Troops broke through IS defences and reached the eastern district of al-Zahra, which they say is now 90% under their control.

Iraqi forces trying to enter another Mosul suburb - Karama, south of al-Zahra - had to partially pull back when IS launched fierce resistance.
 
"We weren't expecting such resistance. They had blocked all the roads," said one officer, quoted by AFP news agency.
 
"There are large numbers of jihadists. It was preferable to pull back and devise a new plan."

The UN human rights office (UNHCR) provided more evidence on Friday of human rights violations taking place in and around Mosul.
 
It said that IS had shot around 50 of its own fighters for desertion on Monday and added that 180 government employees may also have been killed by the group.

ERBIL, Kurdistan Region – More than 100 ISIS militants were killed in the Bashiqa operation, the Kurdistan anti-terror agency announced.
 
 The anti-terror agency of the Kurdistan Security Council published the names of 52 ISIS militants that were killed and identified in the Bashiqa operation, but said the total killed numbered more than 100.
http://rudaw.net/english/kurdistan/12112016

Histoire d’une détenue maltraitée
 
Le 3 août 2014, Bassema Darwish Khidr Murad, yézidie de la région de Sinjar (nord-ouest) âgée de 34 ans, est capturée, comme tant d’autres, par le groupe armé de l’État islamique (EI). Elle est enlevée en même temps que son mari et 33 autres membres de sa famille alors qu’ils tentent de fuir la ville de Sinjar, face à l’avancée des combattants islamistes. Ces derniers se sont finalement emparés de la ville. Bassema Darwish, qui était enceinte de son troisième enfant, a été séparée des siens. Lors d’une opération antiterroriste qui a permis aux Peshmergas de reprendre Zummar (nord-ouest du pays), Bassema est arrêtée (25 octobre 2014), dans la maison même où elle se trouve captive. Les autorités kurdes signalent que des combattants de l’EI ont alors abattu trois Peshmergas, dont un officier. Ces meurtres sont imputés à Bassema Darwish, qui est inculpée en vertu de la loi 3/2006 (loi antiterroriste). Selon les experts de l’unité antiterroriste, en effet, la jeune femme s’était „radicalisée“ et avait prémédité le meurtre des Peshmergas venus la délivrer.
Elle est ensuite transférée dans une prison de l’unité antiterroriste d’Erbil où sa fille Nour Hussein Haydar Khalifkou voit le jour. Erbil, capitale du Kurdistan irakien (KR-I), est située à environ 80 km de la ville de Mossoul, lieu d’intenses combats.
Durant sa détention à la Direction de la lutte contre le terrorisme du gouvernement du Kurdistan irakien, Bassema Darwsih a été soumise à la torture. Elle a comparu devant un juge en août 2016 sans avocat. On l’a forcée à signer quatre documents rédigés en kurde, qu’elle n’a pas compris. Pour sa défense, un avocat a été désigné d’office. Les nouveaux avocats vers lesquels sa famille s’est tournée ensuite se sont heurtés à des obstacles bureaucratiques infranchissables. La dernière requête d’un avocat auprès du juge d’instruction chargé du cas de Madame Darwish a été rejetée, au motif qu’elle disposait déjà d’un avocat commis d’office. Est-elle officiellement inculpée ? Les avocats qu’elle a choisis n’ont pu s’entretenir avec elle. Lors d’une mission dans la région semi-autonome du Kurdistan irakien en août 2016 des chercheurs d’Amnesty ont tenté de lui rendre visite et de plaider sa cause auprès de la Direction de la lutte contre le terrorisme. Ils se sont heurtés à une fin de non-recevoir catégorique. Bassema Darwish reste arbitrairement détenue avec sa fillette dans la prison pour femmes et mineurs d’Erbil.
Contexte général
 
De l’autre côté, les combattants d’EI ont systématiquement commis des crimes de guerre et des crimes contre l’humanité. A plusieurs reprises, ils ont « offert » ou « vendu » des Yézidies à d’autres combattants en Irak et en Syrie. Ces femmes ont été contraintes de se convertir à l’islam. Forcées d’accomplir des corvées pour leurs ravisseurs, ces femmes yézidies ont été transformées en esclaves domestiques et sexuelles, violées ou torturées, parfois forcées à regarder le massacre des hommes de leur famille, en tous cas séparées de force de leurs enfants. Certaines seront tuées. Quelque 3800 femmes et enfants se trouvent toujours aux mains de l’EI. Quelques-unes se sont enfuies, d’autres seront libérées après paiement d’une rançon. Après les terribles abus vécus en captivité, plusieurs ont pensé au suicide. Leur vie actuelle, le deuil de leurs proches tués par l’EI et leurs craintes pour ceux qui sont demeurés captifs, exacerbe la souffrance des victimes. Actuellement aucun système international ne permet d’évaluer les besoins des prisonniers de l’EI pour reconstruire leur vie et surmonter les traumatismes causés par les sévices dont ils ont été victimes ou/et témoins.
Elles se prénomment Nour, Jamila ou encore Shirin. Shirin a 32 ans et six enfants Elle est originaire de Tel Qasab (ouest de Sinjar). Shirin est enlevée le 3 août 2014 avec cinq de ses enfants. Sa fille Nermeen se donnera la mort après avoir échappé à ses ravisseurs. Elle avait 13 ans !

Haidar Sumeri
‏@IraqiSecurity
IMPORTANT:
 
#Iraq's Hashd ( milice iraquienne ) has cut the Tal 'Afar-Sinjar road and reached Sinjar district after decimating Da'ish in the region.

A gift from #Iraq's warriors to the Syrian people:
 
#Iraq's Hashd has cut all routes from Mosul to Raqqa.

Près de 2000 membres des forces de sécurité irakiennes ont été tués en novembre à travers le pays, notamment pendant l'offensive pour reprendre Mossoul au groupe Etat islamique (EI), a annoncé l'ONU aujourd'hui dans un communiqué.

Quelque 926 civils ont également été tués en Irak en novembre, portant à 2.885 le nombre total d'Irakiens morts dans des attentats, violences et conflits armés le mois dernier, ajoute l'ONU, précisant que ces "chiffres doivent être considérés comme un minimum". "Le nombre de victimes est stupéfiant et compte une proportion significative de civils", commente l'envoyé spécial de l'ONU en Irak Jan Kubis, alors que la bataille de Mossoul lancée le 17 octobre contre les djihadistes de l'EI entre dans sa septième semaine.

Quelque 1600 combattants kurdes (peshmergas) ont été tués depuis le lancement le 17 octobre de l'offensive des forces irakiennes contre le bastion djihadiste de Mossoul, selon un de leurs porte-parole aujourd'hui.
 
Près de 10.000 peshmergas ont également été blessés au cours des féroces combats menés depuis six semaines pour déloger le groupe Etat islamique (EI) de la deuxième ville du pays, a indiqué Halgord Hekmat, porte-parole du ministère en charge de cette force kurde dans la région autonome du Kurdistan irakien.

en morts et en blessés, de l’ordre d’un tiers de leurs effectifs

Cette division de plusieurs milliers d’hommes - en réalité une brigade

The number of Islamic State (ISIS) extremists killed since Iraqi security launched operations to retake the city of Mosul in October has reached 4000, a senior commander said.

This is the number of militants killed in battles to liberate Iraq’s second largest city until Tuesday, according to Najm al-Jubouri, commander of Mosul operations, who spoke in a press statement on Wednesday.

Out of that number, 2100 were killed in airstrikes carried out by US-led aircraft, Jobouri added, saying he believed the remaining numbers are probably few, especially with local members escaping battles and foreign fighters saved for future battles in central Mosul.
...

Earlier on Thursday, Iraqi Counter Terrorism Service declared it had has so far recaptured 40 out of 56 districts in eastern Mosul from Islamic State militants.

On Wednesday, commander of the US-led coalition against ISIS, Stephen Townsend, said coalition forces killed 180 outstanding ISIS leaders in Iraq and Syria since early October.

http://www.iraqinews.com/iraq-war/ [...] commander/

US launches airstrike on Mosul hospital used by Isis, military says

https://www.theguardian.com/us-news [...] s-military

Wed Dec 21, 2016 | 3:15 PM EST
 
Iraqi forces in Mosul mostly in refit mode: U.S. general    
5h ago | 00:39
 
Iraqi forces in Mosul mostly in refit mode: U.S....X
 
By Stephen Kalin  |  ERBIL, Iraq  
 
Iraqi forces battling to retake Islamic State's last major stronghold - Mosul - have entered a planned operational refit, a top U.S. general in the international coalition backing Baghdad said, the first significant pause of the campaign.