Reprise du message précédent :
simo> http://forum.hardware.fr/hardwaref [...] 7319-1.htm

http://www.zeudiscomobile.fr.st/ les mp3 sont enormes
 
didier super dans son groupe....

 
down
 
(au passage : drapal )

 
ben non, je suis en train d'ecouter les mp3

 
y a 5min c'etait down  

 
sur ce topic, oui

 
ah oui  ?  et ca, c'est du mou de veaux ?
 
 
Tout le monde
Répète en choeur que les hommes préfèrent les blondes
Qu'ils fondent  
Pour une décolorée en moins d'une segonde
J'ai l'impression qu'ils confondent
Et la joconde ? : à moins qu'on la tonde !
C'est quand même bien une brune ?
Les brunes comptent pas pour des prunes !
 
Certaines, brunettes se font appeler : " des blondes vénitiennes "
Vilaines ! ! !
Menteuses, elles trichent, et puis à quoi ça les mènent !
Il faudrait qu'on les préviennent
 
Sophia Loren ? : suis pas daltonienne !
C'est quand même bien une brune ?
Les brunes comptent pas des prunes !
 
On a du caractère, et dans nos artères
c'est du sang chaud qui coule
On s'la joue pas " cool " !
Attention aux brunes !
Les brunes comptent pas pour des prunes !
 
On a plus d'idées, que les péroxydées
C'est sûr qu'on en jette, plus que les blondinettes
On a plus d'éclat, que ces pauvres filles-là !
Et puis voilà !
Et même si tous le monde !
Répète en choeur que les hommes préfèrent les blondes
Qu'ils fondent  
Pour une décolorée en moins d'une segonde
J'ai l'impression qu'ils confondent
Et la joconde ? : à moins qu'on la tonde !
C'est quand même bien une brune ?
Les brunes comptent pas pour des prunes !
On a du caractère, et dans nos artères
c'est du sang chaud qui coule
On s'la joue pas " cool " !
Attention aux brunes !
Les brunes comptent pas pour des prunes !

 
euh...

Qui c'est qu'a fait caca dans la bruyère ?
Qui c'est qu'a fait caca dans la bruyère ?
Je l'aurai quitte à faire le tour de la Terre entière,
Celui qu'a fait caca dans la bruyère !
 
Qui c'est qui s'est torché dans les rideaux ?
Ca c'est pas beau !
Mais qui c'est qui s'est torché dans les rideaux ?
Ohh !
Cette ordure, cette crevure, j'vais lui briser tous les os,
Celui qui s'est torché dans les rideaux !
 
Qui c'est qui s'est mouché dans le Saint Suaire ?
Amen.
Qui c'est qui s'est mouché dans le Saint Suaire ???
Mes frères.
Par les Cieux, Nom de Dieu, j'vais l'balancer au Saint Père,
Celui qui s'est mouché dans le Saint Suaire !
 
Qui c'est qu'à fait pipi dans les vestiaires ?
Bah non !
Qui c'est qu'a fait pipi dans les vestiaires ?
Oh c'est pas vrai !
J'aurai sa peau ! Le salaud ! Il va comprendre sa misère,
Celui qu'à fait pipi dans les vestiaires !
 
Qui c'est qu'a dégueulé dans mon tiroir ?
Qui c'est qu'a dégueulé dans mon tiroir ?
Cet ivrogne, cette charogne, j'vais l'trouer comme une passoire,
Celui qu'a dégueulé dans mon tiroir !
 
Quel est l'enfoiré qui s'est tapé ma femme ?
Quel est l'enfoiré qui s'est tapé ma femme ?
L'innocent, le pauvre enfant, Dieu ait pitié de son âme,
Celui qu'a chopé la vérole avec ma femme,
Celui qu'a chopé la vérole avec ma femme

la reprise de la danse des canards veut le coup...

L'ÉGLISE DE PANAGIA DE BLACHERNES
 
Le lieu de pèlerinage le plus connu et le plus célèbre de la Sainte Vierge à Constantinople était l'église de Panagia de Blachernes. Son histoire, dont la renommée à éété répandue partout dans tout le monde chrétien, marque l'ère Byzantine, et des grands éévénements associés qui lui sont associés, sont liés à l'histoire de la ville.
 
La première église du site de la source sacrée fut construite et décorée par Augusta Pulcheria entre 450 et 453, année de sa mort, et son époux l'empereur Marcien (450-457). La construction fût complétée et embellie plus tard par l'Empereur Léo 1er (457-474) qui a ajouté la fontaine de l'eau sacrée et les bains sacrés. Léo 1er a construit aussi l'église de Aghia Soros ( sainte relique) pour loger la sainte mantille et la robe de la Vierge qui ont été ramenées de Palestine en 473. C'est alors que l'église a été dotééée des biens. Procopius note que Justinien, pendant le règne de son oncle Justin 1er (518-527) a modifiéé et amélioré le construction initiale. La description de Procopius suggère que la basilique présentait un dôme supporté par des colonnes formant un demi cercle. Cette réénovation est mentionnée à deux éépigrammes de l'Anthologie Palatine.
 
Parfois les empereurs montraient leur intéérêt personnel pour l'église en faisant des donations et en ajoutant des nouvelle constructions et dééécorations. Justin XI (565-578) a ajouté deux apsides remodelant ainsi le plan en un trèfle et quelque siècles plus tard Romanus III dit Argyrus (1028-1034) a décoré avec de l'or et de l'argent les intrados des arcades. Une idée de l'importance du pèlerinage est constatéée pendant le règne de l'empereur Heraclius Neara qui met à la disposition des services de l'église 74 personnes: 12 presbytères, 18 diacres hommes, 6 diacres femmes, 8 sous-diacres, 4 chanteurs et 6 gardiens-portiers.
 
En 1070 un incendie a detruit l'église qui a été reconstruite par l'empereur ROMANUS IV le Diogène (1067-1078) et Michel VII Ducas (1071-1078). Le complexe entier des buildings est tombé en ruines en 1434, juste avant la conquête, quand quelque jeunes nobles ont voulu attraper des oisillons (lire historien G. Phrantzes) en grimpant sur le toit et en y mettant accidentellement le feu.
 
L'événement historique le mieux connu et le plus significatif s'est produit en 626, quand Constantinople a été assiéégééé par les Avars pendant que l'empereur Heraclius et ses troupes faisaient campagne contre les Perses à l'Asie Mineure. L'icône de la Vierge des Blachernes a éété porté tout le long des murailles lors d'une procession dirigée par le fils de l'empereur absent et le patriarche Sergius (610-638). Les Avars ont levé le siège le fait que la ville soit épargnée fut attribué à l'intervention directe de la mère de Dieu. La population entière s'est rééunie à l'église de la célèbre icône et dans un veille de nocturne elle a chanté débout l'hymne d'Akathistos à la gloire de la Vierge Marie.
 
En 834 la révolte d'Iconoclastes a été anéééantie et le réétablissement de l'Orthodoxie commémorant la reconstitution des icônes a éétééé célébré pour la première fois à l'église de Blachernes. La tradition cite qu'en 944 l'image du Christ (connu sous le nom de Mandylion saint) et la lettre du Roi Abgar ont été apportées d'Edessa et placées dans le parecclesion de l'église.
 
Après 1204 date à laquelle les lieux de pèlerinage aient passéé dans les mains des latins il eut fallu attendre jusqu'à ce que John III Ducas Vatatzes (1222 1254), empereur de l'empire de Nicaean, qui a acheté des catholiques l'église de Panagia de Blachernes avec beaucoup d'autres monastères de Constantinople. En 1348 des pirates Génois ont causé des dommages sur les lieux. Après le feu destructif de 434 et la chute de Constantinople, rien n'est resté intact sur les lieux des riches et célèbres lieux excepté le site de la source sacrée. L'endroit est tombé entre des mains des ottomans jusqu'à 1867 date à laquelle il a été acheté par l'association des commerçants des fourrures orthodoxes grecs., qui a construit une petite église contenant le hagiasma.

Histoire
Depuis très longtemps, des siècles même, les hommes ont pratiqués des jeux avec des pierres. Dans les contrées nordiques, ces jeux pouvaient se dérouler sur la glace. Un d'eux, le «dolly», est l'ancêtre du curling moderne. A partir d'une ligne, on lançait des pierres vers une quille de bois. Le but du jeu consistait à atteindre celle-ci.
 
De taille modeste, les pierres devinrent de plus en plus grosses parce qu'on s'était rendu compte qu'elles chassaient les plus petites. Dans le Berwickshire on a d'ailleurs retrouvé une énorme pierre de 117 livres (53 kg) que l'on nomme la Pierre du Jubilé.
 
Les origines du curling se perdent dans la nuit des temps. On dit qu'au 15ième siècle des immigrants Flamands auraient introduit en Écosse un jeu nommé «kulling». Il semblerait constituer l'ancêtre du curling. D'ailleurs une peinture d'époque représente une scène villageoise hivernale où les gens s'amusent à pratiquer ce jeu. La peinture, exposée au musée de Vienne, est l'oeuvre du peintre Flamand Pieter Brueghel. Image de l'oeuvre
 
Les Écossais quant à eux revendiquent une autre origine. Il croient que le jeu de curling a pris naissance au 15ième siècle sur les plateau gelés de la Calédonie écossaise. Des récits d'époque font référence à un «jeu viril de solides Écossais avec des pierres qui pèsent plus de 100 livres». Les voyageurs qui rapportèrent ces faits en avaient été impressionnés. Des vestiges de pierres et des dessins viennent confirmer les origines lointaines de ce sport.
 
C'est vers les années 1700 que les premières pierres rondes avec poignée en fer firent leur apparition. Il n'y eut, pendant longtemps, aucune norme venant fixer leur forme et leur poids. Au 19ième siècle cependant, elles prirent leur forme actuelle et on limita leur poids à près de 40 livres (20 kg).
 
On retrouve dans des récits anciens que les parties pouvaient être fort animées donnant même parfois ouverture à des querelles épiques. On a dû certes se pencher sur ces cas de parties passionnées puisqu'en 1716, à Perth, on établissait les premières règles du jeu et, comme il fallait s'y attendre, on y interdisait le mauvais langage et les querelles.
 
C'est en 1847, que s'est tenu l'un des premiers tournois. Il eut lieu au château de Penicuik, près d'Edimbourg. On y avait aménagé les allées glacées sur l'un des étangs à proximité. Le tournoi eut une grande popularité puisqu'on y retrouva 350 joueurs et dix fois plus de spectateurs. En 1838, on fondait le Grand Caledonian Curling Club. A cette occasion, on inséra dans la charte les règles du jeu.
 
C'est au 18ième siècle que le curling fut introduit au Canada. Les régiments écossais, qui avaient été dépêché par le roi d'Angleterre afin d'endiguer la tentative d'invasion américaine, introduisirent le curling sur le continent américain. Mal leur en pris puisque le Canada trône aujourd'hui comme le champion mondial de ce sport. N'ayant pas de pierres à portée de main, les soldats firent fondre des boulets de canons, en forme de pierre avec une poignée, pour jouer sur la glace du fleuve.
 
Depuis plusieurs années, on retrouve dans la plupart des villes canadiennes, des bâtiments abritant des allées de curling faites de glace artificielle. Le curling a d'ailleurs pris un essor important et continue de se développer pour le plus grand plaisir des amateurs et des pratiquants. Le club de Kénogami n'échappe pas à la règle et, même si on n'y retrouve les meilleurs champions, on s'y amuse énormément dans un climat de chaude camaraderie et de rire.
Le jeu
- Principe
Deux équipes de quatre joueurs jouant chacun deux pierres alternativement avec le joueur de l’équipe adverse et essayant de mettre le plus de pierres le plus près possible du centre de a cible (bouton). Les trois premières pierres lancées par chaque équipe n'ont pas le droit de chasser les pierres se trouvant dans la zone située en avant de la maison (Zone de garde protégée Cliquez sur le lien pour voir l'image), mais peuvent le faire pour celles se trouvant dans la maison.

 
Les règles du cricket
 
Les joueurs
 
Le jeu est un affrontement entre deux équipes, chacune composée de onze joueurs, habillés en blanc. Un joueur ne peur être remplacé que s'il est blessé ou malade et que l'arbitre a autorisé son remplacement. Le remplaçant n'est pas autorisé à garder le guichet, ni à batter ou à lancer. Lors de circonstances exceptionnelles, un joueur peut néanmoins être remplacé pour d'autres raisons, si et seulement si le capitaine de l'équipe adverse est d'accord. Si au cours de la partie un joueur souhaite se changer, il doit auparavant quitter le terrain et ne peut être remplacé pendant le temps où il est hors du terrain. Les joueurs ne sont pas autorisés à se changer sur le terrain.
Le terrain et l'équipement
 
Le terrain (field) est ovale, en gazon, et mesure 135 mètres sur 150. Au centre du terrain, il y a une partie rectangulaire de 20 mètres sur 2,5 dont l'herbe est coupée plus court et que l'on cesse d'arroser quelques jours avant le match, afin qu'elle soit de couleur plus claire que le reste du terrain : c'est le square ou pitch. Le terrain situé à l'extérieur du pitch est appelé outfield. Le capitaine de l'équipe qui batte peut demander à ce que l'on passe le rouleau sur le pitch avant chaque journée de match. Il n'est pas permis de faire passer le rouleau pendant un match. Il n'est pas permis d'arroser le pitch pendant un match. Les lignes, en revanche, peuvent être marquées de nouveau à tout moment.
 
À chaque extrémité du pitch se trouve un guichet (wicket) de bois formé par trois piquets (stumps) verticaux de 71 cm surmontés de deux témoins. Les piquets sont suffisamment rapprochés les uns des autres pour empêcher que la balle puisse passer entre deux piquets. Le guichet fait donc 23 cm de large. Le guichet est défendu par le batteur (batsman) contre les attaques du lanceur (bowler) qui se trouve à l'autre extrémité du pitch. Pour ce faire, le batteur utilise une batte en bois de 97 cm de long sur 11 de large, dont l'une des faces est plate. La balle, elle, est constituée d'un noyau recouvert de deux morceaux de cuir rouge. Elle est très dure et pèse 160 gr. La couture entre les deux pièces de cuir permet au lanceur de donner des effets à la balle lors du rebond.
 
Les arbitres
 
Il y a deux arbitres (umpires) qui sont chargé de faire respecter les lois du cricket. Le premier se tient derrière le guichet d'où le lanceur joue (le fielding side), le second se place environ à vingt mètres, à angle droit par rapport à l'autre guichet. Ils échangent leur place à chaque tour de batte. Les arbitres ne peuvent être changés en cours de match qu'avec l'accord des deux capitaines. Au début du match, les arbitres doivent convenir avec les deux capitaines d'éventuelles conditions spéciales de jeu. Toujours avant le match, ils doivent vérifier l'implantation des piquets, ainsi que la qualité des balles.
 
Les arbitres sont seuls juges de la correction (fairness) ou de l'incorrection d'une action, ainsi que des conditions de jeu (état du terrain, temps qu'il fait, luminosité). Cependant, avant de décider la suspension, le non-commencement ou la reprise du jeu, les arbitres doivent recueillir les avis des capitaines. Si les deux capitaines sont d'accord sur une solution, leur opinion doit être suivie. Les arbitres peuvent également décider des pauses dans le jeu pour déjeuner ou pour le thé, ou des pauses de 10 min entre chaque tour de batte (innings). Si les capitaines en conviennent avant le match, des pauses supplémentaires pour prendre des rafraîchissements peuvent être instaurées ; il ne peut y avoir toutefois plus d'une pause par jour, celle-ci ne doit pas excéder 5 min et ne doit pas être prise pendant la dernière heure du match.
Le déroulement du jeu
 
Avant de commencer le match, on tire à pile ou face pour savoir quelle équipe commencera : le capitaine désigné par le sort a le choix de batter en premier ou de laisser l'autre équipe jouer en premier.
 
Le lanceur se place devant le guichet opposé à celui défendu par le batteur. Pendant ce temps, un membre de l'équipe du lanceur, appelé le gardien, va prendre position derrière le guichet adverse et devant l'arbitre. Son rôle est de récupérer la balle si le batteur la manque. C'est pourquoi il est équipé de jambières et de gants pour se protéger.
 
Avant de lancer, le lanceur doit indiquer à l'arbitre, qui le dira ensuite au batteur, de quelle manière il a l'intention de lancer la balle, de quel côté du guichet, de la main droite ou de la main gauche... Le lanceur ne doit en aucun cas plier le coude lorsqu'il lance la balle, qu'il doit faire rebondir devant le batteur. Si la balle arrive hors de portée du batteur (si celui-ci est dans sa position normale), soit trop haut, soit trop à côté, l'arbitre annonce (calls) une wide ball. Il prend plusieurs mètres d'élan et lance en effectuant un mouvement de balancier avec le bras. Son but est de détruire le guichet adverse. Si son pied d'appui dépasse une ligne située à 1m30 de son guichet, il doit recommencer (c'est un cas de no ball).
 
L'arbitre est seul juge de la correction (fairness) du lancé. S'il estime que le lanceur n'a pas été correct dans l'annonce de son lancé, ou que la manière de lancer n'était pas correcte, il annonce qu'il n'y a pas eu de balle (no ball).
 
Chaque lanceur effectue une série de six lancés (over). Les arbitres disposent chacun de six petits compteurs dans leur poche qui leur permettent d'annoncer « over » après la série de six lancés. Tous les joueurs de l'équipe qui lancent doivent lancer une fois, sauf le gardien, à cause de son équipement.
 
Le guichet est protégé par le batteur, qui prend position devant et qui doit empêcher sa destruction par la balle. Au moment de prendre position, il fait une marque sur la ligne blanche située à 1m20 devant le guichet : cela s'appelle prendre sa garde. Simultanément, un autre batteur de son équipe se place de l'autre côté du pitch. Les onze joueurs, parmi l'équipe qui batte, doivent batter une fois. Les batteurs sont équipés de jambières, de gants rembourrés et d'un casque pour se protéger.
Marquer des points
 
Si le batteur frappe la balle, il peut gagner des points en échangeant sa position avec celle de l'autre batteur situé à l'autre extrémité du pitch. Chaque échange de position apporte 1 point (un run). Les deux batteurs peuvent courir ainsi autant de fois qu'ils veulent, jusqu'à ce que les chasseurs aient relancé la balle au gardien, qui détruit alors le guichet.
 
Si le batteur envoie sa balle hors des limites du terrain, sans qu'elle ait touché le sol, cela lui rapporte 6 points. Si la balle sort en roulant, cela vaut 4 points. Dans ces deux cas, les points de course sont annulés. Si la balle ne peut être retrouvée, un joueur de champ annonce une balle perdue (lost ball), qui rapporte 6 points, lesquels annulent les points de course. Si toutefois plus de 6 runs avaient été complétés par le batteur, ce sont les points de course qui comptent. Des runs de pénalité peuvent être accordés par l'arbitre, par exemple quand il y a no ball ou wide ball.
 
Le batteur est out :
 
    * si son guichet est détruit par le lanceur (lorsque la balle renverse l'un des témoins) ou s'il détruit son guichet en voulant frapper la balle ou protéger son guichet (bowled)
    * s'il met plus de 2 min à rejoindre son poste après que son camarade a été sorti (timed out)
    * si l'un des chasseurs (cf. infra) attrape au vol la balle frappée par le batteur (caught)
    * s'il fait de l'obstruction avec ses jambes, le caractère volontaire ou non de l'obstruction est déterminé par l'arbitre (Leg Before Wicket)
    * s'il frappe intentionnellement la balle après l'avoir déjà frappée ou touchée de son corps (Hit the Ball Twice)
    * s'il attrape la balle avec la main qui ne tient pas la batte, sans l'accord de l'autre équipe (Handled the Ball)
    * s'il se trouve hors de sa zone quand la balle détruit son guichet, alors qu'il est en train de faire un run (run out) : ce run (et seulement celui-ci) n'est pas compté au score
    * s'il se trouve en dehors de sa zone quand la balle détruit son guichet, quand il n'est pas en train de faire un run (stumped out)
    * s'il a un comportement indigne d'un gentleman.

tu as la version base ball, j'ai jamais rien compris

 
j'imagine que cela inclue le cas ou il fait caca dans la bruyere

 
le base ball, c'est out, la mode, c'est le kin ball
Objectif : 3 équipes de 4 joueurs se disputent ungros ballon.Le but du jeu est de servir le ballon à une des 2 équipes adverses de façon à ce que l’équipe ne puisse le récupérer avant qu’il ne touche le sol.
 
 
 
 
 
Origine : août 1986 au Québec.
 
Plusieurs 1er prix dans des salons innovations.
 
 
 
 
 
Caractéristiques :- 3 équipes de 4 joueurs sur le terrain
 
- gros ballon (1,22 m de diamètre)
 
 - terrain de 21,40 m sur 21,40 m mais possible sur terrain de VB – BB
 
- match = 3 périodes de 15 min ou 3 périodes de 7 min
 
- sanctions sévères si esprit sportif bafoué (1 point aux équipes
 
adverses si non-respect de l’arbitre, d’un adversaire ou d’un partenaire et 5 points si récidives)  
 
- sport qui se veut sans violence verbale et physique
 
- les remplacements des joueurs doivent être clairs : préciser au remplaçant le n° de serveur du joueur qu’il remplace (imposer une rotation simple et régulière dans les changements pour éviter toute confusion)
 
- à partir de 8 ans
 
 
 
 
 
 
 
 
ATTAQUE
 
 
 
Positions de départ :
 
 
 
- 3 joueurs immobilisent le ballon
 
- ils sont disposés en triangle ou pour les joueurs expérimentés : 2 d’un côté et 1 de l’autre (corridor)
 
- ils ont un genou au sol, les bras tendus en oblique au-dessus et devant la tête, la tête penchée et les regards se croisent sous le ballon
 
- le centre du ballon doit être à hauteur de l’épaule du serveur
 
 
 
Services :
 
 
 
- mains séparées : frappe au centre du ballon avec les paumes de mains
 
- mains liées (base-ball) : frappe mains à hauteur des épaules au centre du ballon, corps perpendiculaire au ballon
 
- courbe : idem mais pour donner une trajectoire circulaire : les mains vont de l’arrière droit vers l’avant gauche
 
- lob : bras tendus, frappe de bas en haut (manchette mains séparées)
 
- tourniquet 2 bras : idem base-ball mais après un tour sur soi-même
 
- tombant : mains liées, mouvement de pendule
 
- à un seul bras (tout le bras), face au ballon
 
- parabole : mains liées : mouvement de hache du haut vers le bas
 
 
 
 Remarques :
 
 
 
- trajectoire au minimum horizontale pendant 2,5 m avant de descendre vers le sol
 
- après l’immobilisation par le 3ème joueur, le serveur a 5 secondes pour frapper
 
- avant de servir, le joueur doit bien s’assurer que ses 3 autres coéquipiers touchent le ballon
 
- le serveur doit également avant de débuter le geste de frappe, crier OMNIKIN puis la couleur d’une des deux équipes adverses
 
- un même joueur ne peut servir deux fois de suite (donner un n° d’ordre de serveur à chaque joueur
 
- la surface de jeu est limitée par le plafond, des lignes ou les murs et le sol
 
 
 
Fautes offensives :
 
 
 
- mauvais placement des 3 joueurs pour tenir le ballon avant la frappe
 
- ballon mal placé pour le frappeur : trop haut
 
- 2x le même frappeur d’affilée  
 
 
 
Stratégies offensives :
 
 
 
- relancer le plus rapidement possible pour éviter le replacement défensif de l’équipe qui vient de servir
 
- déplacer le ballon (avant que le 3ème joueur n’ait touché le ballon) dans une bonne zone offensive : - centre du terrain pour permettre de nombreux angles de lancers
 
- à 5 m d’un coin, et lancer le ballon dans cette même direction
 
- faux lanceur : le 4ème joueur crie OMNIKIN + couleur adverse puis feinte une frappe et vient toucher le ballon pour laisser place à un autre frappeur qui lance dans la direction opposée
 
 
 
 
 
- réaliser une feinte corporelle avant de frapper dans une autre direction ou d’une autre façon
 
- double frappeur : deux joueurs arrivent en même temps vers le ballon, le premier touche le ballon et le dernier frappe
 
- le frappeur crie OMNIKIN + couleur adverse puis réalise une glissade sous le ballon et frappe dans la direction opposée
 
 
 
 
 
 
DEFENSE
 
 
 
Positions défensives :
 
 
Collective : l’équipe détermine un carré à 3 – 4mdu ballon, chaque joueur de l’équipe se
trouve à un coin, le carré se déplace en fonction des déplacements du ballon
 
Individuelle : jambes fléchies, épaules faces au ballon, tronc légèrement
 
fléchi vers l’avant, bras en pronation, …
 
 
 
Techniques défensives :
 
 
 
Quatre phases dans la réception du ballon :
 
 
 
1) préparation à la position de réception : carré imaginaire à 3-4m du ballon
 
2) relevé du ballon : le joueur le plus proche de la direction du ballon devra le
 
réceptionner : - mains ouvertes, coudes vers l’extérieur, jambes fléchies
 
- bras tendus, séparés, en pronation
 
- jambe tendue : mvt vers le haut avec le tibia
 
 - coup sec vers le haut avec le talon après un ½ tour
 
3)maîtrise, grâce au deuxième joueur qui se place en face du 1er. Ils peuvent alors se
 
déplacer vers une autre zone d’attaque.
 
4)immobilisation, par le troisième joueur, qui en touchant le ballon, oblige l’équipe
 
à s’immobiliser avec le ballon et préparer la frappe par le quatrième joueur
 
 
 
Supplément de techniques défensives :
 
 
 
- si le ballon arrive contre un mur :
 
- en hauteur : impulsion avec un pied sur le mur et placer sa main entre le mur et le ballon ou encore l’écarter du mur par un mouvement sec du poignet
 
- en bas : frapper le ballon du pied sur le côté pour le ramener vers le centre du terrain
 
- si le ballon a dépassé le joueur, le ramener vers soi avec les bras tendus, paumes de mains
 
vers le haut
 
- si le ballon est très près du sol :
 
- plongeon et le remonter avec le dos de la main
 
- glissade sur le dos et le pousser avec les mains ouvertes vers le haut ou encore le maîtriser
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Remarques :
 
 
 
- à partir du 1er contact en réception (1er joueur), l’équipe nommée à 10 secondes pour élaborer ses 2 premières phases de réception et à partir de la phase 3, elle a 5 secondes pour frapper la balle (3 sec : initiés)
 
- l’équipe en réception peut également se faire deux passes avant d’immobiliser le ballon par le 3ème joueur
 
-dès que le ballon a été touché par 3 joueurs de l’équipe, le ballon doit être immobilisé avant d’être frappé
 
 
 
Fautes défensives :
 
 
 
- mauvaise position de base (carré)
 
- mauvaise technique de relevé du ballon
 
- immobilisation trop rapide par le 3ème joueur : mauvais placement pour la phase offensive
 
- plus de 10 sec pour la phase de réception (1 point pour les 2 autres équipes)
 
- chute du ballon sur le sol (1 point pour les 2 autres équipes)

Prenez exemple, bande de fornicateur !

Etre saint pour ne pas avoir baiser, ca en ferait ds brochettes de saints de nos jours grace a l'info

prems

 
je vous instruit et tu vas voir qu'on va m'accuser de flooder

 
c'etait en reponse a mon post juste au dessus du tiens ?

non, il y a eu une coupure.

 
tu connais pas antp
enfin, le pire, c'st quand meme gilou
 
http://forum.hardware.fr/forum2.ph [...] 0&subcat=0

et merde, encore de l'orage
 

je dois pas etre assez vieux sur ce topic, y'a toujours 2 choses que j'ai pas compris :  
- c quoi ce trip sur les églises, et sur les posts pavés genre instructifs ?
- pkoi ce besoin de flood d'images ?

Tu baises?

-->si tu veux...viens avec ta cops, je viens avec la mienne...

Y a des fois, faut pas chercher à comprendre

Se choper un taxi parce qu'on regarde pas du bon côté en traversant, ça craint (c'est pas le taxi qui m'a cogné, c'est moi qui l'ai cogné, heurement qu'il a pas roulé sur mon pied )

LOOOL ...