir par hasard ?

Vaporisation, pas de combustion.
Tout ce que tu risques, c'est de te choper un herpès en faisant tourner le ballon aux voisins

Edit : cannabis et sommeil...
C'est clair que c'est imparable : un bédo avant le coucher et tu dors comme un bébé.
Je ne savais pas ce qu'était l'insomnie avant d'arrêter de consommer du THC

ptain le seau, ce souvenir que vous me rappelez, la violence du truc...

Genre tu voyais tout blanc pendant 15 secondes après c’etait flippant

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Bon... j’avais tort d’attendre ce rendez-vous addicto comme la solution magique à tout ça : observation jusqu’a mi septembre...
 
Je suis déçu

L’idée d’y aller bourré était pas si farfelue finalement

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Que elle n’aime rien prescrire au premier rdv. J’ai une feuille ou noter le positif et le négatif de pas boire, pke j’avais pas encore eu le temps d’en m’en rendre compte depuis le temps

Mince...suis déçu aussi du coup. Et le rdv a duré combien de temps ?

40mn pour retracer mes consommations

j'ai appris grâce à ce topic et à NA que la plupart agissent comme la plupart des psychiatres, cad prescrire et encaisser

 
Pour le coup ça ne m’aurait pas dérangé  

 
Déjà qu'un psy n'a pas la science infuse (et vraiment loin pour le coup! ça commence à peine à bouger dans ce domaine... et dans d'autres!!!), alors un addicto! Mais pour le coup, c'est à lui que je ferai le plus confiance, car lui travaille (normalement) au cas par cas, car justement chaque histoire, chaque personne est unique avec quelques points communs relevés dans telle ou telle addiction. Un addicto travaille surtout à partir de réflexions, sur son vécu au milieu de personnes addicts, des parcours personnels des uns et des autres,... un psy, non, ou rarement. Il fonctionne selon des dogmes. Et quand on sait ce que celà vaut...
Perso, encore une fois, je me permets, je laisserai cette chance à l'addicto qui veut observer (tes consos, les moments où tu consommes, pourquoi tu consommes, combien, à partir de quoi, etc.) et non direct te coller des médocs (à part le baclo, j'ai du mal là quand tu connais les substances communément prescrites). Lui laisser le temps de l'observation de tes consos et amener son regard qui te conviendra, ou pas. Tu as le droit à terme de ne pas être d'accord. Evidemment, tout celà est trés long pour celle ou celui qui attend... Evidemment!  
 
* je crois que j'ai mal quoté...

Ben en fait pour le coup j'ai tout essayé...
 
J'ai fait du sport, vu un psy, méditation, tous les compléments alimentaires possibles pour me détendre, je bouffe des boite de donormyl et je fume des bédos et malgré ça j'ai du mal à dormir, plus de plaisir à manger depuis des mois (je mange parce qu'il faut).. A un moment ça me semblait être la dernière solution pour amorcer une remontée donc j'étais demandeur de ça.
 
Mais je m'attendais pas à ce qu'on me dise "on va observer, rendez-vous fin septembre". Du coup je suis rentré 3 strongs à la main pour calmer mes nerfs... et je passe la suite. Je suis en forme aujourd'hui
 

Bon j'ai craqué et je suis allé voir mon généraliste... C'était sa remplaçante.

Ya un truc avec les remplaçantes ?? C'est le premier intervenant avec qui j'ai un dialogue aussi constructif, et qui semble comprendre réellement de quoi je parle :| elle m'a proposé un suivi chaque semaine jusqu'à mon rendez-vous fin septembre.

Elle est la première à percevoir la "détresse" dans laquelle je me trouve, c'est à dire qu'en l'état c'est vraiment pas confortable, et m'a donc proposé un traitement après en avoir longuement discuté.

 
   
 
Je lui ai clairement avoué que j'envisageais son départ définitif en Novembre comme une mauvaise nouvelle...  

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

 
4 semaines de xanax (ça je vais pas prendre tous les jours, j'ai pas envie d'être accroc à autre chose) et séroplex 10mg surtout par rapport au cannabis.
 
En fait l'addicto hier a bien ciblé le truc :  
- le cannabis est hypnotique et sédatif (donc me fait dormir) mais anxiogène. Sur un mec déjà anxieux ça le fait pas.
- l'alcool est anxiolytique mais dépressiogène....
 
Donc en gros on essaye ça, voir si ça me permet de stopper les deux.
 

Du xanax à combien ?

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Ah si moi j ai les réponses. Mais je les garde pour moi

 
Une addiction à la lecture ?
C'est pas un brin exagéré là ?
 
"gérer ses émotions négatives" ?  
Qui définit ce qui est négatif ou positif ? selon quels critéres ? quels barêmes ? Quelle grille de lecture ?
 
Etc.
 
 
* Marde! j'ai mal quoté / je reprenais tous les propos/questions de jupiter39...

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

Ah mince, désolée... j'ai cru réellement que c'était pour un mémoire...
Tu sembles alors etre hypersensible et là, selon les personnes, les vécus, les expériences, tu auras des retours divers et variés. Je comprends mieux alors ta formulation d'addiction à la lecture, bien que perso je ne classe pas celà dans les addictions mais comme quelque chose d'aussi naturel qu'apaiser la faim... lire apaise quelque chose de naturel (quoi, je ne sais pas, et perso, je m'en fiche, ce n'est pas destructeur, même si ça agace une bonne part de l' entourage, et ça aussi, toujours perso, je m'en cogne : il y aura de toute façon toujours quelqu'un pour te reprocher une chose ou une autre... )
La même chose avec la musique par exemple qui semble aussi vitale que d'avoir besoin d'oxygène...
Après, les autres addictions (toxiques pour le corps et le mental) ne sont pas loin quand on a un tempérament hypersensible dans ce monde inhumain, froid,...(alcool, psychotropes...)
Quand à ce qui est de gérer les émotions, on trouve des tas d'écoles, de chapelles, de coachs et autres gouroux qui proposeront des solutions. A chacun de chercher celle(s) qui les apaisent.
Ou encore de voir les choses différemment...  
L'alcool, hélas, est une des premières, une de plus simples et radicales (et une des pires AMHA) à l'instant T d'une émotion qui submerge. A terme, c'est la glissade incontrôlée dans une spirale sans fin.

Un collègue de l'ANPAA m'expliquait que seul la consommation de produits ayant des répercussions sur la santé physiologique avec la nécessité d'un sevrage physique peut être considérée comme une addiction (donc tabac, drogue, alcool, médicaments).
 
Le jeu, la lecture...en cas de privation n'ont pas de conséquence sur la santé physique. le lien est uniquement psy.
 
Je suis assez de son avis.
Pour le jeu j'ai un exemple dans ma famille d'un garçon totalement nolife à cause des jeux vidéos (arrêt de l'école, modification du comportement...) et à l'âge de 23ans il a connu (sur un jeu en ligne) une nana, ils se sont rencontré et depuis il a retrouvé assez vite un style de vie classique sans sentiment de "manque" et sans passer par la case médecin...

Le jeu ok, les achats compulsifs aussi, mais la lecture non. Bien qu'avoir le nez tout le temps dans son bouquin coupe des échanges avec les autres (ou de pseudo vies fantasmées selon les réducteurs de têtes). Enfin, comme ça hein sur le papier de certains... Lève la tête et regarde autours de toi combien n'ont pas le nez collé à leurs portables...

 
Je ne sais pas. Je les gère parfois assez bien, parfois pas du tout. Je fais en sorte qu'elles n'interfèrent pas dans mon boulot, ça, je sais faire. Dans la sphère privé c'est plus compliqué.
Je suis aussi hypersensible, je me désocialise donc plusieurs fois par an. Je fais des sports individuels de préférence...et je traine plus sur les forums... quand je sens que je suis en bas.
On me traite d'ours mais en fait je me protège.

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

 
0,25mg matin et midi et 0,50 le soir

Mais du coup, tu bois plus du tout ? Je veux dire, comme le xanax et l'alcool, hum...

Je suis pas spécialement regardant là dessus mais par exemple : hier soir j’avais une soirée avec beaucoup de monde. Typiquement le genre de soirée ou je suis à l’aise après 10 verrres.. et où je bois généralement avant (en préparant) pour me détendre... c’etait chez moi donc ça me stresse d’autant plus.
 
Eh bien avec j’ai bu trois verres (3U) et j’ai passé une excellente soirée..
 
Après ça n’arrange pas tout mais dans ces cas précis c’est d’une grande aide !

T'as bien de la chance: hier, j'ai bu 4U (donc j'ai pas tenu mon engagement de 2U) et un xanax entier et j'ai passé une sale nuit. Et sur mon vélo ce matin c'était vraiment pas la joie...  
Du coup là me suis servi un verre.

Franchement allende3 ne te culpabilise pas trop, tes consos sont raisonnables actuellement ! Tu vois hier matin j'écrivais que je n'avais pas consommé beaucoup lors d'une soirée, alors que dans ces moment je buvais toujours au moins 10 verres avant de me sentir à l'aise.
 
Hier je n'ai pris aucun médoc car je les avais oublié dans mon appart et que je dormais dans la maison de mes parents. J'ai fini tous les restes de la soirée seul.... A savoir 1 bouteille de blanc, 1 bouteille de rouge et 5 bières.
 
Et aujourd'hui je regrette... Mais je prends la décision de refuser tout alcool à partir de maintenant, trop c'est trop

Le contenu de ce message a été effacé par son auteur

J'ai mangeoté on va dire ^^ ! Souvent quand je picole beaucoup je ne mange pas trop non plus. Mais je bois principalement de la bière et ça rempli sacrément !  
 
Ouais beau temps, la piscine, seul à la maison.... et on sirote oklm  
 
En fait l'addicto qui m'a plus ou moins laissé comme je suis arrivé ça m'a déclenché une envie compulsive d'en avoir plus rien à foutre, c'est quand même bien con

Pas con cette idée du cidre doux : 1 bt de 75 cl à 3° ça fait 1.8 U d'alcool...