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Auteur Sujet :

[unik] le rock progressif

n°5256013
Profil sup​primé
Posté le 09-04-2005 à 00:32:33  answer
 

Reprise du message précédent :

trendy pillow a écrit :

quels albums de pink floyd vous me conseilleriez ?
 
dans quels albums du floyd on peut trouver ça? merci......


 
Atom heart mother
Animals
Ummagumma (côté live)
 

mood
Publicité
Posté le 09-04-2005 à 00:32:33  profilanswer
 

n°5256089
trendy pil​low
no pok i told you
Posté le 09-04-2005 à 00:40:20  profilanswer
 

merci monsieur des midi pyrénées :jap:

n°5256374
Profil sup​primé
Posté le 09-04-2005 à 01:11:31  answer
 


 
Ouais, si tu le dis, de toute façon, le dernier Marillon, je l'écouterais pas  :non:  
 
Dark side, vraiment gonfflant, wish you where est plus sympa, division bell est une blague.  :(  
 
Quitte à découvrir du Floyd, autant commencer par le divin et non le purin, non ?  :p

n°5256851
Fenston
★ Tartuffe
Posté le 09-04-2005 à 02:04:52  profilanswer
 

[:blueflag]  
 
comment ai je fais pour ne pas remarquer ca ? Moi qui pensais faire un topic King Crimson...
 
'fin voila, le temps de lire le topic, et j'arrive :)


Message édité par Fenston le 09-04-2005 à 02:06:06

---------------
Free Daweed - "The game might crash, but at least the trains will run on time" - Chris Roberts 2018 - Je fais ma pute pour un Dragonfly : STAR-V6VM-MD7X
n°5259853
abakuk
Posté le 09-04-2005 à 16:23:26  profilanswer
 

J'ai trouvé une très bonne bio d'Ayreon sur www.progressia.net , donc plutôt que d'en refaire un moins bien, je vous met directement le lien :
 
http://www.progressia.net/?rub=gro [...] iste_id=67
 
J'y ajoute une petite correction : le titre du premier album "solo" d'Arjen Anthony Lucassen était : Ayreon : the final experiment, sans nom de groupe. Les critiques et le public ayant commencé à parler d'Ayreon en tant qu'entité à part entière, Lucassen a fini par suivre le mouvement, sur les conseils de son label, et a sorti les albums suivants sous le nom d'Ayreon.
 
Je vous conseille particulièrement Into the electric castle, qui synthétise brillamment tout ce que le rock a produit depuis les années 70 : rock, rock progressif, planant, folk, hard rock, metal... Le dernier en date, The human equation, est aussi très bon.
 
Le site d'A.A. Lucassen : http://www.arjenlucassen.com/home/index.php
 
 
 
Sinon, vu qu'il y a Magma dans le premier post, je me permet d'ajouter quelques noms qui ne sont pas vraiment du "rock" progressif :
 
- Univers zero
- Art zoyd
- John Zorn
 
 
Sans oublier un très bon label spécialisé dans le rock progressif et autres musiques bizarres : www.musea.com


---------------
Islamophobie | Rapport Obin | Test de pureté
n°5262502
[Toine]
A la demande générale...
Posté le 09-04-2005 à 22:54:30  profilanswer
 


Je ne comprends pas comment quelqu'un qui roule en tracteur, et qui est devenu à moitié sourd à la suite de celà, pourrait avoir ne serait ce qu'une once d'oreille musicale.  
 
Surtout ne croyez pas ce qu'il écrit :D .


---------------
mes ventes : http://forum.hardware.fr/hfr/Achat [...] 0413_1.htm .
n°5264817
Profil sup​primé
Posté le 10-04-2005 à 10:47:04  answer
 

[Toine] a écrit :

Je ne comprends pas comment quelqu'un qui roule en tracteur, et qui est devenu à moitié sourd à la suite de celà, pourrait avoir ne serait ce qu'une once d'oreille musicale.  
 
Surtout ne croyez pas ce qu'il écrit :D .


 
Tu ne crois pas si bien dire, j'ai eu un tympan crevé...  :heink:  
 
Quant à tes remarques désagréables sur mon TDI, je te ferais remarquer que toi aussi tu en as un, mais tu t'en vantes pas.  :whistle:


Message édité par Profil supprimé le 10-04-2005 à 23:57:05
n°5264857
[Toine]
A la demande générale...
Posté le 10-04-2005 à 11:01:33  profilanswer
 


Non c'est ma femme qui est sourde :o .


---------------
mes ventes : http://forum.hardware.fr/hfr/Achat [...] 0413_1.htm .
n°5267420
cordelius
Disciplus Simplex
Posté le 10-04-2005 à 19:23:05  profilanswer
 


Vraiment n'importe quoi  :sleep:  :sarcastic:  
 
Ca me gonfle des puristes à la con qui croient avoir le bon goût ultime  :fou:  :o
 
Wish You Were Here est leur meilleur album, et Division Bell est très bien, et je n'aime pas Piper...


Message édité par cordelius le 10-04-2005 à 19:24:28

---------------
"On est en 2032, ça donne 2-0-3-2, c'est le 21ème siècle quoi. Et j'ai le regret de vous annoncer que le monde est maintenant peuplé de couilles molles, c'est un remake de la petite maison dans la prairie joué par une bande de pédales en robe longue"
n°5269564
chubakafre​e
Posté le 10-04-2005 à 23:50:48  profilanswer
 

reponse a trendy pillow
pour le planant , tu peux rester à marillon avec le morceau GRENDEL sur l'album b.side themself un morceau d'une 30aine de minutes (une pur merveille).
 
Pour les floyd , difficile de faire un choix quand on est fan : mon prefere (d'une courte tete) reste wish you were here , dark side est excellent mais c'est vrai qu'a force de l'entendre à tous bout de champs ca peut devenir lassant.
Alors , pour le planant , tu peux te rabattre sur MEDDLE avec notament le morceau echoes (23" de bonheur).Seul reproche la prise de son est pas top , d'ailleurs si quelqu'un connait une réédition de cette album avec un son correct , merci de me le signaler...
 
et arrêter de vous chamailler , on peut donner son avis , mais avec un minimum d'argument, sinon ca sert vraiment à rien , à part aller lire un autre topic....
 
 

mood
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Posté le 10-04-2005 à 23:50:48  profilanswer
 

n°5315677
Nyarla
fnord
Posté le 17-04-2005 à 09:32:52  profilanswer
 

Hello, je suis nouveau dans le progressif, je commence à m'y mettre et j'aime beaucoup!
 
Quelqu'un connait le groupe Focus? Un groupe instrumental (enfin si on enlève les chants tyrolliens et autres délires) hollandais des 70's, qui me fait un peu penser à Jethro Tull par certains côtés. Leur titre le plus connu est Hocus Pocus (Helloween l'a repris, Vanessa Mae aussi) mais le reste est excellent aussi (Janis :love: La cathédrale de Strasbourg :love: )!

n°5315696
helloween0​6
Posté le 17-04-2005 à 09:56:35  profilanswer
 
n°5315941
robertbob
Posté le 17-04-2005 à 11:49:57  profilanswer
 

quicksilver messenger service
iron butterfly

n°5361460
odeu
ou trois?
Posté le 22-04-2005 à 10:00:54  profilanswer
 

salut, c'est long a lire, c'est vrai, mais vachement interessant (question de culture musicale)
bien à vous.
 
"Si çà peut aider, je retransmets à l'attention de tous ceux qui auront le  
courage de la lire jusqu'au bout, l'introduction du livre de Paul Stump "The  
Music's All That Matters", que j'avais traduite il y a un ou deux ans.  
 
C'est l'un des textes les plus pertinents que je connaisse sur le thème de  
la définition du prog (et il répond à mon avis très bien au débat en cours).  
Bon courage :  
 
 
Contrairement à une idée reçue, le principal problème du rock progressif n'  
est pas l'auto-indulgence. Ce n'est pas non plus l'incompétence ou l'  
inculture de la critique. Ce n'est pas même la prétention (une épithète que  
les inventeurs de cette musique ont dû si souvent supporter avec un patient  
stoïcisme). Oh non ! Le problème du progressif, c'est son nom.  
 
Le rock progressif est peut-être le genre le plus consciemment « adjectivé »  
de toute l'histoire du rock. Son nom même implique des propriétés  
intrinsèques. Il s'agit d'un rock qui, à l'évidence, « progresse ». Le sujet  
est à peine effleuré, et nous voici déjà renversé cul par dessus tête. sans  
rentrer dans la nature même de cette progression, peut-on dire du rock qu'il  
progresse ?  
De telles questions ne sont pas le centre d'intérêt de cet ouvrage.  
 
Ce livre a d'abord pour préoccupation de définir, puis d'étudier le rock  
progressif en tant que phénomène. Le plus grand nombre, si ce n'est la  
totalité, des gens que j'ai interviewé m'ont demandé comment je définissais  
le rock progressif. Peu d'entre eux ont été susceptibles d'être classés sous  
cette rubrique. Bien que la presse progressive l'ai fait, je ne leur en fait  
pas le reproche. Mais peut-être est-ce là le problème : la réputation de la  
musique. Le rock progressif est un terme vague et péjoratif, une sorte de  
catégorie virtuelle, plus couramment associée au rock expérimental ambitieux  
des années 70, à une époque où le standard de trois minutes appliqué à la  
musique populaire volait en éclats, et où celle-ci se trouvait brusquement  
étirée dans toutes les directions, oscillant sans cesse entre la recherche d  
'une dimension artistique et d'une portée politique. Le rock progressif  
était la musique de fond accompagnant tous les bouleversements de la  
contre-culture à la fin des années 60, et la chimère grandiose d'une  
méticuleuse transformation sociale et culturelle.  
 
Le rock était alors perçu comme faisant partie d'une culture « en  
progression », et toutes les formes de musiques étaient jugées «  
progressives » dès lors qu'elles semblaient braver les normes commerciales.  
Avec le temps, toutefois, le terme s'est restreint à un ensemble confus de  
musiques, caractérisées par un haut degré de complexité instrumentale et  
structurelle. Les caractéristiques ordinaires du rock - le rythme et la  
mélodie - y étaient déconsidérées au profit de la virtuosité instrumentale  
comme critère de valeur absolu. La composition et la construction étaient  
envisagés comme des moyens d'expression aussi valides que la spontanéité  
créative. L'intérêt culturel et social y était recherché à travers le  
croisement d'autres musiques, telles que la folk, le classique et le jazz.  
Après la disparition, à la fin des années 70, de cette forme musicale  
distendue et souvent même éclatée, minée par le développement graduel de son  
opposé, le Punk prolétaire basique et ultra-fondamentaliste, la critique a  
commencé à définir le terme « progressif » comme désignant toute forme de  
musique rock plaçant le langage musical au premier plan, en tant que moyen d  
'expression discrétionnaire et souverain. Un biais par lequel l'interprète s  
'efforce, ou semble s'efforcer, de porter la musique populaire au delà des  
limites de la chanson pop préfabriquée, et des structures conventionnelles  
de la chanson en général. Un lieu où la musique tente d'atteindre un «  
ailleurs » culturel, en dépassant les conventions du rock ou de la pop.  
 
Mais la culture Techno n'a-t-elle pas effectivement renvoyé le standard des  
trois minutes dans les poubelles de l'histoire ? The Residents, Père Ubu et  
les autres groupes d'avant-garde européens et américains ne prennent-ils pas  
de telles distances avec le rock ? La réponse est oui. Mais ils le font sans  
l'héritage spécifique du savoir-faire musical qui rend le vrai progressif  
unique.  
 
D'une certaine façon, le titre de cet ouvrage est un mensonge. La musique n'  
est pas la seule chose qui compte. L'idéologie - l'idéologie progressive -  
de l'idéalisme artistique a suivi un cheminement culturel ininterrompu qui  
remonte aux années 40. La tradition des écoles d'art, prônant l'  
individualisme créatif, le génie et l'aventurisme romantique dans les arts,  
a influencé beaucoup de branches de la musique populaire britannique, mais  
une conjoncture spécifique de conditions culturelles, sociales et  
économiques dans la deuxième moitié des années 60 a favorisé la production  
de musique pour la musique elle-même. C'est l'héritage de ce phénomène que j  
'ai tenté de retracer.  
 
Un grand nombre des personnes que j'ai interrogées nient l'existence du «  
rock progressif » en tant qu'entité, l'acceptant tout juste comme une  
étiquette commode, inventée après coup par les journalistes. Je partage leur  
cynisme, mais je pense quand même que l'utilisation du terme « progressif »  
pour désigner les travaux de Peter Gabriel, des incarnations de King Crimson  
dans les années 90, et même des libres improvisateurs comme Chris Cutler,  
est pertinente. Ce qui unit tous ces musiciens, c'est une idéologie  
progressive commune de l'expression musicale rock, ce désir d'une «  
transcendance » par le rock qui est au coeur de la musique progressive.  
 
Les musiciens progressifs, s'il fallait en croire leurs directeurs  
artistiques, n'étaient pas simplement des musiciens de rock. Ils étaient -  
dans les années 70 tout au moins - des artistes, mus par des aspirations  
élevées d'expression et d'originalité personnelles, d'authenticité  
individuelle, d'honnêteté, et autres semblables qualités universelles. Leur  
musique, nous assuraient ces mêmes publicitaires, ne s'immobilisait jamais,  
méprisait les conventions, était dans un état d'évolution permanente - à l'  
inverse de la pop contemporaine mercantile et stéréotypée, à l'encontre de  
laquelle elle était commercialisée. Effectivement, une minorité manifeste de  
musiciens progressifs avait sincèrement adopté des points de vues  
artistiques et politiques radicalement révolutionnaires, et dynamitaient  
leur musique avec un radicalisme théorique rigoureux. Ces hommes et ces  
femmes représentaient une facette du rock progressif différente de ce que l'  
on présentait communément et stupidement comme l'idéal-type du genre (des  
rockers de stade exubérants), et leur contribution - le Rock In Opposition,  
héritage de Henry Cow, des Art Bears, de Recommended Records, et de quelques  
autres - occupe une place centrale dans ce livre, à côté d'interprètes plus  
traditionnels comme Genesis ou Yes. Tout bien considéré, ces conceptions se  
sont combinées pour créer la forme la plus distinctement anglaise et  
unanimement controversée du rock et de la pop (ce qui explique pourquoi je  
me concentre presque exclusivement sur les îles britanniques dans cette  
étude).  
 
Mon but est d'exposer les complexités et les contradictions de cette forme  
d'inspiration et de musique rock, beaucoup trop souvent renvoyée à un  
mouvement musical excessif, désespérément épuisé, et balayé à juste titre  
après l'invasion opportune du rock britannique par le punk en 1976/77. Comme  
prolongement de cet exposé, je souhaite expliquer par la suite le déclin du  
progressif, et plus sérieusement, étudier l'abandon critique et commercial  
auquel il a maintenant succombé.  
 
Je ne crois pas que le punk (qui d'après les propres mots de Logan et de  
Woffinden, tirés de The NME Encyclopedia Of Rock, cherchait « à rendre le  
rock de nouveau agressif. à restaurer son appartenance à la rue » ) fut le  
seul responsable de la mort du rock progressif. Son aspect baroque et ses  
programmes abscons l'avaient déjà distancé des consommateurs culturels au  
terme des années 70, et ses ambitions radicales en matière d'élaboration  
musicale lui avaient aliéné les maisons de disques.  
Les discours ultérieurs portant sur le progressif l'ont sempiternellement  
décrit comme une aberration historique monstrueuse, une sorte de Troisième  
Reich musical, sans aucun fondement culturel légitime, alors même qu'il  
occupait le devant de la scène. Les démonologies étouffantes et irraisonnées  
n'ont toutefois jamais aidé à comprendre, et c'est précisément cette  
attitude que je voudrais défier. Quelle que soit l'opinion que l'on s'en  
fait, le progressif doit être jugé dans son contexte historique, et réévalué  
en gardant cela à l'esprit.  
 
Il est trop facile d'affirmer, à l'instar des discours rock rebattus, et  
comme l'a dit une fois le comédien Alexei Sayle  à propos du music hall, que  
le rock progressif est mort « parce que c'était nul ». Si c'est la seule  
raison, alors cela présuppose que le progressif ait été supplanté par  
quelque chose de nouveau et de meilleur. Le Heavy-Metal, dont la parenté  
avec le progressif remonte aux années 60, et regardé comme le remplaçant  
éventuel du progressif dans le cour et l'esprit de sa cible commerciale (« l  
'adolescent blanc-bourgois-masculin »), peut difficilement être assimilé à  
un stade d'évolution musicale supérieur au progressif. Les fautes capitales  
du progressif envers le bon goût, son excès et sa vantardise, sont  
violemment amplifiées dans le Heavy-Metal. Qualifier un groupe de  
Heavy-Metal de primaire est tout simplement un euphémisme. L'engouement de  
ce style pour la virtuosité instrumentale et les clichés spectaculaires  
rappelle le progressif, mais leur exagération jusqu'à la parodie devrait,  
théoriquement, le faire percevoir comme encore plus redondant que son genre  
frère. Pourtant, le Heavy-Metal continue à s'épanouir dans le monde entier.  
 
La pensée postmoderne a justifié ce phénomène par le relativisme du discours  
culturel, qui aurait permis au Heavy-Metal de prendre place au panthéon de  
la critique rock. L'insistance du relativisme postmoderne sur l'  
impossibilité d'attribuer une valeur absolue à l'effort artistique, l'  
absence de quelque supériorité que ce soit d'un produit culturel sur un  
autre, a assuré la réévaluation du Heavy-Metal par la critique, comme cela s  
'est également produit pour les musiques Country et Western. Une fois  
raillées et tournées en dérision , ces musiques ont finalement été amplement  
reconsidérées, non seulement comme la consécration d'un sang neuf comme  
celui de Nanci Griffith et de Dwight Yoakam , mais comme des genres en tant  
que tels. Il est important de noter que leur ré-appréciation ne s'est pas  
arrêtée à de simples gesticulations satiriques et ironiques, émanant de  
quelques critiques rock spirituels. Les crucifix, le cuir, les lamentations  
ringardes pour des chiens morts et des amants disparus dont raffole le  
Heavy-Metal ne sont plus de simple jouets kitsch. La presse rock a réagi à l  
'influence renouvelée du marché en leur attribuant une dose calculée de  
couverture médiatique. Rien de tel avec le progressif. Inconnu parce que  
mal-aimé, mal-aimé parce qu'inconnu, il n'a pas même atteint la  
respectabilité au stade de l'écrit, y compris dans une décennie obsédée par  
le renouveau des années 70.  
 
Alors que la tendance du rock à renchérir sur lui-même s'accroît de plus en  
plus, est-il vraiment réaliste d'accuser le progressif d'ambition excessive  
? Avec la généralisation réussie des réflexes identitaires du rock les plus  
extrêmes (excès, auto-indulgence et passéisme sénile), célébrée par les Live  
Aid (et MTV), la deuxième moitié des années 80 a vu s'établir une culture  
rock à côté de laquelle les gros mortiers du pompiérisme progressif semblent  
s'apparenter au stakhanovisme le plus ascétique.  
 
Un constat qui ne tracasse pas le moins du monde les médias, spécialement la  
presse rock. Ce tabou persistant qui leur interdit de décrire le progressif  
comme autre chose qu'une tache sur l'histoire du rock doit cesser, surtout  
si un renouveau de ce genre musical est sur le point d'avoir lieu.  
 
L'un des principaux problèmes concernant l'accueil critique du progressif a  
longtemps tourné autour de la question de la musique elle-même. La  
complexité du discours progressif - la nature ésotérique de sa pratique -  
ont été la cause de beaucoup d'inquiétude de la part de la critique. En  
fait, la critique rock condamne l'habileté technique à un degré introuvable  
dans n'importe quelle autre sphère culturelle. Face à cette attitude, la  
réaction de comptoir de la communauté des musiciens consiste à prétendre qu'  
un tel dénigrement émane de musiciens frustrés. Je suggérerais plutôt que l'  
accent porté par le progressif sur le contenu et la forme de la musique a  
ouvert un abîme entre lui-même et la critique.  
 
C'est pourquoi ce livre se concentre en premier lieu sur la musique. Simon  
Frith , qui a déclaré un jour que le disco était musicalement plus «  
intéressant » que le rock progressif, se permet également de proclamer, de  
manière tout aussi désinvolte, son ignorance des techniques de composition  
musicale . Même si l'on peut opportunément citer la célèbre réplique du  
Docteur Johnson : « je ne sais pas comment on fait une chaise, mais je sais  
reconnaître une bonne chaise quand j'en vois une », mieux vaut peut-être  
prendre la peine de considérer ces mots du musicologue Allan Moore :  
« Le problème, c'est qu'un commentaire qui n'est pas étayé par une solide  
assise théorique est, au mieux, de qualité douteuse. Il est certain qu'aucun  
sociologiste ne tenterait d'expliquer (.) le rôle des maisons de disques  
dans le commerce versatile des musiques populaires sans un support  
acceptable de théorie culturelle sur lequel s'appuyer (.) »  
 
Je ne suis pas musicologue. Pas plus, j'en suis sûr, que beaucoup de mes  
lecteurs. Pas plus, j'en suis encore plus sûr, que beaucoup de musiciens  
lisant ces lignes. Mais comme affirme Moore, la musicologie est une affaire  
interdisciplinaire . C'est pourquoi je crois que le phénomène progressif ne  
doit pas être examiné uniquement au niveau musical, mais aussi en terme d'  
occurrences idéologiques et culturelles, à la fois sources et produits de la  
création de cette musique. Il doit donc être expliqué par l'évolution de la  
culture contemporaine en général, et même en termes de politique, d'  
économie, et d'attitudes face au sexe ou à la race. De plus, comme déclare  
encore Moore, le rock ne peut être compris qu'à travers ses propres termes,  
et non par référence à la musique classique, ethnique, ou à n'importe quelle  
autre musique. Comme il le fait très justement remarquer, « les normes de  
cette tradition critique passent à côté des facteurs particuliers où le rock  
peut être le plus intéressant (et complexe, et profond) : timbre, texture,  
manipulation sonore, qualité de l'interprétation, etc. » . Mais à ce niveau,  
les conditions sociales de sa production doivent aussi être prises en  
compte. Il convient en outre d'étendre cette étude aux liens qui unissent le  
progressif au postmodernisme, une parenté curieusement oubliée soulevant  
beaucoup de points intéressants qui, je l'espère, nous permettrons de  
re-situer le progressif dans l'histoire du rock.  
 
La nature inaugurale de cette étude va sans aucun doute la rendre  
imparfaite. Toutefois, comme je l'ai déjà souligné, je ne souhaite pas  
renforcer des opinions par ce livre, mais je veux inciter au débat. Quant  
aux histoires de plateaux spécialement recouverts de tapis pour ELP, ou de  
vaches en carton présidant aux enregistrements de Yes, ne vaut-il mieux pas  
en rire ?  
 
Je souhaite éviter une sur-intellectualisation manifeste, ce qui est  
précisément l'accusation la plus souvent portée contre le progressif. D'  
autre part, je suis conscient que mon approche risque de m'aliéner beaucoup  
de partisans du progressif, qui ont attendu trop longtemps une étude de  
cette musique tantôt inspirée, tantôt rebutante, mais toujours fascinante. A  
leur intention, je voudrais dire : tenez bon ! Les mythes associés au rock  
progressif, aussi bien ceux qu'il a lui même entretenu que ceux fabriqués  
par les discours critiques convenus, sont mes cibles privilégiées. Un grand  
travail de réécriture a été entrepris ici. Quoi que l'on puisse dire, l'  
intelligence, pour le meilleur ou pour le pire, était un des points forts du  
progressif.  
 
Un musicien progressif m'a dit un jour : « le rock progressif était  
typiquement britannique, une sorte d'amateurisme inspiré : comme Churchill  
et son mur de brique, comme les Beatles ». N'est-ce pas, aujourd'hui, une  
sagesse difficilement acceptée ? Une telle image ne semble pas correspondre  
à la vision couramment admise d'une musique cérébrale à destination des  
classes moyennes, au rock progressif démesuré dépeint par la légende,  
hyper-professionnel, athlétique et spectaculaire. Et pourtant, ce musicien  
était présent, plus proche de l'action que n'importe qui d'autre. Que  
voulait-il dire ?  
 
Je crois qu'une telle approche est essentielle, pour la simple raison qu'  
elle s'est fait longtemps attendre. Après un retard si injustifié, cette  
musique mérite une écoute digne et consciencieuse. L'une des plus fières  
prétentions du progressif était d'être une musique « pensante ». Cette  
affirmation était souvent loin d'être vraie. Les adeptes du progressif, qu'  
ils aient été face à la scène ou derrière les vitres des studios, étaient  
généralement trop absorbés par la consommation ou la réalisation de  
spectacles pour penser à la musique, et bien loin d'avaler les discours  
plats des maisons de disques sur une musique en provenance directe du cour  
et de l'esprit. Ce livre tente de combler ce vide intellectuel. Si les  
partisans du progressif pensent réellement leur musique plus que ne le font  
les fans de pop, alors voici leur chance de le prouver.  
 
Mon opinion est que le progressif a produit quelques unes des pages les plus  
fines de toute la musique pop et rock. Ses réalisations, passées ou  
présentes, réelles ou imaginaires, méritent une réaction plus rationnelle qu  
'une hagiographie à deux sous, ou leur rabaissement à des balancements de  
genoux. En gardant cela à l'esprit, il est donc nécessaire de répéter que la  
raison principale qui m'a poussée à écrire ce livre est qu'il était grand  
temps que quelqu'un le fasse."


---------------
www.stickerman.pro
n°5500030
amov
castor junior
Posté le 08-05-2005 à 13:17:36  profilanswer
 

:sleep:  :sleep:  :sleep:  :sleep:


---------------
www.evreux-basket.com  - Charazay: jeu de management de basket - Hattrick DV.164
n°5501795
galactor
Posté le 08-05-2005 à 17:56:07  profilanswer
 

Et IQ vous connaissez ? C'est du rock progressif.


---------------
Tu peux siffler..., C'est énorme !
n°5501893
Wren
Posté le 08-05-2005 à 18:07:03  profilanswer
 

galactor a écrit :

Et IQ vous connaissez ? C'est du rock progressif.


 
Voir par exemple ICI une chronique sur leur excellent dernier album "Dark Matter" !
 

n°5648080
odeu
ou trois?
Posté le 25-05-2005 à 11:27:20  profilanswer
 

là, je découvre rush, le pied integral.
bien vu, halloween.


Message édité par odeu le 25-05-2005 à 11:28:18
n°5648260
trendy pil​low
no pok i told you
Posté le 25-05-2005 à 11:44:22  profilanswer
 

chubakafree a écrit :

reponse a trendy pillow
pour le planant , tu peux rester à marillon avec le morceau GRENDEL sur l'album b.side themself un morceau d'une 30aine de minutes (une pur merveille).
 
Pour les floyd , difficile de faire un choix quand on est fan : mon prefere (d'une courte tete) reste wish you were here , dark side est excellent mais c'est vrai qu'a force de l'entendre à tous bout de champs ca peut devenir lassant.
Alors , pour le planant , tu peux te rabattre sur MEDDLE avec notament le morceau echoes (23" de bonheur).Seul reproche la prise de son est pas top , d'ailleurs si quelqu'un connait une réédition de cette album avec un son correct , merci de me le signaler...
 
et arrêter de vous chamailler , on peut donner son avis , mais avec un minimum d'argument, sinon ca sert vraiment à rien , à part aller lire un autre topic....


 
juste pour dire merci  :jap:  :jap:

n°5724481
ProgForEve​r
Posté le 01-06-2005 à 15:13:58  profilanswer
 

Si vous vous plaignez de certains prix CD et que vous cherchez des chroniques d'albums récentes ou pas précipitez vous ici :
http://www.progressivewaves.com
 
C'est un site tenu par des passionnés qui ont démarré une activité commerciale pour essayer d'offrir des prix enfin décents... :)
 
En prog pas connu mais excellent, jetez une oreille sur le dernier Steve Thorne, K² ou The Amber Light
 
Autrement il y a des découvertes vraiment amusantes tels les clones de Queen : Metal Majesty...

n°5727445
Kronos66
¯\_(ツ)_/¯
Posté le 01-06-2005 à 19:47:00  profilanswer
 

Quelqu'un a écouté le dernier Dream Theater ? franchement, c'est un vrai petit chef d'oeuvre rien que pour le morceau eponyme :) mais il est trop court...


Message édité par Kronos66 le 01-06-2005 à 19:47:15

---------------
« Si un referendum avait été organisé pour l’introduction de l’euro, nous l’aurions perdu. C’était parfaitement clair. Je l’aurais perdu, et de 7 contre 3 - j’ai agi comme un dictateur » - Helmut Kohl, 2002
n°5727545
cumstorm
Posté le 01-06-2005 à 19:57:08  profilanswer
 

Yep, ecouté (meme si c'est po bien:o) et pour l'instant je retient: These Walls et The Root Of All Evil qui sont vraiment des "tubes" en puissance et Octavarium qui est pas mal du tt..

n°5728312
Kronos66
¯\_(ツ)_/¯
Posté le 01-06-2005 à 21:18:27  profilanswer
 

clair que These Walls et Root Of All Evil sont de bons gros cartons :) Root est une bonne continuation de la saga AA. mais je rajoute Panic Attack et Sacrificed Sons pour son coté SFAM et le second couplet...
 
niveau tube typé radio, on a quand meme 2 morceaux : The answer lies within et surtout I Walk Beside qui fait vraiment trop U2 pour faire DT :/ mais malgré cette grosse repompe, je peux pas m'empecher de trouver le morceau excellent, notamment grace à Labrie qui est réellement genial sur ce morceau, et plus globalement sur tout l'album :)
 
Quant à Octavarium, que dire... bon déjà un morceau qui commence à la Pink Floyd, ça commence forcement bien :D ça c'est des bonnes references qui vont bien :) en tous cas un morceau dont on sent qu'il a été réellement composé.
 
je pense aussi que les fans de DT qui ont commencé à lacher le groupe pour cause de shred trop intensif chez Petrucci vont etre content, yen a pas :D (enfin, sauf sur un morceau, vite fait).
pareils pour ceux qui ont été saoulés par la sur-technicité generale et les morceaux instrumentaux... bon, ça reste du prog, mais quand meme :p
 
en bref : enfin un vrai album qui fera rougir les 3 precedents :)


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« Si un referendum avait été organisé pour l’introduction de l’euro, nous l’aurions perdu. C’était parfaitement clair. Je l’aurais perdu, et de 7 contre 3 - j’ai agi comme un dictateur » - Helmut Kohl, 2002
n°5728349
Profil sup​primé
Posté le 01-06-2005 à 21:21:48  answer
 

Filter est le seul groupe de métal progressif qui est subsisté dans ma discothèque

n°5733612
cumstorm
Posté le 02-06-2005 à 13:28:04  profilanswer
 

Sinon, vous avez remarqué le chant a la "muse", un peu tout au long de l'album...? moi ca ma choqué au début

n°5735400
Kronos66
¯\_(ツ)_/¯
Posté le 02-06-2005 à 16:01:38  profilanswer
 


 
mal à l'aise ? à cause de quoi, du theme du morceau ? c'est vrai que musicalement c'est assez "tordu", mais...
 

cumstorm a écrit :

Sinon, vous avez remarqué le chant a la "muse", un peu tout au long de l'album...? moi ca ma choqué au début


 
comme gracchus13, j'ai jamais écouté Muse, mais c'est ce qu'on dit, oui... et c'est confirmé par le fait que Portnoy ait parlé de cette reference assez ouvertement (c'etait lors d'une interview je crois)


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« Si un referendum avait été organisé pour l’introduction de l’euro, nous l’aurions perdu. C’était parfaitement clair. Je l’aurais perdu, et de 7 contre 3 - j’ai agi comme un dictateur » - Helmut Kohl, 2002
n°5739172
Kronos66
¯\_(ツ)_/¯
Posté le 02-06-2005 à 21:42:09  profilanswer
 


 

Citation :

Walls are closing anxiously
channel surfing frantically
Burning city, smoke and fire
planes were certain ???? and spire
 
 
No clues a complete surprise
we'll be coming home tonight
 
Heads are turning towards the sky
Towers crumble, heroes die
 
 
chorus:
 
Who would wish this on our people?
And proclaim that his will be done
scriptures say he had misled them
All praise their sacrificed sons
All praise their sacrificed sons
 
 
 
[Instrumental section]
 
 
 
Teach them what to think and say
your ways saw in lightening
watch them preach i can't relate
it cuts true love, ?? of hate
 
chorus:
 
Who would wish this on our people?
And proclaim that his way that we die
scriptures say he had misled them
All praise their sacrificed sons
All praise their sacrificed sons
 
 
Gone on high
A mistake
Will mankind
be extinct
 
There's no time
Time to waste
Who serves the truth
For heaven's sake?


 
bah ils parlent de ce qui les a traumatisés... c'est déjà moins tendencieux que dans "in the name of god", où le sujet etait carrément "ces religions qui poussent les gens à tuer et à se tuer" :o :D


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n°5740762
cumstorm
Posté le 02-06-2005 à 23:21:46  profilanswer
 

ca s'applique uniquement aux barbus musulmans "in the name of god"? ou ya une part d'autocritique qd meme...(flemme de traduire les paroles:o)

n°5741811
Kronos66
¯\_(ツ)_/¯
Posté le 03-06-2005 à 01:31:26  profilanswer
 

en fait, le morceau evolue : ya des parties qui parlent typiquement aux extremistes musulmans (elevés depuis le berceau, violence toussa) puis ils elargissent à d'autre cultes (dont les sectes il me semble) et il reviennent vers le catholicisme plusieurs fois, surtout vers la fin quand ils parlent de croisade, et qu'ils se posent la question "suivre notre foi nous conduit-elle à etre violent ?" ou un truc comme ça...
 
edit : en fait je viens de relire les paroles, et je me demande si ça parle réellement des stremistes musulmans... c'etait clairement le contexte quand le morceau a été ecrit, mais en fait j'ai l'impression que c'est surtout une reflexion generale... le probleme, c'est qu'il y a 2 couplets que je comprends pas :
 
Self-proclaimed messiah
Led his servants
To their death
Eighty murdered
In the name of God

 
Forty sons and daughters
Un-consenting plural wives
Perversions
In the name of God  
 
ça a l'air precis, mais je sais pas à quoi ça se refere :??:  
 
par contre, le couplet suivant se refere à mon avis à la secte japonaise tristement celebre :
 
Underground religion
Turning toward
The mainstream light
Blind devotion
In the name of God


Message édité par Kronos66 le 03-06-2005 à 01:36:45

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« Si un referendum avait été organisé pour l’introduction de l’euro, nous l’aurions perdu. C’était parfaitement clair. Je l’aurais perdu, et de 7 contre 3 - j’ai agi comme un dictateur » - Helmut Kohl, 2002
n°5742397
Tony Kaye
Yes never die!
Posté le 03-06-2005 à 06:47:10  profilanswer
 

Personnellement, je préfère le YES des années 70's, à partir de "The Yes Album" (pour «Starship trooper» et «Yours is no disgrace») jusqu'à "Going for the One" («Wonderous stories»). Il n'est pas contestable de dire que YES a connu son apogée aussi avec les titres «Roundabout», «Mood for a day», «Close to the edge», «Siberian kathru», «And you and i», «Soundchaser», «The gates of delirium», «Wonderous stories» et le fameux et sublime franco-anglo «Ritual: nous sommes du soleil». Les morceaux du "Yes Album" sont bien aussi.
 
Mais fin 1977, en 1978, "Tormato" a été selon moi, un flop musical, qui annonçait l'arrivée de "Drama" (je ne peux pas détester ce disque, étant donné que j'ai travaillé avec Trevor Horn, qui est un homme de grande qualité et l'un des génies de la production), mais la 1ère fois que j'ai vu YES sans Anderson, c'était en 1980 au Madison Square Garden. Auparavant, j'ai vu le groupe en 1971 (pendant "The Yes Album" Tour), 1972 (pour "Fragile" ), 1974 (pour "Tales from Topographic Oceans" ), 1976 (et à Montréal en plus, pour "Relayer" avec Patrick Moraz aux claviers) et enfin, en 1977 pour "Tormato". J'ai revu le groupe, après "Drama", en 1984 (pour "90125"... ce fut une étrange coïncidence de revoir Tony Kaye, après 12 ans d'absence au sein du groupe, remplaçer Rick Wakeman), en 1988 et en 1991 (pour "Union" avec Bill Bruford, Tony Kaye, Rick Wakeman, Alan White, Jon Anderson, Trevor Rabin etc... la plus improbable tournée et la plus réussie sans aucun doute!). Enfin, j'ai vu le YES de 1994 en show,  
pour "Talk". Et je n'ai jamais décroché. J'étais aux concerts de Slo en 1996, pour "Keys to Ascensions": ils ont enregistrés trois concerts en audio, avec pour but, d'en faire un album live et un DVD live. Ce qui était une bonne idée. Jon Anderson avait encore la voix pour. Et il reste le plus grand chanteur britannique (élu en 1976, après "Relayer" ).
 
 
Sinon, j'aime bien aussi GENESIS' que j'ai vu en concert dès 1971 (pour "Nursery Cryme" ). À l'époque, Phil Collins n'était dans le band que depuis 1 an, comme Steve Hackett, mais déjà, le génie était en place. Et j'ai aussi vu GENESIS jouer «Can Utility and the Coastliners» en spectacle. C'était très impressionnant. Je suis un vieux routier des concerts, j'ai pris mon expérience comme ça avant d'aller étudier à l'école du Show Business de Montréal, après 38 ans de route dans la business. J'ai décidé d'obtenir mon diplôme afin de pouvoir démontrer que j'étais un professionnel du milieu. Ce que j'ai acquérit aujourd'hui. Tous ces vieux groupes, je les ai vus Live. C'était une émotion incroyable durant les années '70s. J'ai vu aussi KING CRIMSON à Hyde Park en 1969, en 1ère partie des STONES, et avec Mike Giles comme batteur, c'était tout simplement HALLU-CI-NANT! Ils surpplantaient les STONES et de loin à part ça.
 
Bon bien voilà.
 
Je vous laisse là-dessus et si il y en a qui veulent me jalouser... :D

n°5743951
yopyopyop
หมดตูด
Posté le 03-06-2005 à 12:02:31  profilanswer
 

Tony Kaye a écrit :


Sinon, j'aime bien aussi GENESIS' que j'ai vu en concert dès 1971 (pour "Nursery Cryme" ). À l'époque, Phil Collins n'était dans le band que depuis 1 an, comme Steve Hackett, mais déjà, le génie était en place. Et j'ai aussi vu GENESIS jouer «Can Utility and the Coastliners» en spectacle. C'était très impressionnant. Je suis un vieux routier des concerts, j'ai pris mon expérience comme ça avant d'aller étudier à l'école du Show Business de Montréal, après 38 ans de route dans la business. J'ai décidé d'obtenir mon diplôme afin de pouvoir démontrer que j'étais un professionnel du milieu. Ce que j'ai acquérit aujourd'hui. Tous ces vieux groupes, je les ai vus Live. C'était une émotion incroyable durant les années '70s. J'ai vu aussi KING CRIMSON à Hyde Park en 1969, en 1ère partie des STONES, et avec Mike Giles comme batteur, c'était tout simplement HALLU-CI-NANT! Ils surpplantaient les STONES et de loin à part ça.
 
Bon bien voilà.
 
Je vous laisse là-dessus et si il y en a qui veulent me jalouser... :D


spece d'enflure [:dakans]


Message édité par yopyopyop le 03-06-2005 à 12:02:41
n°5746093
Kronos66
¯\_(ツ)_/¯
Posté le 03-06-2005 à 15:06:51  profilanswer
 


 
en meme temps, DT n'a jamais été un groupe militant, alors quand ils parlent de themes d'actualité, ça reste assez general (voir The Great Debate aussi). en fait c'est quand ça les concerne directement qu'ils sont beaucoup plus specifiques (ce qui me fait d'ailleurs penser que j'ai l'impression qu'en fait, Octavarium est la suite du theme de 6:00 (au moins pour la premiere partie). j'ai du mal à saisir le theme general d'Octavarium, d'ailleurs... plus ça va, et plus je me demande si c'est pas une musique sur la musique et son monde (references musicales, l'histoire du type qui se rend compte qu'en fait il appartient au monde qu'il avait rejeté (6:00->Octavarium), la partie sur les fans, l'idée d'etre prisonnier dans l'echelle musicale des 7 notes (root, second, third, etc...). c'est un theme assez recurrent dans leurs derniers albums...


---------------
« Si un referendum avait été organisé pour l’introduction de l’euro, nous l’aurions perdu. C’était parfaitement clair. Je l’aurais perdu, et de 7 contre 3 - j’ai agi comme un dictateur » - Helmut Kohl, 2002
n°5746236
cumstorm
Posté le 03-06-2005 à 15:17:21  profilanswer
 

Le morceau octavarium parle de quoi en fait?

n°5746275
Tony Kaye
Yes never die!
Posté le 03-06-2005 à 15:20:21  profilanswer
 

Dream Theatre?
 
J'aimais quand mon cher ami Derek Sherinian y était. Et dire qu'ils ont virés un génie pareil... :pfff:  
 
C'est à partir de ce moment-là que j'ai décroché. L'album "Once in a LIVETIME" est sans conteste leur meilleur CD live, Sherinian apportait une touche magique au groupe.
 
Mais ce que je préfère, ce sont les disques "Planet X", "Universe", "Live from Oz" (double en concert excellent- pour preuve, j'étais à Perth durant l'un de ces concerts... Virgil Donati double pedal... vraiment = Mike Portnoy si ce n'est mieux. Le dernier, "Moonbabies" est vraiment excellent aussi. Les productions de Sherinian, avec Virgil Donati et Tony McAlpine (guitare) méritent vraiment d'être écoutées.

n°5746472
cumstorm
Posté le 03-06-2005 à 15:37:57  profilanswer
 

Yep, sherinian ca arrache je suis bien d'accord, mais pas dans DT... pour bcp, la periode sherinian dans DT c'est FII qui est a mon avis leur plus mauvais album (bon ils ont aussi fait ACOS avec lui donc ca compense :D)Par contre en solo c'est vraiment bon, j'adore ses sons de clavier "agressifs" et sa maniere d'accompagner la guitare sans se mettre trop en avant... les morceaux avec Zakk Wylde sont énormes je trouve (sur black utopia et le dernier mythology)
 
PS:tony kaye c'est le réal de American History X non?
 
>homonyme avec le clavier de Yes apparamment... :o


Message édité par cumstorm le 03-06-2005 à 15:46:14
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