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Auteur Sujet :

Le rock a-t-il terminé son évolution?

n°5344963
panzemeyer
The torture never stops
Posté le 20-04-2005 à 16:59:47  profilanswer
 

Reprise du message précédent :
Bah oui, mais de là à en parler à propos du rock atlernatif... :gratgrat:  
 
Et le metal, c'est encore autre chose.


Message édité par panzemeyer le 20-04-2005 à 17:00:30
mood
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Posté le 20-04-2005 à 16:59:47  profilanswer
 

n°5344996
Profil sup​primé
Posté le 20-04-2005 à 17:01:26  answer
 

je pense qu'on peut dire que ce sont des groupes "alternatifs".
 
alternatif n'est pas un terme désignant uniquement les groupes de grunge :D c'est un terme très ouvert, a la base il me semble qu'il désigne les groupes quine font pas de la musqiue FM, les groupes qui sont une alternative à la soupe radiophonique (il me semble que c  a peu près ca la définition originelle de musique alternative)

n°5345034
mandrillou
Bootleg Powaaaa!
Posté le 20-04-2005 à 17:04:10  profilanswer
 

J'avoue même avoir été dans la pire des caricatures!!!!! :lol:  
 
Y'a plein de gens qui écoutent les 2, on cherche pas les mêmes sensations quand on écoute King Crimson et les Bérus par exemple...
 
En plus, beaucoup de branches du métal sont plus ou moins influencées par ces deux musiques.
 
Mais quand j'y repense, autant le "progressif" me parait bien identifié en tant que style musical, mais pour "alternatif" ça me parait moins évident... Y'a ceux pour qui c'est l'underground punk du milieu des années 80 ( issu du punk donc ), d'autres pour qui ça désigne tout ce qui n'est pas formaté ou mainstream ( définition très variable d'une personne à l'autre, voire d'un pays à l'autre ) et y'a des tas d'autre variantes, ce qui m'apparait clair c'est que ça peut désigner un style musical comme un état d'esprit...

n°5345037
steffouill​e
Posté le 20-04-2005 à 17:04:33  profilanswer
 

moi je pense que les meilleur groupes de rock sont fini!!!  
Pink floyd, AC/DC, queen... et beaucoup d'autres  
Maintenant, qu'est ce qu'il y a comme bon groupe de rock ?  
si linkin park pour vous c du bon rock alors il y a de quoi se poser des question ( maintenant ils arrivent mê a chanter ac des rappeur :pfff: ) enfin la dessus je ne suis pas d'accord ... excusez moi si ce que je dis répond au premier poste du débat mais enfin soit ...  
le rock est-il fini? c'est une bonne question, peut être reviendra t-il avec le temps, mais les meilleurs sont partis ..

n°5345046
Profil sup​primé
Posté le 20-04-2005 à 17:05:22  answer
 

:jap: mandrilou
 
perso je pense que l'alternatif est plutot un état d'esprit après c'est une question de jugement

n°5345057
panzemeyer
The torture never stops
Posté le 20-04-2005 à 17:06:12  profilanswer
 

Donc pour toi alternatif = non commercial ?  
 
Pas pour moi.  

n°5345060
Profil sup​primé
Posté le 20-04-2005 à 17:06:25  answer
 

steffouille a écrit :

moi je pense que les meilleur groupes de rock sont fini!!!  
Pink floyd, AC/DC, queen... et beaucoup d'autres  
Maintenant, qu'est ce qu'il y a comme bon groupe de rock ?  
si linkin park pour vous c du bon rock alors il y a de quoi se poser des question ( maintenant ils arrivent mê a chanter ac des rappeur :pfff: ) enfin la dessus je ne suis pas d'accord ... excusez moi si ce que je dis répond au premier poste du débat mais enfin soit ...  
le rock est-il fini? c'est une bonne question, peut être reviendra t-il avec le temps, mais les meilleurs sont partis ..


en même temps a l'heure actuelle il y a plein de bons groupes de rock qui ne s'appellent pas linkin park
 
je vois pas de "monuments" comme acdc ou motorhead dans le rock actuel, mais bon faut pas cracher dans la soupe, il ya  qaund même des groupes sympas

n°5345091
Profil sup​primé
Posté le 20-04-2005 à 17:09:02  answer
 

panzemeyer a écrit :

Donc pour toi alternatif = non commercial ?  
 
Pas pour moi.


Rock Alternatif est une dénomination née durant les années 1980 en opposition au Pop-Rock constitué de grands groupes internationaux, et à la New Wave du moment, profondément ancrée dans des circuits commerciaux. Les groupes classés dans cette catégorie se démarquaient en étant généralement produits par des petites maisons indépendantes, et par l'impossibilité de les classer dans les catégories musicales existantes. Cette catégorie incluait tout les genres expérimentaux ou fusions, dérivés du punk, du Rap, du ska, des musiques électroniques ou populaires., etc., et vise plus à signifier la non-appartenance aux courants musicaux existants qu'à affecter à un véritable courant musical. Le Rock alternatif ne constitue un ensemble que dans la mesure où il désigne les groupes d'une période délimitée et suffisament dynamique musicalement pour avoir donné jour à un grand nombre de groupes pour lesquels il n'y avait pas de classification appropriée.
 
Mais cette catégorie va surtout prendre forme autour des mouvements punks, tombés dans l'oubli peu après leur émergence. Au début des années 1990, le succès du grunge conduit une autre dénomination à apparaître afin de préserver l'opposition au rock commercial: l'Indie rock ou rock indépendant. En effet, le rock alternatif va entrer dans les circuit commerciaux, en soutenant principalement le post-punk.
 
Quelques groupes de rock alternatif ont fusionné le rock avec des ritmes latinos, ce qu'on pourrait appeler le Rock alternatif latino.
 
http://fr.wikipedia.org/wiki/Rock_alternatif
 
a priori j'ai raison dans la définition de base, mais tu a raison dans son évolution :D

n°5345100
el muchach​o
Comfortably Numb
Posté le 20-04-2005 à 17:10:15  profilanswer
 

mandrillou a écrit :

Ben, pour ne vexer personne ( ou tout le monde ) je dirais que:
 
-Le fan d'altern-rock a tendance à trouver le progressif chiant avec ses solos interminables et nombrilistes. :sleep:  
 
-Le fan de prog-rock a tendance à trouver l'alternatif trop simpliste, sans originalité ni virtuosité. :pfff:  
 
 
L'alternatif peut être assimilé ( dans l'esprit ) au punk dont il est un cousin proche.
Le progressif peut-être placé à mi-chemin entre le jazz-rock ( pour la complexité et la virtuosité ) et le rock psychédélique ( pour l'approche cosmico-barrée )
 
 :) Enfin, c'est ma vision en essayant d'être objectif...


 
Non, moi je place le courant progressif dans le groupe alternatif.  
J'aime le progressif en tant qu'alternatif.
Pour moi, progressif est un "courant", l'alternatif n'est pas un courant musical, mais ce terme qualifie tout ce qui n'est pas mainstream, ou plus précisément, tout ce qui n'est pas produit avec une aide extérieure de la part de studios (auteurs, musiciens, "arrangeurs" extérieurs notamment), autrement dit, le rock alternatif est auto produit, et donc a priori moins frelaté.
Du coup, pas mal de groupes "Indie" sont passés rapidement de la scène alter au mainstream (et sont morts aussi sec).
 
Ou pour ne pas se faire chier, le rock alter, c'est ce qui se trouve dans le rayon alter de la fnaque. :D
 
edit : évidemment, la définition donnée dans le post précédent est autrement plus précise, mais aujourd'hui, je pense que ce que je viens de dire est à peu de choses près assez proche de la vérité.


Message édité par el muchacho le 20-04-2005 à 17:50:53
n°5345200
steffouill​e
Posté le 20-04-2005 à 17:21:07  profilanswer
 


 
Non en effet, la musique suis son époque, je veux simplement dire que le rock d'il y a 15 ans a bien changé!
Je vais voir queen ce soir en concert ... bien sure ce ne sera certainement pas comme a l'époque de freddy mercury, qui a été remplacer par Paul rodgers pour chanter ses chansons. Je vais notament avec mon père, le groupe de sa jeunesse, il ne pouvai pas manquer ca! Et des gens que je connais, qui ont mon age, je me rend compte qu'il y en a un bon paquet qui ne connaissent pas queen, un groupe pourtant mondialement connu! Alors je pense que tu as raison, la music suis son temps, queen c'est dépasser malgrés que ca reste un très bon groupe ...  
 
mais moi une chose me fais peur, c'est l'influence de la radio!
Prenons l'exemple de pleymo, je ne sais pas si vous connaissez, mais tout d'un coup, ils ont tt a fait changer leur style de music et passait, lors de la sortie de leur dernier single, ... sur NRJ!!!
je ne trouve pas ca normale ... un groupe devrait savoir garder sa personnalité et son style avec les gens qui l'apprécie, pourquoi vouloir changé pour avoir un meilleur public, ils décu pas mal de gens je crois ...  

mood
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Posté le 20-04-2005 à 17:21:07  profilanswer
 

n°5345202
mandrillou
Bootleg Powaaaa!
Posté le 20-04-2005 à 17:21:45  profilanswer
 

steffouille a écrit :

moi je pense que les meilleur groupes de rock sont fini!!!  
Pink floyd, AC/DC, queen
... et beaucoup d'autres  
Maintenant, qu'est ce qu'il y a comme bon groupe de rock ?  
si linkin park pour vous c du bon rock alors il y a de quoi se poser des question ( maintenant ils arrivent mê a chanter ac des rappeur :pfff: ) enfin la dessus je ne suis pas d'accord ... excusez moi si ce que je dis répond au premier poste du débat mais enfin soit ...  
le rock est-il fini? c'est une bonne question, peut être reviendra t-il avec le temps, mais les meilleurs sont partis ..


1) A l'époque de Queen et Pink Floyd, certains disaient que depuis que les Beatles etaiens dissous et la mort de Brian Wilson tout était dit... faut arrêter les lieux commun, les groupes actuels nous parraissent toujours moins bons que les gloires du passé, qui bénéficieront toujours de leur inaccessiblité. Et je dis ça, bien que mes groupes favoris soient Led Zep et le Floyd, mais je pense que mes enfants mettront Radiohead au même niveau.  
Il faut aussi voir que ces groupes qu'on vénère étaient très critiqué de leur temps pour leur succès énorme, chaque nouvel album décevait une partie des fans qui jugeaient que ça n'était plus "leur" Led Zep ou "leur" Floyd, ces mêmes disques qui nous parraissent tous incontournables ajourd'hui...
 
2) Je ne sais pas si je dois encore relever ce genre de remarque sur le rap ( l'autre fois c'était la techno, chacun son tour ) D'après toi ces mecs sont donc à mépriser parce qu'il collaborent avec des rappeurs? Je n'aime pas du tout Linkin Park, mais c'est pas ça que je vais leur repprocher en tout cas, je fais partie d'une génération bercée par la BO de Judgment Night et "Walk This Way" de Run DMC/Aerosmith, et des groupes comme RHCP ou RATM ont construit leur gloire sur le mélange des genres. J'écoute très peu de rap ( Cypress Hill et des vieux trucs ) mais c'est un mouvement qui est respectable, très caricaturable, mais pas plus que le rock. Comme nous on est pas dedans on ne vois que les clichés du genre, mais pour eux on est tout juste bons à faire du bruit avec de la saturation, et en plus on fait pas danser les filles ( le groove, les amis, tout ça vient du funk! Car si nos héros sont Hendrix et Page, les leurs sont Curtis Mayfield, James Brown et Isaac Hayes, excusez du peu!!! )
 
 
Mr Mat a donné la meilleure définition possible d'alternatif je crois...  :jap:


Message édité par mandrillou le 20-04-2005 à 17:24:56
n°5345250
mandrillou
Bootleg Powaaaa!
Posté le 20-04-2005 à 17:26:22  profilanswer
 

el muchacho a écrit :

Non, moi je place le courant progressif dans le groupe alternatif.  
J'aime le progressif en tant qu'alternatif.

Tu as raison en fait. :o  
 
Mais si dans mon post on remplace "alternatif" par "punk"... ;)  

n°5345565
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 20-04-2005 à 17:57:01  profilanswer
 

moi progressif et alternatif je fais une distinction bon! Jr crois qu'alternatif c'est plus variable comme style, mais bon...


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Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5345797
Profil sup​primé
Posté le 20-04-2005 à 18:20:01  answer
 

plaster a écrit :

moi progressif et alternatif je fais une distinction bon! Jr crois qu'alternatif c'est plus variable comme style, mais bon...


oui mais toi t'a deja prouvé que t'y connaissais rien  [:toyonos]

n°5346055
dardillo
En avant calme et droit
Posté le 20-04-2005 à 18:47:00  profilanswer
 

J'suis pas trop calé là dessus, mais drapal, c'est intéressant.


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Ooooooh là ! tout doux, Tornado !
n°5346211
ehben
Posté le 20-04-2005 à 19:01:28  profilanswer
 

LE trip hop évolue aussi mais bcp de groupes qui étaient trip-hop avant, ne se disent plus trip hop ajd (Hooverphonic, Airlock,...)

n°5346313
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 20-04-2005 à 19:14:11  profilanswer
 


 
ouais toi c'est clair, tu t'y connais  :pt1cable:


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Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5346801
samhob
Posté le 20-04-2005 à 20:04:43  profilanswer
 

AC/DC ils sont aujourdui aussi actifs que dans les annees 80 ( tournée tout le temps)(Stiff upper lip qui a mon savoir n'est pas plus vieux que 5 ans) et tout aussi exellent que les anciens albums..


Message édité par samhob le 20-04-2005 à 20:59:04
n°5346859
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 20-04-2005 à 20:11:03  profilanswer
 

Quoi tu ne trouve pas Lorie Créative :D  
 
 
Chuis sur qu'elle l'est ....
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
.. au lit :)


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Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5346915
abakuk
Posté le 20-04-2005 à 20:15:57  profilanswer
 

xjoker a écrit :

Si tu relis ma phrase, non, ce n'est pas ce que j'insinuais.

Ah oké, j'ai capté, mille excuses, j'avais pas les yeux en face des trous... :pt1cable:  
 
 
 

plaster a écrit :

Tiens, au fait, ça veut dire quoi "rock alternatif"?  
 
Je dis que c'est quand un groupe fond des trucs qui passe par exemple du punk au métal en plein millieux d'un traxx et qu'ensuiete un long bon relaxe digne de radiohead :)

J'aime pas trop les groupes qui font ça, on dirait qu'ils ne savent pas choisir un style, qu'ils ont le cul entre deux chaises...
 
 
 
 Oui mais attention, un vrai morceau progressif doit avoir une unité, un fil conducteur. Des bouts de morceaux collés les uns aux autres, ce n'est pas du bon progressif.


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Islamophobie | Rapport Obin | Test de pureté
n°5346997
Handsome d​evil
Posté le 20-04-2005 à 20:24:08  profilanswer
 

mandrillou a écrit :

1) A l'époque de Queen et Pink Floyd, certains disaient que depuis que les Beatles etaiens dissous et la mort de Brian Wilson tout était dit...


Ah, Brian Wilson était donc décédé à l'époque ? J'ai toujours su que la résurrection n'était pas si difficile à pratiquer quand on a la technique   :o  


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Zvarri !
n°5347018
mandrillou
Bootleg Powaaaa!
Posté le 20-04-2005 à 20:26:15  profilanswer
 

OUARF!!!!!!! :lol:  :lol:  :lol:  
 
 
 :sweat: honte à moi je voulais dire Brian Jones, mais nos aimables lecteurs auront rectifié d'eux-même :o

n°5347043
Handsome d​evil
Posté le 20-04-2005 à 20:29:03  profilanswer
 

mandrillou a écrit :

OUARF!!!!!!! :lol:  :lol:  :lol:  
 
 
 :sweat: honte à moi je voulais dire Brian Jones, mais nos aimables lecteurs auront rectifié d'eux-même :o


Ah mais non. Pour un mec qui peut composer Good Vibrations ou Surf's Up, ressuciter c'est de la petite bière  :D  


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Zvarri !
n°5347112
panzemeyer
The torture never stops
Posté le 20-04-2005 à 20:38:02  profilanswer
 

samhob a écrit :

AC/DC ils sont aujourdui aussi actifs que dans les annees 80 ( cetais surotut dans les 70 lexplosion ) , ils font que des tournees et dailleurs leur dernier album ( stiff upper lip qui a mon savoir nest pas plus vieux que 5 ans) et tout aussi exellent que les vieux..  

C'est pas gentil pour leurs premiers albums ça. :D

n°5353662
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 21-04-2005 à 15:06:49  profilanswer
 

mandrillou a écrit :

OUARF!!!!!!! :lol:  :lol:  :lol:  
 
 
 :sweat: honte à moi je voulais dire Brian Jones, mais nos aimables lecteurs auront rectifié d'eux-même :o


 
ça me dit rien et je veux pas savoir c'est quoi  :o


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Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5353712
xtieux
4 those i love i'll sacrifice
Posté le 21-04-2005 à 15:13:06  profilanswer
 

écoutez jr ewing vous verrez que le rock n'a pas terminé son évolution, tiens the grizzly twister aussi


Message édité par xtieux le 21-04-2005 à 16:53:38

---------------
You hate everything you need compassion, love and the air you breath. If there was a god i'd pray for you... you hate me ; that's ok... cause... i hate you too!!!
n°5353733
Drizzt
Posté le 21-04-2005 à 15:15:43  profilanswer
 

ça dépend ce qu'on a le droit d'englober dans "rock" dans ce topic ;)

n°5353749
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 21-04-2005 à 15:17:47  profilanswer
 

ouais je ne connais pas les groupe énuméré, mais s'ils font de la musique de sauvage de braillard crieur, je ne trouve pas que ce style est une évolution


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Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5353756
xtieux
4 those i love i'll sacrifice
Posté le 21-04-2005 à 15:18:41  profilanswer
 

écoute jr ewing


---------------
You hate everything you need compassion, love and the air you breath. If there was a god i'd pray for you... you hate me ; that's ok... cause... i hate you too!!!
n°5353766
odeu
ou trois?
Posté le 21-04-2005 à 15:19:39  profilanswer
 

si qqun a le courage, ceci est vraiment tres instructif...
à l'ecran, c mortel, moi, je l'ai imprimé (et gardé)
 slt
 
"Si çà peut aider, je retransmets à l'attention de tous ceux qui auront le
courage de la lire jusqu'au bout, l'introduction du livre de Paul Stump "The
Music's All That Matters", que j'avais traduite il y a un ou deux ans.
 
C'est l'un des textes les plus pertinents que je connaisse sur le thème de
la définition du prog (et il répond à mon avis très bien au débat en cours).
Bon courage :
 
 
Contrairement à une idée reçue, le principal problème du rock progressif n'
est pas l'auto-indulgence. Ce n'est pas non plus l'incompétence ou l'
inculture de la critique. Ce n'est pas même la prétention (une épithète que
les inventeurs de cette musique ont dû si souvent supporter avec un patient
stoïcisme). Oh non ! Le problème du progressif, c'est son nom.
 
Le rock progressif est peut-être le genre le plus consciemment « adjectivé »
de toute l'histoire du rock. Son nom même implique des propriétés
intrinsèques. Il s'agit d'un rock qui, à l'évidence, « progresse ». Le sujet
est à peine effleuré, et nous voici déjà renversé cul par dessus tête. sans
rentrer dans la nature même de cette progression, peut-on dire du rock qu'il
progresse ?
De telles questions ne sont pas le centre d'intérêt de cet ouvrage.
 
Ce livre a d'abord pour préoccupation de définir, puis d'étudier le rock
progressif en tant que phénomène. Le plus grand nombre, si ce n'est la
totalité, des gens que j'ai interviewé m'ont demandé comment je définissais
le rock progressif. Peu d'entre eux ont été susceptibles d'être classés sous
cette rubrique. Bien que la presse progressive l'ai fait, je ne leur en fait
pas le reproche. Mais peut-être est-ce là le problème : la réputation de la
musique. Le rock progressif est un terme vague et péjoratif, une sorte de
catégorie virtuelle, plus couramment associée au rock expérimental ambitieux
des années 70, à une époque où le standard de trois minutes appliqué à la
musique populaire volait en éclats, et où celle-ci se trouvait brusquement
étirée dans toutes les directions, oscillant sans cesse entre la recherche d
'une dimension artistique et d'une portée politique. Le rock progressif
était la musique de fond accompagnant tous les bouleversements de la
contre-culture à la fin des années 60, et la chimère grandiose d'une
méticuleuse transformation sociale et culturelle.
 
Le rock était alors perçu comme faisant partie d'une culture « en
progression », et toutes les formes de musiques étaient jugées «
progressives » dès lors qu'elles semblaient braver les normes commerciales.
Avec le temps, toutefois, le terme s'est restreint à un ensemble confus de
musiques, caractérisées par un haut degré de complexité instrumentale et
structurelle. Les caractéristiques ordinaires du rock - le rythme et la
mélodie - y étaient déconsidérées au profit de la virtuosité instrumentale
comme critère de valeur absolu. La composition et la construction étaient
envisagés comme des moyens d'expression aussi valides que la spontanéité
créative. L'intérêt culturel et social y était recherché à travers le
croisement d'autres musiques, telles que la folk, le classique et le jazz.
Après la disparition, à la fin des années 70, de cette forme musicale
distendue et souvent même éclatée, minée par le développement graduel de son
opposé, le Punk prolétaire basique et ultra-fondamentaliste, la critique a
commencé à définir le terme « progressif » comme désignant toute forme de
musique rock plaçant le langage musical au premier plan, en tant que moyen d
'expression discrétionnaire et souverain. Un biais par lequel l'interprète s
'efforce, ou semble s'efforcer, de porter la musique populaire au delà des
limites de la chanson pop préfabriquée, et des structures conventionnelles
de la chanson en général. Un lieu où la musique tente d'atteindre un «
ailleurs » culturel, en dépassant les conventions du rock ou de la pop.
 
Mais la culture Techno n'a-t-elle pas effectivement renvoyé le standard des
trois minutes dans les poubelles de l'histoire ? The Residents, Père Ubu et
les autres groupes d'avant-garde européens et américains ne prennent-ils pas
de telles distances avec le rock ? La réponse est oui. Mais ils le font sans
l'héritage spécifique du savoir-faire musical qui rend le vrai progressif
unique.
 
D'une certaine façon, le titre de cet ouvrage est un mensonge. La musique n'
est pas la seule chose qui compte. L'idéologie - l'idéologie progressive -
de l'idéalisme artistique a suivi un cheminement culturel ininterrompu qui
remonte aux années 40. La tradition des écoles d'art, prônant l'
individualisme créatif, le génie et l'aventurisme romantique dans les arts,
a influencé beaucoup de branches de la musique populaire britannique, mais
une conjoncture spécifique de conditions culturelles, sociales et
économiques dans la deuxième moitié des années 60 a favorisé la production
de musique pour la musique elle-même. C'est l'héritage de ce phénomène que j
'ai tenté de retracer.
 
Un grand nombre des personnes que j'ai interrogées nient l'existence du «
rock progressif » en tant qu'entité, l'acceptant tout juste comme une
étiquette commode, inventée après coup par les journalistes. Je partage leur
cynisme, mais je pense quand même que l'utilisation du terme « progressif »
pour désigner les travaux de Peter Gabriel, des incarnations de King Crimson
dans les années 90, et même des libres improvisateurs comme Chris Cutler,
est pertinente. Ce qui unit tous ces musiciens, c'est une idéologie
progressive commune de l'expression musicale rock, ce désir d'une «
transcendance » par le rock qui est au coeur de la musique progressive.
 
Les musiciens progressifs, s'il fallait en croire leurs directeurs
artistiques, n'étaient pas simplement des musiciens de rock. Ils étaient -
dans les années 70 tout au moins - des artistes, mus par des aspirations
élevées d'expression et d'originalité personnelles, d'authenticité
individuelle, d'honnêteté, et autres semblables qualités universelles. Leur
musique, nous assuraient ces mêmes publicitaires, ne s'immobilisait jamais,
méprisait les conventions, était dans un état d'évolution permanente - à l'
inverse de la pop contemporaine mercantile et stéréotypée, à l'encontre de
laquelle elle était commercialisée. Effectivement, une minorité manifeste de
musiciens progressifs avait sincèrement adopté des points de vues
artistiques et politiques radicalement révolutionnaires, et dynamitaient
leur musique avec un radicalisme théorique rigoureux. Ces hommes et ces
femmes représentaient une facette du rock progressif différente de ce que l'
on présentait communément et stupidement comme l'idéal-type du genre (des
rockers de stade exubérants), et leur contribution - le Rock In Opposition,
héritage de Henry Cow, des Art Bears, de Recommended Records, et de quelques
autres - occupe une place centrale dans ce livre, à côté d'interprètes plus
traditionnels comme Genesis ou Yes. Tout bien considéré, ces conceptions se
sont combinées pour créer la forme la plus distinctement anglaise et
unanimement controversée du rock et de la pop (ce qui explique pourquoi je
me concentre presque exclusivement sur les îles britanniques dans cette
étude).
 
Mon but est d'exposer les complexités et les contradictions de cette forme
d'inspiration et de musique rock, beaucoup trop souvent renvoyée à un
mouvement musical excessif, désespérément épuisé, et balayé à juste titre
après l'invasion opportune du rock britannique par le punk en 1976/77. Comme
prolongement de cet exposé, je souhaite expliquer par la suite le déclin du
progressif, et plus sérieusement, étudier l'abandon critique et commercial
auquel il a maintenant succombé.
 
Je ne crois pas que le punk (qui d'après les propres mots de Logan et de
Woffinden, tirés de The NME Encyclopedia Of Rock, cherchait « à rendre le
rock de nouveau agressif. à restaurer son appartenance à la rue » ) fut le
seul responsable de la mort du rock progressif. Son aspect baroque et ses
programmes abscons l'avaient déjà distancé des consommateurs culturels au
terme des années 70, et ses ambitions radicales en matière d'élaboration
musicale lui avaient aliéné les maisons de disques.
Les discours ultérieurs portant sur le progressif l'ont sempiternellement
décrit comme une aberration historique monstrueuse, une sorte de Troisième
Reich musical, sans aucun fondement culturel légitime, alors même qu'il
occupait le devant de la scène. Les démonologies étouffantes et irraisonnées
n'ont toutefois jamais aidé à comprendre, et c'est précisément cette
attitude que je voudrais défier. Quelle que soit l'opinion que l'on s'en
fait, le progressif doit être jugé dans son contexte historique, et réévalué
en gardant cela à l'esprit.
 
Il est trop facile d'affirmer, à l'instar des discours rock rebattus, et
comme l'a dit une fois le comédien Alexei Sayle  à propos du music hall, que
le rock progressif est mort « parce que c'était nul ». Si c'est la seule
raison, alors cela présuppose que le progressif ait été supplanté par
quelque chose de nouveau et de meilleur. Le Heavy-Metal, dont la parenté
avec le progressif remonte aux années 60, et regardé comme le remplaçant
éventuel du progressif dans le cour et l'esprit de sa cible commerciale (« l
'adolescent blanc-bourgois-masculin »), peut difficilement être assimilé à
un stade d'évolution musicale supérieur au progressif. Les fautes capitales
du progressif envers le bon goût, son excès et sa vantardise, sont
violemment amplifiées dans le Heavy-Metal. Qualifier un groupe de
Heavy-Metal de primaire est tout simplement un euphémisme. L'engouement de
ce style pour la virtuosité instrumentale et les clichés spectaculaires
rappelle le progressif, mais leur exagération jusqu'à la parodie devrait,
théoriquement, le faire percevoir comme encore plus redondant que son genre
frère. Pourtant, le Heavy-Metal continue à s'épanouir dans le monde entier.
 
La pensée postmoderne a justifié ce phénomène par le relativisme du discours
culturel, qui aurait permis au Heavy-Metal de prendre place au panthéon de
la critique rock. L'insistance du relativisme postmoderne sur l'
impossibilité d'attribuer une valeur absolue à l'effort artistique, l'
absence de quelque supériorité que ce soit d'un produit culturel sur un
autre, a assuré la réévaluation du Heavy-Metal par la critique, comme cela s
'est également produit pour les musiques Country et Western. Une fois
raillées et tournées en dérision , ces musiques ont finalement été amplement
reconsidérées, non seulement comme la consécration d'un sang neuf comme
celui de Nanci Griffith et de Dwight Yoakam , mais comme des genres en tant
que tels. Il est important de noter que leur ré-appréciation ne s'est pas
arrêtée à de simples gesticulations satiriques et ironiques, émanant de
quelques critiques rock spirituels. Les crucifix, le cuir, les lamentations
ringardes pour des chiens morts et des amants disparus dont raffole le
Heavy-Metal ne sont plus de simple jouets kitsch. La presse rock a réagi à l
'influence renouvelée du marché en leur attribuant une dose calculée de
couverture médiatique. Rien de tel avec le progressif. Inconnu parce que
mal-aimé, mal-aimé parce qu'inconnu, il n'a pas même atteint la
respectabilité au stade de l'écrit, y compris dans une décennie obsédée par
le renouveau des années 70.
 
Alors que la tendance du rock à renchérir sur lui-même s'accroît de plus en
plus, est-il vraiment réaliste d'accuser le progressif d'ambition excessive
? Avec la généralisation réussie des réflexes identitaires du rock les plus
extrêmes (excès, auto-indulgence et passéisme sénile), célébrée par les Live
Aid (et MTV), la deuxième moitié des années 80 a vu s'établir une culture
rock à côté de laquelle les gros mortiers du pompiérisme progressif semblent
s'apparenter au stakhanovisme le plus ascétique.
 
Un constat qui ne tracasse pas le moins du monde les médias, spécialement la
presse rock. Ce tabou persistant qui leur interdit de décrire le progressif
comme autre chose qu'une tache sur l'histoire du rock doit cesser, surtout
si un renouveau de ce genre musical est sur le point d'avoir lieu.
 
L'un des principaux problèmes concernant l'accueil critique du progressif a
longtemps tourné autour de la question de la musique elle-même. La
complexité du discours progressif - la nature ésotérique de sa pratique -
ont été la cause de beaucoup d'inquiétude de la part de la critique. En
fait, la critique rock condamne l'habileté technique à un degré introuvable
dans n'importe quelle autre sphère culturelle. Face à cette attitude, la
réaction de comptoir de la communauté des musiciens consiste à prétendre qu'
un tel dénigrement émane de musiciens frustrés. Je suggérerais plutôt que l'
accent porté par le progressif sur le contenu et la forme de la musique a
ouvert un abîme entre lui-même et la critique.
 
C'est pourquoi ce livre se concentre en premier lieu sur la musique. Simon
Frith , qui a déclaré un jour que le disco était musicalement plus «
intéressant » que le rock progressif, se permet également de proclamer, de
manière tout aussi désinvolte, son ignorance des techniques de composition
musicale . Même si l'on peut opportunément citer la célèbre réplique du
Docteur Johnson : « je ne sais pas comment on fait une chaise, mais je sais
reconnaître une bonne chaise quand j'en vois une », mieux vaut peut-être
prendre la peine de considérer ces mots du musicologue Allan Moore :
« Le problème, c'est qu'un commentaire qui n'est pas étayé par une solide
assise théorique est, au mieux, de qualité douteuse. Il est certain qu'aucun
sociologiste ne tenterait d'expliquer (.) le rôle des maisons de disques
dans le commerce versatile des musiques populaires sans un support
acceptable de théorie culturelle sur lequel s'appuyer (.) »
 
Je ne suis pas musicologue. Pas plus, j'en suis sûr, que beaucoup de mes
lecteurs. Pas plus, j'en suis encore plus sûr, que beaucoup de musiciens
lisant ces lignes. Mais comme affirme Moore, la musicologie est une affaire
interdisciplinaire . C'est pourquoi je crois que le phénomène progressif ne
doit pas être examiné uniquement au niveau musical, mais aussi en terme d'
occurrences idéologiques et culturelles, à la fois sources et produits de la
création de cette musique. Il doit donc être expliqué par l'évolution de la
culture contemporaine en général, et même en termes de politique, d'
économie, et d'attitudes face au sexe ou à la race. De plus, comme déclare
encore Moore, le rock ne peut être compris qu'à travers ses propres termes,
et non par référence à la musique classique, ethnique, ou à n'importe quelle
autre musique. Comme il le fait très justement remarquer, « les normes de
cette tradition critique passent à côté des facteurs particuliers où le rock
peut être le plus intéressant (et complexe, et profond) : timbre, texture,
manipulation sonore, qualité de l'interprétation, etc. » . Mais à ce niveau,
les conditions sociales de sa production doivent aussi être prises en
compte. Il convient en outre d'étendre cette étude aux liens qui unissent le
progressif au postmodernisme, une parenté curieusement oubliée soulevant
beaucoup de points intéressants qui, je l'espère, nous permettrons de
re-situer le progressif dans l'histoire du rock.
 
La nature inaugurale de cette étude va sans aucun doute la rendre
imparfaite. Toutefois, comme je l'ai déjà souligné, je ne souhaite pas
renforcer des opinions par ce livre, mais je veux inciter au débat. Quant
aux histoires de plateaux spécialement recouverts de tapis pour ELP, ou de
vaches en carton présidant aux enregistrements de Yes, ne vaut-il mieux pas
en rire ?
 
Je souhaite éviter une sur-intellectualisation manifeste, ce qui est
précisément l'accusation la plus souvent portée contre le progressif. D'
autre part, je suis conscient que mon approche risque de m'aliéner beaucoup
de partisans du progressif, qui ont attendu trop longtemps une étude de
cette musique tantôt inspirée, tantôt rebutante, mais toujours fascinante. A
leur intention, je voudrais dire : tenez bon ! Les mythes associés au rock
progressif, aussi bien ceux qu'il a lui même entretenu que ceux fabriqués
par les discours critiques convenus, sont mes cibles privilégiées. Un grand
travail de réécriture a été entrepris ici. Quoi que l'on puisse dire, l'
intelligence, pour le meilleur ou pour le pire, était un des points forts du
progressif.
 
Un musicien progressif m'a dit un jour : « le rock progressif était
typiquement britannique, une sorte d'amateurisme inspiré : comme Churchill
et son mur de brique, comme les Beatles ». N'est-ce pas, aujourd'hui, une
sagesse difficilement acceptée ? Une telle image ne semble pas correspondre
à la vision couramment admise d'une musique cérébrale à destination des
classes moyennes, au rock progressif démesuré dépeint par la légende,
hyper-professionnel, athlétique et spectaculaire. Et pourtant, ce musicien
était présent, plus proche de l'action que n'importe qui d'autre. Que
voulait-il dire ?
 
Je crois qu'une telle approche est essentielle, pour la simple raison qu'
elle s'est fait longtemps attendre. Après un retard si injustifié, cette
musique mérite une écoute digne et consciencieuse. L'une des plus fières
prétentions du progressif était d'être une musique « pensante ». Cette
affirmation était souvent loin d'être vraie. Les adeptes du progressif, qu'
ils aient été face à la scène ou derrière les vitres des studios, étaient
généralement trop absorbés par la consommation ou la réalisation de
spectacles pour penser à la musique, et bien loin d'avaler les discours
plats des maisons de disques sur une musique en provenance directe du cour
et de l'esprit. Ce livre tente de combler ce vide intellectuel. Si les
partisans du progressif pensent réellement leur musique plus que ne le font
les fans de pop, alors voici leur chance de le prouver.
 
Mon opinion est que le progressif a produit quelques unes des pages les plus
fines de toute la musique pop et rock. Ses réalisations, passées ou
présentes, réelles ou imaginaires, méritent une réaction plus rationnelle qu
'une hagiographie à deux sous, ou leur rabaissement à des balancements de
genoux. En gardant cela à l'esprit, il est donc nécessaire de répéter que la
raison principale qui m'a poussée à écrire ce livre est qu'il était grand
temps que quelqu'un le fasse.


Message édité par odeu le 21-04-2005 à 15:24:15

---------------
www.stickerman.pro
n°5353811
korrigan73
Membré
Posté le 21-04-2005 à 15:23:58  profilanswer
 

Drizzt a écrit :

ça dépend ce qu'on a le droit d'englober dans "rock" dans ce topic ;)


bah le "rock" c'est enorme.
si tu englobe tout:
alternatif, emocore, etc etc etc.
alors la ca devient tentaculaire.
je pense pas du tout qu'il n'evolue plus, seulement en ce moment la masse des gens aiment ecouter des trucs qui surtout ne les surprendra pas, c'est pas ca qu'on a une recrudescence de clones.
mais au niveau de "l'underground" y'a enormement de choses, des scenes se montent et se defont sans arrets:Ny, manchester etc etc...
et donc le rock, pas definition ne peut pas s'arreter d'evoluer, y'a dix ans quand portishead a sorti son premier album tout le monde a crié au genie et ils ont ouvert une nouvelle voie, y'a tjrs ca ausjourd'hui faut plus chercher c'est tout...
certains groupes font dans la durée, j'ai vu cité sonic youth dans ce topic et c'en est un excellent exemple, ca fait 20 ans qu'ils chantent sans jamais refaire deux fois la meme choe, tout autant qu'un radiohead, cité ici aussi, qui se renouvelle entierement a chaque album.
bref y'a du tres bon faut chercher cay tout! ;)


---------------
El predicator du topic foot
n°5353907
Drizzt
Posté le 21-04-2005 à 15:33:54  profilanswer
 

plaster a écrit :

ouais je ne connais pas les groupe énuméré, mais s'ils font de la musique de sauvage de braillard crieur, je ne trouve pas que ce style est une évolution


 
Ton post n'est pas non plus une évolution

n°5353926
Drizzt
Posté le 21-04-2005 à 15:35:39  profilanswer
 

J'aime pas mal Mellisa auf der maur (si je me trompe pas d'orthographe).
 
sinon Tool, The old Dead Tree pour rester dans le soft =)


Message édité par Drizzt le 21-04-2005 à 15:35:54
n°5354098
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 21-04-2005 à 15:50:53  profilanswer
 

Drizzt a écrit :

Ton post n'est pas non plus une évolution


 
mais quoi c'est pas vrai que de la musique axé sur le Criage et le sauvagisme c'est pas fort ... moi j'aime ça quand c'est fait avec respect! Il y a des groupes qui chante des imbécilerie énorme et chiale sur tout, mais ne dénonce rien, ils ne font que dire des sacres e tout. Au Québec on est pas en reste de ces groupes de mecs frustrés qui disent des conneries pour avoir l'air hot....


---------------
Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5354131
Drizzt
Posté le 21-04-2005 à 15:52:54  profilanswer
 

plaster a écrit :

mais quoi c'est pas vrai que de la musique axé sur le Criage et le sauvagisme c'est pas fort ... moi j'aime ça quand c'est fait avec respect! Il y a des groupes qui chante des imbécilerie énorme et chiale sur tout, mais ne dénonce rien, ils ne font que dire des sacres e tout. Au Québec on est pas en reste de ces groupes de mecs frustrés qui disent des conneries pour avoir l'air hot....


 
Oki et sinon, y'a pas des forums au Quebec ou tu peux balancer tes anneries ?

n°5354150
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 21-04-2005 à 15:54:02  profilanswer
 

si t'aime pas ce que j'écris lit moi pas pis sacre moi la paix! ok?


---------------
Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5354196
Drizzt
Posté le 21-04-2005 à 15:56:41  profilanswer
 

plaster a écrit :

si t'aime pas ce que j'écris lit moi pas pis sacre moi la paix! ok?


 
Oki jte sacre comme tu veux, tu m'avais l'air d'entamer un débat sacrément interessant et construit.  :hello:

n°5354230
vieri32
Robert's siamese twin
Posté le 21-04-2005 à 16:00:28  profilanswer
 

xtieux a écrit :

écoutez jr exing vous verrez que le rock n'a pas terminé son évolution, tiens the grizzly twister aussi


Tu va nous faire tous les topics musique pour nous balancer tes groupes, là ? [:totozzz]

n°5354300
plaster
Maudit ordi de marde!!
Posté le 21-04-2005 à 16:08:56  profilanswer
 

je trouvais le sujet intéressant, mais bon certain me traite d'ane ...


---------------
Si vous me cherchez, je suis en train de fucker le chien avec un ordi
n°5354510
Drizzt
Posté le 21-04-2005 à 16:33:34  profilanswer
 

plaster a écrit :

je trouvais le sujet intéressant, mais bon certain me traite d'ane ...


 
Le sujet que tu lances est interessant, mais ton avis obtu sur le metal avant meme que je commence à en parler (je suppose a partir du simple nom des groupes dans ma config) m'a décu :o

n°5354549
masterofpu​ppets
use once and destroy
Posté le 21-04-2005 à 16:37:25  profilanswer
 

OTH a écrit :

mouarf, y'a 6 mois tu connaissais pas encore KYUSS
 
 
 
et je te donne pas un an avant de me brader ton SLO BURN  :o


ca doit bien faire 2 ans que j'ai acheté blues for the red sun :o


---------------
http://www.intervocative.com/dvdco [...] rofpuppets
mood
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