Citation :
EDDERON a écrit :
Les calculs de Bazant aboutissent effectivement à cette conclusion, aucune image ne permet de confirmer ce calcul. Nous sommes parfaitement d'accord! Ce calcul tient compte d'une évidence : lorsqu'une structure résiste il ne peut pas y avoir chute libre. Andromède soutenait tout autre chose. Mais le calcul de Bazant pour le temps d'effondrement total est il juste? Pour ma part je réponds non. Une autre évidence cohérente avec ce principe a été démontré par les analyses cinématiques de la chute du bloc, cette accélération était même moindre, de mémoire, il était question de 66% ...(à vérifier)
Ce deuxième postulat est faux egalement.
La pénétration des Boeing dans chacune des tours a sectionné moins de 20% des colonnes de façade, et selon les simulations du NIST, 6 des 47 poteaux du noyau de la tour nord ont été sectionnés et 13 ou 14 endommagés.
Selon les données en coupe des colonnes du coeur, la superficie totale des colonnes centrales du 98ème étage du WTC1 était de 6718 cm². La section transversale des colonnes du périmètre se déduit en connaissant le poids total des 236 colonnes à ce niveau - selon l'étude de la masse par l'ingénieur Gregory Urich - http://www.journalof911studies.com [...] dPeWtc.pdf qu'il suffit de diviser par le poids d'une colonne et par la densité de l'acier, pour en trouver le volume, et enfin, en divisant le volume par la hauteur de la colonne à l'étage considéré. Il en résulte une section transversale de 40 cm² pour chaque colonne périphérique du 98ème étage et une superficie totale des colonnes périmétriques du 98ème étage de 9352 cm² . Ce qui donne une pression de 759 kg/cm². Les colonnes du noyau atteignent leur limite d'élasticité entre 2530 kg/cm² et 7000 kg/cm², ce qui donne au noyau un coefficient de sécurité minimum de 3,3 au 98ème étage.
Les colonnes périphériques varient en résistance suivant la hauteur du bâtiment et possèdent au 98ème étage une limite d'élasticité de 4570 kg/cm², ce qui donne à la périphérie du 98ème étage un coefficient de sécurité de 6
Un exercice similaire pour le 82ème étage de la tour sud donne un coefficient de sécurité de 3,08 pour le noyau central et de 5,6 pour les murs exterieurs
D'autres étages ont également été vérifiés, et il semble que le coefficient de sécurité pour le noyau central ait été conçu pour un minimum de 3,00, et le mur d'enceinte de 5,00, sur toute la hauteur des bâtiments.
Tel que expliqué par Mr Breysse dans le dossier SPS, le facteur de sécurité indiqué pour le périmètre est calculé ici pour les charges de gravité.
Le WTC1 & 2 ont été conçus pour gérer le moment de basculement et les forces de cisaillement générées par des vents violents, de plus de 160 km/h, ainsi que pour supporter des charges dues a la glace qui peut se former l'hiver sur les parois exterieurs, ou absorber d'importants efforts sismiques qui pourraient provoquer une élévation des moments de basculement comme pour les fortes charges latérales causées par le vent.
Le 11 septembre 2001, il n'y avait que très peu de vent, aucune glace, et le seul tremblement de terre fut politique...
Dans le cas du 98ème étage du WTC1, 80% des colonnes centrales du noyau n'ont pas été affectés par l'avion. Elles offraient encore à la tour un coefficient de sécurité contre la chute verticale de 2,6 environ au lieu des 3,33 avant dommages causés par les avions. Ce qui correspond a une augmentation du stress de760kg/cm² à 950kg/cm² Les 80% des colonnes du périmètre qui n'ont subis aucun dommage ont permis de conserver un coefficient de sécurité contre la chute verticale de 4,8 environ.
Pour atteindre l'effort critique de fléchissement, il faudra soit augmenter la charge de 260% correspondant au coeficcient de 2,6 soit ou une perte de résistance
L'effort critique au fléchissement ne serait pas atteint sur les autres colonnes intactes (80% de l'ensemble des colonnes) sans une augmentation de la charge s'élevant à 263%, ou une perte de résistance de plus de 65% dû à la chaleur.
Pour atteindre cette perte de solidité, il aurait fallu que l'acier de l'ensemble des colonnes intactes sur un ou plusieurs étages, atteigne 650°C minimum.
Jusqu'à 350°C, l'acier conserve l'intégrité de sa résistance mécanique, et donc de sa capacité de charge.Comme l'indiquent les simulations du NIST, les températures de l'acier étaient généralement inférieures à 350°C, et seul quelques pour cents des éléments structuraux atteignaient, pendant des temps limités et selon les extrapolations de leur modèle informatique, cette limite thermique.
Dans les faits, il n'y a aucune preuve de l'obtention de hautes températures de l'acier.
Bazant reconnaissant ce fait dans son article de 2008, affirmera sans le démontrer que l'excès de contraintes dans les colonnes à température ambiantes auraient été suffisant pour obtenir le flambement .
Les rapides calculs effectués ci dessus nous ont clairement montré que la tour disposait de bonnes marges de sécurité.
Au bout de vingt minutes en moyenne des incendies de bureau qui ont pu produire des températures d'air de 1000 °C localement n'ont plus de combustible et se déplacent. Conformément à ce principe il est impossible d'obtenir une température homogène de 650 à 700 °C sur l'ensemble des colonnes du noyau et/ou de la façade dans les zones impactées.
Les incendies ayant démarré dans les zones impactés, à l'instant de l'initiation il n'y avait plus de combustible pour alimenter les incendies depuis au moins 40mn.
Les températures avaient baissés conformément aux modélisations du NIST qui indiquent des températures inférieurs à +50mn que pour la même zone à +30mn après le début des incendies.
Non pas du tout, les calculs que nous venons de faire permettent de constater que la résistance n'était pas négligeable du tout , le flambement des colonnes par exces de chargement et de températures est une fable. Le bloc n'a jamais été en chute libre, les analyses cinématique le prouvent.
Nous, toujours pas, les travaux de Korol permettent de démontrer que les valeurs de dissipation d'énergie pour des colonnes courtes ou de faible élancement sont bien supérieur au valeurs retenue par Bazant, pour du fléchissement et des rotules plastiques. Avez vous lu ces articles ?
Citation :
Ce qu'il faut retenir, c'est que la structure qui surplombe le 1er étage percuté par le bloc supérieur n'offre aucune résistance à l'effondrement, ou du moins pratiquement aucune : d'où l'idée de chute libre du bloc pendant cet intervalle de temps !
|
ça c'est ce que l'on nous demande de croire, mais certainement pas se qu'il faut en retenir.
Demandez son avis à Newton? Greening et korol semblent d'accord , FHC egalement, je partage cette conviction.
Un bloc en chute percutant une structure qui résiste , sera ralenti dans sa chute de manière net et perceptible sur une analyse cinématique. Malheureusement, aucun ralentissement caractéristique de cet événement n'est perceptible...
Citation :
- 2ème étape : après l'instant du 1er choc, le bloc poursuit sa chute. Dans mon message précédent, il était question de l'effondrement global, dont l'accélération a au final été bien moindre que celle de la chute libre. Et donc, je t'expliquais que la structure des tours avait résisté à l'effondrement du bloc supérieur puisque la vitesse du front d'effondrement était inférieure à celle de la chute libre. Voici ce que tu avais soutenu : Citation :
Si aucun ralentissement du bloc n'est observable, c'est qu'un autre phénomène supprime la résistance de la structure, et lui permet de continuer à accélérer.
Citation :
Trois études de la cinématique de la chute on produit les mêmes conclusions, l'accélération du bloc est constante, ce qui n'est pas observable c'est le ralentissement. L'objet suivi est tout à fait observable vos contorsions sémantiques n'y change rien . L'accélération est constante , AUCUN ralentissement du bloc n'est perceptible
Dans ces passages, faisais-tu allusion à la 1ère ou à la 2ème étape suscitées ???
|
Je parlais du premier choc que nous devrions observer aprés la chute d'une hauteur de un étage. Qui fait brutalement chuter la vitesse tel que démontré par Greening /Korol, et FHC pour la tour Balzac.
Citation :
Pourquoi soutiens-tu que le bloc aurait dû ralentir pendant la 1ère étape (c'est-à-dire avant le 1er choc) alors qu'il est expliqué que la résistance des colonnes (dans la zone d'impact) était quasi-nulle ?
|
Je n'ai jamais affirmé une chose pareille, j'ai toujours dis le premier choc devrait le ralentir.... mais le premier choc ne se produit pas.
Citation :
Rebelote : lien vers ces courbes ? Qu'as-tu à redire sur les calculs de Bazant ? Les tours jumelles avaient une structure très particulière, on ne peut pas comparer leur effondrement avec celui d'autres tours/immeubles de structures différentes.
|
Nous venons de voir que la structure disposait de grosses marges de sécurité. Qu'il aurait été necessaire d'obtenir des températures que mêmes les modèles du NIST ne confirment pas.
Que Bazant surévalue l'énergie cinétique initiale, il minore la dissipation d'énergie dans la plastification des colonnes courtes qui n'a rien à voir avec son choix arbitraire.
Les analyses cinématique invalident cette hypothèse. Le NIST n'a fourni aucune preuve des hautes températures alléguées, il ne publie aucune image numérique des instants de l'initiation, il refuse de publier les données pour raisons de sécurité publique, il interdit à ses ingénieurs de parler publiquement des études frauduleuses.
Je dis que Bazant et le NIST sont complices de fraude et de dissimulation de crime contre l'humanité et que le WTC a été démoli de façon intentionnelle
|