Citation :
Notons enfin que si l’on pensait que Nvidia disposerait d’un avantage net, de part le fait qu’il développe lui-même ses pilotes graphiques et stéréo, et aussi par son programme d’assistance aux développeurs de jeux, les résultats sont plus serrés que l’on aurait pu le penser. Nvidia s’est retrouvé surtout pénalisé par le non support de certains jeux, pourtant majeurs comme les titres de Codemasters (F1 2010 et Dirt 2), supportés eux par le middleware de Tridef. Crysis Warhead fut aussi une surprise, un jeu pourtant estampillé du programme développeur Nvidia, et pourtant émaillé de bugs et de concessions graphiques obligatoires. Nvidia nous aura indiqué que des changements majeurs arriveraient dans la version 265 de ses pilotes, nous reviendrons dessus le cas échéant. Un avantage majeur de l’intégration de Nvidia reste la possibilité d’activer et désactiver l’effet stéréoscopique sans redémarrage du pilote, contrairement à la solution de Tridef ou cela provoque, au minimum une seconde d’écran noir, et parfois un plantage du jeu.
|