En voulant compléter un peu mes connaissances en SGBD, je suis tombé sur l'algèbre relationnelle, et pour le moment je n'en vois pas trop un grand intérêt.
Des recherches sur google n'ont pas été trop concluante d'ailleurs...
Serait-ce donc un peu inutile ?
Publicité
Posté le 23-12-2004 à 20:58:52
nraynaud
lol
Posté le 23-12-2004 à 21:08:31
bof, effectivement, ça sert pas énormément en tant que tel.
---------------
trainoo.com, c'est fini
WhatDe
Posté le 23-12-2004 à 21:19:06
Si tu veux prouver que c'est inutile cherche un moyen plus performant.
Bonne chance.
chrisbk
-
Posté le 23-12-2004 à 21:31:17
ca permet de se faire plein de pote et de lever de la meuf
nraynaud
lol
Posté le 23-12-2004 à 21:40:47
Alors, je disait que justement, une algèbre, c'est un corp commutatif dont la loi produit est associative avec la loi addition hors donc, dans ce cas, l'ensemble de base du corps est ....
tu baises ?
---------------
trainoo.com, c'est fini
pains-aux-raisins
Fatal error
Posté le 23-12-2004 à 21:48:11
Ca sert à parler et à lire relationnel dans des bouqins qui ne veulent pas écrire en SQL comme tout le monde...
L'avantage c'est que tu en jette avec tous tes symboles ésotérique et tout le monde pense que tu mérite largement ton salaire
nraynaud
lol
Posté le 23-12-2004 à 21:56:27
heu, tu utilises quoi comme symbole particulier ???
Ca sert à parler et à lire relationnel dans des bouqins qui ne veulent pas écrire en SQL comme tout le monde...
L'avantage c'est que tu en jette avec tous tes symboles ésotérique et tout le monde pense que tu mérite largement ton salaire
pains-aux-raisins
Fatal error
Posté le 23-12-2004 à 22:07:56
les opérateurs ensemblistes union, intersection, différence...
Mais aussi
la division : le vieux symbole de la division sur les calculettes qui ressemble vaguement au pourcentage %
projection : pi
restriction : theta
jointure : le noeud papillon
jointure externe : le noeud papillon avec un point au milieu
semi-jointure : un noeud papillon ouvert à droite
fermeture transitive : tau ou R+ ou CLOSE (selon les auteurs)
etc...
pains-aux-raisins
Fatal error
Posté le 23-12-2004 à 22:10:06
Ah au fait, vous ne prenez pas au sérieux mon avant-dernier post j'espère...
Publicité
Posté le 23-12-2004 à 22:10:06
chrisbk
-
Posté le 23-12-2004 à 22:11:56
si
BoumboMagic
Posté le 23-12-2004 à 22:12:44
quand je parle d'algèbre relationnelle, je parlais de ce genre de truc : π[Nom, Prénom] ( Employé * [supérieur=X ^ Salaire > Y ] ( α[N°avs->X, Salaire->Y] π[N°Avs, Salaire]Employé))
quand je parle d'algèbre relationnelle, je parlais de ce genre de truc : π[Nom, Prénom] ( Employé * [supérieur=X ^ Salaire > Y ] ( α[N°avs->X, Salaire->Y] π[N°Avs, Salaire]Employé))
En espérant que ca passe
Heuu, nan, ça passe pas
BoumboMagic
Posté le 23-12-2004 à 23:51:12
Enfin bon ca m'avance toujours pas QQ
Donc à part assomer les demoiselles et à se la jouer devant les recruteurs / RH etc ca sert à quoi? Le bouquin de Gardarin me fait beaucoup plus peur d'un coup, et en survollant rapidement la suite je vois pas vraiment... QQ
pains-aux-raisins
Fatal error
Posté le 24-12-2004 à 07:44:59
Effectivement le Gardarin utilise quelques notations de l'algèbre relationnelle. L'intérêt est que cette notation s'insère plus élégamment dans une explication la grosse machine SQL.
Cette notation a l'avantage que la plupart de ses opérateurs sont infixés ce qui permet d'écrire des choses plus lisibles que des requêtes SQL sur plusieurs lignes.
Exemple de la jointure naturelle sur plusieurs tables :
SOCIETE >< EMPLOYE >< SALAIRE
Comme tu as l'air de t'interroger, je pense que la meilleure façon de voir l'algèbre relationnelle et que celle-ci est au SQL ce que le pseudo-code est au langage de programmation (Java par exemple)
Message édité par pains-aux-raisins le 24-12-2004 à 07:45:30