pivertvdt a écrit :
Un ampli DIY fabriqué "monté à la main en kit" est-il à la hauteur en terme de performence et surtout qualité "audiophile" ?
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En terme de qualité technique, il pourra être du niveau d'un ampli commercial de performances moyennes à hautes selon le type d'ampli réalisé. Par contre oublie la "qualité audiophile", cette appellation pompeuse ne veut pas dire grand chose et devrait être réservée aux marketeux
pivertvdt a écrit :
Quel technologie utiliser (classe d, classe t, classe a) utiliser des kits du style Gemincore ou bien partir d'un simple composant "TDA7294 ?
Quelle différence il y a entre les classe a ou t, ou d,...... ?
La fabrication est-elle possible pour une personne non expérimenté comme moi ?
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Oublie la classe A, qui est à réserver aux amplis mono ou stéréo de faible puissance : ça dissipe trop. La classe D et T sont identiques, et connaissant mal les amplis de cette catégorie je ne pourrai pas te conseiller.
Reste la classe B ou AB, pour laquelle tu peux utiliser des circuits intégrés pour la facilité de mise au point (souvent tda7293 ou lm3886 – évite le lm3875 qui est moins performant) ou des transistors si tu te sens d'attaque. Les kits à base de circuits intégrés sont généralement accessibles à quelqu'un de peu expérimenté en électronique, mais il vaut mieux avoir un minimum de connaissances techniques pour comprendre ce que tu fais et éviter les conneries
pivertvdt a écrit :
Et les blocs de puissance Rotel par exemple sur les modèles RMB1066 et RB1070. Quelle technologie utilisent-ils ? J'en ai testé un et celà donne très bien avec mes Davis et mon Yamaha. Comment je pourrai obtenir le même résultat en DIY ?
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Les rotels en question sont des amplis de classe B ou AB, par contre impossible d'en savoir plus sans en ouvrir un, ou mieux, lire son plan
Il faut voir aussi si une fois toutes les commodités d'un appareil commercial incluses (protections hp, joli boitier, sécurités diverses), la fabrication d'un appareil équivalent est rentable. Ca n'est pas toujours le cas